SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Preuve qu'il y a une continuité entre soutien à l'impérialisme otanien ... ET lutte contre les travailleurs et leurs droits visant directement le droit de grève.

C'est souvent au nom de la sécurité nationale (c'est donc bien que nos pays sont co-belligérants dans le conflit ukrainien) que la bourgeoisie, les classes dominantes entendent imposer leurs intérêts et rendre illégitimes les luttes sociales!

VIGILANCE !

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Grande Bretagne: le syndicat RMT attaqué comme «larbin de Poutine» suite au vote pour une grève nationale des chemins de fer

La presse britannique de droite a renouvelé sa chasse aux sorcières contre le syndicat des transports RMT (Rail, Mer, Transport); elle déclare que ses responsables agissent comme les «idiots utiles» du président russe Vladimir Poutine en «préparant un été de désordre dans nos chemins de fer».

Suite au vote pour la grève de près de 40.000  travailleurs du rail la semaine dernière, cette chasse aux sorcières des médias est une attaque préventive. Son but est de justifier la répression de l’État contre les cheminots et de présenter toute grève nationale du rail comme un acte de trahison. On mobilise l’hystérie de guerre anti-russe pour renforcer les plans du gouvernement Johnson visant à interdire les grèves des chemins de fer si un taux de «service minimum» n’était pas atteint.

La campagne sinistre menée par le Times, le Sun et le Daily Mailde Rupert Murdoch, cherche à stigmatiser la grève de dizaines de milliers de travailleurs du rail comme la création d’agents russes. Le RMT est décrit comme un «syndicat extrémiste» dirigé par une «cabale d’extrême gauche» qui «soutient les aventures meurtrières de Poutine en Ukraine».

Cette campagne de presse s’appuie sur une montagne de mensonges.

 

Le titre du Times«Les cheminots de RMT défendent le Kremlin» (Credit : screenshot-thetimes.co.uk)

La contribution du Timesà cette campagne était un article intitulé «Les cheminots de RMT défendent le Kremlin». L’article nommait les responsables du RMT, Brendan Kelly, Steve Skelly, Eddie Dempsey et Alex Gordon, ainsi que l’ancien responsable Steve Hedley, les accusant de faire la «propagande du Kremlin».

Les reporters du Times, Ben Ellery et Charlie Parker ont présenté leurs révélations contre Kelly (un organisateur régional du RMT), en se basant sur une interview de podcast réalisée avec Bristol Cable le 24  mars.

Le Timesdépeint Kelly comme un pigeon russe pour avoir «répété les affirmations du Kremlin que le gouvernement ukrainien était allié aux forces fascistes». Ils citent la déclaration de Kelly que «certains membres de la gauche ont fait campagne sur cette question… pas nécessairement en faveur de Poutine, mais [contre] l’utilisation de forces fascistes contre la population».

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SUITE : https://www.wsws.org/fr/articles/2022/06/04/gbre-j04.html

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Macron bis a trouvé une solution contre la crise hospitalière, notamment celle des urgences

Cela, c'était avant la finale UEFA au Stade de France. Non, pardon, c'était avant la réélection à l'Elysée d'un ex-gérant d'une très grande banque d'affaires qui fait du business sur toute la planète. Mais, question santé, avec Macron bis, ça va changer grave.

 

Il vient d'adouber le praticien hospitalier François Braun, président de Samu-urgences -si, si, ça existe- pour ficeler un rapport d'enquête pour diagnostiquer la panade monumentale des services d'urgence à l'hôpital public. D'ici le 1er juillet, ledit praticien hospitalier devra remettre son rapport à Macron bis. Pardon à Brigitte Bourguignon, nouvelle ministre de la Santé. Ben oui, Macron bis n'a pas que ça à faire!

Et l'ancien ministre de la Santé, l'inoubliable docteur Olivier Véran? Pour services rendus, il est adoubé ministre chargé des relations avec le parlement, c'est à dire avec 577 députés et 348 sénateurs. Attention, ce n'est pas du pantouflage sous les ors de notre république monarchique.

Pour en revenir au praticien hospitalier François Brun, durant la campagne présidentielle, il était conseiller es-spécial chargé des problèmes de santé du candidat Macron. Non, non, surtout ne riez pas!

