SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

puisqu'il faut prélever,

prélevons.

Où trouver la source

Là, il y a de quoi prélever dans des sources plus qu'abondantes et moyens de trier pour éviter de puiser là où ne sont pas les racines du mal, Mais bien de prélever là où des océans d'argents et mers souterraines de richesses sont dissimulées.

Rédigé par Canaille le Rouge

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Nouvelles de l'immobilier

ça, on le savait 

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CAPTURE D'ECRAN

Le 29 août, le premier ministre recevait la CGT. Comme il a reçu les organisations syndicales et patronales. Pour dire qu'il restait droit dans ses bottes pour gérer loyalement le business du capitalisme urbi et orbi. Mais qui, parmi vous, mes amis et camarades qui me lisez, aviez envisagé une autre feuille de route de la part d'un ex-banquier d'affaires commis à l'Elysée?

Ci-joint le compte-rendu de la CGT:

La CGT reçue chez le premier ministre: le gouvernement de droite et de droite nous prend toujours pour ce qu'on n'est pas
La CGT reçue chez le premier ministre: le gouvernement de droite et de droite nous prend toujours pour ce qu'on n'est pas

Et de plus, pour ne rien oublier, c'était avant la rentrée des classes de Manu 1er, cette prise d'écran. Lire vraiment rentrée des classes et non lutte des classes.

La CGT reçue chez le premier ministre: le gouvernement de droite et de droite nous prend toujours pour ce qu'on n'est pas
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Cadences infernales, accidents du travail : PSA Valenciennes raconté par le délégué CGT

Cédric Brun, secrétaire général CGT de PSA Valenciennes, a répondu aux questions de Révolution Permanente.

Propos recueillis par Vincent Duse

Révolution Permanente : Depuis plusieurs mois maintenant, le site de PSA Valenciennes tourne à fond pour pouvoir produire les boites de vitesses, il y a même tellement de demandes des usines du groupe PSA que certains sites sont au chômage. Comment expliques-tu les choses, mais surtout d’où vient le problème ?

Cédric Brun : L’explication est simple, des machines vieilles de 40 ans, 500 CDI en moins sur 3 ans et un investissement trois fois inférieur pour cette BV (Boîte de Vitesse) par rapport aux boîtes précédente.

RP : Avec cette suractivité, des samedis et des heures supplémentaires à n’en plus finir, comment réagissent les salariés, ils doivent être à bout ?

C.B : Tout d’abord les samedis imposés gratuits, du moins 1 sur 2, sont rendus possible à cause du Nouvel Elan pour la Croissance (NEC : un accord de compétitivité) signé par les autres syndicats. Ce NEC que les salariés de l’usines ont combattu avec force en 2016 avec un pic à 700 grévistes, du jamais vu.

A ces heures imposées, la direction a fait signer aux autres syndicats un accord de changement des horaires. Avec rabotage des pauses, journées de travail plus longue et, pour l’équipe de nuit, une journée supplémentaire sur un cycle de 15 jours.

Malheureusement nous n’avons pas réussi à mobiliser contre cette attaque et les gars en mesurent toutes les conséquences aujourd’hui.

Bien sûr que les gars sont à bout, mais nous ne restons pas l’arme au pied, la pression reste forte face à la direction. La direction a tenté à plusieurs reprises d’imposer des affichés les jours fériés mais les gars ont toujours répondu présent.

C’est aussi parce que la direction se méfie de la réaction des gars que 1 affiché sur 2 est payé contrairement au reste du groupe où c’est 1 sur 3.

R.P : Il y a peu de temps, le PDG du groupe PSA est venu vous voir sur le site pour exiger que vous fassiez 3000 boites de vitesses. C’est une véritable provocation ! Qu’en pensez-vous ?

C.B : Le type, tu lui explique techniquement, démonstration à l’appui que c’est impossible d’en faire 1500, il te répond qu’il en faut 3000 par jour.

Il est parfaitement conscient qu’il met les usines à mal mais il ne répond qu’a une seule logique la redistribution aux actionnaires, le reste c’est pas son problème.

C’est un démagogue, c’est une erreur de penser qu’il est à côté de la plaque.

Il te répond : « Nous gagnons du fric, beaucoup de fric ! Il n’est pas grave d’avoir ici et là des difficultés à fournir les usines terminales ! »

RP : Une des conséquences des rythmes du travail, ce sont les accidents du travail qui augmentent, comme ce cariste il y a peu de temps. Comment réagis-tu à ce désastre pour les ouvriers qui travaillent à Valenciennes ?

