SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Unilever: Un cabinet de conseil contre le transfert aux Pays-Bas
Le cabinet de conseil Pensions & Investment Research Consultants Limited (PIRC) a recommandé mercredi aux actionnaires de l'entité britannique d'Unilever de s'opposer au transfert du siège du groupe anglo-néerlandais aux Pays-Bas. /Photo prise le 21 août 2018/REUTERS/Piroschka van de Wouw Stringer .

par Simon Jessop

 

LONDRES (Reuters) - Le cabinet de conseil Pensions & Investment Research Consultants Limited (PIRC) a recommandé mercredi aux actionnaires de l'entité britannique d'Unilever de s'opposer au transfert du siège du groupe anglo-néerlandais aux Pays-Bas.

Plusieurs autres investisseurs de premier plan, dont Royal London Asset Management (RLAM), ont déjà dit qu'ils voteraient contre ce projet lors de l'assemblée générale du géant des produits de grande consommation prévue le 26 octobre prochain.

PIRC s'est dit préoccupé par les conséquences de ce projet sur les investisseurs qui seraient contraints de céder leurs titres.

"La sortie du groupe de l'indice FTSE 100 (de la Bourse de Londres) peut obliger certains actionnaires à vendre leurs actions à un cours et un calendrier qui ne relèvent pas de leur choix, ce qui constitue dans les faits une vente forcée", écrit le cabinet dans un rapport.

Les actionnaires concernés étant probablement parmi les investisseurs historiques d'Unilever, le conseil d'administration a fait preuve "d'un manque de clairvoyance en croyant qu'ils n'avaient pas voix au chapitre", ajoute PIRC.

"Au final, cela pourrait s'apparenter au fait que les actionnaires de l'entité britannique sont invités à approuver une OPA sans versement d'une prime", a-t-il fait valoir.

Le projet de transfert, présenté par Unilever, comme un moyen de simplifier sa structure et d'améliorer son efficacité, doit être approuvé par une majorité d'actionnaires.

La décision sera soumise au vote le 25 octobre à Rotterdam et le 26 octobre à Londres, et si elle est validée les actions actuelles cesseront d'être cotées le 21 décembre et les nouveaux titres s'échangeront à compter du 24 décembre.

Voir aussi: BREAKINGVIEWS-Unilever should delay its head office vote

 

(Claude Chendjou pour le service français, édité par Catherine Mallebay-Vacqueur)

Publié par CHALLENGES

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Wamen : « Là je reconnais un mec qui fait la manche, un ex-Goodyear que la vie a broyé »

Depuis la fermeture de l’usine à Amiens, Mickaël Wamen et ses anciens collègues n’ont eu de cesse de se battre. Mais le chômage, la précarité dans laquelle les patrons de Goodyear ont précipité des centaines de familles, en a déjà emporté plus d’un. Sur Facebook, il témoigne d’une rencontre peu ordinaire…

TRISTESSE D’UNE RÉALITÉ VIOLENTE…

Hier, après la réunion avec mes ex-camarades Goodyear Amiens, je me suis arrêté pour aller dans un tabac en centre-ville.

Et, surprise violente… Y’avait sur le côté du tabac un mec qui faisait la manche, le visage tuméfié par les mauvais coups de la rue, et là… Je le reconnais, Sébastien, un ex-Goodyear, que la vie a broyé.

Lui aussi me reconnaît, me dit : « Oh Mika, comme je suis content de te voir ».

les larmes me remplissent les yeux… J’échange avec lui quelques mots, lui demande comment je peux l’aider… Il me dit : « J’ai plus personne, plus de famille, mes parents sont morts et je suis fils unique… Je survis dans un foyer… »

Il m’explique que la veille y a eu une bagarre, il a eu le genou pété…

Je lui ai acheté des clopes, filé un peu de thunes, mais j’aurais surtout voulu le prendre avec moi et l’aider à se sortir de ce bordel. Il est tous les soirs au tabac le voltigeur a Amiens, le gars du tabac m’a dit : « Il est souvent là ».

Que puis-je faire ???

Je lui ai promis de retourner le voir, mais j’aimerai tellement l’aider même si je sais que c’est très compliqué…

Sébastien est un SDF comme tant d’autres dans un pays si riche, ces SDF qu’utilise le pouvoir pour se faire une pub au moment des grands froids et à chaque élection. C’est d’une violence inouïe surtout quand on déteste et combat les injustices.

Et quand je suis parti, je me suis dit : faut l’aider. Je vais tout faire pour y arriver même si je ne suis plus sur Amiens.

