SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Réintégration des salariés d’Air France

Communiqué commun CGT, Syndicat CGT UGICT-CGT Air France, Fédération CGT Transports, Syndicat Général du Livre et de la Communication Ecrite CGT et de la Fédération CGT Filpac.

En octobre 2015, c’était six salariés d’Air France qui avaient été interpellés à leur domicile afin d’être déférés au parquet, soupçonnés de « violence en réunion ».

La CGT avait alors exprimé sa profonde indignation face à de tels procédés aussi violents et inquisiteurs pour ces travailleurs et leurs familles.

C’est profondément choquant et pourtant révélateur de l’état d’esprit du gouvernement et du patronat envers les salariés qui luttent pour préserver leur outil de travail, défendre leur emploi et leur entreprise.

Cela se situe dans un contexte de très fortes répressions syndicales avec, notamment, la condamnation à de la prison ferme d’ex salariés de Goodyear.

Depuis octobre, ce sont quatre salariés qui ont été licenciés alors même que l’Inspection du travail a refusé la validation du licenciement du délégué du personnel CGT faute de preuves.

Dans ce contexte d’acharnement contre les libertés syndicales, la solidarité, valeur fondamentale de la CGT, s’est appliquée de manière concrète et le Syndicat général du Livre et de la Communication écrite a proposé une solution temporaire à ces camarades afin qu’ils puissent avoir des ressources pendant qu’ils continuent de lutter pour leur réintégration.

Plus que jamais, la CGT exige la levée des poursuites judiciaires et disciplinaires engagées contre les salariés incriminés et la réintégration de tous les salariés
Air France et ceci doit passer, en premier lieu par la confirmation, par la Ministre du Travail, du refus du licenciement du délégué du personnel CGT d’Air France.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Précaires, privés d'emploi, ne restez pas isolés, défendez-vous!

L'attaque conjuguée contre le droit du travail et l'assurance chômage, risque de nous renvoyer 80 ans en arrière, avant la grève générale de 1936 et les accords de Matignon !

Pas en notre nom !

Perfidement les promoteurs de la loi El Khomri prétendent casser le droit des travailleurs pour résorber le chômage. Et d'accuser dans la foulée, les syndicats de défendre uniquement les "insiders" (SIC), c'est-à-dire ceux qui ont un emploi et "de faire le choix du chômage" (re SIC). Comme si faciliter les licenciements créait de l'emploi! Comme si faciliter les divorces augmentaient les mariages ? N'est-ce pas se moquer du monde? Pour le CNTPEP – CGT, troquer un emploi contre des droits n'est pas acceptable! Promettre le pire pour tous(tes) au nom de "l'équité", non merci! Et en tous cas pas en notre nom !

Des licenciements à volonté !

Dans les faits, ce sont les licenciements à volonté qui sont offerts aux patrons: un salarié qui refuserait une modification (baisse de salaire, modification du temps de travail, des horaires,…) de son contrat de travail pourrait être licencié, une entreprise pourrait faire un plan de licenciement même en l'absence de difficultés économiques, et de toutes façons, même illégal le licenciement ne coûtera pas grand-chose aux patrons (plafonnement "à titre indicatif" des indemnités aux Prud'hommes)

50 milliards d'aides aux entreprises

Si cette loi venait à passer, évidemment le chômage connaitrait une nouvelle poussée! D'où un effet 2ème lame, avec la renégociation de l'assurance chômage! Prévoyant un déficit de 4,4 milliards d'€, le patronat veut réduire la durée d'indemnisation à 12 mois et d'en baisser le montant "dégressivement" pour faire face aux nombreux nouveaux chômeurs, sans augmenter le budget de l'UNEDIC! Ben voyons! Que sont ces 4,4 milliards d'€ de déficit, au regard des 50 milliards d'aides perçues par les entreprises dans le cadre du CICE? Et sans avoir créé un seul emploi en contrepartie!

Le 31 mars soyons tous dans la rue

Ces contre-réformes ne doivent pas passer! C'est l'affaire de toutes celles et tous ceux qui n'ont que leur force de travail pour subvenir à leurs besoins que d'empêcher ce retour vers le XIXème siècle au temps de Germinal! Le 31 mars soyons tous dans la rue pour bloquer ces régressions sociales.

Des solutions existent.

Le CNTPEP-CGT  fait des propositions qui permettraient de concilier efficacité économique et progrès social. Notamment en revendiquant 10 droits universels:

Droit au Travail

À la dignité

À la formation

Aux vacances

Aux loisirs et la culture 

Aux transports 

Au logement 

À la santé 

À la famille

À des moyens décents pour vivre.

