SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Airbus Defence and Space annonce la suppression de 2 500 postes

Airbus a annoncé ce mercredi la suppression de 7 % des emplois de sa branche spatiale. Alors que ses carnets de commandes sont remplis, la direction multiplie les offensives contre les travailleurs au prétexte de difficultés de production dont elle est directement responsable.

Crédits photo : Image d’illustration, Presidencia Peru

Crédits photo : Image d’illustration, Presidencia Peru

Dans un communiqué, publié mercredi 16 octobre, la direction du géant aéronautique annonce « réduire le nombre de postes à 2 500 postes dans Airbus Defence and Space jusqu’au milieu de l’année 2026 ». La division d’Airbus qui réunit 35 000 salariés, dont une grande partie travaille sur les deux sites français de Toulouse et Elancourt, est menacée de perdre plus de 7 % de ses effectifs.

Une casse sociale de grande ampleur que la direction justifie par la nécessité de s’ « adapter à un marché spatial de plus en plus difficile » dans « un contexte commercial en mutation rapide et très difficile, avec des chaînes d’approvisionnement perturbées, des changements rapides dans la guerre et une pression croissante sur les coûts en raison des contraintes budgétaires ».

Plus concrètement, le groupe cherche à faire payer aux travailleurs les frais de sa mauvaise gestion. En effet, ces dernières années, Airbus a vu ses performances diminuer sur le marché des satellites et doit débourser des centaines de millions d’euros pour palier aux coûts liés aux retards des programmes OneSat et Eurostar (télécoms) mais aussi à sa mauvaise gestion dans les activités de navigation et d’observation de la Terre. Le géant aéronautique a dû débloquer plus de 900 millions d’euros pour ses programmes spatiaux au semestre dernier.

C’est avec le même discours sur la « nécessité de s’adapter aux nouvelles réalités du marché spatial » que la direction de Thalès Alenia Space, autre poids lourd du secteur, veut supprimer 1 300 emplois. Pourtant, comme l’expliquait Thomas Meynadier, représentant de la CGT chez Thales Alenia Space, « le marché du spatial n’est pas en crise, il est même en croissance », avant de préciser que « le marché des géo-télécommunications connaît une mutation […]. On va rentrer dans une phase de production des satellites qui ont été commandés. Pour qu’elle ne soit pas mise à mal, on a besoin de la totalité des effectifs ».

Plus largement, le groupe Airbus multiplie les attaques contre les travailleurs au-delà de sa branche spatiale. En effet, après avoir cassé les conditions de travail avec le plan « Reload » qui a occasionné la refonte de tous les accords en les révisant à la baisse, un plan d’austérité nommé « Lead », annoncé début juillet a lui pour projet de mettre un coup d’arrêt aux embauches et de faire la « chasse aux coûts ».

Là encore, la direction d’Airbus justifie cette attaque par des difficultés de production. Pourtant, ces mêmes difficultés sont, en grande partie, dues à ses choix stratégiques, avec notamment les suppressions massives d’emplois de la période Covid qui lui ont fait perdre une main d’œuvre qualifiée qui n’est pas remplaçable rapidement. Les années suivantes, les travailleurs d’Airbus ont vu leurs salaires réels baisser avec des augmentations désindexées de l’inflation.

Ces attaques multiples contre les travailleurs interviennent alors le groupe a réalisé un bénéfice net de 3,8 milliards d’euros en 2023, soit le troisième profit annuel le plus important de son histoire et a même pris la liberté d’augmenter de 55% les dividendes versés aux actionnaires en 2024. De plus, Airbus Defence and Space comme Thalès suppriment des milliers d’emplois, mais profitent dans le même temps de millions d’euros d’aides publiques. En effet, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, a alloué pas moins de 70 millions d’euros au spatial lors de son mandat et réaffirmait en septembre vouloir ajouter 30 millions d’euros d’aides au secteur du spatial pour les trois prochaines années.

Dans ce contexte, il n’y a que le rapport de force qui permettra de mettre un coup d’arrêt aux offensives contre les travailleurs. Dans ce sens, les grévistes de Boeing mobilisés depuis plus d’un mois montrent la voie à suivre en relevant la tête après 16 années de reculs sociaux.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Novares. La fermeture de l’usine d’Ostwald menace de licencier 126 travailleurs

L’équipementier automobile Novares a annoncé début septembre la fermeture de l'usine d’Ostwald proche de Strasbourg, menaçant 126 travailleurs de licenciement. Un cas emblématique du carnage social que mène actuellement le patronat dans la filière automobile.

Crédits photo : Capture Vidéo

Crédits photo : Capture Vidéo

La casse sociale est brutale chez le producteur de composants et d’ensembles plastiques pour l’automobile. Lors d’une réunion informelle avec les syndicats, le 10 septembre dernier, la direction de l’usine Novares à Strasbourg a informé les représentants du personnel de la fermeture de l’usine. Le site compte 126 travailleurs qui risquent de perdre leur emploi, en dépit de la grande ancienneté des travailleurs.

