SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Reste à charge zéro frais optique, dentaire, auditif: les retraités vont plus banquer que les autres

L'ex-banquier d'affaires, candidat à la présidentielle, avait promis pas de raser gratis, mais presque avec le remboursement à 100% des frais d'optique, dentaire ou de prothèses auditives. Seulement voilà, devenu Manu 1er, il a privilégié les riches et le patronat, tout en ne s'attaquant pas à la fraude fiscale des susnommés. On reste le commis du capitalisme ou on ne l'est pas.

Bref, le reste à charge zéro verra bien le jour, demain ou après-demain, mais avec une augmentation significative des mutuelles,  + 9,4% pour les retraités et 2,5% pour les autres catégories de la population.

Pire, les contrats bas de gamme, qui donnaient moins de garanties vont disparaître ou devenir beaucoup plus chers. Nouveau coup dur pour les retraités à faible pension de retraite.

Le groupe de complémentaire santé Santiane, cité par le Parisien, estime qu'un couple de retraité  qui payait "170 euros par mois pour sa complémentaire santé verrait sa facture annuelle bondir de 192 euros."

Toujours dans Le Parisien, le cabinet Mercier vient d’actualiser son étude sur les contrats collectifs des salariés d’entreprises. Dès lors, il évoque "une hausse mécanique de 4,6 % sur les contrats entrée de gamme". Et selon ledit cabinet:  "les gens qui renonçaient auparavant aux soins à cause du reste à charge élevé, continuent de renoncer parce qu’ils ne pourront s’offrir une complémentaire, malgré les aides".

Conclusions: Le nouveau monde à la sauce Macron est le copier-coller de l'ancien monde. Et nombre d'éminents socialistes n'ont pas hésité à rejoindre l'ex-ministre de François Hollande devenu candidat, puis président de la République. Comme quoi, dans l'ancien temps, les propos de Léon Blum, patron des socialistes français, sur sa "gestion loyale du capitalisme" afin de le réformer, reste d'actualité. Et ce n'est pas parce que la maison-mère éclate en plusieurs chapelles que cela s'avèrerait différent.

Publié par Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Castaner augmentera d’un milliard le budget pour la répression

Le nouveau ministre de l'intérieur Christophe Castaner vient de dévoiler la feuille de route de son ministère. Sans surprise, le premier flic de France endosse les mêmes habits que son prédécesseur. Que ce soit au sujet des migrants ou des quartiers populaires, Castaner compte bien perpétuer la même politique ultra répressive que Gérard Collomb avant lui, et pour ça donner les moyens qu’il faut aux forces armées.

Photo : Serge Tenani.

Après le départ fracassant de Gérard Collomb, démissionnaire du poste de ministre de l’intérieur contre la volonté du Président dont il était un allié de la première heure, après le refus de plusieurs personnalités politiques de rejoindre le gouvernement, voilà finalement Castaner au poste de premier flic de France. Si Collomb et lui ne partagent pas la même vision de la loyauté envers leur protecteur, ils sont tous deux aussi portés sur la répression policière. Sa première interview au Journal du dimanche donne la tonalité de son plan de bataille en toute continuité avec la politique répressive du président des riches.

Encore une fois, alors que les budgets baissent pour l’ensemble des services publics, la police et les forces armées en général ne seront pas en reste dans les prochaines années du quinquennat Macron. Malgré les plaintes du syndicat de police Alliance qui dénonce un budget « largement insuffisant », les sommes supplémentaires qui seront allouées aux forces de répression pour les années à venir sont impressionnantes : 300 millions par an pour rénover l’équipement, 130 millions pour la modernisation des véhicules, 100 millions par an jusqu’en 2020 pour les locaux de la gendarmerie, 22,5 millions pour la DGSI et 380 millions d’ici 2022 pour la flotte aérienne.Soit en tout, près d’un milliard d’augmentation pour les forces de l’ordre.

A cela s’ajoutent les 2500 postes de policiers supplémentaires que le nouveau ministre veut créer dès l’année prochaine. À terme, il souhaite augmenter de 10 000 membres les rangs de la police et de la gendarmerie. Il s’est d’ailleurs exprimé à ce sujet lors de son allocution au Sénat pour répondre aux violences commises dans les quartiers populaires et y a fustigé la réduction des effectifs par Les Républicains.

