SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Rien... ou presque rien dans les médias système ce mardi 4 février.

Dans les chaînes en continu type BFM ou LCI qui en temps " normal" quand les casseurs se livrent à leur sport préféré de violences urbaines et que pendant des heures ils font tourner les images de bris de vitrines et de voitures incendieés, hier, RIEN, NADA.

Ou quelques secondes fugaces comme d'ailleurs La 2, chaîne publique qui dans son 20 heures commet l'exploit de reléguer en sixième ou septième position sa très fugace allusion à la manifestation parisienne, sans l'ombre d'un interview de manifestant ou compte-rendu des motivations profondes de la journée.

Les informations dites nationales se concluant par de longues minutes consacrées ... aux geysers islandais.

Hiérarchie de classe de l'information dans les comités de rédaction à l'abri des regards, sous contrôle des propriétaires multi-milliardaires et de l'appareil d'état à leur service !

Une leçon de tout ça : la complicité des médias système avec les exploiteurs, avec les riches toujours plus riches dans la crise actuelle et leur crainte du rassemblement des travailleurs et de la jeunesse dans la lutte pour l'emploi et contre la précarité.

POUR une alternative à leur politique de classe au service des privilégiés!

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La France derrière les grilles de l'Europe

La France derrière les grilles de l'Europe

La France s'effondre. 

Certes, il y a la pandémie, mais par les vaccins, elle sera guérie

La nation est vendue aux plus offrants, ses services publics ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes. Et la misère se répand comme une trainée de poudre.

Tel est le bilan de décennies d'une France vassalisée par le traité de Maastricht, enchaînée à Bruxelles par la finance européenne, notre industrie détruite au profit de l'Allemagne, notre pays promis au tourisme - et "bronze-cul" de l'Europe - politique dont on mesure aujourd'hui les désastreux effets : 

la santé, comme l'éducation, le logement, les transports comme la culture sont soumis aux lois de l'argent, l'industrie larguée à l'étranger, le chômage dévastateur réduit les salariés à néant. Et pour des centaines et des centaines de milliers, pas de logement décent. Dix millions de pauvres attendent l'assistance, et combien d'entre eux font la queue à la soupe populaire.  Comme les étudiants, qui sont sans enseignement et pensent au suicide comme les paysans. Le petit commerce bouffé par Amazone montre ses rideaux fermés dans les rues de nos villes. Jusqu'aux juges et greffiers à de ne savoir pas où consulter leurs dossiers ! 

Que de monde en colère pestant, chacun pour soi, contre sa condition et contre ceux qui en sont responsables. 

Chacun pour soi ? Est-ce bien raisonnable ? 

N'est-ce pas de s'unir dont il est question ?

Les petits ruisseaux font les grandes rivières. 

Mais des esprits chagrins font la fine bouche : "Moi, ouvrier, à côté d'un juge et d'un cafetier...?  Seule la révolution prolétaire peut tout chambouler ! Marx l'a écrit, Lénine l'a proclamé...".

Mais ils ont dit aussi que le capital deviendrait financier et mondialisé. Et que dans cet état là, une crise immense éclaterait, mettant en péril de mort le monde entier. 

Nous y sommes en vérité.

Et il n'est plus temps de faire le dégoûté. L'union la plus large est nécessaire. Et, face aux banquiers, combien de prolétaires nous ont laissé les usines en désert ? 

Et pendant ce temps-là, on  entend certaines voix qui pensent aux élections, aux ententes discrètes pour changer de patron et de Macron, à un Front populaire avec des gens qui n'ont rien changé, ni dit, ni fait étant aux affaires si ce n'est la politique de nos adversaires.

C'est donc la population dans presque son entier qu'il faut mobiliser.

Qu'elle devienne gilet jaune, aujourd'hui et demain dans une fronde commune, y compris dans l'urne pour voter la rupture avec le présent, pour construire ensemble une France indépendante, un peuple souverain, une République laïque et sociale.
 

Jean LEVY

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Conférence à l’Ecole polytechnique de Bernard Arnault « LVMH, la construction d’un leader mondial Français » – Crédit : Jérémy Barande

Conférence à l’Ecole polytechnique de Bernard Arnault « LVMH, la construction d’un leader mondial Français » – Crédit : Jérémy Barande

Les 10 hommes les plus riches
ont augmenté leur fortune
de 540 milliards de dollars depuis mars 2020

 

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COMMENTAIRE DE JEAN LEVY

 

Ces statistiques dont nous faisons état sont intéressantes : elles démontrent que l'argent, il y en a en France, mais il est détenu par les grandes fortunes de la finance et de l'industrie. Celles-ci ont été acquises en s'accaparant la force de travail du monde du travail et par la spéculation . C'est de l'argent volé ! 

