SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
De l'argent, il y en a,  mais pas chez les pauvres et les retraités : CAC 40 : 94 milliards de résultats cumulés en 2017, soit 22% de plus que l'année précédente
Challenge's
Les groupes du CAC 40 ont vu leurs résultats bondir en 2017

Le résultat net cumulé des groupes membres de l'indice a atteint 94 milliards d'euros l'année dernière contre 77 milliards en 2016, soit un bond de 22%, observe la douzième édition du "Profil financier du CAC 40", qui porte sur l'année 2017.

Les groupes du CAC 40 ont affiché une croissance dynamique en 2017, avec un bond de leurs résultats, revenus à leurs niveaux d'avant crise, indique une étude des cabinets de conseil EY et Ricol Lasteyrie publiée dimanche 24 juin soir. "Le CAC 40 a signé un millésime de très bonne facture, sorti des années de crise, il est à présent dans une dynamique extrêmement positive", a commenté auprès de l'AFP, Marc Lefèvre, associé chez EY.

Le résultat net cumulé des groupes membres de l'indice a atteint 94 milliards d'euros l'année dernière contre 77 milliards en 2016, soit un bond de 22%, observe la douzième édition du "Profil financier du CAC 40", qui porte sur l'année 2017. Cette hausse, qui confirme la tendance de l'an passé, a été notamment tirée par "la progression des résultats de Sanofi, Safran, ArcelorMittal, LVMHAirbus et Engie", précise l'étude.

"Nous voyions déjà en 2016 que beaucoup de paramètres s'amélioraient, ce qui manquait, c'était la croissance, qui a justement atteint un très bon niveau en 2017", a ajouté M. Lefèvre. Le chiffre d'affaires global des sociétés composant l'indice parisien a augmenté de 5% en 2017, s'élevant à 1.306 milliards d'euros. Cette progression est "principalement tirée par la croissance organique".

Quant à eux

les patrons du CAC 40 ont gagné en moyenne 5,07 millions d'euros en 2017

Ces dirigeants d'entreprises ont gagné en moyenne 5,07 millions d'euros l'an dernier, contre 4,5 millions l'année précédente.

Parmi les patrons les mieux payés, on retrouve Douglas Pferdehirt, PDG de Technip FMC (10,57 millions d'euros) et par Olivier Brandicourt à la tête de Sanofi (9,75 M), quand Stéphane Richard, PDG d'Orange n'a perçu "que" 1,75 million d'euros l'année dernière.

"Où voulez-vous qu'on prenne l'argent pour les salaires, les retraites, les allocations sociales ? demandent Macron, Philippe et leurs ministres...

Réponse : là où il est !

PAR http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Ils peuvent raconter ce qu'ils veulent pour masquer leurs objectifs et leurs pratiques : Dans le cadre de l'Union européenne vouée à la concurrence c'est la recherche du profit maximum et des minis salaires qui est la boussole des entrepreneurs et des politiques à leur service!

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SOURCE : Centre Presse

Fenwick fait appel à des travailleurs détachés tchèques
A Cenon, l'usine Fenwick accueille trois travailleurs tchèques. Selon la CGT, 22 autres vont arriver. Uniquement en ultime recours, répond la direction.
L'usine Fenwick de Cenon emploie 600 personnes plus 150 intérimaires actuellement.
L'usine Fenwick de Cenon emploie 600 personnes plus 150 intérimaires actuellement.
anthony floch

 

Dans un communiqué adressé hier, le syndicat CGT du fabricant de chariots élévateurs Fenwick-Linde, à Cenon-sur-Vienne (600 salariés), affirme que la direction a annoncé le 21 juin, en comité d'entreprise, « l'intégration de 25 salariés du groupe Kion en provenance de la ville de Stribro, en République Tchèque - où est implantée une autre usine du groupe - afin de renforcer le besoin en main-d'oeuvre sur la partie soudure et montage ».

Trois ont pris leur poste cette semaine. 22 autres doivent être intégrés avant la fin de l'année, affirme le syndicat sur la base d'un document transmis au CE par la direction.

"Une mesure
additionnelle
parmi d'autres"

Ce document (que nous avons pu consulter) mentionne le recrutement de « cinq monteurs de Stribro » aujourd'hui, et de « dix soudeurs et dix monteurs de septembre à mars 2019, à définir en fonction des recrutements intérim réalisés ». 
Ce qui inspire à la CGT cette remarque: « Il est inadmissible » que l'entreprise - « qui emploie plus d'une centaine d'intérimaires depuis plusieurs années et prévoit d'en augmenter le nombre jusqu'à la fin de l'année » - ne « favorise pas l'emploi local ». 
Contacté, le directeur du site Fenwick-Linde de Cenon, Pierre Paineau, dément le chiffre avancé par la CGT: « Nous accueillons non pas 25, mais trois salariés de Stribro, pour un parcours d'intégration en vue d'une éventuelle intégration sur la ligne de montage. » 
Le dirigeant l'explique ainsi. Depuis fin 2017, l'entreprise de Cenon a dû faire face - à cause d'un « problème avec un fournisseur » - à des « difficultés d'approvisionnement » qui ont eu pour effet de « limiter la capacité de production de l'usine ». Cette difficulté est« en passe d'être réglée » et Fenwick a engagé un « plan de rattrapage ». « Notre ambition est de rattraper sur le second semestre une grande partie de ce retard. » 
« Pour atteindre cet objectif, ajoute Pierre Paineau, il nous faut mobiliser un maximum de ressources. Les premières mesures consistent à mettre en place une équipe de nuit (depuis début juin) et à solliciter notre agence de travail temporaire partenaire. La venue des trois travailleurs détachés est, elle, une mesure additionnelle parmi d'autres. » 
Le directeur du site rappelle que « l'entreprise a recruté en CDI 60 opérateurs depuis trois ans ». 
Il ne nie pas l'existence du document cité par la CGT, mais assure l'avoir pondéré « à l'oral » lors du CE: « Nos besoins, sur la partie montage-soudure, sont bien de 25 personnes. Mais j'ai expliqué lors de la réunion qu'on allait privilégier au maximum le recrutement de gens issus du bassin d'emploi, du département, voire d'autres régions de France... Dans l'absolu, si cette solution ne fonctionnait pas et si le groupe Kion me présentait des possibilités de faire venir des travailleurs issus d'autres usines du groupe, alors j'activerais cette dernière option. »