La CNTPEP, appelle tous les travailleurs, privés d’emploi et précaires, à participer aux différentes mobilisations qui auront lieu partout en France dans les jours à venir pour obtenir ce retrait, notamment celle du 31 mars

Comité National des Travailleurs Privés d’emploi et précaires - CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Communiqué CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

La journée de mobilisation du 17 mars à l’initiative des organisations de jeunesse a été une réussite.

Les jeunes, très concernés par ce projet de loi, se sont fortement mobilisés avec le soutien des organisations de salarié-es.

La preuve est faite que les annonces du Premier ministre pour aménager la loi travail n’ont visiblement pas convaincu et ce malgré l’offensive gouvernementale largement relayée.

Les jeunes doivent pouvoir manifester et se réunir librement. Le gouvernement doit respecter leurs droits et non multiplier les obstacles.

Le débat sur la loi est loin d’être terminé. La réécriture du texte ne touche pas au cœur du projet qui contient toujours de multiples régressions.

Ce nouveau projet de texte ne répond donc pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-es et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne peut pas être synonyme de la casse du code du travail mais nécessite en revanche un changement de politique économique et sociale.

Le gouvernement doit retirer son projet, entendre les propositions alternatives portées par les organisations de jeunesse et de salarié-es et en discuter avec elles.

Fortes de la réussite de cette journée, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salarié-es à poursuivre et amplifier la mobilisation dès le 24 mars prochain, jour de la présentation du projet de loi au conseil des ministres.

Ce sera une nouvelle étape avant la puissante journée de grève et de manifestations du 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Contre le projet de loi KHOMRI. A lire absolument, il n'y rien de bon dans ce projet !!!
Contre le projet de loi KHOMRI. A lire absolument, il n'y rien de bon dans ce projet !!!
Contre le projet de loi KHOMRI. A lire absolument, il n'y rien de bon dans ce projet !!!
Contre le projet de loi KHOMRI. A lire absolument, il n'y rien de bon dans ce projet !!!

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Communiqué CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

 

La journée de mobilisation du 17 mars à l’initiative des organisations de jeunesse a été une réussite.

Les jeunes, très concernés par ce projet de loi, se sont fortement mobilisés avec le soutien des organisations de salarié-es.

La preuve est faite que les annonces du Premier ministre pour aménager la loi travail n’ont visiblement pas convaincu et ce malgré l’offensive gouvernementale largement relayée.

Les jeunes doivent pouvoir manifester et se réunir librement. Le gouvernement doit respecter leurs droits et non multiplier les obstacles.

Le débat sur la loi est loin d’être terminé. La réécriture du texte ne touche pas au cœur du projet qui contient toujours de multiples régressions.

Ce nouveau projet de texte ne répond donc pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-es et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne peut pas être synonyme de la casse du code du travail mais nécessite en revanche un changement de politique économique et sociale.

Le gouvernement doit retirer son projet, entendre les propositions alternatives portées par les organisations de jeunesse et de salarié-es et en discuter avec elles.

Fortes de la réussite de cette journée, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salarié-es à poursuivre et amplifier la mobilisation dès le 24 mars prochain, jour de la présentation du projet de loi au conseil des ministres.

Ce sera une nouvelle étape avant la puissante journée de grève et de manifestations du 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #SCOP TI ET 1336
Et un article de ce mois-ci parue dans OBJECTIF méditerranée. VEUILLEZ CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS

Et un article de ce mois-ci parue dans OBJECTIF méditerranée. VEUILLEZ CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Article 13 de l’avant-projet El Khomri : une très discrète bombe à retardement

Par Jean-Charles Mirande, avocat au barreau de Paris et Hervé Tourniquet, avocat au barreau des Hauts-de-Seine. Cet article, passé jusque-là inaperçu, constitue pourtant une des plus graves régressions juridiques portées par le texte et justifie, à lui seul, le retrait du projet entier.

Tandis que les grandes manœuvres se poursuivent du côté du gouvernement pour tenter de rallier à sa cause quelques organisations syndicales au soutien de son avant-projet de loi de réforme du Code du travail et que l’on égrène les articles sur lesquels des « concessions » pourraient intervenir, il est un article de cet avant-projet, l’article 13, passé jusque-là inaperçu, qui constitue pourtant une des plus graves régressions juridiques portées par le texte.

L’article 13 dispose ainsi :

« Lorsqu’un accord d’entreprise est conclu en vue de la préservation ou du développement de l’emploi, ses stipulations se substituent de plein droit aux clauses contraires et incompatibles du contrat de travail, y compris en matière de rémunération et de durée du travail.

L’accord mentionné au premier alinéa ne peut avoir pour effet de diminuer la rémunération mensuelle du salarié.

Le salarié peut refuser la modification de son contrat de travail résultant de l’application de l’accord mentionné au premier alinéa. Ce refus doit être écrit.

