SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voici un petit échantillon de ce que permettra cette loi :

  • Travailler 60h par semaine
  • Une entreprise pourra par accord, baisser les salaires et augmenter  le temps de travail
  • La possibilité de diviser par 5 la majoration des heures supplémentaires
  • Une mesure peut être imposée par referendum contre l’avis de 70% des syndicats.
  • Un salarié refusant le changement dans son contrat de travail pourra être licencié.
  • L’élargissement du dispositif « forfait jour » qui permet de ne pas décompter les heures de travail
  • La possibilité de passer à 12h de travail par jour
  • La modulation du temps de travail sur 3 ans
  • Faire travailler les apprentis 10h par jour
  • Fin des 11 heures de repos obligatoires entre deux périodes de travail
  • Etre en astreinte ou être en repos sera la même chose
  • Le travail de nuit ne sera considéré comme tel qu’à partir de 9h consécutives de nuit
  • La facilitation des licenciements en cas de transfert d’entreprise
  • La visite médicale d’embauche transformée en une simple visite d’information
  • En cas de décès d’un proche (enfant, conjoint,…) la durée du congé ne sera plus garantie par la loi
  • Une entreprise pourra faire un plan social sans difficultés économiques
  • La suppression des minimums de dommages et intérêts en cas de licenciement injustifié
  • La baisse des indemnités pour les salarié(e)s qui ont vus leur licenciement économique déclaré nul
  • La baisse des indemnités pour les malades et les accidenté(e)s licencié(e)s
  • Le plafonnement des indemnités prud’homale

Ce projet n'est ni amendable, ni négociable

ABROGATION des lois Macron, Rebsamen et la loi dite de sécurisation de l’emploi

 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

L’Union Locale CGT Compiègne appelle la jeunesse et toutes les catégories de salariés, retraités et les privés d’emploi à participer massivement au prochain rassemblement contre le projet de loi de casse des droits du travail le JEUDI 17 MARS.

TOUS EN MANIFESTATION LE JEUDI 17 MARS 2016 A 10H A COMPIEGNE ! . . .

Intersyndicale, l'Union Locale CGT et L'Union Locale FO de Compiègne appelle à une manifestation pour le retrait de " la loi dit El Khomri " jeudi 17 mars 2016 à 10 h cours Guynemer (n°9 face à la Maaf) à Compiègne.

Bienvenue à tous,pas de pluie ce jour là ! on lâche rien . . .

ATTENTION ,le parking gratuit cours guynemer est fermé (fête foraine) vous pouvez éventuellement vous stationner hors centre ville et utiliser les bus gratuits . . .sinon parking payant cours guynemer ! . . .

Nous appelons tous les étudiants,les lycéens,les enseignants,les citoyens, les fonctionnaires,les salariés,les privés d'emploi,les retraités à participer à cette forte mobilisation.

JEUDI 17 MARS 2016 A 10 HEURES.

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Sans surprise.

Suite à la présentation de la direction (tableau très NOIR sur la conjoncture et résultats des usines...), avec un indice INSEE décembre 2015 à 0,2%, on peut s’attendre à une énorme augmentation générale d’Unilever !!!!!!

En début d'après-midi nous avons exposé nos revendications et maintenant nous devons attendre le 24 mars pour connaitre les propositions de la direction.

Après une courte durée de suspension de séance, la direction nous reproche notre déconnexion de la réalité !(chaque année c’est la même chose, peu importe les revendications, peu importe la contribution des salariés sur l’évolution des volumes de l’usine…)

La messe est dite.

Comme nous l’avons toujours dit, notre force de négociation, c’est votre soutien. L’intervention de masse des salariés représente la clé de la victoire sur les revendications, la dernière négociation ne doit pas se tenir sans l’implication des salariés.

L’union fait et fera toujours notre force !

Posez-vous la question :

« Mon salaire suffit-il à m’assurer une existence normale et digne ? »

Alors faites le comprendre durant ces deux semaines de n’importe quelle manière !

 

AUGMENTER LES SALAIRES

C’est Nécessaire, Possible, Urgent

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Inde. L'entreprise a accepté de verser une indemnisation non précisée aux anciens employés de la filiale indienne du géant de la consommation Unilever. Ils ont retiré leur plainte.

La filiale indienne du géant de la consommation Unilever a trouvé un accord avec des centaines d'anciens employés qui accusaient le groupe de les avoir empoisonnés au mercure dans l'une de ses usines du sud du pays.

Hindustan Unilever Limited (HUL) avait été contraint de fermer son usine de fabrication de thermomètres dans le Tamil Nadu en 2001 après que les autorités eurent établi que l'entreprise contaminait l'environnement en rejetant des tonnes de déchets toxiques dans la nature.

