SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
GILETS JAUNES : des VIOLENCES POLICIÈRES jamais vues – Un entretien avec le journaliste indépendant David DUFRESNE

Le journaliste indépendant David Dufresne recense les violences policières depuis le début du mouvement des gilets jaunes. Invité d'Aude Lancelin dans l'Entretien Libre, il revient sur l'intensité inédite de la répression policière subie par les gilets jaunes.

 

LE MAINTIEN DE L’ORDRE AU REGARD DES RÈGLES DE DÉONTOLOGIE

Lire le rapport en lien ici 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Ils auront beau revendiquer l'indépendance de la justice la réalité dément et une large partie de l'opinion n'y croit pas !
Indépendamment de ce que l'on peut penser sur les faits on ne peut nier une chose :
Une foule de faits se sont produits samedi dernier qui comprennent des violences policières comme celles d'un commandant à Toulon, ou celles dont a été victime le documentariste Florent Marcie qui a failli perdre son œil suite à un tir de flashball dans la tête, pratique qui a tendance à se répandre.
 
Pratique dont on attend une ferme condamnation ainsi que de ceux qui s'y livrent avec des mutilations considérables.
 
Mais les médias publics et privés chaînes d'information en continu comme BFM en tête en ont choisi UN et UN SEUL  : celui qui s'est déroulé sur le pont qui relie les Tuileries au musée d'Orsay.
 
En faisant tourner en boucle, à satiété la même image !
 
En taisant ou en minimisant tous les autres.
 
Il s'agit donc d'un choix politique visant à préparer une mesure judiciaire destinée à faire un exemple et qui entre en phase avec la volonté du pouvoir de salir le mouvement qui conteste sa politique.
 
En conditionnant à la fois l'opinion et l'appareil judiciaire.
 
L'oligarchie après un temps de flottement déploie sans nuances tout son appareil répressif d'état et son appareil médiatique pour contrer la montée du mouvement populaire contestant sa politique sociale, ses contre-réformes et ses institutions monarchiques.
 
Publié par FSC

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Une cagnotte « pour que Schiappa la ferme » dépasse les 1000 euros

La ministre avait déclaré qu'elle voulait les noms des soutiens à la Cagnotte de Dettinger. En retour de flamme, une cagnotte intitulée « pour que Schiappa la ferme » a été lancée, rencontrant rapidement un franc succès.

Retour de flamme

Les cagnottes Leetchi sont rapidement devenu un enjeux national. Alors que l’offensive médiatique battait son plein pour criminaliser le Boxeur Christophe Dettinger qui s’était défendu face aux forces de l’ordre durant l’acte VIII des gilets Jaunes, une cagnotte en soutien à celui qui était devenu un héros national a recueilli en moins de 48 heures plus de 120 000 euros. Sous pression de l’État, la plateforme n’a alors pas hésité à clôturer la cagnotte, et de nombreuses personnalités proches du pouvoir s’étaient vigoureusement indignées contre cet affront à « l’ordre républicain ». Marlène Schiappa de son côté, a été jusqu’à demander à ce que les soutiens à Dettinger soient identifiés.

Face à ses déclarations, de nombreuses personnes n’ont pas hésiter à contribuer à une nouvelle cagnotte « pour que Schiappa la ferme », n’ayant visiblement pas peur d’être « identifiés » par la ministre et les services de police, malgré la répression qui bat son plein. En quelques heures, ce sont plus de 1100 euros qui ont été collectés, les dons dépassant pourtant rarement les euros à l’unité.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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La scène théâtrale qui s'est déroulée sur le plateau de CNEWS vaut le détour. Alors que le philosophe Vincent Cespede ose dire « comprendre la violence » des Gilets Jaunes, on assiste alors à une succession de crises de la part des autres intervenants.

