SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

C'est BFM qui le dit ...

"À Brest, on a recensé plus de 130 patients qui ont attendu plus de 20 heures sur un brancard aux urgences", regrette Thomas Bourhis (CGT CHRU Brest-Carhaix)
Thomas Bourhis, secrétaire général CGT CHRU Brest-Carhaix, était en direct sur BFMTV pour parler de la prise en charge des patients aux urgences. 

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Promesse de campagne du Nouveau Front Populaire aux élections législatives, l’augmentation du SMIC à 1 600 euros net par mois (+15 % par rapport à juin 2024) a provoqué une large levée de boucliers. Pour l'apprenti économiste Gabriel Attal, la mesure conduirait à la « destruction d’un demi-million d’emplois », ou encore à une « catastrophe économique » pour l'endetteur en chef Bruno Le Maire. Ces deux ministres, dont la totalité de la carrière s'est déroulé sous les ors de la République, et qui émargent respectivement à 16 000 et 11 000 euros brut par mois de deniers publics, se sentent assez légitimes pour affirmer que 1 600 euros net, c’est définitivement trop. Au-delà de leur indécence, ces propos sont totalement contredits par une récente étude de l’Institut de recherches économiques et sociales (IRES). On vous explique tout !

La conclusion de l'étude de l'IRES est très claire : « Globalement, d’un point de vue macroéconomique, une hausse de +15 % du salaire minimum se traduit par une légère baisse du coût moyen de la main-d’œuvre ». En ce qui concerne la menace d’une destruction de l’emploi, l’étude de David Card et Alan Krueger – pour laquelle ils ont obtenu le prix de la Banque de Suède en Sciences économiques, le « Nobel » de l’économie – est rassurante : l’augmentation du salaire minimum n’a pas ou peu d’effet sur le taux de chômage. D'autres études (anglaise et espagnole) viennent confirmer cette conclusion.

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Publié par EL DIABLO

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Le scandale ce n'est pas la menace de destitution, c'est que Macron prépare la rentrée scolaire "choc des savoirs" contre l'Education nationale, contre les enseignants et contre les élèves, un budget d'hyper austérité contre tous les services publics pour les mois à venir avec un gouvernement pourtant "démissionnaire" et cependant en poste depuis 6 semaines alors qu'il a été battu aux élections après avoir déjà truqué les élections au perchoir de l'Assemblée nationale en y faisant voter ses ministres alors qu'ils n'en ont pas le droit.


Le scandale c'est qu'il n'ait pas déjà été destitué... mais ça ne pourra venir que par en bas.

EN S'ASSEYANT SUR LES ÉLECTIONS, MACRON NE LAISSE QUE LA SOLUTION DE LA RÉVOLUTION

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Dans notre magazine, nous étudions la lutte des classes, phénomène majeur qui explique beaucoup plus de choses qu’on le croit : la politique, évidemment, mais aussi le monde médiatique, culturel, les fictions, les frustrations, les rêves, le travail, l’éducation… La lutte des classes est un concept qui est trop souvent associé à une époque révolue. Longtemps, journalistes ou sociologues ont raconté que notre société était d’abord celle d’une “grande classe moyenne”, et certains continuent de le faire, alors que les faits sont bien là. Nous voyons toutes et tous une classe dominante s’enrichir, bénéficiant des politiques menées comme la suppression de l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), et une grande partie du reste de la population s’appauvrir, accablée par des salaires qui stagnent, une protection sociale qui s’effrite et un coût de la vie qui augmente. Mais pour parler de cette réalité, il nous faut utiliser des mots efficaces et ancrés… dans la réalité. “La finance”, “les riches”, le peuple” : force est de constater que nous avons été, même dans le camp de ceux qui luttent au sein de ce conflit de classes, noyés sous des concepts flous et souvent inopérants : ils ne convainquent pas grand monde et n’aident pas à y voir clair. C’est pourquoi nous vous proposons les définitions des trois concepts que nous utilisons le plus souvent pour parler de la lutte des classes en France : la classe bourgeoise, la classe sous-bourgeoise et la classe laborieuse. Ils sont le résultat de 8 ans de travail au sein de notre magazine, de questionnements et d’une observation de la société que nous connaissons, celle qui souffre, qui bout et qui parfois explose.

