SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Face aux mesures répressives, les
manifestations se multiplient en Italie

 

Alors qu'un nouveau décret du gouvernement impose de nouvelles restrictions, notamment une sorte de couvre-feu pour tous les restaurateurs à partir de 18H, plusieurs manifestations ont eu lieu dans différentes viles de la botte italienne : des mobilisations de restaurateurs, jeunes et quartiers populaires qui refusent ces nouvelles mesures répressives, alors qu'aucun moyens et plan à la hauteur n'est mis face à l'épidémie qui repart en flèche.

 

Covid19

Crédits photo : Andreas SOLARO / AFP

Depuis ce lundi 26 octobre, le gouvernement italien vient d’imposer un nouveau tour de vis face à la remontée en flèche de l’épidémie qui atteint une moyenne de 20.000 nouveaux cas positifs par jour dans la péninsule. Dans la nuit de samedi à dimanche, Giuseppe Conte, premier ministre italien, a signé un nouveau décret après de houleux échanges entre le gouvernement et les régions pour de nouvelles mesures qui entrent tout de suite en vigueur : « Des mesures prises maintenant pour éviter de tout fermer à Noël » a déclaré le chef du gouvernement. Ces nouvelles mesures imposent un « semi-confinement » qui prévoient des restrictions pour certains types d’activités, comme les bars, restaurants, salles de sport et piscines, qui resteront en place jusqu’au 24 novembre au moins. L’ensemble des services de restauration doivent fermer leurs portes à 18H tous les jours, weekend inclus. Dans les lycées, c’est l’enseignement à distance qui est privilégié, et les lieux de culture doivent tous fermer leurs portes. C’est en Lombardie que les règles imposées sont les plus sévères, puisque ce sont en grande partie les régions qui ont le pouvoir de décision. Avec un couvre-feu dès 23H, une grande partie des restaurateurs appauvris, mais aussi des jeunes, et de manière plus générale des classes moyennes urbaines de plus en plus touchés de plein fouet par la crise.

Mobilisations et scènes d’affrontements avec les forces de l’ordre contre les nouvelles restrictions

C’est dans plusieurs villes, en particulier à Naples où les protestations ont commencé, mais aussi à Milan, Turin, Catania, où plusieurs initiatives ont été lancées, à partir des réseaux sociaux, contre les nouvelles restrictions qu’impose le gouvernement, qui va particulièrement toucher les petits restaurateurs et petites entreprises, la jeunesse et en particulier dans les quartiers populaires.

Ce sont eux, avec les travailleurs du monde du spectacle, jeunes, qui sont descendus dans la rue, de manière quasi quotidienne dans les différentes villes, d’abord par des manifestations plus traditionnelles mais qui, avec les tensions qu’imposent les forces de répression, sont devenues de véritables protestations et scènes d’affrontements avec la police. À Milan, la police a utilisé les gaz lacrymogènes pour empêcher les manifestants, en grande partie des jeunes, d’atteindre le Palais de la Région. De cette manifestation il y a eu 15 arrestations après que celle-ci ait été dissoute. À Rome, le premier ministre Giuseppe Conte est descendu dans la rue pour dialoguer avec les manifestants, qui l’ont hué, après que celui-ci ait promis que des indemnités seraient versés aux restaurateurs.

Expression d’un réel malaise face aux nouvelles restrictions et au tour de vis que fait le gouvernement, les secteurs se mobilisant aujourd’hui dénoncent les conséquences que ça a pour ces petites entreprises, en particulier les restaurateurs. De plus, à l’image de la France où la contagion repart en flèche, bien supérieure aux taux de contamination qu’on voyait en mars, le gouvernement italien n’annonce aucune mesures de moyens supplémentaires pour les hôpitaux publics, seulement un serrage de vis d’un point de vue répressif, donnant lieu à une culpabilisation individuelle de la circulation du virus.

Une situation désastreuse dans les hôpitaux, la responsabilité d’un gouvernement qui préfère maintenir les profits au détriment de nos vies

Aucun moyens supplémentaires sont alloués dans la santé publique, qui aujourd’hui se maintient avec des établissements dans des états délabrés, en sous-effectif, dont le personnel médical souffre et continue d’être humilié par le non-renouvellement de la convention collective nationale et des salaires de misère. Le patronat, avec la complicité du gouvernement, a imposé en mars de maintenir ouvertes des milliers d’usines, en particulier en Lombardie, région particulièrement industrialisée, causant un désastre sanitaire pour des milliers de travailleurs mis en danger par un choix : maintenir coûte que coûte les activités économiques pour les profits, au détriment de nos vies. Aujourd’hui, alors que la situation commence de nouveau à être dramatique dans les hôpitaux, le scénario risque d’être encore plus tragique dans la mesure où le Sud du pays, où les établissements de santé sont d’autant plus en piteux état, est davantage touché qu’à la première vague.

