SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Comité de groupe France

Sur proposition du syndicat CGT Unilever France lors de la prératoire du Comité de groupe France des 29 et 30 septembre, les 5 organisations syndicales ont signés la motion suivante.  Vous  pouvez en prendre connaissance ci-dessous.

Les 5 organisations syndicales appel  donc l'ensemble des Comité d'Etablissement à soutenir cette démarche.

Un clic sur l'image

Unilever-doit-payer.JPG

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #AVENIR RETRAITES

« Financement des retraites : l’enjeu des cotisations patronales »

Bernard FRIOT, professeur d’économie et sociologie à l’université Paris X, écrivait : « On oublie toujours, quand on raisonne sur l’avenir des retraites, que le PIB progresse d’environ 1,6 % par an, en volume, et donc qu’il double, à monnaie constante, en 40 ans. C’est pourquoi nous avons pu multiplier par 4,5 les dépenses de pension depuis 1960 ».
Pourquoi une information aussi déterminante est-elle censurée ? Parce que tout simplement un petit calcul facile montrerait que ceux qui nous gouvernent nous prennent pour des demeurés.
En effet : si aujourd’hui 10 actifs produisent un gâteau de 100 et qu’ils ont à charge 4 fruit_018.gifretraités. C’est 14 personnes qui se partagent un gâteau de 100. Ainsi la part de chaque personne est de (100 : 14) soit 7,14. > Si dans quarante ans, 10 actifs produisent un gâteau de 200 et qu’ils ont à charge 8 retraités. Ce seront 18 personnes qui se partageront un gâteau de 200. Ainsi la part de chaque personne sera de (200 : 18) soit 11,1.

C’est limpide ! Il sera donc possible de financer des retraites au même niveau qu’avant leurs réformes à remonter le temps. De plus, la part de gâteau restante pour l’investissement et l’élévation du niveau de vie sera bien plus importante en 2040 (en monnaie constante).

Alors, où est donc le problème ?
Pourquoi cet acharnement à détruire un système qui fonctionne bien ? Parce que le système social français, mis en place par le Conseil national de la résistance (CNR) en 1945, met en rage les hommes d’affaires et les financiers pour des raisons évidentes.
Par exemple, il leur est impossible de réaliser des plus values « boursières » sur 40% de notre part salariale (les fameuses cotisations sociales patronales) qui payent notre retraite et notre santé, en toute dignité et responsabilité. N’oublions pas que ces cotisations sociales représentent notre salaire différé qui est le fruit de notre travail. Il ne s’agit ni d’assistanat ni de charité patronale comme le laisse entendre une mauvaise propagande.
Et c’est bien là que se situe tout l’enjeu de leurs réformes : les classes dirigeantes rêvent de faire main basse sur notre salaire différé. Pour s’emparer de cette « galette », leur stratégie consiste à réduire nos droits pour nous contraindre, de plus en plus, à financer notre santé et notre retraite par des assurances privées.
Ils ont d’ailleurs déjà commencé : les réductions de cotisations patronales se multiplient depuis 2002 et atteignent déjà près de 30 milliards chaque année. Combien de ces 30 milliards sont allés aux investissements productifs ? Combien d’emplois créés ? Quelle efficacité au regard des sommes englouties ? Quelle évaluation ? De plus, le fait que notre système fonctionne bien sans aller faire un tour sur les tapis verts des casinos boursiers met en évidence l’inutilité et le rôle prédateur des acteurs de la sphère financière.
Ceci est confirmé de façon magistrale dans le Monde Diplomatique de Février sous le titre : « Faut-il fermer la bourse ? »

Bonne réflexion

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

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A gauche le Pdg de FRALIB, le playmobil d'UNILEVER, LLOVERA Angel et sur la gauche le RRH Mr CORMIER Jean-Noel qui est son pote.

(Image de la vidéo - site FR3)

 

la provence logo

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Email de nos collègues :

Bonsoir à tous, 

De retour après  2 jours passés à Paris, nous avons pu commencer à nous organiser pour la riposte contre UNILEVER.

Vous trouverez ci-joint la motion que nous avons adoptée au Comité de Groupe UNILEVER France. Dès aujourd’hui, nous avons démarré la contre attaque en demandant la tenue d’un CE Extraordinaire qui se tiendra le  mardi 5 octobre.

Nous y adopterons la décision contenue dans la motion du Comité de Groupe France. 