Continuant sur cette lancée qui le pousse à affirmer vouloir « reconquérir, mètre carré par mètre carré, la souveraineté républicaine » sur tout le territoire, Castaner a montré sa volonté de frapper fort en apportant son soutien à une enseignante menacée jeudi dernier par un élève à Créteil. Accompagné sur ce coup par Jean-Michel Blanquer, qui vient d’autoriser la présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, à créer des brigades mobiles d’urgence dans les lycées, le premier flic de France compte enclencher un « plan d’action ambitieux » contre les violences faites aux enseignants. À l’heure où les réformes de Parcoursup, du lycée et du bac mettent à mal le service public d’enseignement, la réponse du gouvernement repose uniquement sur la répression.

Sur le dossier du terrorisme, Castaner ne compte pas dévier de la ligne actuelle puisqu’il dispose des « outils législatifs » nécessaire à cette mission. La constitutionnalisation de l’État d’urgence permanent ne risque pas de se voir remise en cause par le nouveau premier ministre de Macron.

Enfin, sur les migrants, Castaner prône la « coopération » avec Salvini, ce portant ainsi caution des agissements de la police française à la frontière franco-italienne. Dans la continuité de la loi asile-immigration, il affirme que « sans changer de ligne, il faut donc aller plus loin ». Aussi bien à Grande-Synthe qu’aux frontières espagnoles et italiennes, les migrants vont donc voir s’accroître la répression qui s’abat déjà sur eux depuis des années.

La feuille de route de Castaner est sans surprise et sans ambiguïté. Le nouveau ministre de l’Intérieur va poursuivre et approfondir la politique répressive de son prédécesseur. Lavé de l’affaire Benalla qui ne doit pas « rejaillir sur la police », l’ancien délégué général d’En Marche et ex-PS, va marcher droit dans les pas de Collomb.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
capture d'écran sur youtube

29 juin 1979 :

Chronologie des événements qui se sont déroulés à l'annexe du siège du PS, cité Malesherbes où le parti faisait une émission sur une radio libre, « Radio Riposte » , ce qui déclencha l'intervention de la police.

19h: à l'intérieur du siège diffusion d'un message de François Mitterrand en radio libre;

(différents plans : des bandes magnétiques tournant ;brouillage de l'émission par TDF)

 

20h: des policiers en civil dans la rue essaient d'entrer ;discussion avec des députes socialistes ;

 

21h: les policiers défoncent la porte.

 

Interview de Laurent FABIUS : « je suis choque comme démocrate, c'est la première fois qu'un gouvernement donne l'ordre d'envahir un parti politique ».

 

21h30 : la police pénètre au siège, nouvelle discussion vive entre policiers et députés.

 

22h30: les responsables PS sont évacués manu militari de façon assez brutale.

Images confuses :le cameraman d'Antenne2 est tombé dans l'escalier, victime d'un croche-pied d'un policier.

 

De nuit dans la rue heurts violents entre policiers et manifestants.

 

Interview de Lionel JOSPIN : "nous avons écouté au siège du PS une émission sur la liberté ...on verra comment réagira l'opinion publique a cette action ».

 

Publié par EL DIABLO

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Pouvoir d'achat : le grand MENSONGE

Il est chaque jour ou presque dans les actualités économiques et cependant il ne mesure rien ou en tout cas rien de réel... Et si le pouvoir d'achat était une supercherie, c'est notre Superfail de la semaine.

Les Français ont le sentiment que leur pouvoir d'achat diminue, ont-ils raison d'émettre des doutes sur la mesure du pouvoir d'achat ? Cette interrogation est justifiée nous explique l'économiste Philippe Herlin, auteur d'une enquête titrée "Pouvoir d'achat : le grand mensonge" publiée aux éditions Eyrolles. 

Philippe Herlin a reconstitué une histoire des prix entre 1965 et 2015 à partir de catalogues de ventes par correspondance, de brochures publicitaires de supermarchés notamment. C'est donc chiffres à l'appui qu'il conteste les méthodes de calcul de l'INSEE.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Source :

 

https://www.lepostillon.org/La-ligne-de-front-postale.html

 

LA LIGNE DE FRONT POSTALE

Connaissez-vous les chargés de clientèle ? Avant que la Poste ne se mette à la novlangue, on appelait ça des guichetiers. Vous savez, ce sont ces êtres humains pas encore totalement remplacés par des machines qui vous accueillent dans les bureaux de poste pas encore fermés. Dominique en fait partie. Et le pire c’est qu’il aime bien ce métier. Malgré les insultes, les coups, les nouvelles machines toujours en panne et l’extension du domaine de la solitude. Il nous livre ce témoignage.

