SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Catastrophe ferroviaire de Brétigny

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Deux défaites qui font bien plaisir!

L'ancien premier ministre socialiste de Hollande président, non moins socialiste, avait traversé les Pyrénées pour devenir maire de droite de Barcelone.

 

Il n'en fut que simple conseiller, démissionna et revint avec ses valises non pas auprès du parti à la rose mais du palais de l'Elysée loué par un ex-banquier d'affaires de droite. Si toutefois, sans rire du tout, dans la finance, on peut être de gauche.

Bref, Macron bis adouba ledit voyageur itinérant pour être député d'une partie des Français de l'étranger. C'est Sarkozy président qui avait ficelé des circonscriptions d'expatriés, et pas d'immigrés français comme ils disent, pour augmenter son nombre de députés godillots. Hollande président profita de cette superbe ficelle et évidemment Macron saison 1 aussi.

Las, Manuel Valls fut recalé dès le premier tour de scrutin.

Dans le Mantois, c'est le clan de Pierre Bédier qui est défait. Lui et ses dauphins ne siègeront plus dans la majorité municipale de droite à Mantes-la-Jolie. Pire, le député LR sortant de la 8e circonscription du 78 est sèchement battu dès le 1er tour avec seulement 7,5% des voix. Ledit député sortant remplaça Pierre Bédier comme maire et député.

Au 2e tour dans la 8e, le candidat de la Nupes est en tête contre la candidate de la Macronie, adjointe au maire de Mantes-la-Jolie. Ce dimanche, je vote Nupes pour la chute définitive de l'empire de la droite dans le Mantois.

Et en tout cas, selon la presse régionale, Pierre Bédier songerait à ne plus être le patron des LR dans le 78. Mais il resterait grand sachem du conseil départemental des Yvelines. Ben oui, c'est ça ou être au RSA. Non, vous croyez?

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Dans les captures d'écran, je n'ai pas trouvé "un syndicat peut en cacher un autre". Dès lors, un peu d'histoire sociale sur la création de Unsa ferroviaire.

 

Elle est l'héritière de la FMC (fédération maitrises et cadres) qui ne regroupait que des cheminots maitrises et cadres, syndicalisme de collaboration de classe, supplétif de la direction dans les instances représentatives du personnel, comme dans le quotidien des cheminots.

Lorsque nationalement se fonde l'Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) en 1993, la FMC est l'un de ses 5 membres fondateurs. D'ailleurs, le premier président de l'Unsa est Jacques Mallet de la FMC. Et au sein de la SNCF, Unsa ferroviaire dépasse désormais le cadre étriqué de la FMC tout en maintenant sa collaboration de classe.

Son dernier fait, sa signature avec la Cfdt et Sud rail de la Convention collective nationale avec le patronat ferroviaire sur le moins disant social, au lieu de s'appuyer sur le Statut progressiste des cheminots obtenu par les luttes, notamment par la grève générale des cheminots en 1910 et en 1920.

Unsa ferroviaire tient son congrès fédéral. Du coup, les congressistes débattront avec qui de droit. Cela vous étonne ou pas?

Quand UNSA ferroviaire fait ami-ami avec le Sncf en voie de casse et le ferroviaire privé

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DIVIDENDE

Malgré le contexte sanitaire, économique et géopolitique, les dividendes versés aux actionnaires ont continué à battre tous les records au premier trimestre 2022

Janus Henderson, groupe britannique de gestion d'actifs au niveau mondial, publie depuis 2009 un indice mondial des dividendes, qui prend en compte les 1 200 plus grosses capitalisations boursières. Sa dernière publication donne le vertige :  les dividendes versés au niveau mondial ont progressé de 11 % au premier trimestre 2022 pour s’établir à 302,5 milliards de dollars, un record jamais atteint jusqu’à présent.

Les groupes pétroliers et miniers affichent la hausse la plus importante : autour de +30%. Surfant sur l’augmentation du prix des matières premières, les géants des mines et des métaux devraient verser pour la première fois plus de 100 milliards de dollars de dividendes à leurs actionnaires cette année.  Le groupe minier anglo-australien BHP est devenu le plus gros payeur de dividendes au monde. Les actionnaires des groupes pétroliers ont quant eux pioché dans la manne financière générée par la hausse du cours du brent : par exemple, le norvégien Equinor a doublé ses versements de dividendes.