Et pour ceux qui décidément ne suivraient pas et attendraient que le ciel vous tombe sur la tête avant de réagir:

Macron bis a trouvé une solution contre la crise hospitalière, notamment celle des urgences

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Ci-dessous: un article paru dans le quotidien La Marsellaise :

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Le Top 10 des investisseurs d'Unilever soutient Peltz pour apporter de l'urgence

L'Allemand Flossbach von Storch, l'un des dix principaux actionnaires d'Unilever, soutient Nelson Peltz pour donner un coup de fouet au géant des biens de consommation, mais ne s'attend pas à des changements structurels majeurs, a-t-il déclaré jeudi.

L'Allemand Flossbach von Storch, l'un des dix principaux actionnaires d'Unilever, soutient Nelson Peltz pour donner un coup de fouet au géant des biens de consommation, mais ne s'attend pas à des changements structurels majeurs, a-t-il déclaré jeudi.

 

L'investisseur activiste milliardaire Peltz rejoindra le conseil d'administration d'Unilever en juillet, a annoncé la société mardi, mettant ainsi la pression sur le fabricant du savon Dove et de la mayonnaise Hellmann's alors qu'il revoit sa stratégie.

Les investisseurs d'Unilever ont été déçus par la performance médiocre de l'action de la société et par l'échec de l'offre d'achat de 50 milliards de livres (63 milliards de dollars) de la branche des soins de santé grand public de GSK en janvier.

"Nous partageons l'approche que Nelson Peltz a mise en avant dans d'autres entreprises", a déclaré Bert Flossbach, fondateur et membre du conseil d'administration, dans une déclaration envoyée par e-mail.

"Avec Unilever, également, il s'agit davantage d'améliorations constantes de la valeur de la marque et de l'exécution et moins d'un grand changement structurel comme une acquisition à grande échelle."

M. Peltz, qui dirige le fonds Trian basé à New York, est connu pour son intérêt pour les entreprises axées sur la consommation et pour proposer des changements opérationnels dans les sociétés du portefeuille du fonds spéculatif. Il a déjà siégé aux conseils d'administration de Procter & Gamble Co, Mondelez et Heinz.

M. Flossbach s'attend à un "sentiment d'urgence concernant les responsabilités nouvellement créées au sein de l'équipe de direction et la nouvelle gamme de segments", a-t-il déclaré.

Selon les données de Refinitiv Eikon, Flossbach von Storch, basé à Cologne, est le huitième plus grand actionnaire d'Unilever avec une participation de 1,01 % qui vaut actuellement 964 millions de livres (1,2 milliard de dollars).

Flossbach a, par le passé, soutenu qu'Unilever pourrait être plus efficace s'il était scindé. Ses derniers commentaires indiquent que les actionnaires donneront du temps à la direction pour redresser l'entreprise.

"Il y a maintenant un groupe d'investisseurs soutenant Unilever qui est orienté vers le long terme et constructif. La direction d'Unilever devrait considérer cela comme un atout", a déclaré M. Flossbach. "Elle dispose de la marge de manœuvre nécessaire pour s'améliorer sans se perdre dans le court-termisme."

Publié par www.zonebourse.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Gérard Darmanin, ministre de la police: merci à saint Lacrymo qui a évité le pire

Cette capture d'écran sur Charlie Hebdo peut résumer l'outil incomparable utilisé par la police et les gendarmes mobiles pour maintenir l'ordre dit républicain. Arme chimique interdite en temps de guerre, mais autorisée en France contre des civils en temps de paix. Ah, notre patrie des droits de l'Homme et de la Lacrymo.

 

Auditionné gentiment par le Sénat, après l'énorme chaos intervenu avant et après le match Real de Madrid-Liverpool au Stade de France, Gérard Darmanin, reconduit comme ministre de la police par Macron bis -on ne change pas une équipe qui gagne- a reconnu toutefois:  "Il y a eu des gestes inappropriés et disproportionnés de la part de policiers ou de gendarmes mobiles" (...) notamment "l'utilisation disproportionnée des gaz lacrymogènes".

Ben oui, de la lacrymo en veux-tu, t'en veux pas, mais t'en auras quand même sur des enfants, des femmes et des supporters tous pacifiques, ça fait plutôt désordre que maintien efficace de l'ordre. Non?

