SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
E=MC2, le nombre

Pourquoi 250 000 personnes sur des rond-points seraient-ils une déferlante irrésistible alors que 380 000 manifestants un jour de grève (décompte de la police) traduirait un échec de la CGT dans sa mobilisation ? 

Pour affiner la question.

Si au soir d'une journée d'action  nous comptions un mort et 400 bléssés dûs aux actions des syndicalistes, que diraient la presse, les droites, le pouvoirs ?

Enfin , a-t-on déjà vu cela lors d'une manifestation de la cgt ? 

 

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Frais bancaires pour fins de mois difficiles: 6,6 milliards d'euros pour les banques françaises. C'était déjà en octobre 2017

Sans compter les frais pour gestion(sic) de nos comptes courants que les banques ponctionnent sans aucune vergogne. Et ces mêmes banques enregistraient 23,5 milliards d'euros de bénéfices déjà en 2016. Cela faisait combien de plein? Bien évidemment, les pommadés, qui vous répètent à longueur d'antenne la propagande de la pensée capitaliste, ne vous ont pas rappelé cette enquête en plein mouvement des gilets jaunes.

Pourtant, l'enquête de 60 Millions de consommateurs et de l'Union nationale des associations familiales  existe belle et bien.

Pour se défendre, la Fédération française des banques plaidait que ces frais bancaires rémunéraient "la charge de travail occasionnée par ce type d'incident : ouverture du dossier, édition des lettres, traitement du rejet". Or, comme le soulignait la CGT des banques et assurances, ces procédures sont bien souvent automatisées et sans travail d'analyse.

Ceci dit, l'Unaf déclarait aussi dans 60 Millions de consommateurs de novembre 2017 : "L'Unaf demande aux pouvoirs publics de mieux encadrer ce système injuste qui pénalise spécifiquement ceux qui sont déjà en difficulté. Il faut aussi responsabiliser les établissements bancaires eux-mêmes pour qu'ils adaptent leurs offres et leur modèle économique à ces publics de plus en plus nombreux. Enfin, il faut prendre acte que les banques n'assurent plus la mission de conseil pour ces publics."

Cela a-t-il bougé dans le 5e pays le plus riche du monde? Faut-il toujours et encore accompagner le capitalisme et pas le combattre? Tiens, ne serait-ce qu'un court instant, comme -par exemple- revendiquer l'augmentation immédiate et générale du pouvoir d'achat. Avec ou sans gilet jaune.

Toujours dans le cadre de l'humanisation du capitalisme, Laurent Berger, grand manitou de la Cfdt, propose de réunir le gouvernement, les partenaires sociaux(sic) et les associations sur la transition énergétique. Les députés du palais de l'Elysée et François de Rugy, ministre de l'écologie pour les forces de l'argent, ont trouvé l'idée séduisante. Et Manu 1er aussi. CQFD.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Le Figaro fait grise mine

Le journal historique des riches et du patronat commente ainsi le résultat des élections professionnelles à la SNCF:

"Le bloc dit contestataire reste majoritaire - son poids relatif au sein des seules organisations représentatives est de 53,28% (34,99% pour la CGT et 19.29% pour Sud-Rail) - et peut donc s'opposer à tout accord négocié entre la direction et les autres organisations syndicales.

La grève de 37 jours qui s'est étalée sur trois mois au printemps dernier pour tenter de bloquer la réforme du ferroviaire ne semble pas avoir eu d'impact sur les élections."

Sans commentaire de ma pomme, sinon que le stylo à tout faire de la Cfdt risque souvent de s'enrayer comme pour signer une perte de pouvoir d'achat pour les travailleurs du rail. En effet, avec ses 14,3%, ajoutés aux 24% de l'Unsa, elle est loin de représenter 50% des cheminots, seuil légal pour signer n'importe quoi avec le patronat.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Les dockers de Calais soutiennent les gilets jaunes

Ce jeudi soir, à Calais la fédération nationale des ports et docks CGT s'est mis d'accord et a voté d'apporter leur soutien aux gilets jaunes. Ils se sont dit prêts à venir en renfort dans les actions, car les salariés sont aussi concernés par certaines revendications des gilets jaunes.