Panique à CNEWS après qu’un invité ait dit « comprendre la violence des GJ »

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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SOURCE : L'ALSACE

WITTENHEIM : La CGT bloque l’entrepôt logistique de Décathlon pour l'augmentation des salaires !
Suite à l’échec de la NAO (négociation annuelle obligatoire), ce mardi, une quinzaine de personnes de la CGT ont bloqué, ce mercredi entre 5 h 30 et 8 h 30, le dépôt logistique de Décathlon, situé rue du Périgord à Wittenheim.
 
Parmi les revendications du syndicat auxquelles la « direction n’a pas répondu » : une hausse de 4 % des salaires pour tous les salariés et une prime exceptionnelle de 1000 €. « C’est une grève d’avertissement. Nous n’excluons pas de reconduire une nouvelle action si la direction continue de rester sourde à nos demandes », indiquait Eric Kanon, délégué CGT. La plate-forme bloquée est celle d’où partent notamment les livraisons à destination de l’Est de l’Europe. Une quinzaine de personnes ont formé le piquet de grève.

Cette action n'a pas eu d'incidence sur le magasin Décathlon, situé un peu plus loin.

Publié par FSC

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Appel commun et convergences qui prennent forme comme dans la région Centre SANS la CFDT plus préoccupée d'aller voir les députés macronistes que d'appuyer les revendications populaires.

DOUBS : CONVERGENCE Gilets jaunes syndicats pour la défense de la liberté de manifester !
DOUBS : CONVERGENCE Gilets jaunes syndicats pour la défense de la liberté de manifester !

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Adhérer à la CGT

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“Un policier m’a donné des coups de matraque et des coups de pied. M. Dettinger m’a sauvé la vie”

Gwénaëlle se trouvait sur le pont Léopold Senghor samedi, quand les forces de police ont bloqué l’avancée des manifestants. Elle livre un témoignage accablant, racontant les violences d’un policier à son encontre, avant que Christophe Dettinger ne vienne lui porter secours.

Le témoignage accablant de Gwénaëlle

“Sur les vidéos on me voit en boule rouge par terre au sol sur le pont, pendant les manifs. Je marchais en famille, je me suis retrouvée par terre au sol. Un policier m’a donné des coups de matraque et des coups de pied. Un autre a essayé de l’arrêter en disant “arrête de la taper, arrête de la taper”, puisque je n’avais rien fait, je ne faisais que marcher. Le policier n’arrivait pas à arrêter son collègue qui était déchaîné, et monsieur Dettinger est arrivé, a pris le policier et l’a enlevé de moi, des coups que je recevais. Donc il m’a sauvée, parce que sinon j’y passais à cause de mes problèmes aux poumons. Il m’a sauvé la vie”.

Interview réalisée par Radio Tongossa :

Sur un autre témoignage, elle précise : “j’ai reçu des coups de matraque dans la bouche, dans les dents, des coups de pieds dans les côtes. Et comme j’ai un problème pulmonaire, si j’avais reçu trop de coups trop longtemps, j’y passais.”

La vidéo sur laquelle on peut apercevoir Gwénaëlle, au sol :

Cet après-midi, Gwenaëlle a fait une déposition en faveur de Christophe Dettinger au commissariat du 12e arrondissement de Paris, accompagnée de son avocat Maître Philippe de Veulle. S’en suivront une saisie du procureur de la République de Paris et de l’IGPN, pour une enquête au sein de la police.

Pour nous transmettre vos témoignages concernant la répression des Gilets Jaunes, ou pour nous faire part des mobilisations ayant lieu dans votre région, nous transmettre récits, photos et vidéos, écrivez-nous par mail à siterevolutionpermanente@gmail.com.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Lorsqu'elle a peur, qu'elle doit reculer et que son hégémonie commence à être contestée alors la bourgeoisie abandonne souvent sa posture éthique et sa délicatesse.
 
illustration, les déclarations de l'ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry qui ne se contrôle plus.
 
