SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

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BUDGET publicité ?

Eh oui, comme beaucoup ont pu nous le dire hier et aujourd'hui, l'information était "énorme" et vraiment vérifiable. Il faut tout de même reconnaitre que cela à faire rire du monde c'est vrai, sauf peut-être la direction et quelques salariés !!!!

A quoi elles servent toutes ses publicités à l'usine ? Après les tôles en inox sur les murs, les peintures, les beaux panneaux avec les indicateurs sur les lignes,… voici les autocollants publicitaires.

Par contre pas un seul radis pour les augmentations générales afin de pour récompenser les efforts, la compétence des salariés, … nous en reparlerons.

Lors du CCE du 23 septembre 2010, le Pdg d'UNILEVER France HPC I des usines de Le Meux et de Saint-Vulbas avait conseillé aux élus et aux salariés d'acheter les produits DOVE, car se sont des produits de très bonne qualité.

Nous lui avons répondu avec force que nous savions très bien que les produits DOVE étaient de très bonne qualité, sauf que les salariés n'avaient pas les moyens de s'acheter ces produits du fait du prix mais aussi parce que les fins de mois arrivent très vite, et que ce n'était certainement pas la priorité dans le budget familiale de la grosse majorité des salariés de l'usine, se son des produits de luxe hyper cher.

Voilà peut-être une des raisons pour lesquelles vous trouvez ces publicités dans l'usine avec comme objectif de booster les achats des salariés ? Une certitude, c'est que Mr CARNET (Pdg de la société HPC I et président du CCE) peut s'acheter ces produits avec son confortable salaire.

Une anecdote qui ne fait pas rire : pour ceux et celles qui se rappellent de Régis DESROCHES, l'ancien directeur des opérations du site, celui qui "pétait plus haut que son cul", celui qui avait "un niveau social trop élevé pour ses compétences et ses capacités", avait dit ouvertement en CE qu'avoir un très beau hall d'accueil dans une usine était plus productif que d'agrandir un self ou une salle de pause pour le bien être des salariés. Eh oui, il était vraiment limité ce monsieur, surtout dans le domaine du dialogue social et un goût prononcé pour l'argent et la connerie…

La direction avait annoncé, c'est vrai, des investissements publicitaires en hausse pour nos marques. Ils sont où ? Posez-vous cette question ; "quand ai-je vu pour la dernière fois les parts de marché des produits de l'usine avec une antériorité de 3 ou 5 ans ? De quand date la dernière présentation de la direction ?

La direction veut nous faire croire qu'UNILEVER y met et va mettre les moyens derrière nos marques afin de relancer les ventes. Nous aimerions croire leur discours, mais cela fait des années que nous ne croyons plus au père noël, comme beaucoup de salariés.

En fin pour finir, une procédure de droit d'alerte économique à été initié par les élus du CCE le 8 octobre. Nous attendons des réponses écrites de la direction, et nous agirons en conséquence en fonction du contenu des réponses. La direction à un mois pour convoquer le CCE et remettre ses réponses dans un document écrit. D'ailleurs vous pouvez consulter la demande envoyée par le secrétaire du CCE en cliquant ci-desous

A bientôt

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Ami entends-tu...? Quand on en arrive là, c'est que le "bruit des bottes" n'est plus très loin... hein SARKO.

pic59696.jpgC'est une période assez noire de l'histoire qui nous le rappelle !
Mais qui est le connard qui a donné l'ordre de bastonner les pompiers !

Suite a la manifestation "pacifiste" des pompiers des Alpes maritimes revendiquant la reconnaissance de métier a risque et la pénibilité du métier pour la réforme des retraites ,les C R S  ont chargé les pompiers violemment. Le pompier a terre sur la photo a pris un coup de matraque dans la tête sans raison, transporté inconscient a l'hôpital de Nice il se réveillera dans l'après midi.5 pompiers ont été mis en garde a vue. Une violence inouïe face a des pompiers avec qui ils ont l'habitude de travailler, une perte de sang froid totale a provoqué un excès de violence chez ces individus que nous ne regarderons plus jamais de la même façon, inacceptable pour nous de voir ce genre de pratique.                      

A diffuser largement a vos contacts merci

(un clic sur la photos pour consulter le fichier)                 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Unilever et la direction du site de Le Meux avaient annoncé des investissements importants pour soutenir nos différentes marques, eh bien nous confirmons que c'est une réalité. La preuve en images en cliquant sur l'image ci-dessous. C'est vraiment énorme, ceci va forcément et fortement relancer les ventes avec toutes ces publicités.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

INFO IMPORTANTE

à 14h

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #AVENIR RETRAITES

Après les manifestations du 19 octobre l’intersyndicale se réunira le 21 octobre. Nous serons au soir du 19 octobre à la 6ème manifestation contre le projet de loi sur les retraites. Pour l’instant le pouvoir affiche sa détermination mais la cuirasse se fissure face à l’ancrage et à l’élargissement de la mobilisation.