C.B : Nous sommes scandalisés, les victimes de cet accident et des autres précédents sont liées à plusieurs choses : la pression constante et le manque d’investissement concernant la sécurité.

A chaque fois, les enquêtes menées par nos membres CHSCT démontrent que les précédents ne sont pas pris en compte et la direction se décharge en disant « c’est du comportemental », de la faute des victimes, un scandale !

L’état du dernier accidenté est préoccupant, il a déjà subi de grosses interventions et sera probablement lourdement handicapé.

Nous avons immédiatement proposé notre aide à la famille.

A mon arrivé 45 minutes après, l’accident et malgré la gravité déjà connue par la direction, le responsable de Fabrication a tenté de minimiser l’état des victimes en disant qu’elles n’étaient qu’en observation.

Pendant ce temps, l’hôpital annonçait à la famille de l’intérimaire, la victime la plus touchée, que le pronostic vital était engagé.

Je suis écœuré, c’est des « ordures » et je pèse mes mots !

Maintenant, la direction tente d’incriminer la victime en disant qu’il ne devait pas se trouver là !

C’est son poste de travail bordel, il y a 3 ans j’étais à sa place !

On va leur faire la guerre, je ne lâcherai rien !

R.P : Et comme partout sur le groupe PSA, il y a eu beaucoup de suppressions d’emplois à Valenciennes avec l’aval des tous les syndicats sauf la CGT comment ils réagissent dans les ateliers pour justifier leur acceptation de ce désastre ?

C.B : Il y a bien longtemps qu’ils n’essaient plus de se justifier, leur position est intenable.

Il y a peu dans le journal régional (la voix du nord) FO a tenté de minimiser sa responsabilité en démentant nos chiffres ce que nous avons rectifié en apportant des Procès-Verbaux de Comité d’Entreprise preuve irréfutable si l’en fallait une.

R.P : Et de ton point de vue et celui du syndicat CGT PSA Valenciennes qu’est-ce-qui devrait être fait, et quelle stratégie il faut employer pour que le massacre cesse, surtout que le groupe PSA a fait des milliards ?

La démonstration est faite surtout sur le sujet de PSA que c’est le coût du capital qui casse les usines et non le supposé coût du travail.

Mais une fois que nous avons démontré ça, ne nous voilà pas beaucoup plus avancé pour que nos conditions de vie changent.

Pour autant tous les travailleurs du pays quel que soit leur patron connaissent ce schéma.

A ces attaques nous devons répondre par la convergence des lutte. Le blocage général de l’outil de travail doit imposer un changement de donne dans la durée.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Prélèvement à la source : problèmes techniques ou fragilité politique du gouvernement ?

Si la diffusion d’une note détaillant les innombrables bugs apparus dans le cadre des tests sur le prélèvement à la source fait la une de l’actualité, la confusion qui règne autour du prélèvement à la source met en réalité en exergue la fragilité politique du gouvernement.

Après le report de la révision constitutionnelle, conséquence directe de l’affaire Benalla et de la volonté de l’exécutif de temporiser dans une période difficile, c’est désormais la mise en place du prélèvement à la source qui pourrait se voir annulée. Cette mesure prévue pour janvier 2019 doit permettre aux services fiscaux de prélever les impôts directement sur les revenus, permettant ainsi au gouvernement d’économiser, par plusieurs biais, plusieurs milliards d’euros.

Or, la réforme qui aurait déjà coûté près de 300 millions d’euros à l’Etat - une somme gigantesque correspondant au développement informatique de la mesure, à la formation du personnel des impôts ou encore à la communication sur la mesure - pourrait bien passer à la trappe. Un potentiel camouflet de plus pour l’exécutif, dont les raisons apparaissent éminemment politiques.

Pour la première fois du quinquennat, la confusion règne

Dès la semaine dernière, la confusion autour de l’annonce du lancement ou pas de la mesure annonçait déjà que quelque chose se tramait.

Tandis qu’Edouard Philippe semait le doute en restant prudent sur la réforme dans le JDD le 26 août, Gérald Darmanin affirmait fermement sur Europe 1 quelques jours plus tard que le prélèvement à la source serait bien mis en place en 2019, avant qu’Emmanuel Macron n’intervienne le 29 août pour tempérer les ardeurs de son ministre en expliquant attendre « d’être sûr de ce que nos concitoyens vivront le jour où on la mettra en place, si on la met en place [nous soulignons] ». Une intervention exceptionnelle du Président qui allait être contredite dès le lendemain par Gérard Darmanin qui réaffirmait sa confiance dans la mise en œuvre de la mesure, soutenu quelques jours plus tard par Bruno Le Maire. De quoi semer le doute dans les médias comme au sein de la population face à ce couac inédit dans la communication du gouvernement.

