SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La CGT 1ère organisation aux élections chez KFC

Malgré une volonté manifeste de voir disparaître la CGT, en franchissant  les restaurants KFC par plusieurs vagues (éclatant ainsi la représentation syndicale), notre organisation obtient une large majorité avec 41,92 % des voix.


Ce sont les premières élections chez ce nouveau franchisé « Amrest » qui ne compte pas moins de 67 restaurants à travers la France.
Force est de constater, que les salariés portent une confiance réaffirmée et renforcée par un vote massif envers la CGT, dont les militants ont toujours œuvré dans l’intérêt des salariés.

La Fédération CGT Commerce et Services se félicite d’un tel score qui reflète le travail au quotidien des militants dans cette enseigne.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Manifestation contre la répression syndicale à la SNCF à l'issue du grand mouvement contre la privatisation de l'entreprise nationale 
 
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LE CREUSOT : manifestation CGT devant le commissariat
SOURCE : Le Journal de Saône et Loire
 
La fédération CGT mine énergie a réuni environ 150 personnes ce lundi matin devant le commissariat du Creusot. Le but était de soutenir une responsable régionale du syndicat, Laurence Casasreales, qui était entendue à la suite de l'occupation des voies de la gare TGV en avril 2018. "Il semble que la SNCF a porté plainte à l'issue du mouvement en estimant que les trains avaient été empêchés de rouler, détaille Jean-Sébastien Choné, responsable fédéral du pôle discrimination, liberté et action juridique (DLAJ) du syndicat. Nous ne comprenons pas pourquoi car l'action avait été coordonnée avec les responsables de l'entreprise."
 
La CGT a voulu profiter de cette action pour dénoncer ce qu'elle considère comme une répression syndicale à son encontre et, plus globalement, la dernière loi, dite "anti-casseurs" votée par l'assemblée nationale. "Même s'il ne s'agit pas d'une remise en cause du droit de manifester, nous sommes inquiets des conséquences d'une telle loi, poursuit le responsable." Après une heure au commissariat, Laurence Casasreales, a rejoint ses soutiens. Quelques minutes plus tard, elle était avisée du classement sans suite de la plainte.
 
Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Licenciement abusif: un juge professionnel double le plafond des indemnités prud'homales

Pour la première fois, un juge professionnel est passé outre le plafonnement des indemnités prud'homales pour licenciement abusif, fixé par les ordonnances Macron réformant le Code du travail. Le barème instauré depuis 2017 avait également été écorné par plusieurs conseils prud'homaux.

Les ordonnances Macron ont une nouvelle fois été écornées. Mardi dernier, un juge professionnel de la ville d'Agen s'est affranchi du plafonnement des indemnités pour licenciement abusif, fixé en septembre 2017 par les ordonnances Macron réformant le Code du travail. Ce juge «départiteur», qui s'était vu confier le dossier après que les conseilleurs prud'homaux, composés de deux salariées et deux employeurs, n'ont pas réussi à trancher le litige en juillet dernier, a ainsi décidé de doubler le plafond de l'indemnité de la salariée licenciée. Me Gagne, l'avocate de la salariée concernée, a indiqué à l'AFP que sa cliente «aurait dû percevoir au maximum 2 mois de salaire selon les ordonnances Macron, mais le juge lui a accordé 4 mois de salaire». Selon cette dernière, «c'est la première fois qu'un magistrat professionnel prend ce type de décision».

Entrées en vigueur en début de quinquennat, les ordonnances Macron réformant le Code du travail privent notamment le juge de son libre arbitrage pour déterminer le montant des dommages et intérêts d'un salarié en cas de licenciement abusif. Ces derniers sont ainsi plafonnés entre un et vingts mois de salaire brut, et ce en fonction de l'ancienneté du salarié, excepté dans les cas de discrimination, harcèlement ou atteinte aux libertés fondamentales.

Le juge professionnel s'est ainsi appuyé sur l'article 24 de la Charte sociale européenne du 3 mai 1996, ratifiée par la France, qui stipule que «tous les travailleurs ont droit à une protection en cas de licenciement», pour expliquer que le nouveau barème inscrit dans la réforme du Code du travail ne permettait pas de «rémunération adéquate» pour la plaignante.