Or, ces mêmes détenteurs de centaines de milliards sont, directement ou indirectement aux manettes du pouvoir politique, économique et médiatique. 

Ce sont eux, disposant du monopole de l'information,  qui formatent quotidiennement l'opinion.

Ce sont eux qui ont mis à leur service les forces du maintien de l'ordre

Ce sont eux qui ont mis en place un système politique qui élimine le peuple du champ des décisions.

Comment attendre de ces milliardaires qu'ils se fassent hara-kiri, ou même qu'ils reversent au peuple un peu des milliards qu'ils lui ont volés ?

C'est donc le système qu'il faut changer !

Jean LEVY

Alors que s’ouvre le Davos Agenda, une semaine de dialogues organisée par le Forum économique mondial, Oxfam a publié un nouveau rapport intitulé « Le virus des inégalités ». L’ONG, qui s’est donné pour mission de trouver des solutions durables mettant fin aux injustices responsables de la pauvreté, révèle que la pandémie a engendré un accroissement amoral des inégalités économiques. Cette tendance touche simultanément la quasi-totalité des pays du monde, une situation sans précédent depuis plus d’un siècle.

La pandémie ayant entraîné la crise de l’emploi la plus grave depuis plus de 90 ans, des centaines de millions de personnes se trouvent désormais au chômage ou contraintes d’occuper des emplois précaires.

Selon Oxfam, plus de dix ans seront nécessaires aux personnes les plus pauvres pour se relever des impacts économiques de cette crise.

Parmi elles, puisqu’elles sont surreprésentées dans les professions précaires et peu rémunérées, les femmes sont les plus durement touchées.

« Cette crise arrive dans un monde déjà profondément inégal où une minorité de personnes, en majorité de très riches hommes blancs, accaparent l’essentiel des richesses mondiales », constate Quentin Parrinello, porte-parole d’Oxfam France.

Il a fallu à peine 9 mois aux 1000 personnes les plus riches du monde pour retrouver leur niveau de richesse d’avant la pandémie. Le rapport précise qu’à titre de comparaison, « suite à la crise financière de 2008, il avait fallu cinq ans pour que la richesse des milliardaires retrouve son niveau d’avant la crise. »

Non seulement la récession est déjà terminée pour eux, mais les dix hommes les plus riches ont vu leur fortune augmenter de 540 milliards de dollars depuis mars 2020. Une somme colossale, qui serait amplement suffisante pour financer le vaccin contre le virus pour toutes et tous.

 

France : de l'argent, il y en a, les milliardaires ont dépassé leur niveau de richesse d’avant la crise

À l’échelle mondiale, les milliardaires ont vu leur fortune augmenter de 3 900 milliards de dollars entre le 18 mars et le 31 décembre 2020. Tout simplement effarant. Leurs fortunes cumulées s’élèvent désormais à 11 950 milliards de dollars, ce qui équivaut aux montants dépensés par les gouvernements du G20 pour faire face à la pandémie. Les 10 milliardaires les plus riches ont quant à eux vu leur fortune augmenter de 540 milliards de dollars au cours de cette période – source : rapport d’Oxfam

En France, les milliardaires ont dépassé leur niveau de richesse d’avant la crise en gagnant près de 175 milliards d’euros entre mars et décembre 2020. Une somme équivalente à deux fois le budget de l’hôpital public français.

À titre d’exemple, la fortune de Bernard Arnault a augmenté de 44 milliards d’euros, soit un bond de 41 %. Il détient le titre du troisième homme le plus riche du monde selon le classement 2020 du magazine Forbes.

« L’explosion des inégalités n’est pas une fatalité et la responsabilité des gouvernements est au cœur du problème », rappelle Q. Parrinello.  « Depuis des années, ils ignorent le problème et pire, ils aggravent ce fléau »

« La pandémie de COVID-19 a été comparée à une radiographie qui révélerait des fractures dans le fragile squelette des sociétés que nous avons construites. Elle fait ressortir les aberrations et les contre-vérités que l’on entend partout : le mensonge selon lequel le libre-échange peut permettre de fournir des soins de santé à toutes et à tous, la fiction selon laquelle le travail non rémunéré qui consiste à apporter des soins à autrui n’est pas un travail, l’illusion de croire que nous vivons dans un monde post-raciste, le mythe selon lequel nous sommes tous dans le même bateau. Car si nous naviguons tous dans les mêmes eaux, il est clair que certains sont dans des méga-yachts tandis que d’autres s’accrochent aux débris qui dérivent. » analyse Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations Unies

Pour Oxfam, la lutte contre les inégalités doit être au cœur des plans de relance et des économies post-Covid. L’ONG urge ainsi le gouvernement à réorienter sa politique en faveur d’une réduction des inégalités, à travers les mesures suivantes :