Gilets Jaunes

Photo Johan Ben Azzouz

Ce jeudi soir, à Calais la fédération nationale des ports et docks CGT s’est mis d’accord et a voté d’apporter leur soutien aux gilets jaunes. Ils se sont dit prêts à venir en renfort dans les actions, car les salariés sont aussi concernés par certaines revendications des gilets jaunes.

C’est avec les raffineries le deuxième secteur stratégique, dont les syndicats appellent clairement et sans ambiguïté à rejoindre les gilets jaunes. Depuis quelques jours, c’est une question qui se fait de plus en plus entendre chez les maillots jaunes : "Mais que font les syndicats ?"

Les directions syndicales tergiversent et n’appellent pas à rejoindre un mouvement aussi hétéroclite, alors que les organisations des travailleurs pourraient avancer des revendications de hausse des salaires pour répondre à la préoccupation du pouvoir d’achat. Puisque localement les bases syndicales commencent à prendre conscience que malgré les velléités qu’ont certains gilets jaunes envers les structures syndicales en clamant haut et fort d’être "apolitique" et "asyndical", bon nombre sont tout de même conscient que la bataille sans les travailleurs et sans les syndiqués cela risque d’être difficile de faire vriller un gouvernement aussi inflexible.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Macron engage des travaux de 500.000 euros à l’Élysée pour refaire la salle des Fêtes

Après l'épisode de la vaisselle à 500.000 et de la piscine à 34.000 euros, Macron continue ses dépenses de prince et a commandé des travaux pour « moderniser » la salle des Fêtes de l’Élysée.

En pleine colère populaire

Crédit photo : AFP / Charles Platiau

Alors que la révolte populaire gronde jour après jour contre le gouvernement Macron qui applique des mesures toujours plus austères, le président des riches continue de faire la sourde oreille aux protestations et mène un rythme de vie de souverain. Celui-ci a en effet commandé des grands travaux à l’Élysée afin d’en « moderniser » certaines parties, notamment la salle des Fêtes dont la moquette (datant de 2007) était trop usée au goût du couple Macron. Ce chantier va durer deux mois et c’est pas moins de 500.000 euros qui vont être engloutis dans ce projet.

Cette nouvelle arrive ironiquement au moment où la contestation contre la vie chère commence à prendre de l’ampleur et le gouvernement Macron, déjà très impopulaire, s’attire une fois de plus les foudres de la population avec cette nouvelle dépense publique. Lui qui n’hésitait pas à se plaindre du « pognon de dingue » consacré aux minima sociaux ; lui qui privatise des aéroports, ferme des hôpitaux, attaque nos retraites ou l’assurance-chômage pour « réduire le déficit », n’hésite pas à investir massivement dans les moyens de répression (police et armée). Bien utile pour protéger la moquette flambant neuve de l’Élysée des manifestants qui auraient la mauvaise idée de s’en approcher un peu trop près !

Macron, qui se prend pour un monarque depuis le début de son mandat, avait déjà causé l’indignation ces derniers temps en menant un train de vie fastueux. Il multiplie les dépenses : que ce soit pour faire construire une piscine au fort de Brégançon ou pour racheter de la vaisselle hors de prix pour l’Élysée. Jupiter se prend pour Louis XIV ou Bonaparte mais à trop se voir en souverain tout puissant il risquerait bien de finir comme Louis XVI. En montrant de plus en plus le fossé de réalités entre lui qui peut se permettre des re-design à 500.000 euros et le reste de la population qui elle doit compter ses moindres dépenses, Macron ne fait qu’attiser le feu de la révolte qui menace de lui brûler les ailes.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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En France, les riches polluent et les pauvres paient !

Les pauvres paient 4 fois plus que les riches sur leurs empreintes carbones !

L’urgence de la transition écologique

D’après une étude publiée par l’organisme Oxfam,on apprend qu’aujourd’hui, la moitié de la population la plus pauvre (c’est-à-dire environ 3.5 milliards de personnes) est responsable de seulement 10% des émission de CO2 dans le monde ; quand les plus riches de leur coté produisent 2 000 à 3 000 fois plus que les plus pauvres chaque jour !