Giuseppe Conte, mais de manière plus générale la coalition au pouvoir du Parti Démocrate et du mouvement 5 Étoiles, ont maintenu le cap des offensives racistes, répressives des décrets de sécurité de Salvini (se limitant à quelques changements dérisoires et surtout de façade), mais surtout en restant au plus près des exigences du patronat, incarné par son organisation syndicale qu’est la Confindustria. En attendant, il est prévu d’allouer la majeure partie des fonds du plan de relance pour les restructurations productives nécessaires au grand patronat pour contrer la crise qui sévit depuis 2008, ou directement dans les poches des patrons sous formes d’allègements des charges. Bien évidemment, des budgets qui n’iront pas aux services publics, mais qui augmentent les dépenses militaires (30 milliards pour la défense).

Contre le nouveau saccage que veut imposer le gouvernement et le patronat, une réponse ouvrière à la crise !

Le 27 septembre dernier, des centaines de travailleurs et de délégués combatifs de différentes affiliations catégorielles et syndicales se sont réunis à Bologne, dans le but d’esquisser une plateforme de lutte et de mobilisation capable de s’opposer aux plans de boucherie sociale des patrons et du gouvernement. Le 24 octobre, cette assemblée a appelé à descendre dans la rue dans plusieurs villes italiennes devant les bureaux de la Confindustria. A Rome, à Milan et à Bologne, les manifestations ont été très suivies, tandis qu’à Naples, en raison des provocations continues de la police, des affrontements entre les manifestants et les forces de police ont eu lieu. Des manifestations ont également eu lieu à Brescia, Turin, Piacenza, Palerme et dans d’autres villes du nord au sud.

Face aux offensives du gouvernement qui a fait le choix, comme en France, de sauver et maintenir coûte que coûte les profits au détriment de nos vies, il est aujourd’hui central de penser un véritable plan de bataille pour refuser les mesures répressives et exiger de véritables moyens pour les services publics, en particulier dans la santé dont les coupes budgétaires menées par les différents gouvernements ont mené les ont mené à la catastrophe face à la pandémie. Refuser que ce soient les jeunes, les travailleurs, et les secteurs populaires qui paient la facture de la crise !

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Sans rire: Le Qatar "regrette la violation des libertés individuelles"

Dixit un porte-parole de la monarchie intégriste qui sponsorise le PSG, mais pas que lui en France. Le Qatar a procédé à des examens forcés gynécologiques sur des passagères à l'aéroport de Doha, la capitale du pays.

Un nouveau-né avait été découvert dans les toilettes de l'aérogare. Du coup, les responsables avaient fait descendre des avions en partance les passagères pour qu'elles subissent un examen gynécologique forcé. Aux dernières nouvelles, seule l'Australie a vivement protesté et le Qatar s'est excusé. Au nom, sans rire, de cette violation des libertés individuelles.

10 avions étaient concernés et une Française se trouvait parmi les victimes, dit l'AFP dans un article du Monde. Allô, Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères du patronat français, RAS?

Question des libertés individuelles, au Qatar, les relations sexuelles et l’accouchement hors mariage sont passibles de peines de prison. Tout comme l'homosexualité. Les femmes sont aussi considérées comme des sous-hommes(sic) et les travailleurs immigrés comme des esclaves. Sous-rémunérés, quand ils sont payés, et exploités grave, il faut un permis de sortie de leurs employeurs pour rejoindre leur patrie d'origine.

Si vous ne le saviez pas, les travailleurs immigrés bossent notamment pour construire les stades du Mondial de foot 2022 et les équipements hôteliers tout autour. Mondial accordé par la FIFA libre et non faussée.

Sans rire: Le Qatar "regrette la violation des libertés individuelles"

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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PRIMARK Val de Marne : échec à la répression syndicale !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

C'est vrai pour le chômage.

C'est vrai pour les retraites.

C'est vrai pour l'hôpital public où malgré la forte alerte de la première vague du coronavirus concernant son état consécutif aux politiques de casse menées depuis plus de 20 ans, la casse continue.

Car rien n'a été fait depuis des mois pour donner lui donner les moyens de fonctionner normalement : recrutement, crétaion de lits, formation, revalorisation réelle de la situation des personnels afin de rendre attractif l'hôpital et non de continuer à organiser et à laisser faire la désertion vers le privé !