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 	 Unilever : des chiffres qui inspirent la confiance
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Publié par Trends-Tendances

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Nous expliquons depuis des années que le système de santé ne peut reposer que sur le service public et qu’il existe une incompatibilité avec le secteur privé lucratif. Les libéraux de droite et de gauche n’ont cessé de nous critiquer en expliquant qu’il ne fallait pas opposer le public et le privé, que les deux secteurs étaient complémentaires et que les actionnaires des cliniques privées étaient de gentils philanthropes. Confronté à une fermeture brutale et complète du service d’urgence d’une grande clinique, obligeant l’hôpital public déjà surchargé à accueillir les patients trouvant porte close dans cet établissement, pour la première fois, un directeur d’hôpital, celui du Havre, exprime sa colère devant cette situation, ce d’autant que l’argument invoqué est celui des vacances du personnel de la clinique. Son cri du cœur exprime le sentiment des personnels de son établissement. Je le cite : « Les hospitaliers méritent eux-aussi des vacances et la considération des autres professionnels de santé du territoire ».

Cet exemple n’est pas isolé. La même situation a été rencontrée cet été à Perpignan, à Rennes ou encore dans l’agglomération nantaise. Le secteur des maternités est également touché, comme à Avignon où la clinique Urbain V du groupe Elsan va fermer en novembre sa maternité, la jugeant insuffisamment rentable, laissant l’hôpital public seul pour accueillir les femmes enceintes dans une région déjà confrontée à la disparition de nombreuses maternités de proximité. Groupe Elsan dont il faut citer certains de ses actionnaires : la famille Bettencourt et l’assureur Axa.

Ce qui est particulièrement scandaleux est que le gouvernement par l’entremise des Agences régionales de santé laisse faire et n’impose aucune contrainte au secteur privé lucratif, alors que ce dernier est financé quasi intégralement par l’argent de la Sécurité sociale et qu’il bénéficie même de subventions publiques pour ses investissements. Par ailleurs, rien ne les étouffent car leur représentation, la Fédération de l’hospitalisation privée, adhérente du MEDEF, mécontente des tarifs imposés à l’ensemble du secteur dans un cadre budgétaire contraint, avait menacé d’une grève début juin. Menace qui n’avait finalement pas été mise à exécution car une nouvelle fois la gouvernement a cédé à leur demande en leur octroyant des crédits supplémentaires. Pendant ce temps, les hôpitaux publics, pressurés financièrement et obligés d’assurer l’ensemble des activités délaissées par le secteur privé car insuffisamment lucratives, accumulent les déficits du fait de leur manque de ressources et n’assurent plus qu’un service public dégradé.

Cette situation est inacceptable et il faut clairement affirmer qu’un vrai programme de gauche dans le secteur de la santé ne peut reposer que sur la perspective claire d’en exclure les activités privées lucratives. En effet, la logique du marché n’est pas d’assurer des missions de service public mais en priorité d’offrir le meilleur retour sur investissement aux actionnaires. Alors, banco, mesdames et messieurs les députés !

Dr Christophe Prudhomme

Praticien hospitalier -SAMU 93

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Sud Ouest

Qu’est-il arrivé à la gerbe commémorative déposée à la gare d’Agen ?
 
Qu’est-il arrivé à la gerbe commémorative déposée à la gare d’Agen ?
La gerbe a été déposée samedi. Les responsables de la gare affirment de l’avoir pas enlevée. © Crédit photo : CGT Cheminots

 

La CGT cheminots du Lot-et-Garonne est indignée : les fleurs en hommage à la grève insurrectionnelle du 10 août 1944 ont disparu

 

La colère est palpable dans les mots du communiqué envoyé ce lundi, tout juste deux jours après la commémoration de la grève insurrectionnelle du 10 août 1944 qui saluait l’action des cheminots « ayant entraîné la libération de Paris ».
 

 

« Ce jour à 9 heures, les cheminots ont constaté la disparition de la gerbe. Gare et connexion, affirme ne pas avoir procédé à l’enlèvement de la gerbe. Donc, soit c’est un acte de vandalisme avec un vol caractérisé, soit c’est un acte odieux contre les cheminots qui furent des résistants au régime Nazi. Le syndicat souhaite que les pouvoirs publics, la direction SNCF, s’emparent de cette affaire qui renie, quelle que soit la cause l’histoire des cheminots, leur rôle dans la résistance », réagit la CGT.

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« 127 patients de plus de 75 ans ont attendu 23 h en moyenne » : à Brest, une action syndicale du personnel des urgences
 
 
Le personnel des urgences du CHU de Brest mènera une action syndicale ce mardi 13 août 2024.

En grève reconductible et illimitée depuis le 4 juillet, le personnel des urgences du CHU de Brest annonce son intention de mener une action syndicale ce mardi pour dénoncer les conditions d’accueil des personnes hospitalisées.

« Sur la période du 10 juillet au 7 août, soit 28 jours, 127 patients de plus de 75 ans ont attendu en moyenne 23 heures aux urgences sur un brancard », assure le syndicat CGT du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Brest dans un communiqué envoyé ce lundi 12 août 2024. Une action syndicale sera menée mardi 13 août, à 10 h 30, par le personnel des urgences adultes de la Cavale-Blanche pour dénoncer ses conditions de travail et celles d’accueil et d’hospitalisation des personnes qui s’y rendent.