– Investir massivement dans les services publics pour assurer les besoins de base

– Revaloriser les minimas sociaux et les bas salaires, à commencer dans le secteur du soin

– Faire en sorte que les plus riches et les grandes entreprises payent leur juste part d’impôts

– Mettre en place des contreparties sociales et écologiques contraignantes pour les grandes entreprises

« Notre modèle économique permet à une élite d’amasser des richesses considérables pendant la récession la plus dramatique que nous ayons connue depuis la Grande Dépression, alors que des milliards de personnes, et notamment celles en première ligne de cette crise – peinent à payer leurs factures et à se nourrir », résume Q. Parrinello.

« Les gouvernements du monde entier ne doivent pas laisser passer cette opportunité de mettre en place un système économique plus juste et durable ».

 

 
 
Ça n'empêche pas Nicolas                             Ça n'empêche pas Nicolas
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

COMMENTAIRE DE JEAN LEVY

 

Ces statistiques sont intéressantes : elles démontrent que l'argent, il y en a en France, mais il est détenu par les grandes fortunes de la finance et de l'industrie. Celles-ci ont été acquises en s'accaparant la force de travail du monde du travail et par la spéculation . C'est de l'argent volé ! 

Or, ces mêmes détenteurs de centaines de milliards sont, directement ou indirectement aux manettes du pouvoir politique, économique et médiatique. 

Ce sont eux, disposant du monopole de l'information,  qui formatent quotidiennement l'opinion.

Ce sont eux qui ont mis à leur service les forces du maintien de l'ordre

Ce sont eux qui ont mis en place un système politique qui élimine le peuple du champ des décisions.

Comment attendre de ces milliardaires qu'ils se fassent hara-kiri, ou même qu'ils reversent au peuple un peu des milliards qu'ils lui ont volés ?

C'est donc le système qu'il faut changer !

Jean LEVY

 

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Comment le gouvernement veut fragiliser la garantie des salaires dans les sociétés en liquidation

Dans un contexte de crise économique engendrée par la crise sanitaire qui n’en finit pas, le gouvernement vient de présenter deux avant-projets d’ordonnances visant à modifier le droit des procédures de liquidation des sociétés, qui donneraient dorénavant la priorité au paiement des honoraires des mandataires et administrateurs judiciaires au détriment des salaires des employés.

Réforme anti-sociale

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Le gouvernement a été autorisé par le Parlement à transposer une directive européenne sur la « restructuration et l’insolvabilité », applicable aux sociétés en liquidation judiciaire. Les avant-projets sont extrêmement inquiétants et vont bien au-delà de ce qui est prévu par la directive européenne.

Il faut savoir que lorsqu’une société est en cessation de paiement et est placée est liquidation judiciaire, ses créanciers doivent déclarer ce qui leur est dû aux mandataires et administrateurs judiciaires chargés de la liquidation pour espérer en obtenir le paiement grâce à la liquidation des actifs de la société. L’ordre de priorité des créanciers est défini selon des « privilèges » fixés par la loi, mais tous ne pourront pas obtenir leur dû, la société étant par hypothèse insolvable.

Le système actuel de garantie des salaires prévoit un « super-privilège » en faveur des créanciers salariés. En cas d’insolvabilité de la société en liquidation, c’est l’Association pour la gestion du régime de garanties des créances de salariés (AGS) qui, depuis 1973, se substitue à l’employeur pour honorer les dettes de salaires et s’inscrit sur la liste des créanciers pour en obtenir le remboursement. Il s’agit d’une organisation patronale mandatée par l’Unédic. Son fonctionnement est garanti par des cotisations sociales à la charge des employeurs et par les remboursements que l’AGS parvient à obtenir dans les procédures de liquidation.

Or les textes présentés par la Chancellerie visent à bouleverser cet édifice juridique garantissant le paiement des salariés. Il est envisagé de donner la priorité aux honoraires des mandataires et administrateurs judiciaires sur les dettes de salaire. Il est également envisagé d’accorder des privilèges aux établissements bancaires ayant participé à la procédure, voire de retirer les actifs immobiliers, qui peuvent constituer une partie conséquente de l’actif d’une société, des sommes récupérables par l’AGS au profit des établissements bancaires.

Cela engendrerait à coup sûr une diminution considérable des recettes de l’AGS, tandis que la fin des aides gouvernementales va provoquer de nombreuses liquidations judiciaires, ce qui va augmenter très fortement ses dépenses. Elle a d’ores et déjà souscrit une option d’emprunt bancaire pouvant aller jusqu’à 2 milliards d’euros et serait obligée d’augmenter le montant des cotisations pour maintenir son fonctionnement. Or, le patronat se mobilisera probablement contre une telle augmentation, mettant ainsi en danger le dispositif.