Les actionnaires des entreprises de transport se frottent également les mains, bénéficiant de la perturbation des chaînes d’approvisionnement qui a fait grimper les coûts de fret : le danois Moller-Maersk par exemple a versé plus de 7 milliards de dollars de dividendes en ce début d’année, son record depuis 2015. Globalement, dans tous les secteurs les actionnaires se sont servis massivement dans les trésoreries de leurs entreprises : 81% des multinationales ont augmenté les dividendes à leurs actionnaires et 13% les ont maintenus.

Les régions du monde entier sont concernées par cette augmentation des dividendes et les actionnaires des entreprises européennes sont parmi les mieux lotis : leur rémunération a augmenté de 22% en ce premier trimestre 2022.

Les dividendes mondiaux devraient atteindre 1 540 milliards de dollars cette année selon le groupe Janus Henderson. Ils sont d’ores et déjà deux fois plus élevés que lors de la création de son indice mondial des dividendes en 2009.
 
Publié par JDS

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SCOP TI 1336

Ci-dessous les articles de presse d'aujourd'hui dans la provence

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : La CGT

Le coût de l’énergie est au centre des préoccupations du gouvernement, mais aussi et surtout des usagers.

Le gouvernement s’apprêterait à annoncer une hausse de 4,5 %

Dans un contexte inflationniste (+4,8 % entre avril 2021 et avril 2022), l’énergie a augmenté de :

84 % pour les combustibles liquides,

43 % pour le gazole,

41,3 % pour le gaz naturel

Afin que la hausse des prix de l’électricité en 2022 n’affecte pas les usagers, le gouvernement a mis en place un bouclier tarifaire, tout en prévoyant un rattrapage en 2023 : le gouvernement s’apprêterait à annoncer une hausse de 4,5 %.

« Pour la CGT, ces augmentations ne sont pas conjoncturelles, liées à la guerre en Ukraine, mais structurelles » analyse Karine Granger, Conseillère énergie.

Jusqu’en 2010 et la libéralisation des marchés de l’énergie, le prix de l’électricité pour l’usager était calculé en fonction des coûts comptable d’EDF.

Les nouveaux entrants sur le marché n’ayant pas d’outils de production, la Commission de régulation de l'énergie (CRE), a dû réfléchir à de nouvelles strates de tarification.

En janvier, la CRE estimait l’augmentation de l’électricité à 43 %.

Elle a proposé un tarif à empilement tenant compte des différents postes : achat, transport, coûts commerciaux. Depuis, le tarif réglementé s’élève régulièrement, et a récemment explosé. En janvier dernier, la CRE estimait l’augmentation de l’électricité à 43 %.

« L’usager ne paie plus un coût technique de production et de transport mais un coût de marché » déplore Karine Granger. 

L’ouverture à la concurrence a affaibli les grandes entreprises productrices : un quart de la production nucléaire d’EDF est réservée, à prix coûtant, aux fournisseurs alternatifs d’énergie. 

Les salariés d’EDF travaillent donc en partie pour la concurrence, une concurrence qui ne crée pas ou peu d’emplois, qui refuse le risque industriel et qui profite d’un marché, sur le dos des usagers. 

Cette année, pour contenir la hausse des prix, la CRE a demandé au gouvernement de passer la part d’électricité nucléaire qu’EDF devra céder à ses concurrents à 130 TWh, après l’avoir augmenté, début 2022, de 100 TWh à 120 TWh. Une mesure qui aura des conséquences financières néfastes pour l’entreprise.

« Le bilan de l’ouverture du marché est désastreux ; le service public doit échapper à la logique du marché » martèle Karine Granger.

Le Programme Progressiste de l’Energie

Face à cette situation, la CGT a conçu Le Programme Progressiste de l’Energie (PPE) qui prend en compte les enjeux sociétaux d’aujourd’hui, et notamment la nécessité́ d’une transition énergétique pour tous, réduisant les inégalités.

Les taxes sur l’énergie doivent être supprimées, et la répercussion des coûts de production sur les usagers diminuée.

Pour faire face à l’urgence climatique, les objectifs environnementaux doivent être intégrés à tous les projets, notamment industriels.

C’est pourquoi la CGT réclame un vrai service public de l’énergie, qui passe par la nationalisation de l’ensemble du secteur de l’énergie : celui-ci doit sortir de l’économie de marché. Le gaz et l’électricité ne sont pas des marchandises : mais des biens d’intérêt généraux. 