A cette situation monstrueusement injuste, les gouvernements répondent par des taxes encore plus injustes. Les pauvres paient doublement le fait d’être pauvre et de polluer moins que les riches ! En vigueur en France depuis 2014, et dans pas moins de 13 pays européens le système de la Taxe Carbone prétend harmoniser la tarification du carbone en EU, pour soi disant « inciter » les populations à acheter de nouveaux équipements ou à déménager pour payer moins sur les taxes émises par l’état. Mais les personnes les plus précaires, qui n’ont pas d’autres moyens que de vivre dans des logements insalubres (mal isolés, pas d’eau courante …), devront payer beaucoup plus cher que les autres.

Et pendant ce temps, Total et autres continuent de polluer tranquillement. En effet les grandes entreprises jouent à leurs avantages en récoltant les recettes de la population dans leurs entreprises (environ 4 millions d’euros en 2016 de recettes fiscales en France).

Mais une autre solution est possible, vers un modèle plus écologique, et qui n’est pas du tout incompatible avec le fait de garantir un pouvoir d’achat qui permettrait à chacun de satisfaire ses besoins : il s’agit de s’attaquer aux intérêts capitalistes des grands groupes qui pillent la terre et volent les travailleurs.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Gironde. Les postiers en grève contre les réorganisations.

Le syndicat SUD PTT 33 appelle à une grève départementale le 26 novembre prochaine. Si cette journée s'inclue dans un plan de bataille contre les réorganisations, les syndicats doivent appeler, au moment où la colère explose par les gilets jaunes, à des actions qui dépassent le terrain corporatiste !

En plein Black Friday

Nouvelle mobilisation contre les réorganisations
Ce n’est pas la première fois que les postiers se mobilisent contre les réorganisations que veulent imposer la direction de la Poste : la sacoche et la méridienne.

Pour revenir sur cette réorganisation, il faut dire que d’une part, la sacoche sépare en deux groupes les postiers qui jusqu’à maintenant effectuent à la fois des tâches de tri, ainsi que les tâches de distribution. Il y aurait donc une ‘’spécialisation’’ des facteurs dans une des deux tâches, ce qui pose principalement des problématiques de conditions de travail. Que ce soit la répétition de tâches mécaniques pour ceux qui ne feront plus que du tri ou l’isolement professionnel pour ceux qui ne feront plus que de la distribution. D’autre part, la méridienne permettrait aux directions de faire travailler les facteurs l’après midi, en incluant une pause méridienne. On voit bien les affres de cette organisation, qui expose les travailleurs aux fortes chaleurs. Une organisation imposée par la direction afin de développer les ‘’nouveaux services postaux’’ l’après-midi.

Face à cela les postiers de Gironde s’étaient déjà mobilisés lors d’une grève illimitée d’un mois, ponctuée par des journées de forte mobilisation avec plus de 600 postiers !

Depuis, la situation n’a pas changé, et les réorganisations vont arriver. La plupart du temps, les différentes directions cherchent à appliquer ce système bureau par bureau. En Gironde,c ’est en février 2019 que la plus part seront actés.

Un plan de bataille contre les réorganisations

Le lundi 26 novembre n’est pas choisi au hasard par les postiers. Car suite à la grande journée de vente du ‘’Black Friday’’, les colis et courriers vont affluer. Cette date est donc un coup de semonce durant laquelle Sud PTT souhaite en quelque sorte ‘’avertir’’ une dernière fois la direction départementale. En effet, les pertes seront lourdes pour la Poste si cette journée de grève est réussie. Si les retards pour les clients ne seront pas lourds, cela serait néanmoins un retard suffisant pour que la Poste soit contraint de rembourser aux différentes entreprises (Cdiscount, Amazon, …) leurs prestations.
Jusqu’à maintenant a Poste a toujours refusé de discuter les termes des réorganisations, c’est pourtant ce que demande l’ensemble des syndicats. Suite à cette nouvelle journée, les postiers souhaitent faire réagir la direction. Si ce n’est pas suffisant, ils annoncent déjà reproduire ce type de journées durant d’autres pics de commande, comme Noël. Enfin, si ces journées sont suffisamment massives et que la direction poursuit sa politique de la sourde oreille, Sud PTT parle d’ores et déjà d’une nouvelle grève illimitée à la rentrée : ‘’personne ne veut en venir là, mais s’il faut y aller on n’hésitera pas’’ commente un postier bordelais.
C’est donc un plan de bataille intéressant qui s’annonce pour les postiers du département. Qui pourra d’ailleurs se coupler à d’autres luttes, comme l’ont toujours fait les postiers de gironde.

