SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SOURCE : France TV Info

"C’est du jamais-vu à PSA", a estimé Jean-Pierre Mercier, délégué syndical central CGT du groupe PSA Peugeot-Citroën sur franceinfo mercredi 29 août, alors que l'usine de Valenciennes, dans le Nord, n'arrive plus à approvisionner en quantités suffisantes les autres sites du groupe en boîtes de vitesse. 

Jean-Pierre Mercier a dénoncé "la politique de réduction d’effectifs qui se retourne contre les intérêts de la direction de PSA" menée par le patron du groupe automobile, Carlos Tavares.

Ce dernier était en visite mardi sur le site de Valenciennes, pour exiger une forte augmentation de la production de boîtes de vitesse et passer de 1 800 boîtes produites tous les jours à 3 000 à partir du 1er novembre. 

Mais, les "machines usées jusqu’à la corde" sont "au bout du rouleau", a assuré Jean-Pierre Mercier. Seule solution pour le syndicaliste, "embaucher, investir et augmenter les salaires".

franceinfo : deux usines tournent actuellement au ralenti parce que le site de Valenciennes n'arrive plus à faire face aux commandes ?

Jean-Pierre Mercier : Les usines de Sochaux et de Mulhouse. Pour Sochaux, ça fait plusieurs semaines qu’une partie de l’usine -cela concerne un millier de salariés- est régulièrement mise au chômage technique, c’est une perte de 140 euros sur la paye de juillet pour les salariés puisque le chômage technique n’est plus indemnisé à 100%. C’est la conséquence de la politique de Carlos Tavares de faire une politique d’économies à tous les niveaux : économies sur les effectifs à l’usine de Valenciennes, économies sur les investissements des moyens de production. L’usine de Valenciennes est en train de craquer avec des machines usées jusqu’à la corde.

Les carnets de commandes sont remplis et cela ne vous convient pas ?

Les carnets de commandes sont plein à craquer, sauf que pour produire et satisfaire la demande, il faut de l’effectif en face, des moyens de production, des machines qui tournent, des 'maintenanciers' en nombre suffisant pour réparer des machines délabrées. A Valenciennes, on peut avoir une machine en panne pendant plusieurs heures, sans qu’il y ait un seul maintenancier qui arrive parce qu’il travaille sur d’autres pannes, parce que ces machines sont au bout du rouleau. Elles ne sont pas remplacées dans cette usine qui a subi des plans de suppression d’emplois. C’est une politique de réduction d’effectifs qui se retourne contre les intérêts de la direction de PSA. C’est du jamais-vu à PSA.

Quelle est la solution pour sortir de cette situation ?

Il faut embaucher et investir dans les moyens de production au lieu de gaver les actionnaires de milliards de bénéfices. Pour l’année 2017, il y a encore eu un record de bénéfices et un record de dividendes versés à la famille Peugeot qui ne veut pas mettre la main à la poche pour garantir les moyens de production. Donc, la solution est simple : embaucher, investir et augmenter les salaires.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Petit coup de gueule de Monique au débat du 8 juillet 2017

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En guise de pensée du jour

Réfractaires

En ce 75e anniversaire du CNR, à l'orée de celui de la Libération, ne jamais oublier que ce fut la masse des réfractaires qui rejoignirent les maquis, lesquels constituèrent l'armée qui restaura la République.

A bon entendeur...

Réfractaires

Message personnel :

"Luther ne fait rien à l'affaire, quand on est vil  on est vil" et le refrain de Brassens, qui n'use pas de "vil" mais de "con" lui va comme un gant.

Rédigé par Canaille le Rouge

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source photo: twitter

source photo: twitter

Syndicats et associations ont fait leur rentrée sociale en protestant devant l'université d'été du Medef, au siège de l'école d'HEC à Jouy-en-Josas, en banlieue parisienne. Ils ont notamment demandé l'abrogation de la loi travail.

 

Devant le siège de l'école HEC à Jouy-en-Josas, un important dispositif de sécurité a été déployé le 29 août pour faire face à un cortège de manifestants anticapitalistes venus protester à l’université d’été du Medef, à une vingtaine de kilomètres de Paris.