Alors, allez le voir ne serait ce que pour lui dire un petit mot, ça lui fera plaisir car au-delà de la violence de la rue ce qui le détruit c’est l’ignorance du plus grand nombre.

Ce que j’ai vécu hier soir, c’est la tristesse d’une réalité violente !!!

Rendez-vous en soutien aux salariés de Goodyear à l’occasion du procès aux Prud’hommes où ils contesteront leur licenciement, ce jeudi à Amiens.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Pour mater la résistance des travailleurs, Amazon lance ses formations « anti-syndicat »

Une vidéo de 45 minutes dévoilée par le média étasunien Guizmodo montre l'existence de formations « anti-syndicale » dans l'entreprise Amazon. Formations dont l'objectif est explicite : la prévention de formation syndicale au sein de l'entreprise, en vue d'une exploitation des salariés toujours accrue sans résistance possible.

Bien connue pour ses conditions de travail extrêmement difficiles, l’entreprise Amazon prévient toutes possibilités de revendications et de lutte pour ses salariés L’intérêt évident qu’a Amazon de se prémunir contre des sections syndicales combatives est bien la pérennisation des profits engrangés sur le dos des travailleurs, d’autant plus importants s’ils restent plongés dans la précarité.

Pour ce faire des formations à destination notamment des managers au sein de la filiale d’Amazon Whole Foods Market, mettent en place des pratiques afin de lutter contre l’émergence d’organisations syndicales de travailleurs. Tout d’abord, les managers doivent être capable de repérer les « signaux d’alerte » qui peuvent montrer l’émergence d’une résistance ouvrière. Que ce soit sur les mots employés par les travailleurs tels que « délégué syndical » ou « salaire décent », ou plus largement sur leur comportement comme le fait de porter des t-shirts syndicaux ou de se prononcer sur le droit des travailleurs.

Il est rappelé dans la formation que les managers ont le droit de donner leur opinion (et sont en réalité fortement poussé à le faire) vis-à-vis du syndicalisme. C’est-à-dire que face à ces « signaux d’alerte », les managers devront émettre un avis aux travailleurs concernés. En clair, il ne leur est bien évidemment pas possible d’interdire la création d’un syndicat, mais ils doivent peser de tout leur poids contre.

Comment Amazon justifie cette campagne anti-syndicats ? Pour reprendre les mots de la vidéo : « Notre business model repose sur la rapidité, l’innovation et l’obsession du client – des choses qui ne sont généralement pas associées au syndicalisme. Lorsque nous perdons de vue ces domaines essentiels, nous compromettons la sécurité de l’emploi de chacun : les vôtres, les miens et ceux des associés ».

Un model business incompatible donc avec le syndicalisme, qui pousse les travailleurs à s’organiser et lutter pour de meilleures conditions de travail. En effet, si la constitution d’un syndicat pourrait assurer un rapport de force un tant sois peu plus avantageux pour les travailleurs et leurs revendications, alors le model business d’Amazon serait compromis puisque celui-ci repose sur la pression à la baisse des conditions de travail.

D’autre part, comme nous pouvons le voir dans la citation ci-dessus, les emplois de chacun serait mis en cause par la création d’un syndicat. C’est donc une menace indirecte qui est ici adressée aux travailleurs selon laquelle ils pourraient perdre leur travail s’il y avait l’émergence d’un groupe organisé en résistance aux conditions de travail dramatique imposées par la direction du groupe.

On voit bien la logique impliquée par ces formations « anti-syndicale » : Prendre de l’avance sur la lutte et casser tout mouvement syndical. Une tentative évidente de prévenir toute lutte, à l’heure ou dans plusieurs endroits du globe des secteurs ultra-précarisés de la classe ouvrière relèvent la tête face à des conditions de travail de plus en plus dures à supporter.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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La direction de Ryanair menace les travailleurs de licenciements en représailles des grèves

Dans plusieurs pays d’Europe le mouvement de grève se poursuit chez Ryanair. La direction qui avait sous entendu qu’elle pourrait supprimer des postes si la grève continuait vient de passer des paroles à l'acte en annonçant la fermeture de 3 bases et des licenciements.

Cela fait plusieurs mois que la direction de Ryanair doit faire face à un mouvement de grève inédit pour la compagnie. Cette grève européenne a encore fait annuler plus de 250 vols vendredi dernier. Le directeur général irlandais de la société, Michael O’Leary avait menacé les grévistes en expliquant notamment aux travailleurs belges qu’ils pouvaient très bien se passer d’eux car ils ne représentent rien pour Ryanair au niveau de la flotte totale. Passer des menaces aux actes, c’est chose faite. Le personnel de Ryan Air qui lutte depuis plusieurs mois devra faire face à une contre attaque impitoyable de leur patron. Ce n’est pas moins de 3 bases qui seront fermées dès novembre et des licenciements sont annoncés.