Ce matin nous avons reçu  la visite du Maire d’AUBAGNE M.FONTAINE,  le Président de l’Agglomération du pays d’AUBAGNE M.BELVISO accompagné d’une délégation. Ils nous ont renouvelé leur soutien et nous avons échangé nos points de vu sur la situation, ils nous ont assuré que l’on pouvait compter sur eux pour la suite de notre lutte.

Déjà hier le Maire de la PENNE sur HUVEAUNE M.MINGAUD était venu nous apporter lui aussi son soutien. 

Ce soir c’est avec Pierre LAURENT Secrétaire National du PCF, Pierre DHARREVILLE Secrétaire du PCF des Bouches du Rhône, la Sénatrice PCF Isabelle PASQUET et le Député des Bouches du Rhône Michel VAXES que nous avons débattu de notre situation.

Eux aussi partagent notre sentiment d’injustice concernant l’annonce du projet de fermeture de notre site complètement injustifié.

Nous leurs avons bien expliqué la situation et notamment le scandale de l’évasion fiscal mise en place par UNILEVER depuis 2007.

Ils nous assurent de nous soutenir et de relayer notre lutte au niveau National aussi bien au niveau des actions que nous mèneront mais aussi sur le fond et la légitimité de notre combat.  

Nous tiendrons une assemblée Générale demain à 12H30 pour partager avec les salariés sur  la stratégie de la lutte à venir.

Ensuite nous participerons au rassemblement à AUBAGNE puis  à la manifestation à Marseille pour la défense de notre retraite plus que jamais d’actualité pour nous, ils veulent nous faires travailler jusqu’à 62ans  mais voudraient   supprimés nos emplois à 30, 40 voir 50 ans.

 

"Le thé de l’ELEPHANT vivra  à GEMENOS"

Tous les articles de presse, ICI

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Euromanifestatio à Bruxelle 

Succès partout en Europe

Jeudi 30 septembre 2010

Plus de 100 000 manifestants venus de toute l’Europe à l’appel de la Confédération Européenne des Syndicats (CES) ont investi Bruxelles le 29 septembre.

« Non à l’austérité, priorité à l’emploi et à la croissance » : ce mot d’ordre a été repris dans toutes les langues du continent européen exprimant ainsi une convergence inédite des syndicats et dans une mobilisation unitaire exceptionnelle des syndicats en Europe.

Des mobilisations ont également eu lieu dans de nombreux pays européens le 29 septembre : des centaines de milliers de manifestants en Espagne dans le cadre d’une grève générale lancée unitairement, des manifestations en Italie, au Portugal, en Lituanie, en Allemagne, en Lettonie, à Chypre, en Serbie, en Pologne, en Finlande et en Irlande.

Auparavant des manifestations s’étaient déroulées dans le cadre de l’appel de la CES à Bucarest et à Prague, réunissant respectivement 20 000 et 40 000 manifestants.

La CGT est d’autant plus satisfaite de ce succès que ses organisations et militants y ont apporté un engagement et un poids considérable. Avec plus de 9 000 manifestants CGT à Bruxelles, les objectifs que nous nous étions assignés ont été atteints. Le « cortège » de la CGT a été signalé comme le plus important des pays d’Europe, hors la Belgique. C’est enfin la plus forte participation de manifestants CGT à une euromanifestation à Bruxelles.

Une manifestation colorée, revendicative et fraternelle a réuni près de 3 000 salariés français et espagnols au Perthus.

Ailleurs, en France, d’autres rassemblements et manifestations se sont déroulées marquant là aussi un fort engagement de la CGT, notamment : 1 200 manifestants à Nantes, 2 500 à Lyon et 1 000 à Toulouse.

Cette mobilisation à l’échelle européenne, le rôle et la place qu’a pris la CGT sont un encouragement pour renforcer les euro-mobilisations en lien avec toutes celles, dans les entreprises et les différents pays, qui grandissent contre l’austérité, pour l’emploi, les salaires et la protection sociale.

Clairement les manifestants, venus de France à Bruxelles et en France, ont fait du 29 septembre une journée de mobilisation inscrite dans le processus d’élargissement du rapport de force dans la bataille des retraites avant les journées de 2 et 12 octobre.

On continue pour gagner.

Montreuil, le 30 septembre 2010

 

Lien vers la viédo de l'Euromanif

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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