Qu'on en juge,

Luc Ferry sur Radio classique le 7 janvier 2019, au micro de Guillaume Durand .
Dans la classe dirigeante l'esprit versaillais plane toujours
POUR INFORMATION :
 
La Commune de Paris et la répression de la semaine sanglante :
 

EXTRAITS de l'Encyclopédie Wikipedia
ARTICLE : 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(1871)#%C2%AB_Communards_%C2%BB_contre_%C2%AB_Versaillais_%C2%BB

Dans la classe dirigeante l'esprit versaillais plane toujours

Une grande partie de l'action de la Commune fut absorbée dans la lutte contre l'offensive menée par les troupes régulières obéissant au gouvernement du pays dirigé par Thiers et dénommées les « Versaillais » par les insurgés.

Comme le montre sa correspondance télégraphique avec Jules Favre, qui négocie la paix avec les Allemands, Thiers bénéficie de l'appui du chancelier allemand Bismarck : on notera que la guerre avec l'Allemagne à peine terminée les classes dirigeantes allemandes et françaises ne perdent pas de vue leurs intérêts commun contre les travailleurs  !

...
Les Versaillais seront 130 000 au début de la Semaine sanglante. Ces soldats de métier (la durée du service est de 7 ans) sont surtout issus de milieux paysans

...
La Commune est finalement vaincue durant la Semaine sanglante qui débute avec l'entrée des troupes versaillaises dans Paris le 21 mai pour s'achever par les derniers combats au cimetière du Père-Lachaise le 28 mai. Elle avait duré 72 jours.


La répression contre les communards est impitoyable : tous les témoins mentionnent les nombreuses exécutions sommaires commises par les troupes versaillaises, frappant — par exemple — ceux dont les mains portent ou semblent porter des traces de poudre révélant l'emploi récent d'armes à feu. Les trois principaux charniers à l'intérieur de Paris étaient au Luxembourg (3 charniers), à la caserne Lobau et au cimetière du Père-Lachaise.

Cette répression se soldant par des dizaines de milliers de fusillés, des déportations dont celle de Louise Michel.

Publié par FSC

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A propos du smic, 

 

toujours gelé

De la relativité des choses

Celle qui place Beauvau fut la rédactrice des discours de Sarkozy , devenue vice présidente de droite de la région Ile de France après avoir navigué au coneil général des Haut de seine , ayant annoncé son retrait de la vie politiqu en 2017, Chantal Jouanno, vient d'être nommée, volontaire désintéressée, présidente de la "commission nationale du débat public". 

Désintéressée, mais quand même défrayée. Et cla à hauteur de 176 000€ par ans soit   14 666€ par mois.

La dame va donc être payé 12 SMIC mensuels pour expliquer à ceux qui ont du mal à pouvoir en gagner un de devoir cesser avec cette revendication indécente d'augmentation des salaires et des pensions laquelle traduit cet insuportable égoisme de classe qui transpire parmi les gueux.

Certain se pose la queston de savoir si le gouvernement ne se moque pas du monde. A voir les renforts qui affluent de toutes les droites pour écoper ce navire qui prends l'eau de toutes parts, ce n'est pas que le gouvernement. 

Etape suivante la présidente va-telle choisir quelqu'un de la CFDT ou de FO pour être co-raporteur avec un cacique du MEDEF ou de la FNSEA ? 

...à suivre

Rédigé par Canaille le Rouge

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Sous pression du gouvernement, Leetchi ferme la cagnotte de soutien à Christophe Dettinger

Une cagnotte qui met à mal le discours « anti-casseurs » de l’exécutif, arguant que la majorité de la population condamnerait les violences des manifestants. Pourtant, le boxeur qui s’est défendu face à la violence de la police fait l’objet d’une solidarité impressionnante. Une épine dans le pied du gouvernement, qui a poussé la plateforme à clôturer la cagnotte.

Délit de solidarité ?