La compagnie attaque là où le conflit est le plus dur

Une base sera fermée aux Pays-Bas et deux en Allemagne. C’est justement outre Rhin que les syndicats sont le plus combatif. Cité dans Le Soir, Christian Behle, du syndicat Verdi, explique dans un communiqué que « La fermeture de la base de Brême est une tentative de représailles contre la grève des employés, qui se battent pour des revendications justifiées. Le comportement de Ryanair est scandaleux et indigne ». Rien qu’avec la fermeture de la base de Brême ce sont 90 salariés qui seront licenciés pour avoir osé demander de meilleures conditions de travail.
La direction a le cynisme d’expliquer qu’elle va engager des consultations avec ses pilotes et personnels de cabine afin de limiter les licenciements. Outre le licenciement sec, elle prévoit, selon Le Soir, « de proposer des affectations vers d’autres bases et des congés non rémunérés ».

La direction veut faire payer les salariés pour avoir combattu les conditions d’exploitation de Ryanair. « Les faire payer » au sens propre puisque pour justifier une telle décision elle explique que la grève a fait diminuer les bénéfices qui sont pourtant astronomiques. La compagnie devrait faire entre 1,10 et 1,20 milliard de bénéfice net pour l’année 2018-2019, alors qu’elle s’attendait à faire entre 1,25 et 1,35 milliard.

Michael O’Leary continue avec la provocation en expliquant que cette baisse toute relative des bénéfices est due aux grèves. « La confiance des clients, les réservations et les tarifs au troisième trimestre sont affectés (…) dans ces cinq pays où des grèves inutiles se sont répétées ». Comme si cela ne suffisait pas, il continue de menacer les salariés en expliquant qu’il ne faut exclure le fait de revoir encore à la baisse les prévisions de bénéfices en cas de perturbations d’ici décembre. Sous entendu, si il y a encore grève et donc baisse des bénéfices il y aura encore plus de fermetures de bases et de licenciements.

Ce que Michael O’Leary ne peut pas accepter ce sont ce qu’il appelle les « crazy unions », ces syndicats qui osent dire non à l’esclavage moderne. Ryanair a même porté plainte auprès de la Commission européenne et demande une enquête pour « conduite anti-compétitive ». Face à cet acharnement patronal les pilotes et personnels de cabine semblent rester déterminés et demandent maintenant à la direction de revenir sur ces annonces.

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Fidèle à lui-même, Patrick Balkany baisse le salaire de ses adjoints pour s’augmenter

Bienvenue au pays de l’arnaque ! Levallois-Perret zone de non-droit ? Patrick Balkany défraye une nouvelle fois la chronique. Et pour cause : le plus grand voleur de la politique a décidé de s’augmenter de 56 % en baissant le salaire de ses adjoints.

Patrick Balkany qui est encore embourbé dans des affaires judiciaires et sans doute entrain de préparer une éventuelle retraite forcée, après avoir dissimulé au moins 13 millions d’euros au fisc. Il est notamment soupçonné de « blanchiment de fraude fiscale aggravée », « corruption passive », « blanchiment de corruption » et « prise illégale d’intérêt par une personne dépositaire de l’autorité publique ».

Mais Balkany ne compte par en rester là. La semaine dernière, le maire indéboulonnable de Levallois-Perret a fait voter par son conseil municipal une augmentation de 56 % de son propre salaire. Une décision qui est tout à fait légale – pour une fois – mais qui pousse les adjoints du maire à diminuer leurs salaires de 75 euros. En effet, la législation impose une enveloppe globale à ne pas dépasser pour les rémunérations des adjoints et du maire, qui diffère selon la taille des villes.

Une manœuvre pour contrecarrer la loi sur le non-cumul des mandats

Si le couple Balkany peut se permettre d’avoir des billets de 500 euros dans leur peignoir, ils semblent ne jamais en avoir assez. D’après Le Monde, en 2014, alors que Balkany siègeait à l’Assemblée nationale tout en étant maire de Levallois, il ne pouvait pas toucher « plus d’une fois et demie son indemnité de député ». Il avait donc été contraint de baisser son salaire pour atteindre le confortable plafond de 8 272 euros au total (soit plus de 7 fois le SMIC de l’époque).