 

Environ 250 manifestants se sont regroupés à l'appel de différents syndicats et associations, comme Solidaires, Attac ou Droit au logement, venus faire leur rentrée sociale pour l'occasion. Parvenus à la gare de Jouy-en-Josas vers midi, les protestataires se sont rassemblés derrière des banderoles au mot d’ordre «bloquons le Medef», en dispersant des fumigènes de couleur. Dans le cortège ont résonné des slogans tels que : «Nous sommes tous de la chair à patron» ou encore «l'argent il y en a dans les poches du patronat». Les manifestants ont ensuite rejoint le campus où se tient l'université d'été du Medef.

 

La pluie et les conditions météorologiques n’ont pas favorisé l’affluence des protestataires, qui étaient à peu près 400 l'an dernier.

 

SOURCE:

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Les Krembo vont perdre leur légendaire emballage en aluminium brillant
Les Krembo vont perdre leur légendaire emballage en aluminium brillant

Cette démarche permettra à Unilever d'économiser 13 tonnes d’aluminium chaque année, utilisées pour recouvrir la friandise d'hiver préférée des Israéliens.

La friandise préférée des Israéliens, le Krembo, va se délester de son légendaire emballage en aluminium, qui a été l’image de marque du produit depuis la fin des années 60.

Selon le site d’information israélien Ynet, le fabricant Unilever Israël a l’intention d’économiser chaque année 13 tonnes d’aluminium, qui sont actuellement utilisées pour emballer individuellement ce biscuit garni de crème et recouvert de chocolat.

Unilever a assuré qu’aucun licenciement n’est prévu et a promis de garantir que « la texture, le goût et la durée de conservation du Krembo reste la même » .

A ce jour, seulement les paquets de huit seront vendus sans l’emballage individuel. Unilever doit encore trouver un moyen d’empêcher les friandises de se casser lorsqu’elles sont conditionnées par boîtes de 20 et 30 pièces.

Les Krembo, qui ressemblent à des Mallomar gonflés aux stéroïdes, sont une friandise extrêmement populaire en Israël, et sont censées servir de remplacement aux crèmes glacées en hiver.

En 2015, après qu’un vol royal jordanien en direction d’Amman a dû atterir d’urgence en Israël, le personnel de l’aéroport international de Ben Gurion a accueilli les passagers avec une boîte de Krembo.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Alexandre Derigny, secrétaire général de la CGT Finances publiques, dénonce les incohérences et la complexité du mécanisme de prélèvement à la source mis en place dès janvier 2019 par le gouvernement. Une réforme qui sera un prétexte à de nouvelles suppressions de postes et qui provoquera une nouvelle dégradation du service public dans les centres des impôts.

Publié par humanité.fr

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Rencontres syndicales avec le pouvoir à partir du 29 août : UNE MASCARADE !

front syndical de classe

En difficulté politique le pouvoir arrogant et jupitérien de l'oligarchie manoeuvre.

Il en serait fini de sa volonté d'imposer ses contre-réformes en passant sur le corps des "partenaires sociaux" et serait venu le moment de renouer avec eux!

C'est ainsi que sont prévues à partir du 29 août une série de rencontres avec les syndicats dans un format multilatéral (c'est-à-dire des rencontres séparées) visant à balayer le panorama des dossiers dits chauds POUR ABOUTIR A UN DIAGNOSTIC PARTAGĖ nous dit-on.

Mais on sait ce que cela veut dire !

Qu'il s'agisse de l'assurance chômage, de la contre-réforme des hôpitaux, de la contre-réforme des retraites ... Macron a l'intention de poursuivre sa destruction du modèle social issu des conquis de la Libération!

Pour des raisons simples et fondamentales : d'abord il est le représentant au sommet de l'état des classes privilégiées qui aspirent à cette destruction depuis longtemps, et secondo son projet d'intégration européenne en partenariat avec l'Allemagne implique pour la France ce qu'ils appellent les "réformes structurelles"  : amputation drastiques des investissements et crédits publics, privatisations, retrait de l'état d'activités jusque là investies y compris s'agissant de missions régaliennes, l'affaire BENALLA étant de ce point de vue tout à fait significative des orientations du pouvoir en matière de sécurité.