Cette bataille n’est évidemment pas seulement locale. Les réorganisations touchent l’ensemble du territoire. A l’image des postiers du 92 qui luttent depuis maintenant 7 mois. Mais il faut souligner les conditions catastrophiques de l’entreprise, qui ont poussé récemment deux postières à se suicider en Dordogne.

Les postiers font partie des travailleurs les plus attaqués à l’échelle nationale, et répondent fréquemment par des luttes fortes. Il manque aujourd’hui la nécessité, que portent pourtant certains, d’une part de se coordonner nationalement, mais également de rentrer dans un plan de lutte d’ensemble qui dépasse le corporatisme.

Car au moment où les gilets jaunes montrent l’ampleur de la colère qui couve parmi de larges franges de la population, et le potentiel explosif d’alliance avec le mouvement ouvrier et ses méthodes, les initiatives restent, par la faute des directions syndicales soumises, trop isolées ou partielles.

Crédit photo : SUD PTT 33

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Carlos Ghosn : la chute d’un icône du grand patronat français

Le titre des Echos est éloquent : « La chute d'un icône ». Carlos Ghosn a été démis de ses fonctions à la tête de Nissan ce 22 novembre. Toujours à la tête de Renault, le PDG emprisonné au Japon pour fraude peut compter sur le soutien implicite du gouvernement.

Licencié par Nissan après de (forts) soupçons de fraude fiscale

Photo : ©TORU YAMANAKA, AFP

C’est une bien mauvaise nouvelle pour Macron, son gouvernement et, plus largement, l’ensemble des libéraux. Présenté comme le sauveur de Nissan, Carlos Ghosn est aujourd’hui en prison au Japon, soupçonné de fraude fiscale. Démis de ses fonctions à la tête du groupe Nissan, Ghosn est aujourd’hui dans l’œil du cyclone.

10 milliards de Yens. Carlos Ghosn n’en avait déclaré que 4,9 milliards

Carlos Ghosn, tellement dans le besoin, a « omis » de déclarer une partie de ses revenus au Japon. Sur 10 milliards de Yens, le désormais ex-patron de Nissan n’en avait déclaré que 4,9 !
Dans le même temps, dans les usines du groupe Renault, les salariés crèvent des conditions de travail et des salaires au rabais, avoisinant les1100€ par mois. Et qui est le précurseur des accords de flexibilité qui imposent le travail obligatoire et non payé pour les journées du samedi … ? Carlos Ghosn !

Le soutien implicite du gouvernement Macron

Alors que le gouvernement Macron n’a aucun élément sur la procédure en cours au Japon, Castaner a commencé l’opération de com’ dans l’hexagone. D’une part, l’Etat ne demandera pas, pour l’heure, son départ à la tête de Renault. D’autre part, tous les arguments sont bons pour défendre le soldat Ghosn : de la présomption d’innocence au « secret industriel », le tout enrobé d’un discours soit disant « protecteur » pour les ouvriers de Renault.
Une politique plus que complaisante à l’égard des patrons-voyous, empêtrés dans des affaires de fraude alors que les ouvriers subissent de plein fouet les différentes mesures austéritaires, jusqu’à tomber dans la précarité. Ou quand le « nouveau monde » de Macron ressemble traits pour traits au prétendu ancien...

Carlos Ghosn viré, n’aura pas besoin de pointer à Pôle emploi

Que le gouvernement se rassure, Carlos Ghosn, qui touche plus en une journée que les ouvriers qu’il exploite en une année, n’aura pas à pointer à Pôle emploi suite à son licenciement de chez Nissan. Bien au contraire, les fraudes pour se payer villa et appartement lui assurent des lendemains paisibles. Une situation qui ne manque pas de scandaliser les ouvriers de chez Renault, eux qui chaque jour produisent les voitures qui ont fait la fortune de Carlos Ghosn.
C’est bien pour cela qu’aujourd’hui plus que jamais, les travailleurs, avec leur méthode d’action que sont la grève et le blocage, doivent s’unir avec les gilets jaunes, et ainsi bousculer, sur le terrain de la lutte de classe, le gouvernement et les patrons-voyous. Et comme disait Raoul Godoy, suite à la reprise par les ouvriers de l’usine Zanon sous contrôle ouvrier, « la société peut vivre sans les patrons, mais les patrons ne pourront jamais se passer des ouvriers » !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
EXPLOSION de la FRAUDE FISCALE en France, estimée à 100 milliards d'euros annuels

Selon la dernière enquête du syndicat Solidaires-Finances publiques, la fraude fiscale est en hausse. Par rapport à l'estimation d'il y a cinq ans, elle aurait augmenté de 20 milliards d'euros par année, atteignant un montant record.

 

Dévoilé par Marianne ce 13 septembre 2018, le dernier rapport du principal syndicat des Finances publiques, Solidaires-Finances publiques, livre une estimation peu reluisante sur la fraude fiscale. Celle-ci aurait grimpé historiquement à 100 milliards d'euros annuels, et ce sans comptabiliser les fraudes aux prélèvements sociaux. Réalisée tous les cinq ans, l'enquête montre une augmentation de la fraude fiscale, de 20 milliards d'euros par rapport à l'estimation de 2013.

 

Il est à noter qu'en juillet dernier, le syndicat dénombrait près de 38 000 suppressions de postes à la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) depuis 2002. Parmi eux, les contrôleurs fiscaux sont touchés par la réduction des effectifs.

Explosion de la fraude fiscale en France, estimée à 100 milliards d'euros annuels

https://francais.rt.com/france/53905-explosion-fraude-fiscale-france-estimee-100-milliards-euros-annuels

Publié par EL DIABLO

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ELECTIONS à la SNCF : la CGT reste en tête au dépit de tous ceux qui l'attendaient au coin du bois !

Le dépit du Figaro :

La réaction de la fédération CGT :

La Fédération CGT remercie l’ensemble des cheminotes et cheminots qui lui ont renouvelé leur confiance en la plaçant 1ère organisation syndicale avec 34,02 % des voix tous collèges, soit plus de 10 points devant la 2éme.

La Fédération salue l’engagement sans faille de ses militantes et militants qui ont œuvré avec conviction à conforter la CGT comme 1ère organisation syndicale en étant au plus proche de leurs collègues au quotidien.

  • Baisse des effectifs

– 7 586 inscrits par rapport aux dernières élections (2015).

Le collège Exécution a chuté de 6576 agents soit – 8,3 % des effectifs.

Le collège Maîtrise a chuté de 1118 agents soit – 2,4 % des effectifs.

Dans le même temps, le collège cadres a augmenté de 106 agents.

  • L’évolution des modalités de vote (vote électronique) a été un obstacle à la participation des agents.
    • Global :  – 1,96 %
    • Exécution : – 3,67 %
    • Maîtrise :  – 2,68 %
    • Cadre : + 2,03 %

Cette évolution des effectifs et de la participation par collège aurait pu amener une recomposition profonde comme le souhaitaient la direction et le Gouvernement. Malgré cela, c’est une stabilité qui en ressort :

CGT :       34,02 % ( – 0,31 %)

UNSA :     23,96 %  (+ 0,10 %)

SUD-Rail : 17,28 % (+ 0,45 %)

CFDT :       14,30 % ( – 0,85 %)

FO :            7,63 %   ( – 1,53 %)

A l’intérieur de ces résultats, la CGT parvient à progresser de façon significative à l’Exécution (43,25 % soit + 1,27 %) et à la Maîtrise (37,57 % soit + 0,85 %).

La Fédération CGT appelle d’ores et déjà les cheminots à rester mobilisés dans les semaines et mois à venir afin de défendre leurs conditions de vie et de travail, le maintien et le développement du service public SNCF.

Téléchargements

SOURCE : Le Figaro

Les grandes grèves du printemps n'ont pas modifié l'équilibre des forces entre «contestataires» et «réformistes». Les deux syndicats conservent ensemble la majorité absolue.