En tout cas, il va être demandé, pas ordonné, au délégué interministériel des Jeux olympiques et aux grands événements -si, si, il existe vraiment- d'envisager "des règles différentes" de celle de la dispersion avec du gaz lacrymogène en cas "d'événements sportifs exceptionnels". Ouf, on respirera mieux peut-être sans l'appui sanctifié de saint Lacrymo.

Et pour les manifs?

Si vous n’avez jamais expérimenté les lacrymos, imaginez qu’on vous injecte du poivre dans les yeux tout en appuyant fortement sur la poitrine, cela en vertu de l’article R. 434–18 du Code de la sécurité intérieure : « Le policier ou le gendarme emploie la force dans le cadre fixé par la loi, seulement lorsque c’est nécessaire, et de façon proportionnée au but à atteindre ou à la gravité de la menace, selon le cas. »

Pour les manifs, ah ben non, il n'était question que de sports devant le Sénat, même qu'en guest star, il y avait la ministre dite des Sports de Macron bis.

En tout cas, comme écrit Charlie Hebdo: "On ne va pas regretter les tirs à balles réelles dans les foules. Les lacrymos sont peut-être plus démocratiques que les mitrailleuses, mais leur banalisation abusive relativise quelque peu ce côté démocratique. Et puis, si les flics tiennent tant à gazer les foules pour ne pas perdre la main, suggérons-leur de balancer du protoxyde d’azote… Autrement dit, du gaz hilarant. Au moins, il y aurait plus de monde dans les manifs."

Pour rire ou peut-être pas.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
General Electric aurait transféré 800 millions d’euros vers des paradis fiscaux avec l’aide de l’Etat

 

Une enquête menée par Disclose révèle que la multinationale General Electric a fait évader plus de 800 millions d’euros depuis la France vers des paradis fiscaux. Un dispositif qui a pu être mis en place grâce à la complicité de l’État français et du ministère des finances.

PATRONS-VOYOUS

Crédits photo : AFP

D’après une enquête du média d’enquête Disclose, appuyée sur des rapports d’audits indépendants et des documents internes à General Electric, la multinationale américaine aurait mis en place un montage financier lui ayant permis d’envoyer pas moins de 800 millions d’euros depuis la France vers des paradis fiscaux.

Comme l’explique Disclose, ce scandale s’ajoute au lourd bilan en termes de suppressions d’emplois. En effet, suite rachat de la branche énergie d’Alstom par General Electric en 2015, conclu lors d’un accord Emmanuel Macron lui-même alors ministre de l’économie, les plans sociaux se succèdent, la multinationale a supprimé pas moins de 5000 emploi en France et 1700 rien qu’à l’usine de Belfort dans le cadre de son plan de restructuration mondial.

Dès le moment du rachat, la multinationale met sur pied un procédé à partir de l’usine de Belfort qui devient un prestataire, sous l’égide de la filiale suisse General Electric Switzerland GmbH (GES) crée à l’occasion pour capitaliser la plupart des bénéfices de l’antenne française General Electric Energy Products France (GEEPF).

L’opération, décrite dans l’article de Disclose aurait permis la multinationale de transférer vers les paradis fiscaux plus de 800 millions d’euros de profit des caisses de la GEEPF. Ces pratiques d’optimisation fiscale avaient déjà fait l’objet de dénonciation de l’intersyndicale de GE Belfort, qui ont déposé une plainte en 2021 pour « fraude au droit à la participation des salariés » et aujourd’hui déposent plainte pour fraude fiscale devant le Parquet National Financier (PNF). L’intersyndicale, composée de CFE-CGC et Sud, expliquait que l’argument sur les résultats déficitaires du groupe sont artificiels « avec un pillage en règle des ressources de l’entité belfortaine et avec des bénéfices enregistrés en Suisse, dans le canton d’Argovie, où la fiscalité est douce pour les sociétés », ce qui revient à justifier le budget d’investissement dédié à l’industrie, à maintenir le gel de salaires, les plans sociaux et les délocalisations.