En 2017, avec la loi sur le non-cumul des mandats, Balkany a vu ses revenus chuter à 3 075 euros brut mensuels. Subissant une loi contre laquelle il s’était positionné – en 2008 il avait même voulu faire voter une loi obligeant le cumul des mandats -, il ne pouvait pas en rester là. Et il s’est donc augmenté de 56 % et touchera 4 257 euros par mois, soit le maximum autorisé pour une commune de cette taille. Il faut également ajouter à cela sa pension de retraite dû à son mandat à l’Assemblée nationale. La moyenne de cette pension est de 2700 euros net – plutôt cher payé pour 5 ans de mandat.

Si Balkany a trouvé de quoi augmenter ses revenus déjà bien conséquents, d’autres élus ont également choisi de s’octroyer de large augmentation. Paris Match explique ainsi que le maire d’Orléans avait quadruplé son salaire, de 960 à 4 120 euros net par mois ; le maire de Cholet était passé de 2 006 à 3 623 euros brut ; le président de l’agglomération de Roanne avait quant à lui augmenté son salaire pour passer de 2 757 à 5 187 euros net par mois.

Cette affaire n’est donc pas un cas isolé mais bel et bien le symbole d’une caste politicienne qui continue à profiter du système pour s’enrichir sur le dos de ceux qui souffrent au travail et touchent bien souvent une retraite de misère.

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[VIDEO] Argentine. La police tire pour empêcher la tenue d’une assemblée générale des mineurs

Lundi 1er octobre, après avoir parcouru plus de trois mille kilomètres, les mineurs de Rio Turbio (Santa Cruz) ont manifesté devant le congrès pour réclamer le rejet du budget 2019. Alors qu’ils entraient dans l’Institut National de Technologie Industrielle (INTI) afin de participer à une assemblée générale, la police a ouvert le feu avec des balles en plomb, mettant en danger la vie des travailleurs mobilisés.

La mine est l’un des secteurs touché par le plan d’ajustement de Macri. C’est ce qui explique l’impressionnante mobilisation des mineurs du gisement de Río Turbio, venus depuis Santa Cruz pour manifester devant le Congrès.

Les travailleurs du site carbonifère de Rio Turbio, qui, au début de l’année, s’opposaient à des centaines de licenciements, ont une revendication spécifique : rejeter le budget 2019 qui réduit d’un tiers les fonds de l’entreprise publique. Cette réduction drastique aurait à n’en pas douter pour effet de conduire à une nouvelle vague de licenciements.

Lors de leur action, les mineurs ont retrouvé les travailleurs de l’usine industrielle de Agua Pesada de Neuquén, qui rejettent également le plan d’ajustement du gouvernement et exigent que soit inclue dans le budget 2019 la remise en service de leur usine.

Quand la police tire avec des balles de plomb…

Vers midi, alors qu’ils entraient dans l’Institut National de Technologie Industrielle (INTI) – qui est soumis à une vague de licenciements depuis le début de l’année – et ce, afin de participer à une assemblée générale, les mineurs se sont très rapidement fait réprimer. Selon le communiqué des travailleurs de l’INTI, « lorsqu’ils sont arrivés à la porte du PTM et allaient participer à l’assemblée, en compagnie de délégués du bureau interne de ATE INTI, ils ont été interceptés par le responsable de la conciergerie, José Provetina et le responsable du personnel de Murata, qui ont commencé à frapper les délégués et les mineurs. »

Au cours de la répression, qui a débuté par des attaques de la part des forces de sécurité, puis s’est intensifiée en raison des actions de la police fédérale, un agent fédéral, qui n’avait pas de pièce d’identité, a commencé à tirer avec son arme réglementaire, mettant en danger la vie des travailleurs.

Après avoir dénoncé cette répression, les mineurs sont retournés sur la place de Buenos Aires pour continuer leurs actions. Quand le soleil s’est couché, la marche aux flambeaux et frontales est passée par la Plaza de los Dos Congresos. Les mineurs étaient accompagnés de diverses organisations syndicales et sociales. Parmi elles se trouvaient des dirigeants du Movimiento de Agrupaciones Clasistas (MAC) impulsé par le Parti des Travailleurs Socialistes (PTS), qui ont envoyé aux mineurs une lettre contenant des propositions pour l’appui de leur lutte et la coordination avec le reste des secteurs qui résistent aux attaques de Cambiemos.
Mercredi, les mineurs organiseront une veille contre le budget, invitant les organisations syndicales, politiques et sociales à y participer. Ils seront là à minima jusqu’à vendredi pour mener différentes activités.