Un « mur de la honte »

Le parking couvert censé servir de zone tampon pour l’accueil des patients et augmenter la capacité de prise en charge de 22 postes est devenu « une zone de stockage », selon le syndicat. Ce dernier réclamait également des renforts supplémentaires et une équipe composée d’un infirmier diplômé d’État, d’un aide-soignant et d’un brancardier pour s’occuper de cette zone.

« Depuis le 3 août, ces postes sont pourvus mais, au-delà du 19 août, cette salle d’attente allongée (SAA) sera de nouveau à la charge des effectifs habituels des urgences », signale toujours le syndicat. « Cette décision n’est pas due à une prise de conscience mais est une réponse départementale à la fermeture des urgences de Landerneau ». Pour dénoncer ces conditions de prise en charge des patients, « de plus en plus âgés et dépendants », le personnel des urgences dressera donc un « mur de la honte » ce mardi.

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Un décret publié le 10 juillet autorise la suspension du repos hebdomadaire dans certaines activités agricoles. Cette vieille revendication des producteurs de champagne, satisfaite par Catherine Vautrin et Marc Fesneau, divise les syndicats.

Même après la défaite des troupes macronistes aux élections législatives, l’exécutif a continué de prendre des décisions ayant un impact sur la vie des travailleurs. Au Journal officiel du 10 juillet – soit trois jours après le second tour du scrutin, a été publié un décret qui autorise la suspension du repos hebdomadaire dans certaines activités agricoles. Le texte a été salué par des parlementaires du camp présidentiel et de la droite, alors que plusieurs syndicats y voient un recul social.

« C’est honteux de venir supprimer ce repos alors que les vendanges ont été mortelles l’année dernière », dénonce Fabien Trujillo, représentant de la Fédération nationale agroalimentaire et forestière de la CGT, en parlant des quatre saisonniers qui ont perdu la vie en Champagne, après un arrêt cardiaque dû aux fortes chaleurs régnant à l’époque. « On a régulièrement des canicules dans la région, souligne Philippe Cothenet, secrétaire général adjoint de la CGT-Champagne. Ce n’est pas le moment de durcir les conditions de travail. » Comme le décret « s’adresse beaucoup » à la Champagne, M. Cothenet se dit « qu’il a dû y avoir du lobbying » : « C’est un petit cadeau fait aux exploitants avant de quitter le gouvernement », grince-t-il en visant Mme Vautrin. 

Pour leur part, la CGT et FO ont dit qu’elles étaient défavorables au texte. « Comme toujours dans ce secteur, on privilégie le produit au détriment du sort réservé aux salariés.

SOURCE :

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🇬🇧

⚡️ 🇫🇷 Le dîner en l’honneur de Charles III a creusé un trou dans le budget du Palais de l'Elysée


🔸Un dîner somptueux pour le roi Charles III de Grande-Bretagne coûtant près de 475 000 euros est l'une des raisons du déficit record du palais de l'Elysée l'année dernière, écrit Politico. L'amour de la France pour les grands gestes et les repas somptueux a été mis en évidence dans les pages d'un rapport sur l'audit annuel du budget du Palais de l'Elysée publié le lundi 29 juillet par la Cour des comptes, la plus haute instance de l'audit en France, note l'article.

🔸Les dépenses du Palais de l'Elysée se sont élevées à 125 millions d'euros, ce qui a entraîné une réduction du budget de 8,3 millions d'euros. Deux dîners d'État somptueux - avec le Premier ministre indien Narendra Modi et le roi Charles III - ont été l'un des principaux facteurs du déficit. En septembre dernier, Emmanuel Macron a accueilli le chef d'État britannique à Versailles, le siège historique de la monarchie française. Plus de 160 personnes ont été invitées à ce dîner, parmi lesquelles les stars comme Mick Jagger, le leader des Rolling Stones, et l'acteur britannique Hugh Grant.

🔸Le dîner, au cours duquel les invités ont dégusté du homard bleu et des macarons roses, a coûté au président français près de 475 000 euros, dont 165 000 euros pour la restauration et plus de 40 000 euros pour le vin (dont une bouteille de Château Mouton Rothschild 2004) et d'autres boissons. A cela s'ajoutent les dépenses de décoration et d'animation à l'extérieur du Palais de l'Elysée. Suite à la publication du rapport, l'Elysée a réagi à ce montant en déclarant :
 

👉 "La France entretient des relations diplomatiques étroites avec un grand nombre de pays qui organisent des prestations équivalentes lorsqu'ils accueillent un chef d'Etat".

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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