Ces avant-projets accordent un privilège considérable aux administrateurs et mandataires judiciaires, corps de métier aux intérêts différents de ceux des autres créanciers. Leurs honoraires dépendent en effet de la longueur de la période d’observation préalable à la liquidation qu’ils ont tendance à prolonger artificiellement au détriment de la solvabilité de la société, et donc de la société qui aurait peut-être pu être sauvée et de tous les autres créanciers, puisqu’une société en cessation de paiement ne peut justement pas honorer toutes ses dettes. Les études de mandataires judiciaires font des bénéfices pharaoniques, beaucoup de leurs pratiques sont opaques et ont déjà été visées par un rapport rendu par Arnaud Montebourg en 2001.

Le gouvernement choisit ici de privilégier des corps de métier déjà privilégiés au détriment des salariés qui se verront privés de leurs emplois alors même qu’aucune mesure sérieuse n’a été mise en place pour face à la hausse spectaculaire du chômage depuis le début de la pandémie. C’est à nous de nous mobiliser et de parvenir à imposer à la place des mesures à même de garantir la santé de tous sans faire payer le prix de la gestion désastreuse de la pandémie aux travailleurs.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Pfizer devrait engranger 15 milliards de dollars grâce à son vaccin en 2021

Alors que la crise des vaccins bat son plein, le laboratoire Pfizer devrait faire 15 milliards de dollars de bénéfices d’ici 2021 sur son vaccin. Des bénéfices sur le dos d’un enjeu mondial de santé publique qui ne peuvent pas manquer de déranger.

Nos vies, leurs profits

Ce mardi 2 février 2021 le laboratoire Pfizer a annoncé lors de la publication de ses résultats trimestriels s’attendre à tirer des revenus d’environ 15 milliards de dollars US de la vente de son vaccin à ARN messager, développé en partenariat avec la société allemande BioNTech. Cette estimation de leurs bénéfices est uniquement basée sur les contrats déjà conclus avec les pays, mais le laboratoire espère conclure de nouveaux accords de vente avec les Etats qui devraient augmenter ces bénéfices.

Sur le dernier trimestre de 2020, Pfizer avait déjà engrangé 154 millions de dollars alors même que les plans de vaccination n’en étaient qu’à leurs balbutiements. Par ailleurs, les recommandations de l’agence européenne des médicaments sur la question de la sixième dose, qui permet aux soignants d’extraire une dose supplémantaire par rapport aux cinq prévues initialement par le laboratoire par flacon, ont joué un rôle déterminant sur ses bénéfices. En effet, en revoyant ses livraisons à la baisse pour un prix identique alors même que la pénurie de vaccins bat son plein, le laboratoire a pu maximiser ses profits.

Un véritable « jackpot » pour Pfizer qui, en 2019, lors de ce même quatrième trimestre avait enregistré une perte nette de 333 millions de dollars Pfizer, comme les autres gros laboratoires pharmaceutiques, profite ainsi de la crise et s’enrichit plus que jamais, alors même que le monde connaît une crise majeure. Des profits réalisés sur un enjeu de santé publique qui apparaissent d’autant plus scandaleux que loin d’être la rançon de l’apport de l’entreprise à la lutte contre le vaccin, ils vont de pair avec les dégâts générés par la propriété privée des moyens de production du vaccin et des brevets qui y sont attachés.

Comme le note la Fraction Trotskyste dans une récente déclaration : « Autant que l’art, la culture ou la terre, les connaissances scientifiques font partie des biens communs de l’humanité. Or, sous le capitalisme, ce sont des biens appropriés de manière rentière par une poignée d’entreprises privées à travers les brevets, les droits de propriété intellectuelle, les marques déposées et d’autres moyens similaires. Dans le cas des vaccins et des médicaments, la situation est encore plus grave, car elle implique directement la vie ou la mort de millions de personnes. Cela ne se produit pas seulement avec le Covid. Par exemple, plus de 100 000 enfants meurent chaque année en Inde de pneumonie, une maladie qui pourrait être évitée grâce au vaccin PCV13 dont le brevet est détenu par Pfizer et qui n’est pas accessible dans ce pays en raison de son prix élevé. »

En ce sens, les profits de Pfizer doivent nous scandaliser, et poser la question de la nécessaire socialisation de l’ensemble des grandes entreprises pharmaceutiques sous contrôle des travailleurs. Il s’agit en effet du seul moyen de profiter des avancées technologiques portées par ces firmes, souvent en collaboration avec la recherche publique, tout en rompant avec les effets mortifères de la propriété privée et de la transformation de la santé en marchandise.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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La direction a annoncé que 57 restaurants allaient fermer ce qui menaceraient 1 244 emplois. Le groupe n'en est pas à son premier PSE et utilise encore le prétexte de la crise sanitaire pour mettre en place la casse sociale.