Miguel Páez, secrétaire général de l’ATE Rio Turbio, a déclaré au micro de la Izquierda Diario « nous rejetons ce budget d’ajustement porté par le gouvernement, qui met en péril de nombreux emplois, et en particulier notre site et l’usine. » Il poursuit : « Nous allons nous réunir avec différents secteurs qui se battent actuellement. »

Cristian Gordillo, secrétaire adjoint du syndicat ATE, a dénoncé l’attaque policière dont ont été victimes les mineurs mobilisés. Il a par ailleurs annoncé, qu’au cours de la semaine et en particulier mercredi prochain, les mineurs tenteront de converger avec d’autres secteurs en lutte.
Une fois de plus, comme ce fut le cas lors des énormes mobilisations des 14 et 18 décembre dernier face à la réforme des retraites, la police de Macri montre son visage violent et répressif afin d’essayer de mater toute mobilisation des travailleurs en lutte. Dans ce contexte, la solidarité de tous les travailleurs et la convergence entre les secteurs est plus que jamais nécessaire pour faire reculer Macri, à la botte du FMI.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
À propos du SALAIRE net et de la COTISATION chômage... [Une chronique de Philippe Arnaud]

Aujourd'hui, j'ai entendu, sur France 2 et France 3 (comprimée au milieu d'un hommage hypertrophié à Charles Aznavour) cette annonce : aujourd'hui 1er octobre, le salaire net des salariés du privé va augmenter par suppression de la cotisation chômage. Les salariés au SMIC, par exemple, vont voir leur salaire net augmenter de 17,36 euros par mois.

 

Comment un journaliste peut-il prononcer une telle phrase sans se poser de questions, sans regimber, sans envoyer paître son rédacteur en chef ? 

 

Remarque 1. La cotisation chômage n'est pas une indemnité de guerre versée à un pays ennemi qui s'appelle Assurance chômage. La vocation de la cotisation chômage n'est pas de disparaître dans un trou sans fond mais de revenir au salarié lorsque celui-ci perd son emploi.

 

Remarque 2. Du fait que la cotisation chômage repose sur le principe de la mutualisation, la somme que touche le salarié devenu chômeur est très supérieure à ces 14 euros mensuels. C'est le principe même de la mutualisation : être un grand nombre à payer de façon modique pour permettre au petit nombre de ceux qui sont frappés par le malheur d'obtenir bien plus qu'ils n'auraient pu obtenir avec leur épargne. Du coup, si la cotisation disparaît, l'indemnisation disparaît aussi. Où est alors l'avantage, pour le salarié d'avoir 14 euros de plus sur sa fiche de paye mensuelle (ce qui représente 50 centimes par jour, une demi-baguette...) si, le premier mois où il tombe au chômage... il touche zéro euro ?

 

Remarque 3. C'est ce qui risque de se passer si la disparition de cette cotisation n'est pas compensée par une autre rentrée d'argent. Or d'où peut venir cette rentrée : de l'ISF ? Il a été supprimé. Des tranches supérieures de l'impôt sur le revenu ? Leur taux a été fortement diminué. De l'impôt sur les sociétés ? Il est raboté. De la chasse efficace à la fraude et à l'évasion fiscales (de 60 à 80 milliards d'euros) ? On peut toujours rêver...

 

Remarque 4. Si l'indemnisation chômage ne passe pas à la trappe, c'est que son financement aura été compensé par autre chose. Mais si on ne ponctionne ni les hauts revenus ni les sociétés, sur qui reposera le financement ? Sur ce qui reste : sur les salariés et sur les retraités, et essentiellement sur ceux qui figurent dans les 9 premiers déciles des revenus, c'est-à-dire sur à peu près tout le monde (en dehors des riches). Ce financement viendra de l’augmentation de taxes directes et indirectes, fiscales et parafiscales (sur la TVA, le gaz, l'essence, la CSG - impôt proportionnel, donc injuste - etc.) dont la diversité et le nombre sont tels qu'il sera difficile pour le salarié d'établir le solde entre la disparition de sa cotisation chômage, d'une part, et l'augmentation de tout le reste, d'autre part. Mais on ne perdrait pas grand-chose à parier que ce solde sera négatif...

 

Remarque 5. Si l'indemnisation des chômeurs ne passe plus par la cotisation, cela veut dire qu'elle sera décorrélée du salaire (et ne sera donc plus considérée comme partie intégrante de celui-ci). Elle pourra être fiscalisée ou versée comme une aide (une charité...), mais on habituera les salariés à la dissocier de leur paye, à ne plus la considérer comme un droit indissociable attaché à leur statut. On leur mettra dans la tête qu'elle n'a qu'un caractère précaire et qu'elle peut être "avantageusement" remplacée par une assurance privée facultative. Bien plus chère, cela va sans dire...