Un barème contraire au droit international, selon plusieurs conseils prud'homaux

Ces dernières semaines, plusieurs conseils prud'homaux dans les villes de Troyes, Amiens ou encore Lyon n'avaient pas respecté les barèmes des ordonnances Macron, en condamnant ainsi les employeurs à verser des dommages et intérêts bien supérieurs aux planchers fixés. Contacté par le Figaro, Maître Muller, avocat spécialisé en droit du travail, estime que les juges ont considéré que le barème Macron n'était pas conforme à l'article 10 de l'Organisation internationale du travail (OIT) de 1982, ratifié par la France, qui stipule que si les juges «arrivent à la conclusion que le licenciement est injustifié (...), ils devront être habilités à ordonner le versement d'une indemnité adéquate». Ainsi, malgré les plafonnements, «un salarié pourra tout de même obtenir une indemnité supérieure, puisqu'une convention internationale a dans certaines conditions une valeur supérieure à la loi», précise l'avocat.

Outre la considération de l'ancienneté du salarié, la décision du juge «reste tout de même une question d'interprétation, et nous ne pouvons ainsi difficilement lui donner tort», conclut l'avocat. De son côté, le Syndicat des avocats de France (SAF) ne cache pas ses réticences face au plafonnement des indemnités, estimant en outre que «le salarié est moins bien traité que toute autre victime d'un comportement fautif».

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

La semaine sanglante, la création de la CGT révolutionnaire des débuts, la catastrophe de la mine de Courrière, la grande petite peur de 1906, le midi rouge, la journée des 8 heures, le front populaire... Des épisodes qui ont construits peu à peu les conquêtes sociales et qui ont tous été traversés par une idée qui, à l’époque, opposait Jean Jaurès et Emile Pouget : La grève générale.

 

A partir d’archives très peu connues, les historiens Miguel Chueca et Charles Jaquier (chargé de la collection Mémoires sociales aux Editions Agone) racontent l’histoire des luttes syndicales, à travers les idées et les actes qui ont marqué cet âge d’or et ont abouti aux conquêtes sociales qui fondent le monde du travail d’aujourd’hui.

 

Réalisation : Olivier Azam et Laure Guillot - Production Les Mutins de Pangée

Ce film est disponible aussi en DVD (avec Grandpuits et petites victoires) ou Téléchargement.

SOURCE :

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Manu 1er à ses sujets:" Quels services publics voudriez-vous que nous supprimions?"

Capture d'écran

En vérité, la question du président de notre mauvaise république, pour son GRRAND débat national, est “Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ? Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ?” C'est mieux dit que dans mon titre, mais ça vise toujours autant à détourner l’exigence de justice fiscale au profit d’une nouvelle réduction des dépenses publiques.

Il ne vous a sûrement pas échappé que l'admirable Cour des comptes a présenté son rapport sur les dépenses publiques. Et comme cette Haute autorité est indépendante, elle conseille à nos gouvernants de sabrer encore plus dans les dépenses publiques. Sans s'immiscer le moins du monde dans le GRRAND débat national puisque c'est une Haute autorité indépendante.

Question dépenses publiques, ma mère est frappée par le très grand âge couplé de la maladie d'Alzheimer. Veuve depuis 1981, elle touche 875 euros de pension de retraite, pour n'avoir jamais travaillé dans un département de l'Aude au chômage endémique. Mon père est mort à 54 ans d'un accident du travail en 1981. Cela n'a pas été pris en compte, ma mère ayant refusé l'autopsie de son corps enterré dans le cimetière de Port-la-Nouvelle.

L'APA -allocation personnalisée d'autonomie- lui est accordée gentiment en septembre 2018. Il a fallu pour cela plusieurs visites d'un médecin-conseil à domicile pour obtenir cette gentille aide et l'inscrire enfin à Gir4. Le degré de dépendance est évalué de 1 à 6. De 5 à 6, la personne âgée n'a droit à rien. A Gir4, ma mère, 91 ans, maladie d'Alzheimer, est considérée en "dépendance partielle". Ouf, sauvé! Mais malgré sa petite retraite et sa très petite mutuelle qui va avec, chaque jour, seulement une demi-heure lui est offerte par le département midi et soir. Un dossier, appuyé par un certificat médical plus long qu'une journée sans pain, est en attente pour un EHPAD public. Mais la liste d'attente est très très longue. C'est quand même de l'ordre de 1900 à 2250 euros par EHPAD dans le département de l'Aude. Pour le privé, c'est beaucoup beaucoup plus et la liste d'attente s'allonge autant.

