SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Aujourd'hui commence une nouvelle année.

Nous adressons à tous nos amis lecteurs nos vœux les plus chaleureux pour que, tout au long de 2023, leur santé et celle de leurs proches ne connaissent aucune défaillance et qu'ils gardent - ou retrouvent - la forme au plus haut niveau possible.

Nous souhaitons également à nos lecteurs fidèles, à notre peuple et à toutes les nations, paix et vie heureuse.

Mais pour que ces vœux deviennent réalité, il ne suffit pas d'attendre passivement l'apparition subite d'un arc-en-ciel dans un ciel d'orage.

Nous sommes exposés en France et en Europe, voire dans le monde, à une menace de guerre généralisée. Celle-ci n'est pas le fruit d'un complot fomenté par quelques âmes noires, mais la conséquence des contradictions d'intérêts, fruit d'un système économique, le capitalisme. Arrivé à bout de souffle, à un stade de contradictions faites de crises de plus en plus profondes, la guerre semble être sa seule dernière cartouche.

La mèche est allumée en Ukraine.

Macron et son pouvoir - qu'il tient de son clan financier - attise le brasier en fournissant armes et spécialistes aux oligarques ukrainiens et à leur clown de service.

En cela, ils font de la France un état co-belligérant aux côtés des États-Unis dans la guerre que ceux-ci mènent contre la Russie.

La France et les Français n'ont rien à faire dans cette guerre !

Et contre la mise en condition de l'opinion par les médias des milliardaires, acquis aux désirs de Washington, pour l'entrainer ce conflit, il faut, sans attendre, réagir en s'informant dans les médias libérés, tels les blogs Commun Commune et Réveil Communiste.

Mais la guerre ne rôde pas seule autour de nous.

La misère étend son drap noir sur la France.

Qu'est devenu « le bon vieux temps » où les salaires, par la lutte, rattrapaient les prix, où congés et vacances ne faisaient qu'un, où nos trains arrivaient à l'heure dite, avec des gares ouvertes où montaient les voyageurs, des écoles qui faisaient des enfants de petits érudits à côté d'aujourd'hui, où nos hôpitaux faisaient la gloire de notre pays, et la santé ne rimait pas avec profit.

La France n'était pas un pays de cocagne.

On se battait contre le Capital. Pour avoir plus de droits, de meilleurs salaires, pour vivre toujours mieux. Et si des retours en arrière ont malheureusement eu lieu, c'est du fait de Pétain et de Vichy, et de leurs amis nazis.

Ce fut alors la Résistance.

Et la victoire et la Libération 

Certes, depuis ces temps reculés, il a fallu d'abord combattre pour garder les conquêtes sociales.

Mais depuis près de quarante ans, un commerce planétaire et sans frontière, avec Maastricht et l'Union européenne, la loi du marché imposée, les profits explosés, les crises économiques qui se sont succédé, le capital et ses commanditaires, qui n'ont pas de patrie - la Maison Blanche et Wall Street pour bases - voudraient étendre leur patte vers l'Est, la Russie et l'Asie.

Alors dans les pays conquis par cette idéologie, les oligarques ont pris les rênes. Ils sont aux manettes, tels en France, Macron et ses financiers. Ils tiennent le haut du pavé sur la route toute tracée par Sarkozy, Hollande et toute sa bande.

Au nom de ses valeurs, cotées en Bourse, cette caste veut s'approprier les biens de la collectivité, les services publics, pour en tirer encore plus de milliards à leur escarcelle, destinés. 

Et pour ce faire, avec l'arbitraire et le fouet, si nécessaire, servis par les médias et leurs propriétaires.

C'est pourquoi nous souhaitons, en plus des vœux d'entrée, une République populaire et laïque, dans une France indépendante, dirigée par le peuple souverain.
Et donc, une France sans grands patrons et sans Macron.

JEAN LÉVY

Publié par EL DIABLO

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