 

Je vous saurais gré de vos remarques, précisions, rectifications et critiques.

 

Bien à vous,

 

Philippe Arnaud

Amis du Monde Diplomatique

Tours

 

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Face à la tentative d'imposer l'anglais comme " langue maternelle européenne " des textes officiels existent qui peuvent être utilisés par les travailleurs et les organisations syndicales pour réister à cette véritable  entreprise de liquidation de la langue nationale.

Alors soyons audacieux !

Envoi d'Aurélien Djament

 

Tout document comportant des obligations pour le salarié ou des dispositions dont la connaissance est nécessaire pour l'exécution de son travail doit être rédigé en français (article L. 1321-6 du Code du travail).

 

Par conséquent, le salarié doit avoir "accès, sous quelque forme que ce soit, à un document rédigé en français fixant les objectifs permettant la détermination de la rémunération variable", peu importe le caractère international de l'activité de l'entreprise (Cassation sociale, 3 mai 2018, société Misys France, filiale de la société de droit anglais Misys).

 

Citation : "Le règlement intérieur est rédigé en français. Il peut être accompagné de traductions en une ou plusieurs langues étrangères.

 

Il en va de même pour tout document comportant des obligations pour le salarié ou des dispositions dont la connaissance est nécessaire pour l'exécution de son travail.

Ces dispositions ne sont pas applicables aux documents reçus de l'étranger ou destinés à des étrangers."

 

Lien vers l'arrêt susmentionné de la cour de cassation : 

https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?idTexte=JURITEXT000036900344

 

Il confirme les dispositions ci-dessus, y compris pour une société de droit anglais, ce qui devrait nous placer d'autant plus en position de force pour des entreprises franco-françaises qui basculent à l'anglais :

"Attendu qu'il résulte de ce texte que tout document comportant des obligations pour le salarié ou des dispositions dont la connaissance est nécessaire pour l'exécution de son travail doit être rédigé en français ;


Attendu que pour débouter le salarié de sa demande au titre de la rémunération variable pour l'année 2012, l'arrêt retient que la communication de documents de travail en anglais n'est pas illicite compte tenu du caractère international de l'activité de l'entreprise ;

Qu'en statuant ainsi, alors qu'il ne résultait pas de ses constatations que le salarié avait eu accès, sous quelque forme que ce soit, à un document rédigé en français fixant les objectifs permettant la détermination de la rémunération variable, la cour d'appel a violé le texte susvisé (...)"

 

Que tous les syndicats, tous les travailleurs qui voient l'obligation des entreprises à communiquer en français envers leurs salariés se saisissent de ces textes, les promoteurs du basculement linguistique auront plus d'un bâton dans les roues !

 

Publié par FSC

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Déjà, accolés,

ces trois mots en disent long.

et la suite :

apprenez à fermer une usine

Management des ressources humaines

Pas question d'apprendre à investir et moderniser un outil de production.

Pas question d'apprendre à traquer la fraude fiscale.

Mais par contre, fermer, délocaliser, se prostituer en se vautrant dans les fonds de pensions et autres bauges pourries, là on va vous les former les rejetons du CAC à rentes et ceux qui ont les dents suffisament longues pour vouloir y accéder.

Cette université, prestigieuse, c'est Paris Dauphine.

Barre, Delors Attali Joyet  y ont sévit, la liste de ses enseignants et anciens élèves célèbres témoigne du gratin de ce militantisme patronal.

Université -Paris-Dauphine-Personnalités

Elle forme des économistes, valide des cursus, finance de la recherche et délivre des diplômes.

Cette université publique elle est là pour former des économistes dont le pays à besoin.

Mais l'affiche pour cette conférence en témoigne, elle les formes aux critères du patronat.

Comme toutes les universités publiques, elle vit sur fonds publics.

Les impôts des virés et chômeurs pour former les videurs.

Management des ressources humaines

juste pour faire mise en bouche avant le pot qui clôturera la conférence cette pièce d'anthologie :

En 2015, Henri-Benjamin Roux, alors Directeur Général France d’un équipementier automobile, a engagé sa filiale dans un virage stratégique particulièrement délicat : recentrage sur son activité commerciale et redéploiement de sa base industrielle de la France vers l’international : Inde, Chine, Pologne …

« Voir des ouvriers et des ingénieurs français engagés jusqu’au dernier jour sur la qualité et le service client et former leurs collègues indiens », rassurer les clients, convaincre les actionnaires, préparer un plan social, négocier et accompagner le reclassement des salariés pour qu’ils trouvent une nouvelle voie, etc. 

La Canaille espère que ce ", etc.' qui clos la citation vous fera saliver de gourmandise.