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SOURCE : La Provence


Paris - Jean Castex a consenti lundi un nouveau report de l'application de la délicate réforme de l'assurance chômage, au vu de la crise qui s'aggrave, mais a continué de défendre une réforme "majeure" face aux syndicats qui réclament toujours son "abandon" pur et simple.

Le Premier ministre a réuni pendant près de trois heures les partenaires sociaux à Matignon pour sa deuxième "conférence du dialogue social" depuis juillet, juste après son arrivée, pour faire "un point d'étape" sur les chantiers en cours, notamment face à la crise sanitaire et sociale (plan jeunes, reconversions professionnelles...).

A l'issue, un report de trois mois de l'application de la réforme controversée de l'assurance chômage, soit jusqu'au 1er avril 2021, a été annoncé, M. Castex indiquant toutefois qu'il "n'entend(ait) pas renoncer" à cette "réforme majeure".

L'exécutif avait déjà accepté en juillet de suspendre jusqu'au 1er janvier cette réforme, qui prévoit notamment un durcissement de 4 à 6 mois de travail pour ouvrir des droits et une réforme du mode de calcul des allocations défavorables à ceux qui alternent chômage et contrats courts.

Les responsables des cinq centrales syndicales ont réclamé à l'unisson l'abandon de la réforme, jugeant le simple report "absolument scandaleux" (Philippe Martinez, CGT) ou "complètement inadapté" (Cyril Chabanier, CFTC), et demandant "une réponse plus claire" (Yves Veyrier, FO).

"Cette réforme petit à petit, on est en train de faire la démonstration qu'elle n'est pas du tout adaptée à la période", a affirmé Laurent Berger (CFDT), François Hommeril (CFE-CGC) la dénonçant comme "punitive".

Côté patronal, le président de la Confédération des PME, François Asselin, a estimé que le report posait la question du calcul du bonus-malus pour pénaliser les entreprises qui abusent des contrats courts.

La réunion, à laquelle participaient les ministres de l'Économie Bruno Le Maire et du Travail Élisabeth Borne, ainsi que le secrétaire d'État Laurent Pietraszewski, n'a pas débouché sur l'abandon d'un autre dossier ultra sensible aux yeux des syndicats: la réforme des retraites qui doit normalement revenir dans le débat fin 2020-début 2021.

- "Le bon curseur" -

Tous les participants ont insisté sur la gravité de la situation avec un couvre-feu instauré dans 54 départements et qui risque de dégrader un peu plus la situation de l'emploi. Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a mis en garde contre un possible "écroulement" de l'économie en cas de reconfinement généralisé.

Le télétravail a été "largement abordé", à une semaine du lancement d'une négociation sur le sujet. Mme Borne a assuré lundi que le protocole en entreprise était "efficace".

Des mesures de "durcissement" supplémentaires risquent d'être prises: mardi, le président Emmanuel Macron réunira un Conseil de défense consacré au Covid-19, avant que son Premier ministre Jean Castex ne reçoive en fin de journée "les forces politiques" puis à nouveau les partenaires sociaux à Matignon.

Une première réunion de suivi du plan de relance est par ailleurs programmée vendredi avec le Premier ministre.

Une mission va aussi plancher sur les salariés de la "deuxième ligne" face au Covid-19. Elle devra identifier ceux concernés, le ministère du Travail promettant "des réponses" en termes de reconnaissance en 2021. La CGT a jugé "scandaleux" l'intérêt tardif pour ceux "dont on parle depuis le mois de mars", la CFDT ajoutant qu'"il ne faut pas que ça aille trop lentement".

Le sujet du partage de la valeur en entreprise a, lui, été jugé non urgent par plusieurs participants côté patronal et syndical, mais le gouvernement prévoit d'y revenir "en novembre ou décembre" dans une réunion multilatérale.

Face à la crise, des mesures "extrêmement fortes" ont été prises pour "atténuer l'impact" économique et social, et "obtiennent des résultats", a insisté M. Castex. Il a mentionné le plan pour l'emploi des jeunes dont les chiffres d'août et septembre sont "encourageants, notamment dans le domaine de l'apprentissage".

Le chef du gouvernement a aussi souligné le recours à l'activité partielle de longue durée, la formation professionnelle et la reconversion des salariés "qu'il nous faut par tout moyen privilégier sur les licenciements".

"Ces résultats concrets sont rendus possibles par le dialogue social" alors que "les accords dans les entreprises, dans les branches professionnelles n'ont jamais été aussi nombreux". "C'est le meilleur antidote à la crise", a-t-il martelé.