HUL a annoncé mercredi soir avoir trouvé un accord avec l'association des anciens employés de l'usine de Kodaikanal, représentant 591 d'entre eux et leurs familles.

«Nous avons travaillé dur pendant des années pour régler cela et avons trouvé la bonne solution pour nos anciens employés. Nous, et toutes les parties impliquées, sommes heureux d'avoir trouvé une issue à cette ancienne affaire», a dit le responsable juridique d'HUL Dev Bajpai dans un communiqué.

L'entreprise a accepté de verser une indemnisation non précisée aux anciens employés, selon ce texte. L'association a accepté de retirer sa plainte vieille de dix ans, examinée par la Haute cour de Madras (Chennai), après cet accord.

L'association des employés n'a pu être jointe par l'AFP. Elle estime que 45 employés et 18 enfants sont morts des rejets toxiques de l'usine, ce que l'entreprise nie.

Elle demandait une indemnisation pour les troubles rénaux et neurologiques qui sont dus, selon ces employés, à l'exposition au mercure.

L'usine avait été transférée de l'Etat de New York en Inde en 1984 avant d'être fermée en 2001 à la suite de la découverte de 7,4 tonnes de verre brisé et de boues contaminées par le métal toxique, enterrés dans les environs.

L'an dernier, des défenseurs de l'environnement ont lancé une campagne pour forcer Unilever à dépolluer le site, proche d'une réserve naturelle.

«Nous sommes heureux mais nous allons vérifier qu'Unilever va débarrasser le site de ses déchets toxiques», a dit Nityanand Jayaraman, l'une des militantes engagées dans cette campagne, à l'AFP.

Un clip baptisé «Kodaikanal Won't!», inventé par une militante indienne de 27 ans Sofia Ashraf sur la musique d'«Anaconda», de Nicki Minaj, a connu un énorme succès l'an dernier avec plus de 3 millions de vues sur Youtube, donnant un coup d'accélérateur à la campagne des anciens de l'usine.

ja/ef

(afp/nxp)

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voici ci-dessous la présentation NAO CGT 2016 avec nos revendications.

Cliquez sur le fichier en bas de l'image.

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Un 9 mars intergénérationnel d’indignation, de revendications, et de très fortes mobilisations

Dans un contexte de fortes attentes sociales, où de plus en plus de voix s’élèvent et se manifestent au sein de toutes les couches de la société pour demander moins de précarité, plus d’emplois, plus de moyens pour vivre convenablement autour de plus de solidarité.

Cette journée d’action du 9 mars est une première réponse du monde du travail et de la jeunesse face à l’intransigeance du gouvernement et l’arrogance du patronat dans la conduite de plusieurs réformes rétrogrades en particulier celle du code du travail.

A l’appel de 22 organisations de jeunesse et de plusieurs organisations syndicales ce sont plus de 144 lieux de manifestations et de rassemblements unitaires qui ont été recensés dans le pays. Cette première mobilisation est incontestablement une grande réussite avec plus de 450000 manifestants descendus dans la rue.

Elle constitue un formidable point d’appui pour les futures mobilisations, notamment celles des retraités le 10 mars, des fonctionnaires le 22 mars ou encore celles de milliers de salariés dans les entreprises qui, luttent quotidiennement pour améliorer leurs condition de travail, leurs salaires, défendent leur emplois, résistent aux répressions syndicales. C’est un bon tremplin pour réussir les prochains rendez-vous jusqu’à l’appel unitaire du 31 mars prochain.

Cette journée est un premier avertissement lancé à l’exécutif, il ne peut rester sourd devant l’inquiétude et les attentes qu’exprime une grande partie de la société.

Dès le 14 mars, le gouvernement doit retirer son projet de loi actuel sur le code du travail et ouvrir de véritables négociations avec les organisations syndicales en s’appuyant sur les propositions réellement modernes et protectrices pour les salariés.

L’engagement de milliers de jeunes, le niveau de mobilisation des salariés, le courant de sympathie que recueillent les nombreux arrêts de travail dans les entreprises et établissement avec des taux de grévistes importants à la SNCF, la RATP marquent la volonté et l’espoir d’inverser la logique d’une soumission programmée à la loi du marché, à la libéralisation du travail et de la société sous toutes ses formes.

Le mouvement multiforme en construction, à la fois intergénérationnel et unitaire repose sur un rejet du projet El Khomri qui incarne un recul civilisationnel inédit mais aussi sur des volontés fortes de voir émerger des réponses concrètes aux revendications des salariés, des privés d’emploi, des retraités actuels et à venir.

