SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Sûr qu'ils vont hurler à la violence et que Laurent Berger chouchou des médias qui le voient déjà comme candidat à la présidentielle de 2027  (écouter Yaël Goosz sur France Inter de ce jour) ne va sans doute apprécier tant il faudrait donner de gage à la bienpensance bourgeoise pour se faire admettre dans son cercle de la raison!

Quid de la violence de classe contre les travailleurs en permanence ?

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SOURCE : 20 minutes

Une centaine de syndicalistes de la CGT se sont rassemblés mardi à Marseille devant la permanence d’une députée du parti présidentiel pour mettre « la pression » sur le gouvernement et le forcer à abandonner son projet de réforme des retraites.

Armés de drapeaux et de chasubles rouges siglés CGT, les manifestants ont collé quelques autocollants sur les murs de la permanence de Claire Pitollat, députée Renaissance de la deuxième circonscription des Bouches-du-Rhône, absente car en déplacement à Paris pour participer aux débats à l’Assemblée nationale, a constaté un journaliste de l’AFP.

« Faire savoir que nous ne lâcherons rien »

« Nous voulons interpeller les députés et leur dire que la mobilisation continue. Nous ne sommes pas là pour les convaincre mais pour leur mettre la pression et leur faire savoir que nous ne lâcherons rien », a indiqué Jessica Jadé, de l’Union départementale CGT des Bouches-du-Rhône.

« Ces initiatives ponctuelles permettent de rester mobilisés avec des actions sous des formes diverses et variées entre deux journées de mobilisation », a-t-elle ajouté, deux jours avant une nouvelle journée de mobilisation nationale, la cinquième depuis le début du mouvement de contestation.

« Face à un gouvernement qui reste sourd, il faut passer un cran et frapper là où ça fait mal, au porte-monnaie, en bloquant l’économie », a embrayé Yann Manneval, secrétaire de l’UD 13.

 

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ET après ils osent invoquer un
" déficit" de 12 millards des daisses de retraite pour justifier leur contre-réforme !

SOURCE : Le Courrier du Soir

Révélation explosive en France : en 3 ans, l’Etat a passé 500 commandes aux cabinets de conseils, 43 milliards dépensés

 

Le TROU macronien des cabinets conseil : des dizaines de millairds d'euros

Un rappel de l’influence grandissante des cabinets de conseil dans la gestion des affaires publiques en France. En 2021, en pleine pandémie, le média Le Nouvel Obs avait fait une révélation de taille sur le sujet

« La République des consultants ». Telle est l’expression utilisée par les journalistes du Nouvel Obs pour décrire le recours excessif de l’Etat français aux cabinets de conseil privés pour la gestion du pays. Constamment sollicités par l’Etat, ces cabinets ont fini par se substituer aux fonctionnaires publics relégués désormais au second plan.

Mais, ce n’est pas le seul problème souligné par l’enquête du Nouvel Obs. En effet, d’après le journal français, l’Etat, sous Macron, a dépensé un pognon de dingue pour obtenir les conseils de cabinets privés internationaux dont McKinsey, dont le rôle dans la campagne de vaccination a soulevé une vive polémique en France.

Ainsi, d’après les données fournies par Le Nouvel Obs, en 3 ans, plus de 500 commandes ont été passées. Un phénomène qui va s’accélérant et qui ne manque d’indisposer de hauts fonctionnaires de l’Etat. Le phénomène va en s’accélérant. Il s’accompagne d’un dysfonctionnement profond de nos services publics, qui ont perdu leur sens pour les fonctionnaires et sont en totale déconnexion avec les besoins des gens, s’insurge le magistrat Arnaud Bontemps

Les données sont hallucinantes. En effet, d’après le Nouvel Obs, « dans une note publiée en avril, un groupe de hauts fonctionnaires estime à 163 milliards d’euros les services que l’Etat externalise sous forme de délégation de service public (120 milliards) ou d’achats de prestations intellectuelles (43 milliards). 43 milliards d’euros, près de 6 % du budget de l’Etat et des collectivités locales !

Le média français poursuit : « cette donnée, si spectaculaire soit

Ainsi, d’après les données fournies par Le Nouvel Obs, en 3 ans, plus de 500 commandes ont été passées. Un phénomène qui va s’accélérant et qui ne manque d’indisposer de hauts fonctionnaires de l’Etat. Le phénomène va en s’accélérant. Il s’accompagne d’un dysfonctionnement profond de nos services publics, qui ont perdu leur sens pour les fonctionnaires et sont en totale déconnexion avec les besoins des gens, s’insurge le magistrat Arnaud Bontemps

Les données sont hallucinantes. En effet, d’après le Nouvel Obs, « dans une note publiée en avril, un groupe de hauts fonctionnaires estime à 163 milliards d’euros les services que l’Etat externalise sous forme de délégation de service public (120 milliards) ou d’achats de prestations intellectuelles (43 milliards). 43 milliards d’euros, près de 6 % du budget de l’Etat et des collectivités locales !

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SOURCE : Marianne

Les loups de Wall Street

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Voilà l'accord passé entre la France et les marchés financiers, et évoqué par Alain Minc sur LCI : des taux d’intérêt à 3 % contre deux ans de plus au boulot. Pour s’attirer les bonnes grâces des marchés financiers, le gouvernement perclus de dettes consent à durcir les régimes des retraites.