LE POUVOIR N’EST PAS CRÉDIBLE

« La Haute chambre a rejeté jeudi, à la suite d'une erreur de vote des centristes, l'article 4 de la réforme des retraites qui porte sur les modalités d'allongement de la durée de cotisation jusqu'en 2020. »

« Le sénateur centriste de Mayotte, Adrien Giraud, qui avait les délégations de vote de l'ensemble de son groupe, a voté contre, se trompant dans la couleur des bulletins de vote. «La fatigue aidant, après des heures et des heures de débat, notre sénateur s'est trompé. Nous voulions voter pour l'article», a indiqué le groupe Union centriste. »

VOILA AVEC QUEL SÉRIEUX UNE DIZAINE DE SÉNATEURS PRENNENT UNE DÉSICION QUI ENGAGE LA VIE DES 60 MILLIONS DE PERSONNES DANS NOTRE PAYS !

RIEN NE SERA JOUÉ APRÈS LE VOTE DU SÉNAT ET DE L’ASSEMBLÉE

Ce projet de loi n’a pas d’autre objectif que de répondre aux attentes de la clientèle friquée de Sarkozy (Les banques, assurances, fonds de pension, agences de notation, Bouygues, Bolloré, Dassault, Lagardère, MEDEF, etc.). Nous n’avons de cesse d’affirmer – chiffres à l’appui - que la retraite par répartition est viable et durable si on agit sur les véritables leviers : Salaires, emplois, taxation des profits.

Le dialogue social est torpillé par le pouvoir dès lors nous n’avons qu’une seule vraie façon de nous faire entendre : la grève et la manifestation dans l’UNITÉ.

L’accès à l’emploi, la rémunération et les conditions de travail sont tels que le travail n’est pas un facteur d’épanouissement mais le plus souvent une bouée de survie qui maintient tout juste la tête en dehors de l’eau.Travailler plus longtemps dans ces conditions ça rime à quoi ? C’est un autre choix de société que nous pouvons gagner. 

QUELQUES JOURNÉES DE GRÈVES ET DE MANIFESTATIONS CONTRE 2 ANNÉES D’EXPOSITION SUPPLÉMENTAIRES À LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL : ÇA VAUT LA PEINE !

 

TOUT CEUX QUI ONT GAGNÉ ONT LUTTÉ

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Des collègues de FRALIB seront sur le site de Le Meux lundi 18 octobre.

Ils viennent à la rencontre des salariés dans tous les sites en France. Il faut fortement soutenir leur lutte contre UNILEVER. La direction du site tente depuis jeudi d'étouffer et de minimiser la fermeture du site de Gémenos. Encore une fois, ce projet de fermeture est injustifé. Nous avons tous un problème avec UNILEVER : conditions de travail, baisse des salaires, pression, harcèlement moral, baisse des effectifs, augmentation des cadences, aucune reconnaissance, explosion des coûts de production, baisse plus qu'inquiétante des volumes shampoing, fermeture de la RD, augmentation de la précarité, des parts de marché proche de zéro, aucun soutien réel d'UNILEVER sur nos marques, ...

En soutien de nos camarades FRALIB, la CGT UNILEVER LE MEUX appelle les salariés du site à un débrayage

lundi 18 octobre.

Pour l’équipe du matin de 12H20 à 13H20.

Pour l’équipe d’après midi et l’équipe de journée de 13H20 à 14H20.

 

Pendant ce débrayage, une rencontre aura lieu avec les salariés de FRALIB qui seront sur tous les sites de France le même jour.

L’objectif de cette rencontre est de dialoguer avec l’ensemble des salariés et de distribuer un tract donnant des informations concernant le projet d’UNILEVER de fermeture du site de GEMENOS qui est totalement injustifié, et qui s’appui sur des motifs économiques infondés qui ne sont que des mensonges.

 

Il sera demandé un entretien avec la direction du site.

Manif 1er mai 2

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #AVENIR RETRAITES

Lien direct en cliquant sur l'image ci-dessous !!!!!

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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ATTENTION, lundi 18 au matin, car nous attendons des confirmations, il sera révelé une INFO importante par la CGT d'Unilever France, qui va redonner une vie et un avenir au site.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

La lutte de nos collègues de FRALIB pour maintenir leur usine en vie et leur emploi contre ce projet inadmissible de fermeture.