Cette journée d’action se situe également à un moment important où le gouvernement avec le patronat désirent peser négativement sur les négociations UNEDIC et liquider une partie des dispositifs de compensation des retraites complémentaires (AGFF). Aujourd’hui ils doivent changer d’orientations et prendre en compte le niveau de mécontentement et les propositions formulées par les syndicats.

Les organisations de jeunesse et syndicales vont dans les prochains jours se retrouver pour analyser cette première journée de mobilisation et décider ensemble les suites à donner à un processus d’action qui va et doit se renforcer.

La CGT appelle les salariés partout à rester attentifs, mobilisés et à se préparer au plus tard à réussir l’action du 31 mars prochain.

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !
FIN DE CONFLIT CHEZ SMW AUTOMOTIVE !

Apres 24 heures de gréve l'intersyndical CGT, CFE-CGC ont signé un accord avec la direction.
Une augmentation de salaire générale de 50€ net par mois pour tous les salariés et 150€ de prime annuelle basé en partie sur l'EBITDA ( bénéfice d'une société avant que n'y soient soustraits les intérêts, les impôts et taxes, les dotations aux amortissements et les provisions sur immobilisations mais après dotations aux provisions sur stocks et créances clients).
N'oublions pas que les NAO sont obligatoires, mais durant l'année selon les circonstances, les salariés et ses représentants peuvent revendiqués une augmentation de salaire ou autres à tout moment ! . . .

Fraternellement
Arnaud Crinon
Délégué Syndical CGT

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

A Göteborg, la municipalité tente une expérience originale : faire travailler une partie de son personnel "seulement" six heures par jour pour augmenter sa productivité. Un exemple dont il faut s'inspirer ?

Réduire le temps de travail pour augmenter la productivité... et le bonheur des salariés. Et si c'était cela la clé de la réussite d'une entreprise ? Depuis le mois de février, la mairie de Göteborg teste la semaine de 30 heures dans plusieurs établissements publics de la ville. Pour le même salaire, les employés travaillent désormais six heures par jour à la place de huit.

Le service public n'est pas le seul concerné et de nombreuses sociétés suédoises ont déjà adopté ce nouveau rythme de travail plus souple. A la clé, moins de stress pour les salariés, des embauches et une plus grande attractivité pour l'entreprise.

La municipalité de Göteborg veut donner l'exemple

A l’initiative de Mats Pilhem, maire adjoint de la ville et membre du Parti de Gauche, la municipalité de Goteborg deuxième ville du pays, demande à ses salariés de jouer les cobayes depuis le mois de février. Les employés municipaux du secteur des soins aux personnes âgées ont été divisés en 2 groupes : le groupe A travaille 6h par jour, le groupe B, 8h par jour. A salaire égal. But de l'expérience : comparer la productivité et le bien-être des employés et, peut-être, étendre le nouveau rythme de travail à l'ensemble des services.

A la fin de l'expérience, nous comparerons les deux et on verra ce qui diffère. Nous espérons que le personnel réduira son nombre de congés maladie et qu'il se sentira mieux mentalement et physiquement grâce à des journées plus courtes", expliquait Mats Pilhem, à l'annonce du projet en avril 2014.

A la maison de soins de Svartedalens, le personnel concerné par la diminution du nombre d'heures de travail salue l'initiative, comme le rapporte le "Guardian" : "J'étais tout le temps épuisée, dès que je rentrais du travail, je m'écroulais de fatigue sur le canapé. Désormais, je suis plus alerte : j'ai à la fois plus d'énergie pour mon travail, mais aussi pour ma vie de famille", raconte Lise-Lotte Pettersson, une des 82 infirmières de l'établissement. 

Le passage aux 30 heures hebdomadaires a également eu un impact positif sur l'emploi : depuis le mois de février 14 postes ont été créés pour compenser la réduction du temps de travail et la direction de l'établissement dit avoir observé "une amélioration des services" et du "bien-être" des salariés.

Dans le service public... et dans le privé

Non loin de l'établissement de Svartedalens, l'usine d'assemblage Toyota de Göteborg fait figure de précurseur en la matière. Depuis 13 ans, la direction a adopté les journées de six heures pour ses mécaniciens et ses employés de bureau sans jamais revenir sur le principe. Le site fonctionne 12 heures par jour non-stop, et les équipes se succèdent chaque jour à midi. 

Quelle contrepartie pour les salariés ? Des pauses plus courtes, mais une production augmentée selon Martin Banck, le directeur : "

Le personnel se sent mieux, il y a moins de turn-over et le recrutement est plus facile.", raconte-t-il. 