Le groupe Mulliez a encore frappé : près de 1 300 emplois supprimés chez Flunch

Crédits : Ma Commune Info

Les plans de licenciements se multiplient et une fois de plus le groupe Mulliez est aux avants-postes. Eux qui avaient déjà supprimé 1475 postes en septembre dernier dans l’entreprise Auchan poursuivent les plans de licenciements en menaçant maintenant 1 244 postes dans le restaurant Flunch. La direction a en effet annoncé que 57 restaurants étaient menacés dans de nombreuses villes comme Avignon,Toulouse, Vénissieux, Lille, Pau, etc.

L’entreprise profite de la crise sanitaire pour licencier massivement. Marie Josée Bienvenu, syndicaliste à la CGT explique à Libération qu’en 2018 Flunch a connu une baisse de fréquentation de 5% :«  Ils savaient donc qu’une restructuration était nécessaire : le Covid leur sert à réduire le parcs des restaurants à moindres frais » . Le communiqué de l’intersyndicale va dans le même sens en pointant les choix du groupe d’engraisser les actionnaires au mépris des besoins d’investissement : « les dividendes exceptionnelles qui ont privés l’entreprise d’investir et n’a même pas permis de maintenir à flot le parc de restaurants ». Et le groupe Mulliez, qui détient Flunch, n’en est en effet pas à son coup d’essai. La famille est la 5ème plus grosse fortune française et possède plus de 40 enseignes dans le commerce dont Auchan, Boulanger, Leroy Merlin, Alinéa … et a à son compte aujourd’hui des milliers licenciements. Le groupe va même plus loin puisqu’ils ont utilisé des ordonnances gouvernementales du 20 mai 2020, la famille Mulliez s’est déclarée en faillite puis s’est rachetée sous une autre entité « Néomarché » après avoir vu ses dettes épongées et licencié mille salariés.

Le communiqué de l’intersyndicale fait écho à la colère des salariés : «  Une grande émotions est ressenties par ces 1244 salariés (dont 44 postes supprimés au siège) en attente du sort qui leurs est réservé ! Cette situation génère de la colère de la part de ces salariés qui se sont investis depuis de nombreuses années et à qui on a toujours demandé tant et plus au prétexte de sauvegarder l’emploi ».

La colère gronde contre le groupe et pas que chez les salariés de Flunch, à Auchan les salariés s’étaient mis en grève contre la suppression de nombreux postes au nom de l’automatisation de caisses. Ils dessinent le chemin à suivre pour faire face à la multiplication des PSE dans le groupe -et en dehors. Les salariés des différentes entreprises n’ont pas à payer par des licenciements le prix de la crise économique, quand la famille Mulliez est dans le top 10 des fortunes de France les plus importantes.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Les raffineries en grève dans toute la France en solidarité avec Grandpuits et pour l’emploi !

Ce mercredi, les raffineries Total du pays se sont largement mises en grève en réponse à l’appel de la CGT FNIC et des grévistes de Grandpuits, en solidarité avec leur lutte, mais aussi en défense de l’emploi dans l’ensemble du groupe.

Mouvement ouvrier

Crédit photo : Karim Ait Adjedjou

« Normandie, Flandres, La Mède, Feyzin, Donges sont en grève depuis ce matin. Aucun produit ne sort de tous ces sites pour 48h ! ». Sur les réseaux sociaux ce matin, Thierry Defresne, délégué syndical central CGT chez Total annonçait la bonne nouvelle : les raffineries ont largement suivi l’appel à une mobilisation en solidarité avec les Grandpuits et en défense de l’emploi dans l’ensemble du groupe.

De son côté, Adrien Cornet, délégué CGT Grandpuits et meneur de la lutte en cours rapporte des chiffres de grévistes importants. « Normandie 50% au raffinage et 40% à la pétrochimie, Flandres 100%, La Mède 40%, Feyzin 100% au raffinage, 60% à la pétrochimie et 70% aux expéditions. » a-t-il rapporté sur Twitter.

Cette mobilisation réussie fait suite à un appel de la FNIC et de la CGT Grandpuits à une grève de 48h en solidarité avec la lutte des raffineurs seine-et-marnais. Ces derniers jours, comme le rapportait Adrien Cornet lors de l’assemblée générale qui s’est tenue hier, une équipe de grévistes s’était rendue sur différents sites de Total pour porter cet appel et convaincre leurs collègues de suivre le mouvement. « Il faut montrer à Total que l’on est soudés, solidaires quoi qu’il arrive. C’est pas les grévistes de Grandpuits qu’ils ont en face d’eux, c’est tous les mecs avec un bleu de travail qui vont se mettre en colère. C’est ça qui leur fait peur ! » avait notamment expliqué Adrien Cornet aux raffineurs de Normandie, avant de se rendre à Feyzin.