Bref, avec sa petite pension de retraite et son GIr4 "dépendance partielle", ma mère demeure chez elle, mon frangin habitant près d'elle s'en occupe. De temps en temps, elle fait un court séjour à l'hôpital public de Narbonne qui la renvoie à Port-la-Nouvelle après des visites médicales de routine et faute de place pour le très grand âge.

Lorsque ma mère trouvera une place en EHPAD, la loi impose que ses enfants, mon frangin et moi, tous deux retraités de la SNCF, lui doivent assistance financière pour son hébergement. Figurez-vous que, à cause du chomdu dans notre département natal, on s'est retrouvé en région parisienne pour bosser. Mon frangin, sans charge de famille à l'époque, a été muté à Narbonne en 1983 comme soutien de famille de ma mère et de mes grands-parents à charge. Il a été toutefois rétrogradé par la gentille SNCF. 

Sarkozy, lorsqu'il était dans le palais de l'Elysée, a étendu la loi pour financer l'hébergement d'un vieux aux petits-enfants. Bien entendu, le socialiste François Hollande, assis dans le même palais, n'a rien changé à ladite loi. Normal avec des ministres comme Benoit Hamon, Manuel Valls, Emmanuel Macron, etc.

Merde, j'ai perdu le fil de ma chronique. Mais je vais écrire sur-le-champ au GRRAND débat national pour qu'il m'aiguille. Selon BFM-tv et consorts, c'est vraiment bêta de ne pas le faire.

Publié par Le Mantois et Partout ailleur

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Une délinquance autorisée en bandes organisées

Entre les lignes entre les mots

 

En France, les 40 multinationalesqui composent le CAC 40 pèsent aujourd’hui plus de 1 300 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit l’équivalent de plus de la moitié du PIB de la France.

Des « fleurons » promus et soutenus par les pouvoirs publics, une forme bien actuelle de l’impérialisme. « Si les résultats économiques et financiers sont généralement mis en avant, la situation faite aux travailleurs et travailleuses, les inégalités entre hommes et femmes, la préservation du climat, le partage des richesses, les droits humains ou la pollution, ne sont généralement pas traités avec le sérieux nécessaire ».

Chiffres-clés

Les impôts versés par les entreprises du CAC 40 ont baissé de 6,4% en valeur absolue entre 2010 et 2017, alors que leurs bénéfices cumulés ont augmenté de 9,3% et les dividendes versés aux actionnaires de 44% en valeur absolue également sur la même période, tandis que leurs effectifs en France ont baissé de 20%.

2018, a été une année record en termes de montant des dividendes versés aux actionnaires par les entreprises du CAC40 avec un total de 57,4 milliards d’euros.

Justice sociale, justice climatique, justice fiscale. Les auteurs et autrices analysent la priorité donnée aux actionnaires et aux dirigeants en terme de répartition des profits créés, faut-il le rappeler, par les seul·es salarié·es, les pratiques climaticides, la minimisation des émissions de gaz à effet de serre, le silence délibéré sur les conséquences réelles des activités, l’évitement et l’évasion fiscale, l’utilisation des paradis fiscaux, la comptabilité diminuant l’assiette d’imposition (comme les intérêts notionnels en Belgique), la baisse choisie et organisée par les pouvoirs publics des taux d’imposition…

Iels font aussi des propositions comme la suppression des tribunaux d’arbitrage privés, la mise en responsabilité des entreprise (j’ajoute qu’il faudrait rendre aussi les actionnaires responsables), le plafonnement des rémunérations, la taxation unitaire des sociétés (donc le démantèlement de la notion de « bénéfice monde » et des reports de pertes d’une société sur les bénéfices d’une autre), une réelle fiscalité carbone sur les sites industriels polluants, le désinvestissement dans le secteur des énergies fossiles…

Des droits pour les peuples et des règles pour les multinationales…

Attac : Les grandes entreprises françaises

un impact désastreux pour la société et la planète

Paris 2019, 24 pages

Didier Epsztajn

Télécharger la brochure : https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/nouveau-rapport-d-attac-les-grandes-entreprises-francaises-un-impact-desastreux

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com
 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
EXIGEONS L'ABROGATION du décret contre les CHÔMEURS

voir également le lien ci-dessous:

[png] INTERSYNDICAL-CHOMEURS-1FEVRIER2019

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Où ce samedi dans l'acte XIII des Gilets jaunes on retrouve l'affirmation désormais célèbre d'Henri KRASUCKI, popularisée depuis longtemps par le FSC,  datant d'avant 1968.