Contre cette offensive, la coordination CGT de l’ensemble des sites français de Novares appelait à la mobilisation le 1er octobre, dans un communiqué publié le 25 septembre. Sur le site alsacien, l’intersyndicale CGT-CFTC-FO avait déposé un préavis de grève pour la même journée qui a été massivement suivie avec quasiment 100% de grévistes.

La colère des travailleurs est d’autant forte que le groupe Novares, qui compte plus de 37 usines dans 22 pays, fait partie des grandes entreprises qui ont reçu des millions d’euros d’aides publiques, sans aucune contrepartie. Ainsi, tout en ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’État de 71 millions d’euros, la direction de Novares ne se gêne pas aujourd’hui pour fermer une usine et bouleverser la vie de 126 personnes.

Cette casse sociale est loin d’être un cas isolé. En effet, les annonces de plans de licenciement et de fermeture d’usine se multiplient ces derniers mois, en particulier chez les sous-traitants du secteur automobile à l’image de Dumarey qui supprime 248 postes sur son site de Strasbourg ou encore de MA France qui cherche à fermer son usine dans le 93. La vague de fermetures touche plus généralement l’industrie automobile européenne, comme en Allemagne où le géant de l’automobile Volkswagen a annoncé la fermeture de plusieurs sites, une première sur le sol allemand. En Belgique, Audi a également décidé de fermer une usine de plus de 3000 salariés.

Si les exemples ne manquent pas, c’est parce que toute la filière automobile européenne fait face à une crise avec une baisse de la demande exacerbée par la concurrence internationale toujours plus féroce avec la Chine et les États-Unis. Dans ce contexte, le patronat de l’automobile fait payer les conséquences de cette situation sur les travailleurs pour préserver au maximum ses profits.

Face à cette offensive contre les travailleurs organisée à l’échelle internationale, seul un rapport de force conséquent peut empêcher une déroute sociale. Alors que la CGT dénombre 180 plans de licenciements actuellement en cours, la perspective d’un « moratoire sur tous les licenciements » défendue par Sophie Binet apparaît en décalage avec l’urgence de la situation.

C’est au contraire par la construction d’un rapport de force, grâce à une grève coordonnée et organisée par les travailleurs des différents sous-traitants comme des donneurs d’ordre, qu’il sera possible de mettre un coup d’arrêt au désastre social et de reconvertir une industrie qui ne peut continuer à produire toujours plus de voitures sans les écouler.

En ce sens, l’action nationale devant le Salon de l’Automobile appelée par la fédération de la CGT Métallurgie le 17 octobre prochain peut être une étape importante. Pour André Dulery, « s’il y a énormément de monde de la métallurgie et de l’automobile à Paris le 17 octobre, ça voudra dire qu’on pourrait envisager un mouvement d’ampleur ou une action collective de toutes les entreprises concernées ». Ce n’est pas aux travailleurs de payer la crise !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Nantes. 99 % de grévistes à Saunier Duval contre la suppression d’un tiers des effectifs

Ce lundi, les travailleurs du site nantais de Saunier Duval se sont massivement mis en grève pour s'opposer à la suppression de 225 emplois. Une grève forte qui montre la voie à suivre pour affronter les plans de licenciements qui se multiplient dans le pays.

Casse sociale

Crédit photo : capture d’écran Google Maps

Le site nantais de Saunier Duval qui fabrique des pompes à chaleur et des chaudières, a connu une grève totale ce lundi 14 octobre. Une mobilisation qui fait suite à l’annonce d’importantes suppressions de postes. Après que la direction a annoncé 50 suppressions de postes en avril puis 250 en juillet, elle a finalement prévu, en septembre, d’en supprimer 225.

Comme l’explique Bruno Hatton, secrétaire adjoint des métaux de Nantes FO, cette annonce a naturellement suscité des inquiétudes chez les salariés : « Il faut s’imaginer l’effet d’une telle annonce, les gens ont des crédits, ils doivent payer leurs factures... Et puis ce n’est pas facile de retrouver du travail dans la métallurgie ».

La mobilisation s’est ainsi poursuivie par un premier débrayage et une nouvelle journée de grève ce lundi 14 octobre à l’appel de FO et de la CFDT, qui a mis à l’arrêt complet les installations. Avec des taux de grévistes supérieurs à 99 %, les salariés ont montré qu’ils étaient prêts à se battre contre le licenciement d’un tiers des effectifs du site. « Il y a beaucoup de colère, les gens s’aperçoivent que la direction propose n’importe quoi, ça ne passe pas, ils ont bien compris la manœuvre de la direction et ils ont décidé de ne pas se laisser faire » détaille Bruno.