Si l’employeur engage une procédure de licenciement à l’encontre du salarié ayant refusé l’application de l’accord mentionné au premier alinéa, ce licenciement ne constitue pas un licenciement pour motif économique et repose sur une cause réelle et sérieuse. Il est soumis aux dispositions relatives à la rupture du contrat de travail pour motif personnel. »

Ainsi, en quelques lignes, cet article anéantit trois des principaux piliers de la construction du droit du travail au cours des quarante dernières années.

  • Premier pilier : l’ordre public social de protection

Ce principe, depuis des décennies, garantit au salarié, en cas de conflit entre les différentes normes qui s’appliquent à sa situation (loi, convention ou accord collectif, contrat de travail), que la disposition la plus favorable sera appliquée.

Le nouveau texte prévoit que l’accord collectif, dont on peut craindre qu’il puisse aisément intervenir sous la pression du chantage aux licenciements ou à la fermeture de l’entreprise, permettra à l’employeur d’imposer les clauses de l’accord, moins favorables que celles convenues à l’occasion de la signature de son contrat, ou fixées par la convention collective ou la loi, qui, jusque-là, était considérée comme le garde-fou minimal des droits des salariés.

A priori, l’accord ne peut diminuer la rémunération mensuelle…

A priori seulement dès lors qu’il est au surplus prévu qu’« un décret définit la rémunération mensuelle » évoquée par le texte.

Cette formule, inutile dès lors que le « salaire mensuel » est aujourd’hui parfaitement défini comme l’ensemble des rémunérations, fixes et variables versées au salarié en contrepartie de son travail, laisse craindre une restriction de la définition du salaire à la seule rémunération fixe…

Au-delà, si le salaire ne peut être modifié, il peut en revanche être procédé à l’augmentation du temps de travail.

Ainsi un nouveau principe voit le jour : travailler plus pour gagner autant…

  • Deuxième pilier : le contrôle du motif économique par le juge

Jusqu’à ce jour, lorsqu’un salarié était licencié pour avoir refusé une modification de son contrat de travail, le contrôle du juge portait sur la véritable cause du licenciement qui n’est évidemment pas le refus du salarié mais le motif économique de la proposition faite par l’employeur.

Ce nouveau type d’accord conduira le salarié réfractaire à être licencié pour le « motif réel et sérieux » d’avoir refusé la modification de son contrat de travail.

En outre, l’employeur n’aura plus à justifier d’un quelconque motif économique de sorte que tout contrôle du juge sera anéanti.

Autant dire en pratique que la signature de l’accord d’entreprise autorisera tous les licenciements sans motif face au refus du salarié et, en conséquence, tous les abus.

  • Troisième pilier : le plan de sauvegarde de l’emploi

En effet, si plus de 10 salariés refusent la modification de leur contrat de travail, l’employeur devait jusque-là mettre en œuvre toutes les mesures susceptibles de préserver l’emploi et, au pire, accompagner utilement les licenciements par des mesures de reclassement et de soutien indemnitaire.

Désormais aucun plan social préalable ne sera nécessaire, aucune discussion avec les représentants du personnel et l’administration du travail ne seront utiles, puisque les salariés seront licenciés selon la procédure individuelle de licenciement pour motif non économique. Exit également, bien entendu, l’obligation de reclassement et toute indemnité complémentaire.

Ce dispositif singulier est évidemment contradictoire et paradoxal à l’heure où l’on prétend encourager la sécurité tout autant que la « flexibilité ».

On observera la filiation de ce dispositif :

– d’une part, avec l’ANI et la loi Sapin du 14 juin 2013 dite de « sécurisation de l’emploi », plus précisément de son article 15 qui crée les « accords de maintien de l’emploi ».

Ces accords étaient à durée limitée, ils devaient être justifiés par de graves difficultés économiques selon un diagnostic partagé par l’employeur et les organisations syndicales et contenir un engagement de maintien de l’emploi.

C’était sans doute encore trop demander. Raison pour laquelle, avec ces nouveaux accords dits de « préservation et de développement de l’emploi », les employeurs n’auront plus à s’embarrasser de l’existence de graves difficultés économiques, d’un diagnostic partagé avec les organisations syndicales, d’un engagement de maintien des emplois, de l’effort partagé entre les salariés et l’entreprise, en ce compris ses dirigeants et d’une durée déterminée et plafonnée ;

– d’autre part, sans que, malheureusement, cette curieuse confusion ne surprenne plus personne, avec les fameux « accords de compétitivité emploi » que M. Sarkozy voulait introduire dans le Code du travail, sans en avoir eu le temps en 2012.

L’article 13 de l’avant-projet de loi El Khomri en est la reprise pure et simple « décomplexée »…

Ainsi le gouvernement de François Hollande fera ce dont Nicolas Sarkozy avait rêvé.