Selon lui, depuis 2002 et l'arrivée de la journée de six heures, les profits du site ont augmenté de 25% et les salaires des employés se maintiennent au-dessus de la moyenne dans le secteur : environ 3.300 euros par mois contre 2.700 euros.

Pourtant, malgré des premiers retours positifs, l'expérience de la semaine des 30 heures faite par la municipalité de Göteborg  pourrait prendre fin dès l'année prochaine, note le "Guardian". Fermement opposé à la réduction du temps de travail, le parti Libéral - qui vient de récupérer la majorité dans la ville - pointe du doigt le coût de l'expérimentation : plus de 850.000 euros par an. "Tout n'est pas qu'une question d'argent", réplique Daniel Bermar, du Left party de Göteborg et qui a soutenu l'expérience à Svartedalens.

L'idée n'est pas de faire les choses pour moins cher, mais mieux."

Lucas Burel

L'Obs

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
RETRAIT PROJET KHOMRI

un clic sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance du 4 pages. Bonne lecture...

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Maintenant aux salariés et privés d’emploi de se faire entendre dans les entreprises et dans la rue !

La CGT a été reçue ce matin par Manuel VALLS, Myriam EL KHOMRI, Emmanuel MACRON concernant la réforme du code du travail.

La CGT a présenté son projet pour un code du travail du XXIème siècle qui dote les salariés de droits nouveaux et de garanties effectives pour répondre aux enjeux de notre temps.

Le droit du travail doit pouvoir s’appliquer à tous les salariés, quelle que soit la nature et la taille de l’entreprise, la présence ou non d’organisations syndicales.

Nous avons rappelé aux ministres nos points forts :
• La réduction du temps de travail à 32 heures pour travailler mieux, travailler tous ;
• Les droits des salariés (emploi, carrière et reconnaissance des qualifications, formation professionnelle, protection sociale) ne doivent plus dépendre de leur contrat de travail mais être attachés aux personnes, garanties collectivement, cumulables, transférables et opposables à tout employeur. Rien à voir avec le CPA, tel que le gouvernement le conçoit, qui de fait n’est pas un droit sécurisant la personne ;
• L’inscription de droits nouveaux d’intervention et d’expression pour les représentants syndicaux et les salariés avec la consolidation du rôle des instances représentatives des personnels. Le meilleur référendum, c’est la tenue des élections professionnelles tous les deux ans.

Le rendez-vous de ce jour n’est pas une concertation. La restitution prévue par le gouvernement le 14 mars n’est pas l’ouverture d’une négociation.

Le gouvernement écoute mais n’entend pas. Les seules pistes proposées sont celles connues depuis la semaine dernière et dévoilées par les quotidiens : augmentation du plafond de la barèmisation des indemnités prud’homales pour licenciement abusif, révision du périmètre des groupes internationaux concernant le licenciement économique.

Faire des modifications à la marge, n’est pas une réponse. Il faut retirer le projet et ouvrir des négociations sur un contenu nouveau.

Flexibiliser, précariser le contrat de travail ne crée pas de CDI mais de la précarité. Le projet de loi EL KHOMRI aggraverait la crise économique et le chômage. Ce n’est pas ce qu’attendent les jeunes, les salariés, les privés d’emploi.

La mobilisation est bien à l’ordre du jour tant sur la réforme du code du travail que sur les revendications salariales, d’emploi ou de conditions de travail.

La CGT appelle
- A faire du 9 mars un rendez-vous de mobilisation qu’il faut réussir
- A faire du 31 mars une grande journée intergénérationnelle et interprofessionnelle par les grèves et les manifestations.

La CGT créera les conditions, dans cette période, pour faire grandir la mobilisation.

MANIFESTATION LE 09 MARS 2016 DANS L'OISE.

Intersyndicale, l'Union Locale CGT et L'Union Locale FO de Compiègne appelle à une manifestation pour le retrait de " la loi dit El Khomri " mercredi 9 mars 2016 à 10 h cours Guynemer (n°9 face à la Maaf) à Compiègne.

Nous appelons tous les salariés, les citoyens,les privés d'emploi, les étudiants, les lycéens,les retraités à participer à cette mobilisation.

MERCREDI 9 MARS A 10 HEURES

Fraternellement
La CGT Compiègne

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Libertés syndicales : Renault licencie et appelle la police contre ses travailleurs en Turquie

Confronté aux revendications de ses ouvriers dans son usine Oyak, en Turquie, Renault a choisi la voie de la répression. La firme automobile française a annulé les élections syndicales prévues le 29 février, licencié des dizaines d’ouvriers dont plusieurs délégués syndicaux, et appelé la police à la rescousse pour briser leurs manifestations.