UNILEVER, ce groupe voyou et anti-social a supprimé depuis 10 ans plus de 7 000 emplois en France et ne s'arêtera jamais, sauf si tous les salariés disent STOP.

Il faut tout de même se rappeler chez LEVER FABERGE,qu'en avril 2000 UNILEVER annoncait la fermeture du site d'HAUBOURDIN avec plus de 450 licenciements alors que le directeur du site 2 mois avant avait offert une bouteille de champagne aux salariés  pour "souligner" le meilleur chiffre depuis 8 ans en terme de résultat. Ce directeur qui 10 jours aprés devait déclencher un CCE extraordinaire afin d'annoncer la fermeture  du site et s'en suit par la suite un montage financier  infernal de 18 mois d'UNILEVER  avec COVENTRY et BILORE.

Et sur le site de Le Meux, comment encore croire à cette direction complètement aux abois, qui ne cesse de marteler que tout ira mieux, alors que ce discours nous l'entendons depuis 2006. Il faut tout de même se rappeler que nous avions les en tant qu'organisations syndicales, que le recrutement d'un DRH extérieur au groupe UNILEVER était inquiétant et une mauvaise nouvelle !!! Les collègues de la R&D s'en rappellent maintenant.

Pour Haubourdin, pour ceux et celles qui ne le savent pas, UNILEVER avait embauché Mr CARON Emmanuel (ancien DRH de l'OREAL) 2 ans avant le projet. Le cantonnier d'UNILEVER, Mr FAURE Frédéric avait fini le travail. Euh ... il faut tout préciser que lui est toujours en place, et nous le verrons à l'oeuvre une nouvelle fois lors du comité de groupe France qui se tiendra les 18 et 19 octobre prochain à la maison de la chimie à Paris.

Vous pouvez toutes et tous venir  bien entendu !!!

Couillofraiche.JPGPour FRALIB, UNILEVER a embauché Mr LLOVERA Angel, gracement payé "coulliofraîche", pour fermer le site, voilà la vérité.

Nous en dirons plus dans quelques jours, et nous dévoilerons les vrais chiffres de l'usine de Le Meux. Nous expliquerons comment la direction du site, Mr LAINE Bruno (responsable des opérations du site qui coule et ancien responsable de la production ) et ses soldats (notamment petit soldat Mr PELLEGRINI - soi-disant responsable de production) qui trichent avec les chiffres comme par exemple avec l'OEE.

Pour l'instant, voici une vidéo, une vraie vidéo de FRALIB qui n'est pas le résultat d'une "magouille" par les grandes chaînes nationales comme TF1, FR2, etc...

Un clic sur le lienICI: les salariés de FRALIB au top !!!

 

Le thé ELEPHANT restera à GEMENOS

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Infos divers sociétés et fournisseurs

Trois syndicats minoritaires (FO, CFTC, CGC) ont signé un accord collectif qui entérine les réductions de coût du travail (gel des salaires, perte de jours de RTT, baisse des primes d'intéressement) exigées par la direction de Continental Automotive (sites Continental du Sud-Ouest (Foix, Boussens, Toulouse) en échange d'un engagement sur la pérennité des emplois pendant 5 ans. La CGT et la CFDT, qui représentent 57% des voix, pourraient faire jouer leur droit d'opposition afin de faire annuler l'accord.

Baisse des salaires : un référendum ne suffit  pas !

Il faut savoir qu'une réduction de salaire ne peut être imposée à un salarié par une entreprise, même si une majorité d'employés a approuvé cette mesure lors d'un référendum interne. Eh oui la porole reste aux salariés, car une entreprise qui souhaite modifier un des éléments essentiels du contrat du travail d'un salarié  (le salaire en fait bien entendu partie) doit d'abord obtenir l'accord de celui-ci. Le salarié est libre de refuser cette modification de son contrat de travail, même s'il peut alors s'exposer éventeullement à un licenciement. Autrement dit, le référendum n'a pas de valeur juridique. Sa portée est symbolique et vise à faire accepter par la communauté des salariés une telle mesure.
Lorsque le référendum approuve une modification des dispositions de certains accord collectifs (nombre de RTT, par exemple), ces modifications n'interviendront que si un nouvel accord collectif est négocié et signé entre des organisations syndicales représentatives et l'entreprise. C'est là tout l'objet de "l'affaire" Continental de Toulouse.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

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Publié le mercredi 13 octobre 2010 à 12H20

Tête-à-tête musclé hier entre 75 salariés refusant la fermeture et la direction.

Ambiance très tendue hier après-midi à l'usine Fralib de Gémenos. 75 salariés en colère ont brièvement retenu le directeur dans les locaux.
Ambiance très tendue hier après-midi à l'usine Fralib de Gémenos. 75 salariés en colère ont brièvement retenu le directeur dans les locaux.