Comme le rapporte Reuters, suite à ce mouvement : « Total a de son côté fait savoir que, à la suite de l’appel à la grève, les expéditions de produits pourraient être perturbées dans certaines de ses raffineries, ajoutant toutefois qu’il continuerait à assurer les approvisionnements de son réseau de station-service et de ses clients. »

Cette première journée de grève de solidarité est en tout cas un beau symbole, et une démonstration de la façon dont les raffineurs de Grandpuits ont impacté l’ensemble des travailleurs par leur lutte exemplaire. Pour autant, pour faire plier Total et s’opposer plus largement aux attaques du patronat, il faudra aller plus loin que 48h de tous ensemble à l’échelle d’un secteur. C’est en effet d’un véritable plan de bataille de l’ensemble du monde travail dont nous avons besoin, et cette perspective qu’il faudra défendre dans la rue ce 4 février.

 

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Le 4 février tous dans la rue contre Macron et les grands patrons, pour un plan de bataille à la hauteur ! 

Ce jeudi la CGT, la FSU, Solidaires et l'UNEF appellent à une journée nationale de mobilisation et de grève interprofessionnelle. L'occasion pour les secteurs du monde du travail et de la jeunesse qui subissent la crise de se retrouver dans la rue et d'exiger un vrai plan de bataille face au patronat et au gouvernement, au-delà des dates de mobilisation isolées.

Construisons la riposte

La manifestation du 23 janvier contre les licenciements et les suppressions d’emplois.

Depuis le début de l’épidémie, salariés, jeunes, chômeurs, précaires, travailleurs sans-papiers ont été en première ligne de la gestion sanitaire pro-patronale du gouvernement. Depuis, les conséquences de cette situation ne font que s’accumuler. Au mois de janvier, la vague de suicides d’étudiants jetait une lumière crue sur la situation d’une partie de la jeunesse, meurtrie par l’isolement et la précarité. Dans le même temps, les plans sociaux s’additionnent, avoisinant le millier, tandis que les précaires ont déjà massivement fait les frais de la crise et voient leur avenir suspendu aux décisions du gouvernement.

Dans cette situation de crise, le gouvernement mise par ailleurs sur le renforcement de son appareil répressif et des tensions racistes. En ce sens, la loi sécurité globale, qui a suscité d’importantes mobilisations en décembre dernier, apparaît comme un projet visant à préparer la réponse à de futures mobilisations. De même, avec la loi séparatisme, le gouvernement lance une grande offensive islamophobe et anti-démocratique. En dépit des mobilisations suscitées par ces projets liberticides, le gouvernement reste déterminé à les imposer.

Dans ce contexte, il est fondamental d’opposer une réponse d’ensemble face au gouvernement et au patronat. A ce titre, le 4 février, la CGT, la FSU, Solidaires, l’Unef, l’UNL, le MNL, et la FIDL appellent à une journée nationale de mobilisations et de grève interprofessionnelle. L’occasion pour le monde du travail et la jeunesse de se retrouver afin d’exprimer leur colère dans la rue face à l’ampleur des attaques anti-sociales et liberticides. Une journée à laquelle il faudra répondre présent et sur laquelle il faudra s’appuyer pour commencer à construire une lutte d’ensemble.

Seulement, pour offrir de véritables perspectives, cette journée devra également être l’occasion d’exiger un véritable plan de bataille. Car, contre le gouvernement et le patronat une journée de mobilisation isolée ne suffit pas comme l’a encore récemment montré le refus de plier face à la rue, mobilisée massivement contre la loi sécurité globale le 28 novembre dernier. Face aux grands patrons et au gouvernement déterminés à profiter de la crise pour justifier les suppressions d’emploi et la casse des acquis sociaux, il n’y a qu’en construisant le rapport de force par la grève et dans le cadre d’un mouvement d’ensemble qu’il sera possible d’imposer une alternative. A l’image de lutte exemplaire des raffineurs de Grandpuits, en grève reconductible depuis le 4 janvier contre 700 suppressions d’emploi sur le site dans le cadre d’un PSE mis en œuvre par Total. Une bataille qui montre qu’il est possible de relever la tête et de se battre pour l’emploi contre une puissante multinationale qui a battu son record de dividendes distribués aux actionnaires l’an dernier, en pleine crise économique, à condition de construire le rapport de force à la base autour du mot d’ordre « la grève aux grévistes ».