 

Anthony Floc'h

PAR FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
+ O,7% pour les allocations chômage: du pognon de dingue toujours pour les riches et le patronat

0,7% d'augmentation d'allocation chômage, ce n'est pas avec cette miette que les sans-emploi achèteront de la vaisselle à la manufacture de Sèvres, où se paieront une piscine gonflable même dans un discount. De toute façon, seulement 42,8% des demandeurs d'emploi sont indemnisés. Et parmi ceux qui le sont, 37% des chômeurs, soit 3 millions de personnes survivent en dessous du seuil de pauvreté.

Et le gouvernement de droite et de droite n'envisage aucune loi sociale de progrès pour le peuple de France. Il est conforté en cela par les forces de l'argent et le patronat.

Communiqué de la CGT: Malgré l’unité des organisations syndicales, le patronat bloque une vraie augmentation

Le conseil d’administration de l’Unedic du 29 juin 2018 a abordé, comme chaque année, la revalorisation des allocations chômage.
La CGT a rappelé que seuls 42,8% des demandeurs d’emploi sont indemnisés. Cela nécessite de revoir complètement les règles d’indemnisation et d’instaurer enfin une sécurité sociale professionnelle, pour assurer un revenu de remplacement pour toutes et tous.
Notre délégation a également rappelé que la très grande majorité des demandeurs d’emploi indemnisés le sont à un niveau d’indemnisation faible. Ainsi, 37,6% des chômeurs, soit 3 millions de personnes, se situent en dessous du seuil de pauvreté.
De plus, nous continuons de dénoncer l’augmentation de la précarité, encore démontrée par les chiffres du chômage de mai, fruit de la politique de flexibilisation de l’emploi voulue par les différents gouvernements et le patronat.
Dans un contexte de remise en cause des droits des salariés privés d’emploi par la loi cyniquement appelée « liberté de choisir son avenir professionnel » et d’annonces de remise en cause des minima sociaux par le gouvernement, la CGT a demandé d’augmenter toutes les allocations de 4 euros par jour, ce qui correspond à un (petit) repas moyen.
Après une interruption de séance et une nouvelle demande unitaire minimale des organisations syndicales d’une augmentation à 1%, le patronat, parti de 0,3%, est resté bloqué à 0,7%. Cela ne correspond qu’à un trimestre d’augmentation des prix !
Les organisations syndicales se sont abstenues pour ne pas risquer de rester à 0% de revalorisation.
La CGT salue les demandeurs d’emploi et travailleurs précaires qui se sont mobilisés et dénonce l’attitude du patronat, emmené par le Medef, qui continue de baisser en euros constants les allocations, comme il empêche l’augmentation nécessaire des salaires !

PAR le-blog-de-roger-colombier.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Généralisons vite l'opération

par exemple :

abaissons la durée du travail

Un peu de logique. si passage de  90 à 80 => moins de tués sur les routes

Si le gouvernement attend une diminution du nombre de morts en abaissant la vitesse  de 11,1 % , pourquoi ne pas faire de même pour diminuer le nombre de morts au travail ?

En reprenant les même barèmes que ceux décrétés par sa suffisance Touthenmakron 1er, ce taux de 11.1 % appliqués à la durée du travail conduit à la semaine de 31 heures et le nombre des tués au travail, hors accidents de trajet et maladies professionnelle, à organisation du travail équivalente. passerait d'après les chiffres officiels de 550 à 488 par an.

Certes à vaincre sans péril on triomphe sans gloire mais le triomphe sera au rendez-vous.

Poussons plus loin : selon "La Tribune", qui n'est pas la Nouvelle Vie Ouvrière mais un des organes patronaux porteurs de la Medeflangue,  il y a eu en France  626.227 accidents de travail par an (dont 53 % lié à de la manutention).

Cette diminution de 11.1 % du temps de travail  à organisation constante de celui-ci, supprimerait mécaniquement  70 200 accidents de travail soit 280 par jours ouvrés.

En voilà une avancée sociale plus efficaces. Et là, pas besoins de remplacer des panneaux 35h par des panneaux 31h devant chaque entreprise.

A ce demander si ce pauvre Doudou Philippe, pour ne pas y avoir pensé tout seul, n'est pas bousculé par son contrecoup qui depuis la grille du Coq lui inflige des cadences infernales qui pourraient le conduire à un burnout ? Surmenage professionel que les députés de sa majorité ont refusé de reconnaître comme pathologie et risque d'accident lié au travail.

Mais passer de 35 à 31h pour économiser des vies, des drames et améliorer les comptes de la protection sociale, déjà une belle performance que la CGT à coup sûr sera prête à soutenir.

Aller Doudou, encore un effort ! 

Rédigé par Canaille Lerouge

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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