Dans cette phase, sa soit-disant ouverture aux corps intermédiaires vise en particulier pour la contre-réforme des retraites mais aussi celle de l'assurance chômage à s'appuyer sur les prises de position de la CFDT, prête à se comporter en relais de la propagande du pouvoir expliquant que le statu quo n'est plus possible et qu'il faut bien consentir aux contre-réformes en mimant simplement une intervention donnant le sentiment de les adoucir!

Pour les syndicats et en particulier la CGT il s'agit donc de ne pas prêter la main à cette véritable mascarade et à tout mettre en oeuvre exclusivement pour que les luttes des travailleurs viennent bousculer ce petit jeu.

En commençant donc par dénoncer les rencontres inaugurées le 29 août dont il ne faut rien attendre et en ne laissant s'installer aucune espèce d'illusion du côté des travailleurs!

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La Une du dernier numéro de "Vie Nouvelle", le mensuel des retraités CGT

La Une du dernier numéro de "Vie Nouvelle", le mensuel des retraités CGT

Suite aux déclarations du Premier ministre le dimanche 26 août 2018, notamment sur les pensions de retraite, l’Union confédérale des retraités et 8 autres organisations et associations appellent à une grande journée nationale d’actions et de manifestations à travers toute la France le 9 octobre.

 

Édouard Philippe a annoncé dans Le Journal du dimanche du 26 août un ensemble de mesures mettant à mal — comme d’habitude — le pouvoir d’achat des plus vulnérables (voir notre communiqué du 27 août 2018), dont bien sûr les retraités.

 

Après trois ans de blocage des pensions, une année 2018 sans aucune augmentation, la hausse de la CSG, le Premier ministre annonce une hausse des pensions de 0,3 % en 2019 et en 2020… pour un taux d’inflation mesuré par l’Insee de 2,3 % sur les douze derniers mois ! Pour rappel, la CGT revendique que les pensions soient indexées automatiquement sur l’évolution des salaires, pas soumises au bon vouloir du gouvernement.

 

Dans son communiqué, l’Union confédérale des retraités CGT (UCR-CGT) et « 8 autres organisations syndicales ou associations appellent les retraités à se mobiliser pour faire entendre leur voix et manifester leur mécontentement et leur colère à l’égard du gouvernement et de son président », dans une grande journée d’actions et de manifestations à travers toute la France, le 9 octobre prochain.

 

L’intersyndicale retraités des « 9 » se réunira le 7 septembre pour apprécier la situation. Des mobilisations sont d’ores et déjà prévues pour organiser la riposte et, le 5 octobre, des délégations venues de tout le pays déposeront les pétitions recueillies au président du groupe LREM. 

 

Les retraités CGT appellent par ailleurs à se mobiliser sans attendre sous toutes les formes appropriées, en participant notamment aux initiatives proposées par l’intersyndicale.

 
RETRAITÉS: une journée de mobilisation nationale se prépare le mardi 9 octobre 2018

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La France a payé 50,9 milliards de dollars de dividendesau deuxième trimestre (+23,5 %), mais Macron baisse les allocations sociales...faute d'argent !

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l'Opinion

Près de 13%. C’est en substance la hausse des dividendes distribués dans le monde au deuxième trimestre, selon l’étude trimestrielle de Janus Henderson reprise par Les Echos. Leur montant total s’élève à 497,4 milliards de dollars. Il s’agirait selon la société d’un nouveau record, qui entérine un regain de forme de l’économie mondiale. Dans 12 pays, ces versements ont atteint des niveaux inédits. Parmi eux, la France, le Japon et les Etats-Unis.

« La hausse de la rentabilité des sociétés pousse les paiements de dividendes à la hausse dans toutes les régions », note l’étude. Petite précision toutefois : les dividendes européens sont payés pour deux-tiers au deuxième trimestre, contrairement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni où ils sont majoritairement distribués chaque trimestre.