Canaille le Rouge est fier pour sa part d'avoir suivi les cours de l'Université Benoit Frachon de Courcelles sur Yvette, d'y avoir cumulé des unités de valeurs qui elles sont morales, sociales et revendicatives.

Elle lui aura permis dans le cadre des responsabilités que ses camarades lui auront confiées de tenir la dragée haute et même d'avoir contribué à expédier dans les cordes certains ex de ce sinistre gratin dauphinois concentrés pour s'accaparer tout le fromage.

Rédigé par Canaille le Rouge

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Macron Président des riches ? La preuve en image

Rien d'étonnant qu'Emmanuel Macron soit le "Président des riches"...Il a été choisi et propulsé par le monde financier pour exercer une politique en faveur de la minorité qui détient les moyens de production, contrôle les médias et choisit ses représentants politiques...

Blog des Militants Communistes de l'Arrageois

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Assurance chômage : le gouvernement prévoit 4 milliards d’économies

L'assurance-chômage commence à être négociée et le gouvernement vient d'en fixer les objectifs avec sa lettre cadre. Les restrictions budgétaires sont clairement au centre de son projet et pour ce faire la complicité des organisations syndicales lui est nécessaire. Loin de vouloir appliquer la promesse de campagne du bonus-malus pour les entreprises ayant massivement recours aux contrats courts, c'est vers une dégressivité de de l’assurance chômage que la régression sociale s'oriente.

Contrairement à ce qu’affirme Muriel Pénicaud, le but premier de la réforme de l’assurance-chômage est bien de faire des économies. Le gouvernement s’est fixé un objectif de 1 milliard à 1,3 milliard d’économies par an jusqu’à la fin du quinquennat, ce qui porte l’addition à presque 4 milliards. Une somme non négligeable pour un gouvernement qui affiche clairement sa volonté de réduire les dépenses de l’État, comme on l’a vu avec le plan CAP22 qui prévoit la suppression de 120 000 postes dans la fonction publique d’ici à 2021.

Comme à son habitude, l’exécutif a proposé un dialogue social aux partenaires sociaux qui a tout d’une mise en scène dont on connaît par avance le grand vainqueur : le patronat. Après le CFDT, qui malgré les « lignes rouges » qu’elle s’interdit de franchir n’en tend pas moins la main à un gouvernement moribond mais déterminé à entériner la régression sociale, c’est au tour de FO en la personne de Pascal Pavageau->http://www.revolutionpermanente.fr/Negociations-sur-l-assurance-chomage-Force-Ouvriere-jouera-le-jeu-de-la-regression-sociale] de rejoindre la table des négociations. Quant au président du Medef, Goeffroy Roux de Bézieux, il trouve la lettre cadre suffisamment ouverte pour participer lui aussi aux négociations. Les partenaires ont jusqu’à fin janvier pour trouver un accord avec au-dessus de le leur tête la menace de voir l’exécutif prendre les choses en main. En effet, si Pénicaud affirmait que l’assurance-chômage serait négociée sans recours aux ordonnances, en cas d’échec cela pourrait redonner du crédit à la manière forte dont Macron a fait la marque de fabrique de son début de quinquennat.

La dégressivité : premières tensions chez les cadres

Mesure phare du gouvernement, la dégressivité (http://www.revolutionpermanente.fr/Degressivite-de-l-assurance-chomage-Le-MEDEF-en-veut-toujours-plus) qui consiste à réduire progressivement les allocations chômage afin d’inciter les « fainéants » à retrouver une activité a été mise en avec par Edouard Philippe, dans son passage dans « L’Emission politique », jeudi dernier sur France 2. Même si pour l’instant, le premier ministre compte limiter cette mesure aux cadres, elle n’en pointe pas moins une orientation claire : faire payer le poids des coupes budgétaires aux salariés.

Pointant les cadres aux « salaires très élevés » et ayant « une très forte employabilité », le premier ministre s’est attiré les fourdres de la CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement - Confédération générale des cadres) qui l’a taxé de « communication populiste ». François Hommeril, président du syndicat des cadres, s’est insurgé contre les propos de l’ancien maire du Havre en rappelant que les cadres contribuaient à hauteur de 42% à l’assurance-chômage alors qu’ils ne représentent que 15% des allocations perçues. Cette sortie très réactive montre à quel point la base sociale de Macron tend à s’effriter et à se tendre. Il faut dire que, depuis l’été, le taux de soutien à l’action du chef de l’Etat chez les cadres a chuté de près de 25 points pour tomber à 44%.