Photo M.-C.B.

La tension est montée d'un cran, hier, dans l'usine de conditionnement de sachets de thé Fralib (Lipton et Éléphant), à Gémenos, où travaillent 182 personnes, et dont le groupe Unilever a annoncé la fermeture. Alors que les représentants syndicaux devaient discuter avec la direction de l'accord de méthode -qui fixe les modalités de discussions entre partenaires sociaux en vue d'un éventuel plan social-, l'ensemble des salariés présents sur le site à l'occasion d'une assemblée générale, s'est rendu dans la salle de réunion.

Le directeur Angel Llovera, et son responsable des ressources humaines Jean-Noël Cormier, se sont retrouvés face à 75 salariés en colère, et mitraillés de question. "Ils sont venus vous exprimer leur mépris. Cette usine, on va pas la fermer, toi, tu vas partir et nous on va rester", lançait Gérard Cazorla, le secrétaire CGT du comité d'entreprise, en préambule.

Une fermeture infondée ?

"Elle est où la raison économique ?", interrogeait encore un salarié, s'appuyant sur l'exemple de Nestlé, que le conseil de prud'hommes vient d'épingler en jugeant que la fermeture de l'usine de Saint-Menet n'était pas économiquement fondée. Pour les salariés de Fralib, qui viennent de lancer une expertise concernant le fonctionnement du groupe Unilever, le site de Gémenos est viable : "Actuellement, la demande de sachets "double chambre" (l'essentiel de la production de Gémenos, Ndlr) en Europe est de 3 milliards de sachet s!", affirmait à son tour Olivier Leberquier, délégué syndical CGT qui a déjà vécu, en 1998, la fermeture de l'usine du Havre. Le 28 septembre dernier, le groupe avait justifié la fermeture du site en indiquant que "Unilever a perdu 20% de ses parts de marché dans les trois zones (France, Pays Nordiques et Italie) où sont vendues 85% des productions de Fralib", mais aussi parce que l'usine "représente à elle seule 27% des coûts pour 5,1% des volumes de production européens."

Des mensonges aux yeux des salariés, pour qui le groupe a enlevé, au fil des ans, des productions au site de Gémenos, afin de les implanter à Bruxelles, fragilisant le site. "On nous dit que 90% de l'activité va être implantée à Bruxelles, et 10% à Katowice (Pologne, Ndlr) mais une fois qu'ils auront fait ça, ils enverront tout le monde en Pologne", estimait hier en assemblée générale Olivier Leberquier pour qui "on va imposer à Unilever de rester ici".

Après une demi-heure de discussion musclée, les salariés, hier après-midi, ont empêché le directeur Angel Llovera de quitter la salle. L'échange "viril" s'est poursuivi, après une bousculade, dans une ambiance très tendue, avant que cette "séance", plutôt houleuse, ne soit levée, à l'initiative des salariés, vers 16 heures.

Les Fralib, qui ont déjà vécu plusieurs plans sociaux, sont prêts à de nouvelles actions: lundi, ils devraient pour la première fois depuis le 28 septembre, observer une journée de grève, afin d'envoyer des délégations dans l'ensemble des usines du groupe Unilever en France.

Marie-Cécile BÉRENGER (mcberenger@laprovence-presse.fr )

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB
Les salariés de Fralib en colère

Publié le mardi 12 octobre 2010 à 17H37 (lien direct sur le site,ICI)

75 salariés de Fralib ont investi une salle de réunion où la direction devait rencontrer les représentants syndicaux cet après-midi dans le cadre des discussions qui font suite à l'annonce de la fermeture de l'usine de Gémenos où travaillent 182 personnes.
Pendant une heure, les salariés en colère, qui n'acceptent pas la fermeture décidée par le groupe Unilever, ont mitraillé de questions le directeur et son manager des ressources humaines, les empêchant même de sortir après une demi-heure de vive discussion. Après une bousculade, l'entretien, très vif, entre les parties, a repris. Les Fralib ont programmé des actions dans toutes les usines du groupe Unilever, la semaine prochaine, pour dénoncer une fermeture qu'ils jugent infondée.

Les élus Cgt du site d'UNILEVER France de Le Meux appel les salariés du site à venir les rencontrer le lundi 18 octobre devant l'usine lors d'un débrayge par soutien à leur lutte qui est de maintenir le site afin de préserver leur emploi. Prenez le temps de lire le tract, il y aura  notamment une prise de parole vers 13h, et une demande d'entretien avec la direction du site.

Le tract qui sera distribué demain matin par les élus CGT

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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