En Europe, 176,5 milliards de dollars (+18,7%) ont été distribués, ce qui atteste selon l’étude le relèvement des marges des entreprises et des bénéfices plus importants après plusieurs années difficiles. Parmi les dividendes en hausse, la France, l’Allemagne, la Suisse, les Pays-Bas et la Belgique caracolent en tête. « Seule une poignée de sociétés ont réduit leurs dividendes, dont Deutsche Bank, EDF et Credit Suisse », explique Janus Henderson.

A elle seule, la France a payé 50,9 milliards de dollars de bénéfice au deuxième trimestre (+23,5 %). Aux Etats-Unis, 117,1 milliards de dollars ont été distribués, soit une hausse de 4,5%.

Parmi les secteurs rentables, la mine a augmenté le plus rapidement, devant la technologie, l’énergie et les biens de consommation. Aux Etats-Unis, les secteurs de la technologie et de la finance (notamment Apple, Microsoft, JP Morgan et Bank of America) représentent un tiers des dividendes versés.

Marianne

Bourses, allocations handicapés et autonomie, APL :
le gouvernement veut rogner sur toutes ces aides sociales

 

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Université d’été du Medef. Les patrons veulent que Macron tape plus fort et plus vite

En cette fin du mois d'août, et à quelques jours de la rentrée sociale, le Medef tient sa traditionnelle université d'été. L'occasion pour faire passer un message au gouvernement, venu en masse pour l'occasion : Il s'agit, pour l'organisation patronale, d'accélérer le rythme des réformes !

Crédits : Reuters

C’est ce mardi 28 août que c’est ouverte la 20ème université du Medef, qui réunit 4 000 patrons sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas, dans les Yvelines. Une occasion pour le gouvernement de venir au devant du gratin patronal, avec une dizaine de ministres annoncés présent, dont bien évidemment Edouard Philippe, qui a tenu un discours ce mardi. L’essentiel des poids lourd du gouvernement sont également présent, comme la ministre du Travail Muriel Pénicaud, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer, la ministre des Armées Florence Parly ou bien encore le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.

Les patrons veulent « des preuves d’amour » et plus de réformes !

Alors que le nouveau n°1 du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a jugé globalement positive l’action du gouvernement lors de l’an I du quinquennat Macron, le chef de file de l’organisation patronale a égratigné le gouvernement sur la question du budget, et plus particulièrement sur le report, pour octobre 2019, de l’allègement de charges patronales au niveau du smic. C’est en ce sens que de Bézieux a, dans son discours inaugural, quelques minutes avant celui d’Edouard Philippe, mis en garde le gouvernement contre ce qui est considéré par le patronat comme des mesures budgétaires défavorables aux entreprises.

« Nous préférons les preuves d’amour aux déclarations d’amour » a ainsi déclaré de Bézieux. Le ton est donné : Il s’agit d’intensifier et d’accélérer les réformes, dans la lignée de la première année du quinquennat, sous le sacro-saint joug de l’impératif de compétitivité. « Votre gouvernement a redonné la confiance aux entrepreneurs, avec une économie pro-entreprise. L’heure n’est plus au french bashing. France is back… to be confirmed » a ainsi affirmé de Bézieux, avant de préciser que « la confiance, c’est fragile », ce à quoi Edouard Philippe s’est empressé de répondre, pour ne laisser aucun doute quant à la volonté du gouvernement : « Nous avons pris des engagements clairs pour les entreprises et nous ne les remettrons pas en cause d’ici à la fin du quinquennat » a ainsi asséner le premier ministre.

Le ton est donc clairement donné. Si le Medef se félicite, et il y a de quoi, des réformes entreprisent par Macron lors de la première année de son mandat, il s’agit pour l’organisation patronale de maintenir la pression, en dictant une feuille de route claire : Plus d’attaque contre les droits et acquis des travailleurs et plus de « souplesse » pour les entreprises. Et concernant ce type de revendication, il ne fait que peu de doute que le gouvernement saura être à l’écoute.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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