Publié par FSC

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Le capitalisme vu autrefois. Et aujourd'hui?

Aujourd'hui, avez-vous remarqué que le mot capitalisme ne se prononce plus. Certes par les médias aux ordres des marchés, mais aussi parmi les milieux zautorisés qui se rapportent à la lutte de classes pour conquérir des droits sociaux et sociétaux?

 

Oui, comme s'il était définitivement éteint. Pourtant, en paraphrasant Jean de La Fontaine:

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
Le capitalisme [puisqu'il faut l'appeler par son nom]
Capable d'enrichir en un jour le CAC 40 et l'Achéron,
Faisait au genre humain et à la nature la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés (...).

Ceci dit, de nos jours, à longueur de médias, lus, entendus ou vus, on me rabâche que le libéralisme remplace les capitalisme. A oublier que autrefois, les Libéraux combattaient les Conservateurs au temps du siècle des Lumières.

Mais aujourd'hui, le CAC 40, par exemple, est actionné par le libéralisme. En politique, c'est pareil, Macron, Sarkozy et leurs extrêmes à droite sont dans le camp du libéralisme.

Mais comme l'écrit Karl Marx: "Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes".

Au fait, c'est qui Karl Marx?

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Inflation Banque d'images et photos libres de droit - iStock

Philippe Béchade, rédacteur en chef de La Bourse au Quotidien et président des Econoclastes, répond aux questions de RT France sur l'inflation, qui a connu une nouvelle accélération dans l'Hexagone au mois de mai. «Pour l'heure, ce qu'on peut supposer est que l'on n'a pas encore atteint le pic d'inflation», estime notamment Philippe Béchade, rédacteur en chef du média La Bourse au Quotidien et président des Econoclastes, dans un entretien à RT France ce 1er juin.

L'analyste financier considère, en outre, qu'une sortie du pic d'inflation signifierait «que l'économie connaît un ralentissement tellement brutal que l'on [serait] en récession».

Selon l'Insee, l'inflation a connu une nouvelle accélération en France en mai, à 5,2% sur un an – dépassant ainsi pour la première fois depuis septembre 1985 la barre de 5%. Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a considéré, dans une interview au Figaro, que la France devrait «sortir du pic d'inflation fin 2023».

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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La lycéenne qui a interpellé Macron sur ses ministres accusés de viol intimidée par les gendarmes

Ce jeudi 9 juin, après avoir interpellé Macron sur les accusations de viol portés sur les membres du gouvernement, des gendarmes sont venus intimider Laura dans son lycée. En effet, avec la complicité du proviseur, ces derniers ont interrompu le cours de Laura. Visiblement, la question posée par cette lycéenne de 18 ans dérange profondément le roi Macron.

Crédits photo : BFMTV

Ce jeudi 9 juin, lorsd’un déplacement du Président dans le département du Tarn, Laura, lycéenne en terminale, a interpelé le président sur les accusations d’agression sexuelle qui pèsent sur des membres du gouvernement, Gérald Darmanin et Damien Abad : « Vous mettez à la tête de l’Etat des hommes accusés de viols et de violences sur les femmes. Pourquoi ? S’il vous plaît, répondez-moi ».

Sur un ton dédaigneux, Emmanuel Macron a rétorqué à lajeune femme de 18 ans qu’elle « ne comprenait pas », et que la libération de la parole « je l’ai accompagnée et je continuerai de l’accompagner, de la protéger. En même temps,pour fonctionner en société, vous devez avoir de la présomption d’innocence ». Une façon d’apparaitre comme le fervent défenseur de l’émancipation des femmes et de ne pas se laisser déstabiliser par une question qui a eu un énorme écho dans la foule et sur les réseaux sociaux.

Mais en réalité, l’interpellation de Laura semble avoir particulièrement dérangé le Président de La République. En effet, le lendemain de l’échange, celle-ci a été convoquée hors de sa classe le vendredi matin pour un interrogatoire avec les gendarmes dans l’enceinte même de son lycée. Elle explique ainsi « J’étais en cours d’espagnol quand autour de 11h30,la proviseure adjointe est venue me chercher pour parler. À l’extérieur du cours, elle m’a demandé si j’acceptais de parler à des gendarmes ». Une intervention intolérable des gendarmes qui avec la complicité de l’administration du lycée veulent intimider Laura. 