Or hier, la publication dans Le Parisien des conclusions d’une note confidentielle de la DGFiP, datée de juillet, mettant en lumière les centaines de milliers de bugs relevés dans le cadre des tests sur le prélèvement à la source. Pourtant, tant l’ancienneté du rapport que les témoignages de divers responsables sur la correction des bugs laissent penser que la diffusion de ce document pourrait surtout viser à fournir un alibi de poids à un éventuel report de la réforme. Une manière pour le gouvernement de dissimuler derrière de faux motifs techniques un recul rien de moins que politique.

Derrière les problèmes techniques, la fragilité politique du gouvernement

Par-delà les supposés risques techniques du prélèvement à la source, il semble que plusieurs proches de Macron s’inquiètent des dangers politiques d’une telle mesure. L’effet « psychologique » de la réforme, qui conduira mécaniquement à une baisse des revenus directement perçus par les salariés, semble ainsi particulièrement menaçant.

De fait, le gouvernement Macron paraît plus fragile que jamais en cette rentrée 2018. Alors que la conjoncture économique semble morose, que le poids de l’affaire Benalla continue de peser sur l’image du président et que la démission de Nicolas Hulot, véritable camouflet, désorganise l’Elysée à l’approche de la rentrée, Emmanuel Macron doit faire face à ses premiers renoncements. Dans ce cadre, le prélèvement à la source est risqué, d’une part parce qu’il pourrait accroître le sentiment qu’Emmanuel Macron détériore les conditions de vie des travailleurs, de l’autre parce qu’il annulerait l’effet visible du basculement des cotisations sociales vers la CSG, mesure phare de Macron pour accroître le pouvoir d’achat des travailleurs.

Une situation d’autant plus compliquée qu’à l’heure des premiers bilans économiques de la politique d’Emmanuel Macron, le décalage entre les sacrifices exigés par le gouvernement envers les retraités, les étudiants, et les travailleurs, et les résultats de sa politique apparaît de plus en plus éclatant. Retour de l’inflation, baisse du pouvoir d’achat, chômage toujours massif, croissance en dessous des 2% annoncés, le gouvernement précarise à tour de bras et se montre incapable d’en justifier les frais, ce qui invite désormais à la prudence. Or, quand on multiplie les annonces de réformes chocs et qu’on passe son temps à bomber le torse, le retour à la prudence apparaît nécessairement comme un renoncement.

Ces multiples éléments de fragilité du gouvernement Macron apparaissent ainsi comme les véritables fondements de la confusion qui agite aujourd’hui le gouvernement. Pour Emmanuel Macron, la situation est d’autant plus critique qu’aucun ingénieur informatique ne saurait résoudre ses problèmes structurels de fragilité politique.

Crédits photos : / Fred Haslin/Le Courrier picard/MaxPPP

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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"Interdit d'interdire" : l'émission de Frédéric Taddéï très prochainement sur RT France

ENTRETIEN. Avant ses débuts sur RT France, l'animateur tire les leçons de son départ de France Télévisions. Et critique vertement le paysage télévisuel actuel.

 

Propos recueillis par Pauline Linard

 

C'est la grande surprise du mercato médiatique de cette rentrée. Frédéric Taddeï, à la suite d'un départ forcé et après plus de dix ans chez France Télévisions (Ce soir ou jamais et Hier, aujourd'hui, demain),rejoint RT France en cette rentrée. Lancée en décembre 2017, la chaîne est une version française de la télévision publique russe RT. Ses détracteurs la considèrent comme « propagandiste ». En juin, elle a été mise en demeure par le CSA en raison de « manquements à l'honnêteté, à la rigueur de l'information et à la diversité des points de vue » pour un sujet sur la Syrie et elle s'était défendue d'une « erreur technique » en raison d'une erreur de traduction. Frédéric Taddeï va présenter une émission intitulée Interdit d'interdire. Elle sera inspirée de ce qu'il a déjà fait sur France Télévisions et Europe 1. Débats, émissions culturelles, l'animateur tient à faire ce qui lui plaît. Et assure que travailler chez RT France ne le privera pas de liberté.

 

Le Point : Pourquoi rejoindre RT France après votre départ forcé de France Télévisions ? Avez-vous eu d'autres propositions de la part d'autres chaînes ?

 

Frédéric Taddeï : Parce que RT France m'a donné carte blanche pour faire le genre d'émission que j'aime animer à la télévision : un talk-show quotidien d'une heure avec des intellectuels, des artistes, et de vrais débats, entre des gens intelligents, qui savent de quoi ils parlent, qu'on ne voit pas ailleurs et qui ne sont pas d'accord entre eux.