De son côté, la direction se prépare au bras de fer. « Ils veulent nous repasser en 3x8 et augmenter la production au moment où ils nous annoncent un PSE lié à une baisse de la production, c’est du n’importe quoi » dénonce le militant syndical qui a déjà connu d’autres plans de licenciements et sait bien que c’est une stratégie qui permet à la direction de créer du stock afin d’anticiper un potentiel futur mouvement de grève.

Cependant, d’après Bruno, les ambitions de la direction pourraient ne pas s’arrêter là. Alors que le groupe Vaillant a déjà licencié 300 personnes sur son site en Allemagne, ce nouveau PSE s’inscrit dans la stratégie plus générale du groupe de délocaliser progressivement la production. En effet, en parallèle de ces licenciements, le groupe a ouvert récemment une usine en Slovaquie et pourrait en ouvrir une autre pour fermer l’usine nantaise, laissant ainsi des centaines de familles sur le carreau. « Ces gens-là n’ont aucun état d’âme, ce sont des financiers, ils veulent juste que le fric rentre » commente avec dégoût le représentant FO.

Face à cela, les travailleurs de Saunier Duval montrent la voie à suivre : c’est la grève qui fera reculer la direction. Loin d’être un cas isolé, cette casse sociale s’inscrit dans un contexte plus large où 180 plans de licenciements ont été recensés par la CGT depuis 2023, à l’image des 10 000 salariés de Milee licenciés sans aucune indemnité.

A l’heure où Sophie Binet, dirigeante de la CGT, a récemment invoqué la perspective d’« un moratoire sur les licenciements », c’est au contraire par la construction d’un rapport de force, avec une grève coordonnée des différents travailleurs qui font face aux licenciements qu’il sera possible de mettre un coup d’arrêt au désastre social en cours. Alors que les patrons sont prêts à tout pour augmenter leurs profits, il faut refuser tout licenciement ou toute baisse de salaires. Ce n’est pas aux travailleurs de payer la crise !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La sécurité sociale

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

En s'attaquant aux cotisations sociales baptisées " coûts sociaux ", " charges sociales pénalisant le travail ", la droite, le RN et consorts s'attaquent à notre protection sociale et préparent  l'envahissement des capitaux privés dans un secteur où jusque là ils n'ont pu imposer leur loi prédatrice !

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Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

L’individualisation comme technique de gestion des personnels

 

Depuis près de 20 ans le patronat promeut une technique de management par l’individualisation des salaires via des systèmes de primes variables liées à la « performance » individuelle et/ou les collective c’est-à-dire liée à la réalisation d’objectifs.

Cette tendance à l’individualisation n’a fait que se renforcer. Ainsi dans les grandes entreprises neuf salariés sur dix sont aujourd’hui concernés par une individualisation de la rémunération passant par les primes mais aussi des augmentations de salaire individualisées.

Derrière le discours idéologique libéral sur la récompense du « mérite » individuel et la réconciliation du travail et du capital dans le partage des « fruits de la croissance » via l’intéressement, cette politique aboutit concrètement à une destruction des collectifs de travail, une mise en concurrence des salariés entre eux et une auto-exploitation au nom du supposé intérêt commun entre travail et capital.

Ce faisant la question des salaires et de la lutte collective pour l’avancée commune des droits est détournée par l’illusion d’une augmentation individuelle au détriment de ses collègues et dans une relation unilatérale à la direction.

L’accroissement continu de la part flexible du salaire est donc fondamentalement lié à l’évaluation individuelle des « performances » et la politique du chiffre qui l’accompagne avec son corollaire en termes d’isolement des travailleurs, de souffrance au travail et de dégradation de la qualité du travail.

Alors que cette charge de travail ne fait que « monter », Unilever prévoit encore plus de flexibilité, trop de salariés sont encore au salaire le plus bas, des écarts de salaire trop importants avec la même ancienneté et le même travail !

(Jusqu’à 400€ d’écart !!!!)

Beaucoup sont ceux qui n’ont pas vu le facteur passer depuis des années, et qui vivent cette période comme une frustration supplémentaire.

La direction se sert la plupart du temps de l’argument budgétaire pour écarter une augmentation des salaires et privilégier le versement d'AI, primes conjoncturelles liées à des objectifs à atteindre, ainsi que le comportement et le relationnel. Cet argument n’est pas entendable !

 

CE N’EST PAS D’ARGENT DONT MANQUE UNILEVER…

C’EST DE PARTAGE !

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Pas touche à ma Sécu !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
10 000 salariés jetés dans la benne à ordures: le plus grand plan de licenciements en France

A la benne à ordures sans salaire payé depuis trois mois et sans papier pour se présenter à France travail. Retraités à la petite retraite, femmes en précarité pour survivre, la majorité des 10 000 salariés de l'entreprise Milee, distributrice de prospectus publicitaires, se retrouvent sur le carreau après la liquidation judiciaire de leur boîte.