Une faveur faite par la City et Wall Street à la France du passif que le trio Macron-Borne-Le Maire entend sauvegarder à tout prix. AFP

Une faveur faite par la City et Wall Street à la France du passif que le trio Macron-Borne-Le Maire entend sauvegarder à tout prix. AFP

Réforme des retraites : sous le projet, la peur des marchés

Avertissement. La phrase suivante risque de heurter la sensibilité du lectorat traditionnel de Marianne : Alain Minc a raison. L’homme de la « mondialisation heureuse » toujours placé au centre du « cercle de la raison » voit juste quand, interviewé sur LCI, il donne le principal mobile d’Élisabeth Borne : sa réforme de la retraite vise à satisfaire les marchés. Les calculs d’apothicaires sur les déficits de l’assurance-vieillesse, les milliers d’amendements retoqués, les coups de menton et de com adressés à l’opinion publique remontée comme un coucou contre le report de l’âge légal… Toutes ces considérations de haute ou de basse politique tiennent en fait à un petit chiffre, à un vulgaire pourcentage, à un taux d’intérêt plus exactement. Celui payé par le Trésor Français à ses créanciers, souvent fonds de pension américains et banques d’affaires anglo-saxonnes. Avec une ardoise publique de 3 000 milliards d’euros, l’État doit aujourd’hui rémunérer à 2,80 % l’argent prêté à dix ans par ce beau monde. « On ne paye que 0,5 % de plus que l’Allemagne […] Ce qui est une espèce de bénédiction peut être imméritée », estime Alain Minc. Une faveur faite par la City et Wall Street à la France du passif que le trio Macron-Borne-Le Maire entend sauvegarder à tout prix.

Comme le lait sur le feu, l’Élysée, Matignon et Bercy surveillent ce fameux taux d’intérêt des emprunts français, plus précisément l’écart, le « spread » dans le sabir des marchés, par rapport au voisin allemand, réputé le plus vertueux. Et pour obtenir des prix corrects sur les marchés, il faut donner des gages austéritaires aux investisseurs, leur dire combien la France, cette grosse cigale, peut se changer en petite fourmi. Sous peine de rejoindre la cohorte des débiteurs de malheur peuplée d’Espagnols, d’Italiens ou de Grecs forcés de s’endetter entre 3,3 % et 4,2 %. L'accord entre la France et les marchés tient donc en une poignée de mots : moins de 3 % d’intérêt sur les marchés contre plus de deux ans à travailler. Mon royaume pour un taux. La souveraineté française se mime au Parlement, se chante dans les manifestations mais se joue sur les marchés.

Alors évidemment, Alain Minc et ses épigones néolibéraux semblent s’accommoder fort bien de cette mise sous surveillance. Pardi, sans la corde de rappel des fonds de pension, la France – sous l’effet de sa fibre révolutionnaire – se laisserait aller à la facilité, au mépris de sa dette et de ses traites. Une vieille rengaine déjà chantée sous la Restauration. Pour sauvegarder l’épargne des possédants, la charte de 1815 stipulait même dans son article 70 : « La dette publique est garantie. Toute espèce d'engagement pris par l'État avec ses créanciers est inviolable ». Aujourd’hui, pas besoin d’une Constitution : une loi suffit.

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Réforme des retraites : les syndicats prêts à

« mettre la France à l’arrêt » le 7 mars

Lors d'une conférence de presse, les syndicats se sont dits prêts à « mettre la France à l'arrêt» le 7 mars si l'exécutif restait sourd aux mobilisations de la rue contre la réforme des retraites, alors que se déroule une quatrième journée d'action.

Les huit principaux syndicats français se sont dits prêts ce 11 février à « mettre la France à l'arrêt dans tous les secteurs le 7 mars» si le gouvernement et le Parlement «restent sourds» à la mobilisation contre la réforme des retraites.

Alors qu'une quatrième journée de manifestations est en cours, les syndicats ont confirmé lors d'une conférence de presse leur appel à un cinquième acte le 16 février, demandant à l'exécutif de « retirer son projet de loi » et aux parlementaires de « rejeter massivement ce texte».

« Si malgré tout, [ils] restaient sourds à la contestation populaire, l'intersyndicale appellerait [...] à durcir le mouvement en mettant la France à l'arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain», ont prévenu les huit organisations, dans un communiqué lu par le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot.

La date du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, est également envisagée « pour mettre en évidence l'injustice sociale majeure de cette réforme envers les femmes».

Pour le leader de la CGT, Philippe Martinez, «la balle est dans le camp du président de la République et du gouvernement pour savoir s'il faut que le mouvement s'amplifie, se durcisse ou s'ils prennent en compte les mobilisations actuelles ».

Le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, estime pour sa part que cette annonce «d'un durcissement le 7 mars, ça laisse un peu de temps s'ils veulent réagir», et renvoie la faute sur «la position ferme et définitive du gouvernement» sur le report de l'âge légal de 62 à 64 ans.

VU sur l’application RT News

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Le droit de grève est un droit constitutionnel en France

Dès lors, la Constitution le protège en tant que liberté souveraine et mode d'expression des travailleurs.

N'en déplaise à tous ses détracteurs dans les médias qui le dénigrent, eux qui sont très à l'aise sur leurs appointements et leurs conditions de travail pour ne jamais revendiquer de toute leur vie.

N'en déplaise donc aux chiens de garde du capital, le droit de grève est aussi le droit de désorganisation au travail, mais aussi dans la société dans les limites de la légalité.

Faire grève sans contrarier quelqu'un ou bousculer les choses, ce serait comme pisser sur un violon pour qu'il égrène l'Internationale. Et seul le juge, jamais un journaliste,  protège le droit à la désorganisation effective du travail.

A bon entendeur, salut!

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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L'image du jour : la T R A N S M I S S I O N

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NON À LA RETRAITE À 64 ANS ! TOUS DANS LA RUE SAMEDI 11 FÉVRIER !

Publié par EL DIABLO

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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