Ces mobilisations éparses, comme à SKF où les salariés se battent contre la fermeture de l’usine d’Avallon et la destruction des emplois dans un bassin déjà fortement touché par le chômage, montrent qu’à la base la colère est bien-là. De même, en dépit des conditions difficiles, la rage des étudiants contre la situation de misère qui leur est promise s’étale au quotidien sur les réseaux sociaux. Or, pendant que la jeunesse étudiante est confronté à la faim et à la misère, que plus de 800 plans de suppressions d’emploi ont vu le jour depuis le début de la crise, que les petits commerçants subissent les conséquence d’une gestion catastrophique de la pandémie par le gouvernement, le gouvernement continue d’arroser le grand patronat de milliards et nous promet un avenir de crise durable et de répression.

Pour l’heure, la stratégie des dates de mobilisation sans lendemain proposée par les signataires de l’appel, la confédération de la CGT en tête, est loin d’être à la hauteur de cette situation. Pire, du côté de la direction de Force Ouvrière et de la CFDT, c’est bien le silence complice et l’illusion du dialogue social qui priment. Plutôt que les vœux pieux du secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, qui affirmait dimanche « souhaiter » « un printemps social », c’est d’un véritable plan de bataille dont le monde du travail et la jeunesse ont besoin.

Un plan de bataille qui rende la victoire possible en unifiant l’ensemble de notre camp social pour refuser de négocier la régression sociale entreprise par entreprise ou secteur par secteur, avec en perspective la défense de l’emploi pour imposer l’interdiction des licenciements, la lutte contre le chômage par le partage du temps de travail entre toutes et tous, et des moyens dans les services publics de la santé et de l’éducation. Une perspective que l’addition de dates de mobilisation isolées ne saurait atteindre.

Jeudi 4 février, il s’agira donc d’être dans la rue, parmi les cortèges des salariés en lutte, comme les raffineurs de Grandpuits, pour montrer notre détermination. Mais il sera impératif de se servir de cette échéance comme un point d’appui pour exiger un véritable plan de bataille afin de construire le rapport de force, dans la rue, les entreprises, les universités pour faire reculer le gouvernement et le patronat.

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En Île-de-France, mais pas seulement dans cette région, la droite a l'ambition de transférer le rail public à des sociétés privées. Pas pour le bien de ses travailleurs et des usagers, mais comme la dénationalisation des autoroutes qui est totalement une réussite pour le capital. C'est pour obéir à Bruxelles, adepte de la soi-disant concurrence, mais surtout du marché libre et non faussé sur le vieux continent.

Ma région natale est devenue Occitanie sous Hollande président en annexant la région Midi-Pyrénées. Je m'en suis expatrié au début des années 1970 à cause du chômage endémique. L'Occitanie donc est dirigée par la socialiste Carole Delga avec au bureau exécutif régional des communistes, dont le vice-président chargé des transports.

Pour les régionales, théoriquement prévue en juin 2021, l'alliance des communistes avec les socialistes est maintenue dans une seule et même liste. Chacun voit midi à sa porte comme dit le proverbe. Mais la lutte des classes ne laisse-t-elle pas parfois la porte ouverte à la lutte des places?

En tout cas, en Occitanie, la région veut transférer des lignes de TER sous sa gouverne et non plus sous l'égide d'un service public ferroviaire unifié et intégré aux besoins de la Nation. D'où le communiqué de la Fédération CGT des cheminots à ce propos, clair, net et sans ambage, comme doit l'être quiconque soutient une politique du rail public au service exclusif de la Nation.

Quand la région Occitanie veut casser le rail public

Le vice-président chargé des "mobilités et infrastructures transports" est donc Jean-Luc Gibelin. Il fut secrétaire général de la Santé-CGT. Depuis, il est revenu dans sa région natale comme cadre supérieur hospitalier.

En avril 2017, le journal La Marseillaise décrivait la rencontre quelque peu orageuse entre le vice-président régional chargé des transports et Stéphane Pérez, délégué CGT au Technicentre SNCF de Béziers, établissement déjà "en train d'agoniser: « Qu'est-ce qu'il faut faire ? s'attacher à poil sur la rame ? Il n'y a que ça qu'on n'a pas fait ». Si l'image en fait sourire quelques-uns dans la salle du centre de loisirs cheminots jeudi soir, l'ambiance se tend (...)"

Pour ma part, retraité du dépôt de Mantes-la-Jolie (78), ayant eu des responsabilités au Conseil de prud'hommes de cette ville et de l'Union locale CGT de la région mantaise, je suis syndiqué à la section des retraités du syndicat CGT de Mantes-et-Vexin. Demain 4 février 2021, je participerai au rassemblement organisé par mon syndicat devant la gare de Mantes-la-Jolie, dans le cadre de la journée nationale interprofessionnelle de grèves et de manifestations.