 

La CGT, par la voix de sa secrétaire générale Sophie Binet, réclame d'urgence un moratoire sur les procédures de licenciements. 180 plans, via la benne à ordures, sont en cours actuellement.

Sanofi vend Doliprane, mais pas que, à un fonds made in USA. Macron-Barnier parlaient de réindustrialiser la France.

Dès l'annonce du rachat par un fonds alimenté par le dollar américain, dans un communiqué de presse, les ministres de l’Économie Antoine Armand et de l’Industrie Marc Ferracci ont dit "prendre acte" du rachat par le fonds américain CD&R de Doliprane et de 115 médicaments du laboratoire gaulois Sanofi. Ouah, ça fait peur, non?

Heureusement pour Macron-Barnier et leurs chambellans aux affaires de la France, la troupe de MLP à l'Assemblée nationale ne censure pas le gouvernement. Au nom sans doute de la souveraineté nationale. Non?

Et les médias bien pensant n'ont pas trop ébruités cette tragédie sociale. On est pour la liberté de l'information, où on ne l'est pas.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Unilever (LON:ULVR) entreprend une refonte importante de sa chaîne d'approvisionnement européenne pour les produits d'entretien avec un investissement de plus de 150 millions d'euros (165 millions de dollars). L'initiative de l'entreprise, qui a débuté au début de l'année 2023, vise à remédier à des années de sous-performance et à se connecter avec les consommateurs plus jeunes de l'après-pandémie.

Cette restructuration comprend la construction de nouvelles usines, l'ajout d'entrepôts et l'installation de nouvelles lignes de production dans les installations existantes, l'ensemble du projet devant se poursuivre jusqu'en 2026.

Ce développement fait suite aux informations selon lesquelles Unilever réduirait d'un tiers ses postes de bureau en Europe d'ici fin 2025, dans le cadre de la stratégie du PDG Hein Schumacher visant à stimuler la croissance. Eduardo Campanella, responsable de l'activité mondiale des produits d'entretien d'Unilever, a indiqué que l'entreprise augmente également de 40% ses dépenses en promotion, recherche et développement, bien que le chiffre exact n'ait pas été divulgué.

Campanella a expliqué que la refonte de la chaîne d'approvisionnement permet à Unilever de réinvestir dans l'amélioration des produits, les promotions en magasin et une nouvelle approche marketing, tout en réévaluant la priorité de certaines marques et mises à niveau de produits. Il a souligné le manque d'investissement antérieur en Europe dû à la stagnation, décrivant la nouvelle orientation de l'entreprise comme un "choc culturel" qui a permis à l'activité de "se recâbler un peu".

L'activité mondiale des produits d'entretien d'Unilever a enregistré une hausse de 3,3% de ses ventes sous-jacentes au premier semestre de l'année. Notamment, le segment européen des produits d'entretien a connu une croissance de près de 13% au cours de la même période, dont environ deux tiers attribués à la croissance du volume des ventes.

Surpassant le marché, les avancées d'Unilever interviennent alors qu'Euromonitor International prévoit une croissance de 3,7% du marché des produits d'entretien en Europe occidentale, pour atteindre 36,6 milliards de dollars cette année, le secteur des détergents pour le linge devant connaître une augmentation de 3% en 2024.

Unilever a réagi à la hausse de la demande pour ses produits d'entretien européens en reportant certaines innovations de produits à l'année suivante, car l'entreprise peinait à suivre cette croissance inattendue. La société s'est concentrée sur de nouveaux produits adaptés aux changements de comportement des consommateurs, tels que des détergents pour des cycles de lavage plus courts et le nettoyant Cif commercialisé auprès de la génération Z pour le nettoyage des baskets.

Campanella a souligné que plus de la moitié des charges de lavage en Europe sont à cycle court, mais qu'aucun produit n'était spécifiquement conçu pour ce besoin jusqu'à présent. Il a également mentionné comment la stratégie d'Unilever impliquait de présenter de nouveaux produits aux détaillants européens bien à l'avance, dans un contexte de crise du coût de la vie.

Dans un marché concurrentiel où Procter & Gamble (NYSE:NYSE:PG) est un rival clé, Unilever a réalisé des gains, notamment avec Carrefour (EPA:CARR), où le lancement de son détergent Wonderwash à cycle court a conduit à une augmentation de huit points de part de marché dans le segment des détergents liquides. Le succès du produit s'est également étendu aux magasins Tesco (OTC:TSCDY) Express en Grande-Bretagne, où il a été introduit pour attirer les consommateurs plus jeunes des ménages urbains plus petits.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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