Si le premier ministre s’est fendu de ces déclaration lors d’une émission télévisée c’est très certainement afin de sonder l’opinion des couches de salariés qui représentaient jusque là un pilier de sa base sociale. La lettre cadre qu’a fourni le gouvernement ne fait en effet pas directement mention de la dégressivité comme voie privilégiée pour effectuer les économies voulues.

Contrats courts : bonus-malus ou fin du dispositif d’activité réduite ?

Le deuxième centre des attaques de l’exécutif concerneles contrats courts qui « explosent complètement depuis une quinzaine d’années » comme le reconnaît la ministre du travail. Si la lettre cadre souligne que l’alternance répétée entre des contrats en CDD et des périodes de chômage incite « les personnes à bénéficier d’un revenu global très proche d’une activité à temps plein en cumulant revenu d’activité et chômage », elle n’avance pas la mesure des bonus-malus pour les entreprises qui figurait pourtant parmi les promesses de campagne de Macron comme une soi-disant solution à la précarité croissante de l’emploi.

Cette mesure, figurant dans les promesses de campagne de Macron, était présentée comme la contrepartie, côté employeur de l’encadrement des indemnités prud’homales. En bref, les entreprises qui auraient trop recours aux contrats courts se verraient pénalisées en payant des cotisations plus lourdes. À l’inverse les entreprises « vertueuses » se verraient récompensées par des cotisations moins lourdes. Or, il n’en est rien. La mesure des bonus-malus ne figure même pas dans la lettre cadre du gouvernement alors qu’elle devait faire office de « compensation » du cadeau fait au patronat sur le plafonnement des indemnités prud’homales. Son absence laisse tout simplement présager qu’elle ait été, sans surprise, tout bonnement abandonnée.

Côté patronat, on ne se cache pas en effet que la mesure du bonus-malus ne recueille pas les suffrages des chefs d’entreprise. Le président du Medef avance que les contrats courts font partie du « business model de certains secteurs » pour rejeter la mesure. Le patron des patrons a déjà montré son opposition à la taxation des contrats courts en fustigeant la « dualité entre CDD et CDI ». Il préférerait un CDI plus flexible, ce que le gouvernement est en passe de lui offrir avec la casse du statut de la fonction publique et la loi Travail XXL.

La mesure du bonus-malus ne constitue cependant pas une panacée pour réduire le chômage. L’ancien président de l’Unedic, qui gère l’allocation chômage, Gaby Bonnand, rappelle que : « les grandes entreprises se débrouilleront pour avoir moins de contrats courts dans leurs effectifs et les reporteront sur leurs sous-traitants ». Une fois de plus ce serait les plus précaires qui seraient affectés. Ils sont près de 800 000 a toucher l’allocation chômage et d’activité réduite chaque mois, en particulier des femmes, plus susceptibles de tomber dans la précarité, et des séniors qui ne retrouvent plus d’emploi.

La logique du gouvernement est bien rôdée en cette rentrée où, après une première année marquée par les ordonnances et un rythme effréné dans les réformes, le gouvernement veut jouer la carte du dialogue social et de la concertation. Bien qu’il reçoive l’appui des confédérations syndicales prêtes à négocier la régression sociale, le gouvernement ne compte pas infléchir sa politique d’un pouce. La réforme de l’assurance-chômage s’annonce bien comme un chapitre de plus dans la casse des droits de « ceux qui ne sont rien », pour parler comme Macron, afin de faire payer la crise aux plus pauvres.

Crédit photo : AP/Ludovic Marin.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

"Un mal-être grandissant" à la SNCF : SUD-Rail alerte sur l'explosion des licenciements, démissions et ruptures conventionnelles en 2017

Le troisième syndicat de la SNCF affirme que le bilan social de la compagnie ferroviaire est "désastreux". La direction de l'entreprise n'a pas souhaité confirmer à franceinfo les chiffres avancés par SUD-Rail.

Le syndicat SUD-Rail parle d'un "bilan désastreux" pour l'année 2017. Selon les statistiques dévoilées par le troisième syndicat de la SNCF, les départs de salariés ont explosé l'an dernier. 

 

Des départs en forte hausse 

 

Selon SUD-Rail, 660 personnes ont été licenciées à la SNCF en 2017, contre 452 en 2016, soit une augmentation de 46%. Les ruptures conventionnelles ont connu une hausse de 38%. Les démissions aussi ont crû de 24%, le syndicat affirme que 763 personnes ont démissionné contre 614 l'année précèdente. Cela correspond au total, selon le syndicat, à près de 1 500 cheminots qui ont quitté l'entreprise l'an dernier de manière plutôt brutale.

 

(…)

 

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