Crédits photo : Gonzalo Fuentes / REUTERS

Les portes-paroles du gouvernement ont accordé leurs violons, pour dénoncer en chœur les violences commises par les Gilets Jaunes, en y opposant la violence légitime des forces de répression et du maintien de l’ordre républicain.

« Dans bien des villes de France, les manifestations se sont passées pacifiquement, mais nous ne pouvons pas accepter que certains profitent de ces manifestations pour déborder, pour casser, pour brûler. Ceux-là n’auront jamais le dernier mot dans notre pays » déclarait Édouard Philippe sur TF1 ce lundi soir, reprenant à son compte l’habituel discours sur la minorité de casseurs à laquelle même les gilets jaunes seraient opposés.

Pourtant, dans le même temps, le succès rencontré par la cagnotte en soutien à l’ex-champion de boxe Christophe Dettinger le faisait mentir. En effet, ce dernier ne s’était pas laissé faire face à la répression, et il a été placé en garde à vue après qu’une vidéo le montrant en train de cogner sur un CRS a fait le tour des réseaux sociaux.

Pourtant, cette scène, loin de lui attirer les foudres des Gilets Jaunes, a au contraire suscité un énorme élan de sympathie qui s’est matérialisé dans le succès immense de la cagnotte de soutien au sportif lancée sur la plateforme Leetchi.

« Merci Christophe, je n’ai plus l’age de faire ce que tu as fait, mais je peux par contre t’aider à te sortir de là. Il en faudrait des centaines comme toi, je suis contre mais vraiment la violence mais c’est la seule façon de se faire entendre » peut-on par exemple lire parmi les milliers de commentaires de donateurs solidaires.

Un élan de solidarité qui met à mal le discours du gouvernement qui cherche à minoriser les auteurs de violences, qui ne font pourtant que se défendre et répondre à une autre violence, la violence institutionnelle des forces de répression, qui ont blessé et mutilé des centaines de manifestants depuis le début du mouvement. Une solidarité qui s’est également exprimé dans d’autres cagnottes en ligne en soutien aux victimes de violences policières, ou aux prises avec la justice, pour payer les frais d’hospitalisation ou d’avocats.

Et alors que la cagnotte avait franchi la barre des 110 000 € ce mardi, le gouvernement n’a pas tardé à condamner cette démonstration de solidarité.

« C’est une honte. Je ne comprends pas pourquoi elle n’est pas condamnée plus unanimement par l’ensemble de la classe politique déclarait Marlène Schiappa sur LCI. On frappe ces policiers et il y a des gens qui trouvent cela courageux presque héroïque pour aller jusqu’à financer un homme qui a commis des violences graves et illégales. Je suis scandalisée. Je trouve cela choquant »

Une interpellation qui n’est pas restée lettre morte puisque la plateforme Leechti, qui dépend du Crédit Mutuel, a décidé de clôturer la cagnotte, empêchant le montant de dépasser les quelque 120 000 € atteint en 24 heures. Une clôture qui s’est faite sous les pressions et menaces du gouvernement, autant que sur décision de la Maison mère, le Crédit Mutuel.

Un durcissement de ton que la plateforme assume dans un communiqué, déclarant que « Leetchi s’engage à ce que les fonds collectés sur la cagnotte de soutien à Christophe Dettinger servent uniquement à financer les frais de justice conformément à nos CGU et à la législation en vigueur » et affirmant que l’argent collecté ne serait reversé « que sur présentation de justificatifs ».

Une opacité quant à la gestion de l’argent collecté pour le boxeur qui ne laisse pas les Gilets Jaunes impassibles. Cet aveu de faiblesse du gouvernement et la fermeture de cette cagnotte ne font qu’amplifier la colère.

Cette solidarité financière démontre qu’avec un mouvement plus structuré, il serait possible d’organiser des caisses de solidarité non seulement pour faire face à la répression, mais aussi pour soutenir un mouvement de grève sur les lieux de travail, de manière à étendre le mouvement au monde du travail, pour amplifier le rapport de force contre Macron et son gouvernement

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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