 

Le guichet à la Poste, c’est la ligne de front. Et nous, les guichetiers, nous sommes les fantassins envoyés en première ligne pour se prendre les rafales de la crise sociale et du chaos commercial. Bon, c’est pas des vraies rafales, hein, juste des « incivilités » comme dit la direction. Des pétages de plomb, des insultes, des menaces de mort, des coups parfois. Dernièrement, presque tous les bureaux de poste de Grenoble et de l’agglomération ont dû fermer à un moment ou un autre à cause d’agressions.

Selon la direction, le nombre d’ « incivilités » a été multiplié par trois au niveau national entre 2010 et 2016. Je n’ai pas les chiffres récents, mais on sait que l’augmentation a continué. La direction dit que c’est un fait de société, qu’elle n’y est pour rien et qu’on ne peut pas mettre des vigiles partout, même s’il y en a de plus en plus dans les bureaux. Je suis d’accord quelque part : ce ne sont pas des vigiles ou des caméras partout qui vont régler tous les problèmes.

Mais expliquer que c’est juste un « fait de société », je trouve ça un peu court par contre. Bien entendu, derrière ces « incivilités », il y a des questions de savoir-vivre, de respect. Dans les agressions, il y a quelques cas extrêmes de folie psychiatrique, les plus durs à gérer. Mais le principal, c’est des gens qui se disent qu’en mettant un bon coup de pression, leur problème va être réglé, et si jamais c’est pas le cas, ils se seront au moins un peu défoulés. Ils ne se rendent pas compte que le guichetier est juste un opérateur empêtré dans des contraintes réglementaires. Même s’il prend la responsabilité de déroger à une règle, il va devoir s’expliquer devant son chef cinq minutes plus tard.

Ces « incivilités » racontent surtout cette société de consommation anonyme, et l’extension du domaine de la solitude. Avec la culture du consommateur-roi, on se comporte devant les guichetiers de la Poste comme dans une structure commerciale classique : on veut un produit, et on gueule si on ne l’a pas. Aujourd’hui, plein de personnes passent l’essentiel de leur temps derrière un écran. Elles arrivent face à nous, avec le portable à l’oreille ou entre les mains, et nous considèrent simplement comme une application ou une machine de plus. Si ça ne marche pas, elles ont envie de taper dedans pour faire reset.

 

Et la Poste joue à ce jeu-là aussi. Pour chaque bureau, elle édite des statistiques sur la « charge automatisable », en clair les opérations qui ont été faites par un guichetier alors que les gens peuvent le faire tout seuls avec un automate ou sur leur téléphone. Ensuite le directeur d’agence se fait sanctionner si ses guichetiers ont trop servi de gens. Le but, c’est de supprimer la main d’œuvre bien sûr. De retour au front, les guichetiers se retrouvent à obliger les gens à utiliser leur téléphone ou un distributeur pour obtenir un service. Mais, en vrai, les logiciels et les machines marchent mal et compliquent les démarches, alors je comprends la frustration des usagers. Je n’accepte pas le manque de politesse mais il faut reconnaître qu’à force d’imposer les machines dans chaque acte du quotidien, on a créé un monde inhumain. Faut pas s’étonner des conséquences.

Le guichetier est pris entre des nouvelles machines qui ne fonctionnent qu’à moitié, des pannes informatiques en continu et les dysfonctionnements internes. Parce qu’au niveau des collègues, c’est pas simple. Dans un bureau de poste, la plupart du temps, au moins la moitié du personnel est composée de stagiaires ou d’intérimaires, qui déboulent sur la ligne de front sans aucune formation. Avant, il y avait huit semaines de formation, maintenant plus rien. Il y a des milliers d’opérations à connaître. Forcément, ils ont du mal à répondre aux questions, et les usagers s’en rendent bien compte, des erreurs et des doutes.

Parce que faut pas croire, si on reste là c’est qu’on aime l’échange humain, on a vraiment envie de trouver des solutions aux gens, même si des fois on sature et on n’a plus les moyens psychiques. Ça nous fait mal de voir les gens en galère. Ceux qui font la queue le 6 du mois pour leurs allocs et qui le 15 n’ont plus rien. Celles qui arrivent pour te demander combien il reste sur leur compte, et quand tu leur réponds 73 centimes, elles te disent « je les prends ». Être face à des situations sociales terribles, ça fait partie de la ligne de front postale. Dans beaucoup de cas, tu peux aider, dans d’autres pas du tout. On n’est pas à plaindre, nous, on a un salaire à la fin du mois, mais c’est dur de se sentir souvent inutile.

En dehors des pauvres, il y a aussi les riches. Des professions libérales qui ont fait une commande la veille sur Amazon et qui ne la trouvent pas, alors ils te fusillent froidement en te disant que tu sais pas bosser, que t’es une merde, que t’as gâché leur journée. Tu n’y es pour rien, d’accord, mais tu absorbes les colères quand même. Bref, quand t’es guichetier, tu bosses en sous-effectif avec des collègues pas formés, des machines qui marchent mal, des processus réglementaires de plus en plus lourds, des pauvres qui pètent des plombs, des riches qui te méprisent. Tu te prends tout dans la gueule. À la fin de la journée, tu termines K.O.

Heureusement, il y a aussi plein d’échanges humains simples. Beaucoup de services rendus, des situations complexes qu’on parvient à résoudre. Des rencontres chouettes. Des usagers qui nous remercient. Beaucoup qui voient bien qu’on fait ce qu’on peut. Des sourires, des regards, des complicités. Tous ces petits riens qui nous font tenir.

À la Poste, le langage naturel est artificiel

Dernièrement, la direction de la Poste a présenté à ses salariés la « modernisation de l’accueil téléphonique en y intégrant le langage naturel ». Qu’est-ce que c’est que ça, le langage naturel ? « Il s’agit d’un traitement automatique qui permet de modéliser le langage humain grâce à l’informatique : un logiciel comprend le sens de la demande du client et l’oriente directement vers le bon service. Cette technologie dite de “reconnaissance vocale” représente les prémices de l’intelligence artificielle : elle est capable de reconnaître des mots et des concepts au-delà des accents et de comprendre le sens d’une phrase. » Bref, le langage naturel, c’est complètement artificiel. Et la guerre, c’est la paix, comme disait l’autre.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La meute contre Mélenchon et la France Insoumise : François Ruffin donne son opinion

Perquisitions à la FI :

un profond sentiment d’injustice
macron bernard arnault

Ce matin, l’appartement de Jean-Luc Mélenchon, celui de la secrétaire générale du groupe, le local de la France insoumise et celui du Parti de gauche ont été perquisitionnés.

Je voudrais dire ici mon profond sentiment d’injustice.

Il y a un homme qui a mené sa campagne main dans la main avec les maîtres de la presse, les maîtres des télécoms, les maîtres du médicament, tout le CAC40 réuni, qui baigne dans les affaires comme un requin en eaux troubles,

il y a un homme qui a profité du ministère de l’Economie, et son ancien collègue du budget Christian Eckert en témoigne, pour lancer sa campagne présidentielle sur les deniers publics,

il y a un homme qui s’est entouré de ministres, de collaborateurs, gavés de stocks options, d’affairistes de l’immobilier, de champions du conflit d’intérêts,

il y a un homme qui, retour sur investissement, fait des lois sur mesure pour ses amis financiers, du secret des affaires à la vente des aéroports en passant par la suppression de l’ISF, par la flat tax, par le CICE renforcé, etc.

il y a un homme qui, c’est sous notre nez, opère la fusion de l’Etat avec l’oligarchie, écarte chaque jour l’intérêt général au profit des multinationales.

Et qui vient-on poursuivre ?
Le groupe qui, aujourd’hui, à l’Assemblée et en-dehors, défend les gens contre l’argent.
C’est tellement évident.
Tellement deux poids, deux mesures.
Tellement une disproportion de moyens pour des queues de cerises, quand, dans le cas Benalla, la police trouve porte close le soir et revient gentiment le lendemain, une fois l’appartement nettoyé.