Pas de coup de théâtre aux élections professionnelles à la SNCF. La grève record du printemps dernier n'a pas modifié l'équilibre des forces. Le score des quatre organisations syndicales est étonnamment stable: la CGT garde sa première place avec 34,02%. Arrive ensuite l'Unsa avec 24%, suivie par SUD (17,28%). La CFDT reste au quatrième rang avec 14,3%. Les quatre syndicats représentatifs (CGT, Unsa, SUD, CFDT) conservent exactement le même poids qu'en 2015, la date du dernier scrutin. Seule évolution notable, le taux de participation est en baisse: 66,70% alors qu'il était de 68,65% en 2015. On constate que les cadres se sont davantage mobilisés (75,26%) que les ouvriers (60,35%).

SOURCE : Europe 1

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À l'issue d'élections professionnelles internes, la CGT, qui avait mené la grève contre la réforme ferroviaire, reste le premier syndicat au sein de la SNCF, devant l'Unsa.

La répartition des forces syndicales est restée stable à la SNCF, à l'issue jeudi soir des élections professionnelles, la CGT restant en tête, avec une très légère érosion, lors du premier vote électronique organisé dans l'entreprise pour élire les nouveaux comités sociaux et économiques (CSE). Derrière les 34,02% de la CGT-Cheminots (-0,3 point par rapport au scrutin précédent en 2015), l'Unsa-ferroviaire conserve sa deuxième place, avec 23,96% (+0,1 point), devant SUD-Rail à 17,28% (+0,5 pt) et la CFDT-Cheminots à 14,30% (-0,9 pt), selon un communiqué de la SNCF.

Pour les négociations à venir, les équilibres restent les mêmes : le camp des contestataires, CGT et SUD, garde la majorité face aux progressistes Unsa et CFDT. Après ce classement inchangé des quatre syndicats représentatifs, FO reste à sa 5e place, mais perd 1,5 point, à 7,63%. La CFE-CGC, qui ne faisait pas cette année liste commune avec FO, mais avec deux syndicats de cadres maison, a obtenu 2,78% des voix.

"Pas de grand soir". "Malheureusement, par rapport à ce que l'on espérait, pas de grand soir", a sobrement commenté Sébastien Mariani, secrétaire général adjoint de la CFDT-Cheminots. "L'électorat cadre s'est un peu dispersé, notamment en se reportant sur la CFE-CGC", a-t-il estimé.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Gilets jaunes : pénurie de pièces chez PSA Sochaux, la production arrêtée

Ce 21 novembre, deux lignes de production de PSA Sochaux ont été arrêtées : les pièces nécessaires ont en effet été bloquées au niveau de Bordeaux, par le mouvement des gilets jaunes.

Impact sur l'économie

Crédits photo : Lionel Vadam / MAX PPP

Il s’agit du premier « impact » du mouvement des gilets jaunes sur la production du géant de l’automobile PSA. Ce mercredi 21 novembre, les chaines de montage des 3008 et des 308 ont du être stoppées à l’usine de Sochaux. La raison ? Les pièces en provenance d’Espagne étaient bloquées au niveau de Bordeaux par les gilets jaunes.

Ce n’est pas la première action du mouvement, débuté le 17 novembre dernier, qui touche l’usine sochalienne. Dès le 18, la consigne était donnée de converger vers le site de PSA. Le 20 novembre, rebelote. Sauf que cette fois-ci, les camions sont bloqués au giratoire à l’entrée de l’usine à partir de 14h, et ce avant que les forces de répression ne se déploient vers 15h30. Dès lors, les manifestants restent sur place, au cri de « Macron démission ».

Si la direction de PSA Sochaux a affirmé que la production devait reprendre dans la nuit du 21 au 22 novembre, cette situation démontre que le mouvement des gilets jaunes, loin de tourner le dos au mouvement ouvrier, est bien conscient que le blocage de l’économie est central pour faire plier Macron. En ce sens, il est indispensable que les travailleurs eux-mêmes répondent à cette colère sociale légitime, en employant leur méthode : la grève et le blocage de l’économie.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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