Si les gendarmes expliquent sur leur compte twitter être venus pour « proposer à Laura de déposer une éventuelle plainte » pour les agressions dont elle aurait pu être victime. Cependant, la jeune lycéenne témoigne que pendant l’interrogatoire, le sujet est rapidement devenu son interpellation du président Macron. Laura raconte une version - qui au contraire de celle de la gendarmerie - reflète l’intimidation et la répression politique contre son interpellation Les gendarmes l’ont sermonnée en lui expliquant que c’était pas à faire », et lui ont indiqué les « voies hiérarchiques » pour interpeller le président, autrement dit celles à huit-clos pour ne pas embarrasser les bains de foule organisés par l’équipe de Macron pour le faire apparaitre proche du peuple. Le président n’aime visiblement pas les questions qui fâchent, d’autant plus à quelques jours des élections législatives alors qu’ils se trouvent en difficulté pour reconduire sa majorité au Parlement… 

pic.twitter.com/prxFKXz8Sv

—𝔾𝕖𝕟𝕕𝕒𝕣𝕞𝕖𝕣𝕚𝕖 𝕕𝕦 𝕋𝕒𝕣𝕟 (@GendarmerieTarn) June10, 2022

 

Cette répression politique est inadmissible, Macron envoie directement les gendarmes pour intimider une jeune lycéenne qui l’interpelle sur les membres de son gouvernement. Sur les réseaux sociaux, la solidarité s’est rapidement organisée,Plus de 24k tweets ont été partagés avec le hashtag « #LaquestiondeLaura ». Les internautes soutiennent la lycéenne face à la répression en interpellant Macron pour lui demander « Vous mettez à la tête de l’Etat des hommes accusés de viols et de violences faites aux femmes alors que vous prétendez lutter contre ces violences. Pourquoi ? » 

 

Bonjour @EmmanuelMacronvous mettez à la tête de l’état des hommes accusés de viol et de violences surles femmes. Pourquoi ?

— Camille & Justine(@CamilletJustine) June11, 2022

 

Loin des“nouvelles méthodes” promises par Macron, La répression face à une simple question posée par une jeune lycéenne promet une répression brutale de ceux qui osent critiquer le gouvernement. Mais si Macron semble aussi déterminé à intimider et user des pires méthodes pour faire taire les critiques, c’est bien parce qu’il est fébrile face à la colère qui s’exprime dans cette interpellation et qui raisonne avec celle du monde du travail, des quartiers populaires et des jeunes. Soutien à Laura !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié par EL DIABLO

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Force de travail

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
🔻 La prétendue journée de solidarité est en réalité une escroquerie morale accompagnée d'un vol !
Il n’y a pas de recette affectée pour la solidarité au niveau du budget de l'Etat et donc la cotisation versée va au budget général, sans affectation spécifique. Le gouvernement prétend avoir augmenté les ressources pour les caisses correspondantes. Après examen, les montants ne correspondent pas. Et ce n'est même pas garanti d'une année sur l'autre.
CGT LEROY MERLI lundi de pentecôte
Ce lundi 6 juin aura lieu la journée de solidarité pensée pour financer le 4e âge et la dépendance.
Le lundi de Pentecôte, transformé en journée de solidarité travaillée en 2004, est redevenu férié depuis 2008.
(LOI n° 2008-351 du 16 avril 2008 relative à la journée de solidarité : https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000018656009/ )
🔻 En effet, plus rien n'oblige les employeurs à choisir le lundi de Pentecôte. Cela peut être un autre jour férié, un samedi, le retrait d'un jour de RTT ou même rien du tout si l'entreprise paye sans exiger une journée de travail supplémentaire de la part de ses salariés.
🔻 Chez Leroy Merlin, la durée annuelle de temps de travail est donc de 1607 heures au lieu de 1600 heures, afin d'inclure cette journée de solidarité dans le contingent annuel. Le lundi 6 juin est donc un jour férié, travaillé sur base du volontariat.
🔻 La prétendue journée de solidarité est en réalité une escroquerie morale accompagnée d'un vol !
Il n’y a pas de recette affectée pour la solidarité au niveau du budget de l'Etat et donc la cotisation versée va au budget général, sans affectation spécifique. Le gouvernement prétend avoir augmenté les ressources pour les caisses correspondantes. Après examen, les montants ne correspondent pas. Et ce n'est même pas garanti d'une année sur l'autre.
🔻 Enfin, les besoins des personnes dépendantes sont beaucoup plus importants que ce faible apport.
 
Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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