Je suis dans le train, là, pour le site de Sanofi de Mourenx, dans les Pyrénées.
Durant des mois, et peut-être des années, l’usine a rejeté 190 000 fois plus de bromopropane, une substance cancérigène, que les normes autorisées. Durant des décennies, la Dépakine fut vendue à des femmes enceintes, causant 30 000 enfants autistes, alors que Sanofi savait, se taisait, engrangeait les profits. Et refuse aujourd’hui de sortir le moindre euro pour les indemniser.
Là, on attend toujours une perquisition au siège de Sanofi. Ou au domicile de Serge Weinberg, son PDG, et ami de notre Président, à qui il conseillait : « Enrichissez-vous. », avant de l’introduire à la banque Rothschild, avant de le soutenir pour la présidentielle, avant d’être, dès l’intronisation, reçu à l’Elysée.
Ces perquisitions, on les attend toujours.
On risque de les attendre longtemps.

On peut apprécier ou non Jean-Luc Mélenchon.
On peut apprécier ou non la France insoumise.
Et je ne suis pas, loin de là, le plus « corporate » des députés FI.
Mais le souci, pour moi, n’est plus là. Et avec un peu de gravité, je voudrais m’adresser simplement aux Républicains de ce pays : c’est la question démocratique qui est désormais posée. Et de cette épreuve, avec le peuple, avec les gens, je suis convaincu que nous sortirons plus forts.

Toutes mes amitiés, à distance, à mes camarades.
(Depuis la gare de Pau.)

François Ruffin

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
QUESTIONS CE/ DP VENDREDI 26 OCTOBRE 2018

Ci-dessous les questions de la CGT :

Questions CE :

Volume à date SHAMPOING/DENTAIRE et comparaison par rapport à l’année dernière

Part de marché shampoing/dentifrice. Point sur les ventes de Monsavon.

Point SUR

Point effectif

Où en est-on sur l’engagement de la direction de faire 10 CDI en 2018 ?  Nombre de CDI- I ?

Point intéressement, et nous demandons de mettre le tableau intéressement à jour avec l’acquis à date et pas seulement la prévision ?

 Point sur les essais de la nouvelle organisation de la semaine dernière.

 Ou est prévu le prochain muda et quelle sera le nombre de personne à supprimer ?

 On parle de récupérer les volumes de timotei, comment sommes-nous redevenu compétitif ?

 Point sur les AI, somme mini – maxi distribuée, et par service.

 Retour sur la visite du vendredi 12 octobre 2018
 

Questions DP :

- Est-il prévu de mettre une borne pour les voitures électrique sur le parking ?
 - Ou en est-on sur le frigo de la cantine ?

  - Que fais-t-on des 3 levés palettes neuf inutilisable dans notre configuration d’usine ?
- Peut-on planifier un exercice d’évacuation la nuit ou le we pendant le tour de garde de l’agent de sécurité ?
- Peut-on avoir un viscosimètre à lecture direct sans utiliser le bain thermostatique ?
- Il y aurait-il une définition de fonction pour le nouveau poste d appro ? Operateur appro ? Logisticien ? Et une nouvelle pour le conducteur de ligne.
 - Nous constatons encore une fois une différence de traitement entre les salariés we et semaine, repas pour les bons résultats de l’usine. Les salariés we souhaitent que la même différence soit appliquée sur l’organisation dans les ateliers dans le cadre de la réduction de personnel, c’est à dire être oubliés. Que compte faire la direction ?
 - Où en est-on sur le projet d’impression des modes opératoires sur le verso des bons de fabrication ?
- Divers

Ci-dessous l'ordre du jour.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
 

Des journalistes ont rendu publiques les techniques d'« optimisation fiscale » pour les actionnaires, pour dire les choses plus crûment, des techniques de fraude au fisc dénommées, dans le jargon des spécialistes, Cum Cum ou Cum Ex.

Ces pratiques, qui permettent de ne pas payer d’impôt, voire de se faire rembourser des impôts sur dividendes, auraient coûté 55 milliards d’euros aux États européens : 30 milliards à l’Allemagne et 17 milliards à la France.

Darmanin, ministre des Comptes publics, a affirmé qu’il serait « intraitable » avec les fraudeurs. Baratin, car ces pratiques sont bien connues dans toutes les salles de marchés des bourses d’Europe sans que rien n’ait jamais été fait pour les empêcher.

Publié par Lutte-ouvrière

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Affaire Téfal : La Cour de Cassation annule la condamnation de Laura Pfeiffer !

Condamnée notamment pour violation du secret professionnel par la cour d’appel de Chambéry, l’inspectrice du travail, Laura Pfeiffer, a vu sa condamnation annulée dans un arrêt rendu par la Cour de Cassation, renvoyant l’affaire devant la cour d’appel de Lyon.

Comme le souligne l’intersyndicale du ministère du travail dans son communiqué daté du 17 octobre 2018 : « Ce jugement est un désaveu cinglant pour Tefal ». Après une audience tenue le 5 septembre dernier, la Cour de Cassation vient d’annuler la condamnation prononcée par la cour d’appel de Chambéry à l’encontre du salarié ayant transmis les documents et l’inspectrice du travail Laura Pfeiffer.

Leur jugement n’étant pas fondé en droit, la Cour de Cassation a renvoyé l’affaire devant la cour d’appel de Lyon, afin qu’elle puisse être de nouveau jugée sur le fond, à la lumière de la dernière loi censée protéger les lanceurs d’alerte. La reconnaissance du statut de lanceur.euse d’alerte, tant pour le salarié ayant transmis les documents, que pour l’inspectrice du travail Laura Pfeiffer, est une première victoire. En attendant que la relaxe soit prononcée pour Laura, qui supporte depuis 2013 la pression instaurée par Téfal et relayée par le ministère du travail, nos syndicats organiseront la mobilisation à l’occasion du prochain procès en appel.

La CGT SNTEFP, entre autres, continue d’exiger une condamnation publique des agissements de Téfal par le ministre du Travail, appelant les collègues dans les services à s’organiser collectivement pour résister aux menaces et sanction, pour une inspection du travail indépendante du pouvoir politique et du patronat.

Pour en savoir plus sur l’affaire Téfal, c’est ici !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
PARIS: GRÈVE à la gare d’Austerlitz contre la FERMETURE des guichets

Révolution Permanente

SUPPRESSIONS DE POSTES À LA SNCF
Grève à la gare d’Austerlitz contre la fermeture des guichets

Jeudi 11 octobre, jour d’ouverture à la vente des réservations pour les vacances de fin d’année, les agents commerciaux de l’ESV (établissement de service voyageurs) de Paris Austerlitz se sont mis massivement en grève pour protester contre la suppression de 100 postes d’ici 2020.

Comme l’ont dénoncé les nombreux agents en grève, la suppression de 100 postes d’ici 2020, signifie la fermeture de toutes les boutiques et BIR (bureaux d’information), ainsi la disparition totale de l’Unité Opérationnelle Vente. C’est dans ce contexte qu’une trentaine d’agents commerciaux, soutenus par des collègues d’autres services ainsi que par des usagers, ont décidé d’envahir le CHSCT extraordinaire et de mettre la direction face à ses responsabilités et à la colère des cheminots. Les arguments avancés par la direction ne justifient en rien ces suppressions, et comme l’a dit un collègue « il y a des besoins, on fait de l’argent, alors où est le problème ? ».

Nous avons pu constater sans surprise que toutes les questions restent sans réponse. Aucune solution pérenne de reclassement n’est prévue puisque les seuls postes éventuellement disponibles à la vente seront eux-mêmes supprimés ! Certains agents se sont même vus demander s’ils étaient bons en soudure ! Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un massacre social.

À l’heure où le malaise et le mal-être sont grandissants à la SNCF,

POUR LIRE LA SUITE
CLIQUEZ CI-DESSOUS

http://www.revolutionpermanente.fr/Greve-a-la-gare-d-Austerlitz-contre-la-fermeture-des-guichets

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Profession de foi de la députée en juin 2017

Profession de foi de la députée en juin 2017

La députée de la 13e circonscription des Hauts-de-Seine et vice-présidente de la commission des affaires culturelles, Frédérique Dumas, annonce quitter le groupe parlementaire La République en marche (LREM). Elle dénonce un pouvoir entre les mains de "technocrates hors-sol, voire cyniques".

 

Elle claque la porte, et bruyamment ! Frédérique Dumas, députée de la 13ecirconscription des Hauts-de-Seine et vice-présidente de la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée nationale, annonce ce lundi 17 septembre qu'elle quitte la majorité présidentielle, c'est-à-dire le groupe La République en marche (LREM), pour rejoindre celui de l'UDI-Agir. Dans un entretien corrosif accordé au Parisien, elle explique sa décision par "des désaccords profonds, sur le fond et sur la méthode""On a plutôt le sentiment d'être sur le Titanic", résume-t-elle, cinglante.

 

[…]

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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