Le lecteur aura compris que le gouvernement pourrait reculer, et le Medef s’accommoder de la disparition des dispositions de l’article 30 bis consacré à la nouvelle définition du motif économique du licenciement tout particulièrement contesté.

L’article 13 permettra en effet aux entreprises de s’affranchir purement et simplement de sa définition actuelle…

Cet article, par sa gravité, les menaces et les bouleversements qu’il engendrerait, justifie, à lui seul, le retrait de l’entier projet.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La CGT demande le retrait du projet de loi

Les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet.

Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) soutiennent et appuient les actions des 17 et 24 mars. Elles confirment leur appel à la mobilisation par la grève et les manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

La CGT et les salariés d’ALSA ont dit NON au chantage à la signature proposée par la direction UNILEVER.

Voici les résultats :

0,4% d’augmentation générale.

160€ de prime sur l’intéressement.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Sans aucune surprise, tout comme ALSA, la direction de l’usine de MIKO fait exactement les mêmes propositions !

Le même chantage !!!

« Sans signature »

0,4% d’augmentation générale et prime vacance à 1000€.

 

« Avec signature »

0,7% d’augmentation générale

+50€ sur la prime vacance

+ 450€ d’abondement sur l’intéressement

Et 8 embauches à la clé !!!

 

Si on se réfère au Code du travail sur l’article L. 2242-10 sur le déroulement des réunions de négociations, en matière de négociation, l’employeur est astreint à une obligation de loyauté !

Alors qu’il nous reste une troisième réunion de négociation, quand on voit ce qui s’est passé chez Alsa et Miko en matière d’augmentation générale, on peut se dire que les dés sont déjà jetés. Pensez-vous que ceci est loyal de la part de notre direction !

C’est du foutage de gueule !!!

Allons-nous nous contenter d’une augmentation générale de 0,7%.

Si on peut croire les chiffres donnés par la direction, en faisant le calcul de cette éventuelle augmentation, voici ce que donnera sur le salaire de base médian selon les catégories sociaux professionnelles :

Pour les Ouvriers/Employés, 50% des salariés auront plus de 14€ d’augmentation générale et les autres 50% auront moins de 14€ d’augmentation générale ! (des miettes, des miettes et des miettes)

Pour les Agents de Maîtrise/Technicien, 50% des salariés auront plus de 18,55€ d’augmentation générale et les autres 50% auront moins de 18,55€ d’augmentation générale ! (des miettes, des miettes et des miettes)

Nous ne lâcherons rien, Unilever peut et doit bien rémunérer les salariés qui font sa richesse.

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Manif à Compiègne le 17 mars

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Après le 9 mars d’autres mobilisations s’imposent pour un retrait du projet de loi et des droits nouveaux pour tous !

Aujourd’hui, Manuel VALLS recevait les organisations syndicales et les organisations étudiantes - écartant au passage les lycéens- pour faire des propositions d’évolution de la loi travail, suite à la pseudo-concertation de la semaine dernière.

La démarche unitaire et intergénérationnelle à laquelle participe la CGT, ainsi que les fortes mobilisations du 9 mars, ont mis la pression sur le gouvernement contraint à modifier certains articles de son projet de loi.

Ce rétropédalage du gouvernement est à mettre à l’actif de la mobilisation, des salariés, des jeunes et des citoyens.

Pour autant, dans ce contexte de régression sociale et de chômage persistant, les désaccords de fonds restent !

Les déséquilibres et inégalités de traitement sur les droits des salariés en fonction des entreprises ainsi que la remise en cause de la représentation syndicale restent la philosophie générale de ce texte. A chaque entreprise son propre code du travail !
Les licenciements seront facilités indépendamment de la réalité financière et économique des groupes internationaux. C’est la porte ouverte à la multiplication des licenciements boursiers.

La CGT réaffirme qu’il faut retirer le texte de projet de loi, et ouvrir de réelles négociations avec les organisations syndicales et les organisations de jeunesse.

La CGT porte des propositions concrètes pour un code du travail du 21ème siècle garant de nouveaux droits pour les salariés sécurisant notamment les parcours professionnels.

La CGT réaffirme qu’il faut augmenter les salaires et pensions, développer l’emploi, améliorer les conditions de travail et construire des garanties collectives de haut niveau pour les salariés, précaires, jeunes et retraités, en taxant une partie des dividendes versés.

Plus de 70% des français rejettent ce projet de loi, c’est maintenant dans les entreprises et dans la rue que doivent se mobiliser massivement les différentes générations de salariés et de citoyens.

Rendez-vous dans les diverses initiatives du 17 et 24 mars et tous mobilisés dans la grève et les manifestations le 31 mars !

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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