ACTE XIII des gilets jaunes : La régression sociale ne se négocie pas ...
ACTE XIII des gilets jaunes : La régression sociale ne se négocie pas ...
ACTE XIII des gilets jaunes : La régression sociale ne se négocie pas ...
ACTE XIII des gilets jaunes : La régression sociale ne se négocie pas ...

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Face à Macron et la loi des patrons, ripostons !

Au pouvoir depuis deux ans à peine, ce gouvernement est un véritable char d’assaut au service du patronat. Aucun gouvernement, depuis des décennies, n’avait osé s’attaquer aussi massivement aux droits des travailleur·euse·s : destruction programmée de notre protection sociale (sécurité sociale, retraite, chômage), flicage des chômeur·euse·s, démantèlement de la fonction publique, attaques contre la représentativité syndicale… Tout ceci ajouté aux deux lois Travail qui ont rendu les employeur·euse·s tou·te·s puissant·e·s en termes de négociations d’entreprise. D’ici quelques années nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer.

Face à la colère et la détermination des gilets jaunes qui ne faiblissent pas après douze semaines de mobilisation, Macron n’a eu d’autre choix que de faire mine de céder. Cependant, si elle va faire du bien au portefeuille des travailleur·euse·s les plus démuni·e·s, la soi-disant augmentation du SMIC n’est en fait qu’une vaste arnaque. En effet, il s’agit d’une nouvelle baisse de nos cotisations sociales (qui financent sécurité sociale, assurances retraite et chômage), à laquelle s’ajoute une augmentation de la prime d’activité. Si notre pouvoir d’achat va augmenter à court terme, cela n’aura aucune incidence sur nos retraites (qui seront diminuées au contraire par l’augmentation de la CSG) ou nos indemnités chômage (fortement menacées par les négociations en cours). Seule une augmentation du salaire brut permettra une réelle revalorisation de nos revenus !

 

Face à la toute puissance patronale, imposons le rapport de force et la démocratie directe !

Afin de renverser la vapeur, il nous faut créer un rapport de force pour contraindre le gouvernement et le patronat à céder, et gagner de nouveaux droits.

La mise en place du Referendum d’Initiative Citoyenne ne nous paraît pas permettre d’instaurer un réel débat démocratique. En effet, quelles que soient nos revendications, nous ne doutons pas que les différents gouvernements sauront orienter les questions afin de gagner à tous les coups tout en laissant croire au mirage d’une société apaisée. Il n’y a rien non plus à attendre d’un Grand Débat organisé par des institutions obstinément « sourdes » aux revendications portées par les mobilisations sociales, débat par ailleurs orchestré par des élu·e·s aux ordres et qui a tout du grand spectacle. Ses lignes sont d’ores et déjà tracées, les options en sont verrouillées sur le dogme du démantèlement des services publics, ce débat n’autorisera que des propositions et des discussions inoffensives pour la politique libérale du gouvernement. Qui peut encore croire qu’il apportera plus de démocratie ?

Le seul moyen d’obtenir satisfaction c’est de construire dès maintenant la grève générale, d’attaquer les patrons au portefeuille en bloquant réellement l’économie, et ainsi d’obliger Macron à céder à nos revendications.

Pour ne pas laisser les bureaucraties syndicales décider ou négocier à notre place nos droits au rabais, organisons-nous et débattons en assemblées générales d’entreprises et de quartiers afin de définir nos propres exigences.

  • Pour revenir à un réel système de protection sociale basé sur le salaire socialisé, pour l’arrêt des baisses des cotisations sociales qui sont une partie de notre salaire
  • Pour une augmentation immédiate du SMIC, des minima sociaux (minimum vieillesse, retraites les plus faibles, allocation adulte handicapé) et de tous les salaires
  • Pour un redéploiement et une extension des services publics et la fin de la gestion managériale qui les détruit
  • Pour la réduction du temps de travail, pour travailler tou·te·s moins et autrement
  • Pour la défense du droit de tou·te·s les travailleur·euse·s à l’indemnisation chômage, sans exigence
  • Pour une retraite à taux plein plus tôt et une prise en compte réelle de la pénibilité au travail
  • Pour l’abandon des réformes du lycée professionnel et général, pour l’abandon de la loi « école de la confiance ».
  • Pour l’abandon de Parcoursup et la fin des pratiques discriminatoires de hausse des frais d’inscription à l’université pour les étudiant·e·s étranger·ère·s
  • Pour l’abandon de la loi « anti-casseurs » attentatoire au droit de manifester
  • Pour l’interdiction immédiate et définitive des lanceurs de balles de défense (LBD 40), des grenades à main de désencerclement et des grenades de gaz lacrymogène instantanées (GLI-F4) en manifestation
  • Pour l’abandon de la loi « asile et immigration », pour l’accueil digne des réfugié·e·s et leur régularisation
  • Pour la réquisition des bâtiments inoccupés depuis 1 an et plus par les collectivités, et la mise à l’abri des personnes SDF

Luttons, unissons-nous, organisons-nous !