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever


Ce mardi, la direction et les grévistes se retrouvent autour de la table des négociations. La CGT dénonce le recours à la sous-traitance pour les opérations de maintenance sur le site.

Depuis le 16 octobre, à l'appel de la CGT, une grève touche le site industriel Orano-Malvési. "L'usine est quasiment à l'arrêt. Les salariés de la production sont presque tous en grève", indique Vincent Morgan de Rivery, le secrétaire du syndicat CGT de l'entreprise. Face à "la part toujours grossissante des sous-traitants", le syndicat réclame "une réinternalisation de la maintenance". "On a filé les clefs du camion à Engie et cela nous coûte plus cher", poursuit-il. Ce mardi 27 octobre, à 14 h 30, le syndicat exposera ses revendications face à la direction. Par ailleurs, la CGT s'indigne également de l'attitude de la direction qui "menace de suspendre des contrats de travail si nous continuons la grève". 

 

Publié par FSC

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En attendant l'orage

Ben oui, pas de coronavirus non plus dans les transports en commun aux heures de pointe, dans les supermarchés ou à l'école...

Du coup, la politique sanitaire du gouvernement est celle-là Non ?

En attendant l'orage

Et avant, c'était beaucoup mieux :

En attendant l'orage

Mais sans rire, depuis quand est pressurée la santé publique en France ?

Déjà en 15 ans, des dizaines de milliers d’emplois y ont été supprimés et 69 000 lits sont portés disparus sur la même période.

Mais qui était au pouvoir ?

- Joker, ont répondu la droite et le PS.

 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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COVID-19 : La pandémie creuse bel et bien les INÉGALITÉS

INÉGALITÉS : 32 milliards d'euros épargnés par les 20% plus riches durant la crise sanitaire

Une étude du Conseil d'analyse économique montre que 50 milliards d'euros ont été épargnés entre mars et août 2020. «Près de 70% du surcroît de l’épargne ont été faits par 20% des ménages», soit les personnes gagnant plus de 3 125 euros par mois.

La pandémie creuse bel et bien les inégalités. Selon une étude publiée le 12 octobre 2020 par le Conseil d’analyse économique (CAE), instance placée auprès du Premier ministre et composée de huit économistes, les Français ont épargné 50 milliards d’euros entre mars et août, confinement et baisse de la consommation obligent. Fait notable, «alors que l’épargne est très au‐dessus de la normale pour les plus aisés en fin de période, elle est en dessous pour les plus modestes», indique le texte. Pour précision, la Banque de France estimait la somme des épargnes à 85,6 milliards d’euros dans une note publiée en septembre. L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) chiffrait fin juin à 75 milliards d’euros l’épargne forcée entre mi-mars et début juillet.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Sous le capitalisme, le COUVRE-FEU...est fait pour le capitalisme !

Un homme qui ne dispose d’aucun loisir, dont la vie tout entière, en dehors des simples interruptions purement physiques pour le sommeil, les repas, etc., est accaparée par son travail pour le capitaliste, est moins qu’une bête de somme. C’est une simple machine à produire de la richesse pour autrui, écrasée physiquement et abrutie intellectuellement. Et pourtant, toute l’histoire de l’industrie moderne montre que le capital, si on n’y met pas d’obstacle, travaille sans égard ni pitié à abaisser toute la classe ouvrière à ce niveau d’extrême dégradation.
Karl Marx

Depuis le samedi 17 octobre 2020, un couvre-feu est entré en vigueur en Île de France et dans une dizaine de villes du pays, suite aux annonces d’Emmanuel Macron le 14 octobre ; couvre-feu étendu à plus de la moitié des départements depuis le samedi 24 octobre. Cette mesure est lourde de conséquences, non seulement sur le plan économique pour certains secteurs (restauration et culture, notamment) mais aussi sur le plan des libertés fondamentales (y compris celles garanties par la Constitution de la République bourgeoise).

Mais au-delà des premiers constats, il s’agit, pour nous communistes révolutionnaires, de rechercher quels sont les enjeux de classe de cette nouvelle vague de restrictions au droit de circuler et d’accéder à certains lieux normalement ouverts au public.

Tout d’abord, relevons l’hypocrisie d’un gouvernement qui prétend n’avoir que la solution du couvre-feu pour lutter contre le virus, alors que, depuis des mois, aucune mesure à la hauteur des besoins n’a été mise en place pour préserver la santé des salariés, de la jeunesse et des personnes âgées :
Où est le plan massif de relance des moyens humains et matériels donnés à l’hôpital public 

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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