Je n'ai pas pu vivre et travailler dans mes Corbières natales à cause du capitalisme. Depuis, j'ai toujours appelé un chat un chat. Dès lors, je fais mienne l'indignation exprimée par la CGT-Cheminots.

 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
4 FEVRIER : le Procès de SANOFI

CGT- SANOFI  : « Voici les infos du jours 01 02 21 »

  • 1er février Grève reconductible, les sites de Neuville sur Saône, Maisons Alfort, Sisteron, Mourenx, Tours,  Amilly, répondent favorablement à l’appel de national à la grève de la coordination CGT SANOFI. D’autre sites devraient rejoindre l’action dans la semaine comme les sites de Marcy l’étoile, Val de Reuil.

Participation à cet appel du 1er février, très bonne participation sur Maisons* Alfort et Sisteron, bonne participation honorable sur Mourenx et Neuville/Saône, mauvaise participation sur Amilly  distrib. Pour l’instant pas de retour des autres sites en grève.

*retour CGT Maison Alfort « Belle mobilisation, blocs à l’arrêt,  50 salariés devant le site, mais en règle générale grève bien suivis ( beaucoup de salariés chez eux) RG, préfecture, la BAC de maisons Alfort était présentr dès les premières minutes du rassemblement et les renseignements présent aussi… »

  • AG Vitry RECHERCHE, tract appel à AG des salarié-e-s le 2 février.
  • 4 février appel rassemblement CGT SANOFI rue de la Boétie (procès SANOFI) , en plus des sites déjà en grève la CGT des sites il y aura  Vitry production et Recherche, Chilly,  Ambarès, ainsi la CGT SAF( tract en PJ)  qui appelle à la mobilisation pour le 4 février.

PROCES SANOFI

(54 rue de la Boétie)

Rassemblement 11h CGT SANOFI, début du procès 12h. Durée 1h.

Pour les sites qui seront en grève et ou en rassemblement ce jour en local, il y aura une diffusion en direct live de Facebook

Nous vous ferons parvenir un lien internet pour cette retransmission.

les chefs d’accusation :

– Trahison sanitaire

– Mise en danger de la vie d’autrui

– Avoir fait passer l’argent avant les gens

– Recours abusif a la sous-traitance

– Licenciements injustifiables

– Profits indécents

– Aggravation de l’état sanitaire des pays les plus pauvres

Répartition des rôles :

Juge : Anne Werner

La défense : François Ruffin (en Macron)

Procureur : Jean-Louis Peyren

Lecture des pièces : Aurore Juvenelle (Actrices) et Antoine Martin (acteur)

Déroulé du procès :

Ouverture par le juge qui appelle les témoins et les pièces à conviction.

Pièce à conviction : lettre de Claire (DEPAKINE)

Témoin : Marine Martin (Présidente ASSO des victimes de la Dépakine « APESSAC »)

Pièce : Lettre du Lantus

Témoin : Burgalat (Président de l’association « diabète et méchant »)

Pièce : Article presse Midi libre

Témoin : Sanofric

Pièce : Cash investigation (transparence du médicament)

Témoin : Jérôme Martin (Co-fondateur de l’observatoire et de la transparence de la politique du médicament)

Pièce : Romainville Annick Lacourt (Retraitée salariée et militante CGT Romainville)

Témoin : Blanco (Secrétaire FNIC) + Cohen Laurence (Sénatrice PCF)

Pièce : Mourenx

Pièce : Dolder + Rotschild + les ministres + légion d’honneur

Témoin de la défense : Ruffin (Député LFI)

Pièce : Vaccin Mise à disposition des chaines de prod

Témoin : Darhéville (Député PCF)

Synthèse par le procureur :

Jean-Louis Peyren

La Défense :

François Ruffin

 Du coté média nous devrions avoir  (retour de Fabien) : TF1, BFM, Canal+ et France 3 au 4 devant la Boetie, Pour France 2 c’était déjà fait par un certain Jean-Pascal (mélange de prénom lol). Euronews devrait venir mais pas certain (mais ils ont un droit de partage d’image avec France 3). LCI et TF1 c’est la même chose, France-info reprendra les images de F2 ou F3.

Côté youtubeur, on devrait avoir Usul, potentiellement.

Côté presse internet et écrire : Libération, l’humanité, Figaro, Les Échos, Le Parisien, Komboni, Brut ça devrait être OK.

Comme vous pouvez le voir beaucoup d’investissement interne CGT SANOFI et de contribution solidaire externe sont mobilisées pour que ce rassemblement soit une réussite , il faut maintenant que nos élu-e-s mandaté-e-s et salarié-e-s répondent présent.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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