Un scandale d’évasion fiscale qui aurait été réalisé avec la complicité de l’État français

Selon le média d’investigation, la multinationale aurait été aidée dans son entreprise d’évasion fiscale par les autorités financières françaises. En échange des informations complètes sur sa situation fiscale, GE a obtenu du fisc qu’il ne réalise aucun contrôle. Cette pratique montre à quel point les règles fiscales peuvent être accommodées en fonction des besoins des grandes entreprises capitalistes, pour que ces dernières puissent réaliser au mieux le maximum de profit. Et comme si les profits et les dividendes faramineux déjà réalisé dans un cadre légal ne suffisaient pas, ces grandes entreprises s’arrangent directement avec l’État pour que ce dernier ferme les yeux sur ces pratiques. Cet énième scandale d’évasion fiscale montre bien que le rôle de l’État et le gouvernement n’est autre que d’administrer au mieux les affaires des capitalistes.

Dans un contexte d’inflation galopante et alors que les salaires ne suivent pas, cette affaire d’évasion fiscale vient rappeler les profits colossaux que les entreprises réalisent sur le dos des travailleuses et des travailleurs. Elle est une preuve supplémentaire que le refus du patronat d’augmenter les salaires n’est pas lié à une prétendue boucle inflationniste (augmenter les salaires augmenterait invariablement les prix) comme l’explique le Medef, mais bien plus au refus catégorique des patrons de rogner sur leurs profits indécents. Face à une telle situation, il est urgent d’exiger l’augmentation immédiate des salaires et leur indexation sur les prix mais également d’exiger l’ouverture des livres de comptes pour mettre la lumière sur les montants réels que dégagent les entreprises capitalistes de l’exploitation des travailleurs.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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CAPTURE D'ECRAN

CAPTURE D'ECRAN

Le journaliste Frédéric Leclerc-Imhoff de Bfmtv tué en reportage en Ukraine: communiqué SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes, SGJ-FO

 

Les organisations syndicales de journalistes SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes et SGJ-FO ont appris avec douleur la mort de leur confrère Frédéric Leclerc-Imhoff, tué ce lundi 30 mai en Ukraine. Ils présentent leurs plus sincères condoléances à sa famille et ses amis, et partagent l’immense peine des collègues de Frédéric.

Journaliste reporter d’images, Frédéric Leclerc-Imhoff, âgé de 32 ans, travaillait pour la rédaction de BFMTV en tant que pigiste. Envoyé spécial en Ukraine sous contrat CDD, il effectuait un reportage dans la région de Severodonetsk quand il a été mortellement touché par un éclat d’obus. Il était accompagné par notre confrère Maxime Brandstaetter, qui travaille pour la même rédaction, et par Oksana Leuta, leur fixeuse. Maxime Brandstaetter a été blessé mais ses jours ne sont pas en danger.

Les syndicats SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes et SGJ-FO exigent que les autorités mettent tout en œuvre pour éclaircir au plus vite les circonstances précises de ce drame.

Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, en février, au moins 8 journalistes ont été tués en reportage. Cette spirale meurtrière contre les professionnels de l’information est insoutenable.

Réunis au 31e congrès mondial de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) à Mascate (Oman) du 31 mai au 3 juin, le SNJ, le SNJ-CGT, la CFDT-Journalistes et le SGJ-FO demandent donc de soutenir le projet de convention internationale des Nations Unies pour la protection des journalistes et des professionnels des médias, présenté par la FIJ, forte de ses 600 000 adhérents dans 150 pays.

Les auteurs des crimes qui visent des reporters de guerre ne peuvent rester impunis.

Paris, le 30 mai 2022.

Commentaire de ma pomme:

Un journaliste pigiste est employé à titre occasionnel par un média. Il est considéré comme journaliste professionnel indépendant (loi Cressard de 1974) et est salarié à la pige. C'est à dire qu'il est rémunéré à l'article, au reportage ou à la photo.

Frédéric Leclerc-Imhoff était de plus "envoyé spécial en Ukraine sous contrat CDD".

Indépendamment du communiqué intersyndical, celui-ci a été paraphé au 31e congrès mondial de la Fédération internationale des journalistes. Il se tient jusqu'au 3 juin 2022 à Oman, sultanat de la péninsule d'Arabie, dit "monarchie absolue" selon Wikipédia.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Mise à pieds disciplinaire de 3 jours

Suite à l'entretien du 3 mai 2022, la décision de la direction est tombée. Le salarié a été notifié d'une mise à pieds disciplinaire de 3 jours ( 3 jours non-payés).

 

Voici comment la direction règle les conflits du travail sans jamais mettre en cause son management… !

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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