L’usine Oyak de Renault, qui affiche une capacité de production de 360 000 véhicules par jour, est une joint-venture entre Renault et le fonds de pension de l’armée turque. Située dans la ville de Bursa, elle emploie environ 5000 ouvriers.

Des élections syndicales devaient s’y tenir le 29 février dernier, qui ont été annulées à la dernière minute par la direction de l’usine. Celle-ci a allégué des pressions exercées par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale de Turquie. Selon la Confédération syndicale IndustriALL, Renault a annoncé en même temps la mise à pied de dix ouvriers, dont deux représentants du personnel.

En réponse, les ouvriers ont fait grève et bloqué l’usine. Choisissant la manière forte, la direction de Renault a appelé la police pour déloger les manifestants, ce qui a donné lieu à des affrontements et des tirs de gaz lacrymogène. Une vingtaine d’ouvriers ont été arrêtés, et plusieurs dizaines d’autres ont été soit licenciés, soit mis à pied. Effet de cette atmosphère de terreur ? Le travail a repris dans l’usine le 2 mars.

Répression de la société civile turque

Au printemps 2015, l’usine de Renault à Bursa avait été le point de départ d’un conflit social de deux semaines, qui s’était étendu à d’autres usines automobiles de la région. Au terme de leur mouvement, les ouvriers avaient obtenu des augmentations de salaires, ainsi que le droit de choisir librement leurs représentants.

À l’arrière-plan de ce conflit social, il y aurait aussi la volonté de Renault et du gouvernement turc de préserver la mainmise du syndicat « officiel » proche du gouvernement AKP, au détriment du syndicat Birlesik Metal-Is, indépendant et affilié à IndustriALL. Les faits survenus à Bursa seraient donc à remettre dans le contexte de la vague de répression qui s’abat actuellement sur la société civile turque.

IndustriALL, qui a signé un accord cadre mondial avec Renault (lire notre entretien avec Kemal Özkan d’IndustriALL), a vigoureusement dénoncé l’attitude du constructeur français. « Les récents événements et le manque d’action de Renault sont en contradiction directe avec l’accord-cadre mondial, et nous demandons à l’entreprise de le respecter, a déclaré son secrétaire général, Jyrki Raina. Si la situation se poursuivait comme c’est le cas aujourd’hui, les conséquences pour Renault seraient encore plus grandes, avec le démantèlement de 20 ans de construction du dialogue social au niveau international. »

Olivier Petitjean

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

La pétition en ligne contre le projet de loi El Khomri de casse du droit du travail a dépassé le cap d’un million de signatures hier soir, soit deux semaines seulement après son lancement; elle bat tous les records de signatures en France avec 1 042 622 soutiens ce matin (samedi 5 mars 2016) à 11h00.

En route pour les  1 500 000: il manque encore 457 378 nécessaires pour les atteindre  !

La pétition devance ainsi celle contre la directive européenne sur le secret des affaires (plus de 512.000 signatures), et celle demandant la grâce présidentielle pour Jacqueline Sauvage, condamnée pour le meurtre de son mari violent (près de 436.000 signatures).

Malgré le report de sa présentation en conseil des ministres, du 9 au 24 mars, pour laisser le temps au gouvernement de le «retravailler», la mobilisation contre ce texte s’amplifie.

Pour faire retirer le "Projet de Loi Travail", il faut continuer à signer la pétition ! (Signer ici)
Mais aussi il faut commencer à pousser plus fort !

Des organisations de jeunesse, dont l’Unef, et des syndicats de salariés, dont la CGT appelent à manifester le 9 mars contre ce projet de «casse du code du travail». De nombreux syndicats CGT d'entreprises et de Fédérations CGT ont déposé des préavis de grève pour le 9 mars.

Lire le Communiqué commun CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL du jeudi 3 mars 2016

En ligne de mire, visons la réussite une puissante journée de grève et de manifestations le 31 mars, si le projet n'est pas retiré d'ici là.

Construire un processus "boule de neige" pour faire retirer ce projet scélérat !

Tous les jours prenons des initiatives dans toutes les entreprises et les services, dans les zones industrielles et les zones de bureaux, dans les quartiers, etc. pour construire un processus "boule de neige" d'ici le 31 mars.

Déjà des initiatives sont prises pour s'associer le 10 mars aux manifestations interprofessionnelles et intersyndicales de retraités (à l'appel de 9 organisations), et des rassemblements sont annoncés pour le samedi 12 mars.

Voir les commentaires

Visiteurs

538661

 

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog