SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Un débat auquel la CGT des Bouches du Rhône a participé

L'Affiche Rouge

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La CGT conforte sa première place dans les très petites entreprises, mais regrette la trop faible participation
Dans cet entretien, Angeline Barth, secrétaire de la CGT, revient sur les résultats des élections TPE 2021. Si celles-ci confortent la première place de la CGT parmi les salariés des entreprises de moins de 11 salariés, la confédération déplore le faible taux de participation à ce scrutin et propose une autre manière de mesurer la représentativité syndicale.

Enjeux peu lisibles, contexte pandémique, absence de syndicats dans ces entreprises peuvent expliquer une participation très faible. Mais « la liberté d'expression de ces salariés aura été mise à mal, en premier lieu par le gouvernement qui n'a pas été à la hauteur des enjeux de cette élection (trois modifications de la date du scrutin, des difficultés d'acheminement du matériel de vote, une communication quasi absente…), ce qui a largement entravé une campagne déjà très impactée par le contexte sanitaire », commente la CGT qui ne saurait s'en satisfaire. Elle propose par exemple « une période de vote commune à tout le salariat, permettant le vote physique ».

Par NVO

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Chez L’Oréal, les actionnaires continuent à toucher gros malgré la crise

2021-04-20 10:45:54 Multinationales.org

Les actionnaires du groupe L’Oréal toucheront 2,26 milliards d’euros de dividendes au titre de l’année 2020. Mme François Bettencourt Meyers, actionnaire majoritaire, touchera elle 730 millions en dividendes, de quoi assurer sa place de “femme la plus riche du monde”.

2,26 milliards d’euros : c’est le montant des dividendes versés aux actionnaires de L’Oréal qui sera voté ce mardi 20 avril lors de l’assemblée générale du groupe. Cette somme, plus élevée que l’année précédente (2,17 milliards de d’euros), interroge, alors que de nombreuses personnes sont durement touchées par les crises sanitaire et économique actuelles.

L’activité du groupe n’a diminué que légèrement au cours de l’année écoulée, avec un chiffre d’affaires de près de 28 milliards d’euros (- 6,3 %) et un résultat net de 3,5 milliards d’euros (- 5 %). Le PDG en partance Jean-Paul Agon a accepté de rogner sur une partie de sa rémunération. Il touche de 3 millions d’euros pour l’année écoulée, après avoir déjà empoché 9,7 millions l’année dernière. Encore moins bien lotis : les employés, puisque le groupe s’est séparé de près de 3 000 d’entre eux au niveau mondial en 2020.

Côté actionnaires, Françoise Bettencourt Meyers et sa famille, qui détiennent 33 % du groupe L’Oréal, toucheront 730 millions de dividendes. Avec une fortune estimée à 73,6 milliards de dollars, l’héritière du groupe est désormais la femme la plus riche du monde selon le magazine Forbes. Mme Bettencourt rejoint donc le rang des milliardaires qui, tout comme Bernard Arnault, ont vu leur fortune exploser à l’occasion de la crise du Covid-19.

Margot Vermeylen

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Photo : Cyril Attias CC By-Nc-Sa

Publié par anti-K

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Macron : des cadeaux pour ceux d’en haut, des coups bas pour ceux d’en bas !

2021-04-20 14:00:02 NPA

« Chaque Français verra plus de bleu sur le terrain en 2022 qu’en 2017 »… Dans son interview au Figaro, au lendemain du vote de la très contestée loi « sécurité globale », Macron donne le ton, offensif et sécuritaire, de ces prochaines semaines : un autoritarisme qui prépare le terrain à la droite et à l’extrême droite en guise de réponse à l’explosion des inégalités sociales depuis le début de la crise sanitaire.

L’autoritarisme est en marche

Adoptée jeudi 15 avril à l’Assemblée nationale malgré la contestation dans la rue depuis novembre, la loi de « sécurité globale » est un pas supplémentaire dans le cours autoritaire de la Macronie. Incapable de gérer la crise sanitaire et ses dramatiques conséquences sociales, le gouvernement entend opérer un tour de vis sécuritaire supplémentaire en sen prenant une fois de plus violemment à nos droits et nos libertés, individuelles et collectives : généralisation de la surveillance, atteintes supplémentaires à la liberté de manifester, pouvoirs nouveaux accordés aux polices municipales et aux sociétés de sécurité privées, autorisations étendues du port darme pour les policiers et gendarmes hors service, etc.

Et Macron de nous resservir les vieilles recettes de droite, une fermeté affichée pour prétendument assurer « une vie paisible » à touTEs : objectif de 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires dici la fin du quinquennat ; opposition affichée à la dépénalisation des drogues et lutte contre le trafic de stupéfiants qualifiée de « mère des batailles » (on souhaiterait autant de moyens contre la délinquance en col blanc, par exemple pour lutter contre l’évasion fiscale…) ; création dune « école de guerre » pour former les forces « de l’ordre »

Braconnant sur les terres de l’extrême droite, Macron est rentré de plain-pied dans la campagne présidentielle, feuilletonnant des mesures autoritaires, réactionnaires et racistes (à venir les lois sur le « séparatisme » et la justice, un plan de lutte contre les « bandes »…).

Et pendant ce temps, les riches s’enrichissent…

Comme le dévoilent les associations Attac et Oxfam dans un rapport qui vient d’être publié, la fortune des dériches explose tous les records depuis le début de la crise sanitaire. À l’échelle de la planète, la fortune des 20 personnes les plus riches a augmenté de 62 %, celle des milliardaires français de 170 milliards deuros, soit une hausse moyenne de 40% ! Alors que la majorité subit les conséquences de la crise économique due au Covid (pertes demploi, chômage partiel), notre beau pays compte quatre milliardaires de plus, dont le fondateur du laboratoire Moderna qui fournit un des vaccins les plus utilisés contre la pandémie. Un virus dramatique qui est donc une bonne affaire pour certains… Et les incontournables Bernard Arnault (troisième fortune mondiale), Françoise Meyer-Bettencourt (femme la plus riche du monde) et François Pinault — pour ne citer queux — ont vu leur fortune déastronomique exploser !

Tous peuvent dire merci à Macron : le « quoi quil en coûte », ces aides massives accordées aux entreprises du CAC 40 sans aucune contrepartie, leur a bien profité, ainsi que la générosité de la Banque centrale européenne (BCE) qui a injecté des centaines de milliards deuros sur les marchés financiers. Le contraste avec la politique du gouvernement pour la grande majorité de la population nen est que plus cruel, par exemple en mettant encore plus sous pression les chômeurs et précaires avec une réforme de lassurance chômage qui va baisser les indemnités dun million de personnes.

Ce vendredi 23 avril, nous sommes dans la rue au côté en particulier du secteur de la culture, dabord pour abroger cette réforme injuste, mais aussi pour défendre lemploi, contre les licenciements, les suppressions de postes et la précarité. Parce que lutter contre ce système et ceux qui le défendent est véritablement une mesure de salut public.

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Casse sociale. Elisabeth Borne veut casser l’assurance-chômage pour « inciter à trouver un emploi »

La ministre du travail a déclaré que la précarité des emplois serait due à la supposée trop grande générosité du système de l’assurance chômage pour les personnes sans emplois. En plein massacre de l'emploi orchestré par le patronat et le gouvernement, Elisabeth Borne s'en prend aux plus précaires et les accuse de vouloir rester pauvres.

Assurance-chômage

crédits photos : Ludovic Marin/ AFP

Lundi matin sur le plateau de France Inter, Elisabeth Borne est venu justifier son indéfendable réforme de l’assurance chômage, allant jusqu’à insinuer que c’est à cause d’un système bien trop « généreux » envers les personnes sans emploi, que celles-ci préfèreraient être au chômage plutôt que de travailler. En effet, la ministre du travail n’hésite pas à prendre les chemins les plus tortueux et mensongers pour établir un lien entre la protection des personnes au chômage, et la précarité de l’emploi : "Moi je défie quiconque de nous dire que le système actuel est idéal. Quand on voit qu’on a un des systèmes les plus généreux au monde et qui le restera après la réforme, et que pourtant, on a pas réussi à venir à bout du chômage de masse et qu’au contraire on a accompagné le développement de la précarité dans l’emploi avec une augmentation de 250 % des CDD de moins d’un an en dix ans, je pense que ça montre qu’il est utile de réformer le système.". Ainsi en précarisant davantage les chômeurs, la ministre souhaite « s’assurer que tout demander d’emploi soit incité à trouver un emploi ».

Pour le gouvernement Macron, la solution miracle se trouverait donc dans le fait de baisser les allocations de personnes en situation de vulnérabilité économique et sociale. Un discours d’autant plus cynique de la part de l’ex directrice de la RATP, alors même que la réforme de l’assurance chômage vise avant tout à faire payer aux plus précaires et aux femmes les conséquences de la crise économique actuelle. Avec une augmentation du chômage de 7.8% et près de 800 plans de licenciement depuis mars 2020, le gouvernement cherche à faire payer la crise aux plus précaires tout en offrant des milliards au patronat.

La réforme de l’assurance chômage : sacrifier les plus précaires pour épargner les plus fortunés.

Cette réforme profondément anti-sociale défendue par le gouvernement Macron repose sur la rhétorique classique des grands partons selon lesquels “il n’y a plus d’argent dans les caisses, il faut se serrer la ceinture”, présentée comme une simple opération économique alors qu’il s’agit là d’un choix politique : celui de faire payer les travailleurs et les travailleuses ainsi que les personnes en situation de chômage. Il s’agit d’un choix peu surprenant de la part du gouvernement, qui se garde bien de solliciter les grands patrons, les riches héritiers ou encore les propriétaires fonciers et leurs milliards d’euros cachés dans des paradis fiscaux !

Une politique offensive contre les travailleurs et travailleuses en première ligne face à la crise sanitaire

Cette réforme, s’appuyant sur le vieux mythe de l’assistanat qui en réalité n’existe que dans la tête des défenseur de l’ordre néo-libéral, vient aggraver la précarité des travailleurs et travailleuses et des populations les plus vulnérables dans un contexte d’explosion du nombre des suppressions d’emplois, et alors que les files d’attente pour des colis alimentaire s’allongent.

Les seuls responsables du chômage, ce sont les patrons et les gouvernements successifs qui à coups de réformes du travail comme la Loi El Khomry en 2016 puis la loi travail XXL en 2017 ont contribué à fragiliser encore plus les plus précaires et ont dernièrement main dans la main concrétisé des plans de suppression d’emplois massifs. La lutte contre cette réforme scandaleuse a déjà amené à l’occupation dans tout le pays de près de 70 théâtres ainsi que de nombreuses mobilisations des secteurs les plus vulnérables de notre classe. Contre Elisabeth Borne, le patronat et le gouvernement, construisons la date du 23 avril pour demander le retrait sans condition de la réforme assurance chômage !

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
À Saint-Nazaire, une travailleuse sociale licenciée pour son soutien aux Gilets jaunes

De nombreux syndicats et associations contestent ces dernières semaines d’une même voix le renvoi de Christel Husson de l’Agence départementale de prévention spécialisée (ADPS), à la suite du soutien qu’elle a exprimé avant le début de son contrat au mouvement des gilets jaunes.

Répression

Tout commence lorsque Christel est embauchée le 8 février dernier par l’ADPS de Saint-Nazaire en tant que cheffe de service. Militante et travailleuse dans le social aguerrie, elle se fait vite repérer et estampiller par un des membres du cabinet du maire, qui la reconnaît. En effet, elle a participé en 2019 et 2020 à plusieurs prises de parole en compagnie des gilets jaunes, qui ont été filmées et diffusées sur Facebook. Elle est par la suite informée le 24 mars de son licenciement avant la fin de sa période d’essai pour avoir « tenu des propos déplacés et irrespectueux à l’encontre des services de police et des élus de la ville, lors d’actions et de manifestations menées avec le collectif Maison du peuple de Saint-Nazaire et le mouvement des Gilets jaunes. ».

Elle est tout simplement jugée inapte par la direction de l’ADPS (l’Agence départementale de prévention spécialisée) de par sa réputation de gilet jaune à remplir ses fonctions de cheffe de service éducatif et son rôle de représentante auprès des partenaires publics comme la mairie, alors que les faits lui étant reprochés remontent à l’année précédant son embauche. Cette décision profondément injuste a bien évidemment fait réagir ses collègues, se disant « choqué et honteux de cette décision ».

Face à la violence de ces méthodes répressives et liberticides plusieurs syndicats présents dans la structure (CGT, FO, FSU, Solidaires ) et diverses associations (La Ligue des droits de l’homme, Femmes en Lutte, Affable, l’association féministe fédératrice autonome pour l’égalité, Femmes Solidaires, etc), ont organisé lundi un rassemblement devant la mairie de Saint Nazaire ainsi que devant le siège de l’ADPS à Nantes afin de contester la décision de licenciement.

Cet évènement n’est malheureusement ni un cas isolé, ni propre à la localité bretonne. Il est au contraire tout à fait symptomatique du tournant autoritaire opéré par le gouvernement. Un tournant sécuritaire aigu qui normalise ce genre de pratiques de mise au silence des travailleurs et de répression politique d’employés de la fonction publique. Catherine Tuchais, co-secrétaire départementale FSU Loire-Atlantique et spectatrice de cette situation scandaleuse, témoigne : « Cette histoire est ahurissante et témoigne de l’air du temps. ».

La répression du militantisme politique au sein du service public n’est pas nouveauté, et a hélas tendance à se généraliser, cette mise à pied nous rappelant avec aigreur l’acharnement subi par Ahmed Berrahal, délégué CGT RATP à Pantin, menacé de licenciement après avoir dénoncé plusieurs cas d’agressions et de harcèlement sexuel dans l’entreprise, ou bien l’expérience cauchemardesque de cet assistant d’éducation d’un collège Roubaisien, licencié et signalé pour radicalisation à la suite d’un débat avec un professeur devant un élève sur un terme utilisé par un professeur qu’il contestait. Le débat relancé par lui-même sur les réseaux, sans citer le professeur, ni le nom de l’établissement lui aura valu licenciement et visite de la police.

Dans la continuité du tournant autoritaire actuel, la répression politique et syndicale s’accentue. L’ensemble des organisations politiques et syndicales doivent s’opposer au licenciement de Christel Husson et de toute personne visée par ce type de méthodes répressives.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Rassemblement à Noyon pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage (Place du Chevalet)

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Macron promet 10000 policiers supplémentaires

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Macron arrive sous des huées au commissariat de Montpellier – vidéos

Mais tenu à distance, l'accueil est différent..

Macron arrive sous des huées au commissariat de Montpellier – vidéos Macron arrive sous des huées au commissariat de Montpellier – vidéos

lors que le sujet de la sécurité est incontournable pour la présidentielle, Emmanuel Macron s’est rendu ce lundi à Montpellier pour défendre sa stratégie sécuritaire. Toutefois, à l’approche du commissariat de la ville, il a été hué par des manifestants.

La sécurité figure parmi les enjeux phares de la campagne présidentielle à venir. Ce 19 avril, Emmanuel Macron est en déplacement à Montpellier sur ce thème qui préoccupe de nombreux Montpelliérains.

Arborant des pancartes «Police floutée, justice aveugle», une centaine de manifestants se sont rassemblés devant l'hôtel de police pour la venue du Président de la République. Le cortège de ce dernier est arrivé au commissariat sous les huées.

Dans une vidéo de Midi libre, un homme, supposément le Président, sort son bras par la fenêtre du cortège pour saluer la foule qui… continue de le huer.

À son arrivée à la CAF, le Président a été également accueilli avec des slogans «Macron démission» par une grande foule. Ce rassemblement de manifestants a été marqué par des tensions avec les CRS qui ont établi un périmètre de sécurité.

 

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Extrême droite ou droite extrême tant les passerelles entre l'une et droite sont lancées depuis des siècles et sur lesquelles la circulation des idées nauséabondes est intense.

 

Du capitaine Dreyfus condamné à tort en 1894, aux ligues nationalistes tentant de renverser la République en 1934, sans oublier le régime pétainiste qui offrit notre pays à l'Allemagne nazie de 1940 à 1945, à l'Oas assassine et tortionnaire lors de la guerre d'Algérie, l'extrême droite et la droite extrême s'allièrent hier et s'entremêlent toujours aujourd'hui

Au lendemain de la condamnation à de la prison ferme à l'encontre de Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen fut dans le premier quarteron qui s'insurgea contre le délibéré du procès. Elle-même, mise en examen, n'a aucune honte à déclarer dans les médias: "Dans une démocratie on se combat par les idées, on se combat politiquement, on ne se combat pas par l’intermédiaire de magistrats qui pourraient ainsi décider qui peut se présenter et qui ne peut pas -à l'élection présidentielle de 2022 -note de ma pomme-". Le vice-patron de l'extrême droite Jordan Bardella parle lui de "République des juges" et le chef des eurodéputés RN Gilbert Collard s'émeut à la condamnation de Nicolas Sarkozy, "ce potentiel recours pour Les Républicains".

Oui, dans un peuple à la mémoire fragile, on oublie que Pétain, Chef de l'Etat français de 1940 à 1945, détenait sur son unique personne les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires et que, dans ces années noires de collaboration avec le Reich hitlérien, les magistrats furent tenus de lui prêter serment.

Quiconque oublie le passé est condamné à le revivre. Et sur l'arc méditerranéen français, les descendants des Espagnols et des Italiens, chassés de leurs patrie par le fascisme franquiste ou mussolinien, en votant pour l'extrême droite ou la droite extrême, n'honorent en rien la mémoire et la vaillance de leurs ancêtres. Pour ma part, je n'oublie jamais que dans Narbonne les "bons Français" lors de 2e Guerre mondiale traitaient ma mère et ses soeurs de "sales petites espagnoles".

Et pour en revenir  à aujourd'hui:

Le Rn a établi son QG de campagne dans le très bourgeois 16e arrondissement de Paris. Normal lorsque sa chef est l'héritière des idées et de la fortune d'un certain Jean-Marie.

Extrême droite: surtout ne rien oublier

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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