Publié par cnt-f.org

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
51 400 manifestants pour l'acte 13 du mouvement des gilets jaunes

capture d'écran sur Fb

"En baisse", tonitruent les chaines d'infos et les autres, en évoquant sans vergogne ni objectivité les chiffres du ministre de la Police. Et combien de grenades de désencerclement comme si le pays était en guerre? Mais après tout, le pouvoir des riches et du capital, ses commis et ses zélateurs, n'ont à la bouche l'état de droit, la démocratie citoyenne et la République que pour défendre leurs privilèges.

51 400 manifestants donc selon les comptes du ministère de l'Intérieur et rien après la virgule. On en rirait presque tant ce chiffre est libre et non faussé. Certes, certains "ténors" des gilets jaunes lorgnent sur des élections politiciennes pour affaiblir le mouvement. Ils montrent ainsi leurs vrais visages: surtout ne pas indisposer le patronat, comme si celui-ci, plus blanc que l'agnelet qui vient de naitre, n'était pour rien dans le mal-vivre des catégories populaires, petits paysans et petits artisans compris.

Deux petits exemples du fric qui circule à outrance et pas pour augmenter le pouvoir d'achat: l'affaire Benalla-Crase et consorts, dans un contrat lucratif avec un pote à Poutine et aux mafias russes, dont les services de renseignements français n'auraient rien su; Carlos Ghosn, enfin débarqué de Renault par la France de Manu 1er, et ses 50 000 euros offerts pour son mariage en grandes pompes célébré au château de Versailles. Bien entendu, ceci n'est que la partie émergée de l'iceberg en fric dont se gavent les premiers de cordée.

Pour l'instant, le capital n'est pas nommément dénoncé par l'ensemble des gilets jaunes et l'identification de l'adversaire de classe pose problème pour la poursuite de ce mouvement social et populaire. Le palais de l'Elysée ne s' y est pas trompé. Il s'est engouffré dans cette faille idéologique pour servir sur un plateau son GRRANd débat national.

Mais la CGT, toute la CGT, a son mot à dire. Pas pour tenter de s'infiltrer ici ou là dans les cortèges. Mais en se montrant au clair pour ramener vers des revendications de lutte de classes des populations ne connaissant d'elle que les propos fallacieux déversés par les médias au service du capitalisme.

Sur blogs.médiapart, Edgar Morin, sociologue et philosophe français, écrit: "ces événements extraordinaires échappent aux explications ordinaires. Tout en ayant un caractère unique et singulier dans notre histoire, ils comportent en eux un cocktail de jacqueries, de sans-culottes, de 6 février 1934, de juin 1936, de Mai 1968. Ils ont lancé le pays dans une aventure inconnue dont ne voit pas le destin, l’issue, les conséquences. Peut-être émergera-t-il la conscience que, derrière le président contesté et sa politique, derrière les éconocrates et les technocrates des cabinets ministériels, il y a les énormes puissances économiques qui ont colonisé un Pouvoir qui obéit à leur Pouvoir".

Oui, la CGT a son mot à dire dans ce contexte "extraordinaire".

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Manifestation Compiègne 9 février 2019

Départ de la manifestation " l'hippodrome de Compiègne"...

Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019

Et maintenant direction CARREFOUR...

 

 

Par peur, CARREFOUR a baissé tous les rideaux du magasin en bloquant par la même occasion les clients à l'intérieur !!!!

Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019

Retour au centre ville de Compiègne...

Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019
Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019Manifestation Compiègne 9 février 2019

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Projet réorganisation du conditionnement dentaire

Suite à l'attitude du directeur de site lors de la réunion du 5 février, la CGT vous invite à prendre connaissance des documents de la direction sur la réorganisation du conditionnement dentaire sur le panneau d'affichage CGT à l'entrée de l'usine.

Nous vous souhaitons une bonne lecture.

Projet réorganisation du conditionnement dentaire

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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