 

[…]

 

LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS :

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Deux Fois par mois, Bésot pose sur notre page son regard sur l’actualité sociale. Bien évidemment, il ne pouvait passer à côté des gaulois réfractaires...

CGT Confédération Générale du Travail

Par CGT facebook

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Sarah Palin côté coeur

Morano dans la tête

VRP de Macron.

Une jolie gueule, 

cachant une sacrée co...

 

Restons calme,

et ne nous abaissons pas à son niveau

Horreur Bergé dans ses oeuvres.

Juillet 1794, les racines de dame Bergé.

Dès le lendemain de l'exécution de Robespierre sur l’échafaud, dans Paris reparaissent carrosses et laquais.

Il y a de nouveau des maîtres... et leurs domestiques. 

1794, à l'époque du Directoire, telle les mondaines parvenues de l'époque, l'horreur Bergé à coup sûr aurait tenu salon. 

2018, la réaction thermidorienne campe à l'Elysée.

Pour preuve, la télévision, inventée depuis, nous l'expose dans toute sa hideuse réalité.

Tout un symbole, l'enregistrement est repris de "Boursorama".

Même le journaliste en est estomaqué.

Voici le lien, c'est plus particulièrement à partir de la 7e minute

Accrochez vous ! risque de nausée.

Canaille le Rouge fait des efforts pour ne pas voir son vocabulaire déraper.

Le jour où sur un marché, si par hasard elle y met les pieds, cette enfant de ...Thatcher disciple de Morano reçoit à travers la...figure la tripaille d'un étal de poissonnier, non seulement elle ne l'aura pas volé mais La Canaille espère que les retraité.e.s présent.e.s la lui feront bouffer. 

 « Le gel des pensions de retraite est une mesure de justice sociale". Elle précisera ici ou là  : " Dans "ma" circonscription je croise tous les jours des retraités qui prennent 3 repas par jour et parfois même un goûter. Ils doivent faire un effort, ils ont les capacités de le faire » 

Vous rendez vous compte ? La conditionneuse de conserverie, la "femmes de service" qui lui a torché le cul dans son école de princesse, celui qui ramasse les feuilles d'automne entre Versailles et Rambouillet pour qu'elle puisse faire du roller sans salir ses roues, "même un goûter":

C'est-y pas une honte ma chère banquière, entendez mère abbesse, non seulement y crèvent pas d'faim mais en plus y peuvent goûter ?

Comme ponctuation : une interprétation aussi grande que la chanteuse fut réac.

C'est dire si l'enregistrement est beau :

Au fait, les "allègements" de cotisations patronales et le CICE représentaient 51,9 Milliards € dans le budget 2017.

Avec Macron, cela est loin d'avoir diminué.

Rédigé par Canaille le Rouge

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RT France

Des mobilisations étaient organisées dans plusieurs villes de Russie ce 2 septembre, contre la réforme des retraites controversée proposée par le gouvernement russe et que Vladimir Poutine s'est engagé à «adoucir».

Des milliers de Russes ont manifesté ce 2 septembre à travers le pays contre un projet de relèvement de l'âge de départ à la retraite, une mobilisation qui se poursuit malgré les promesses de Vladimir Poutine d'un assouplissement de la réforme.

A Moscou, 7 500 personnes selon les autorités ont pris part à deux rassemblements distincts, dont un organisé par le parti communiste russe, contre la réforme actuellement en cours de lecture au Parlement. Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs autres villes de Russie, comme à Saint-Pétersbourg (nord-ouest) où 2 500 personVladimir Poutine a notamment proposé cette semaine de faire passer l'âge de départ à la retraite pour les femmes de 55 à 60 ans (contre 63 dans le texte initial).

POUR LIRE L'INTEGRALITE DE L'ARTICLE
CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://francais.rt.com/international/53670-moscou-manifestation-contre-reforme-retraites.

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Cela devrait interroger

dans les citées 

et zones pavillonaires

Prélévement à la source, codicille hélas non testamentaire du précédent

Pourquoi sont-ce les exilés fiscaux, premier capteurs et par pompages intensifs s'assurant détournement de ce ruissellement si cher à son principal défenseur politique, qui sont en première ligne pour défendre le prélèvement à la source des impôts ?

Un peu comme si les responsables de la fonte des pôles éditaient une théorie pour justifier de brancher l'eau du sahel pour alimenter leur piscine. c'est d'ailleurs ce qu'il font.

Rédigé par Canaille le Rouge

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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