SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #NAO 2011

Réponse de la direction en rouge, et dernière proposition de la direction à date en vert

Augmentation générale de 130€ minimum, afin de rattraper l'écart entre l'évolution du SMIC et la grille des salaires des usines de Le Meux et de Saint-Vulbas, c'est-à dire 5% mini, mais jusqu'à un salaire maxi de 3000,00€ brut/mois hors ancienneté.

Pas de talon.

Augmentation générale : la direction ne fait aucune proposition !!!

La direction annonce que ce soir elle fera une proposition unique à 1,7% d'augmentation générale si signature, avec d'autres éléments. La parole est aux salariés. A vous d'en discuter avec vos élus sur place. Les négociations ne sont pas finies, mais la marge de manoeuvre est plus que mince.

new_029-copie-1.gifElle précise que peut-être elle proposera un pourcentage différent en fonction des coefficients !!!

Au-dessus de 3000,00€ brut/mois (hors ancienneté) application de l'Indice INSEE

Pas de réponse              

Revalorisation des différentes primes à hauteur de l'Augmentation Générale 5%.

Pas de réponse

Prime de 1000,00€

Prête a discuter d'une prime sous forme d'abondement à l'intéressement.

Participation égalitaire

Hors de question

Mutuelle GMC : Si nouvelle augmentation en 2011, quelle soit prise en charge par la société

La direction est prête à revoir la participation de la part employeur.

Fin de la VARIABLE Paye pour les cadres

Hors de question

Repos compensateur de nuit : 3h/semaine de nuit au lieu de 2h44. Nous exigeons que les collègues en VSD bénéficient du RC de nuit comme les collègues en semaine

NON

Prime de vacances : 1200,00€

En discussion.

Prime de transport :

Inférieur à 20 km : 30,00€

Supérieur à 20 km : 45,00€

Ce point sera regardé par la direction, afin de voir si la règle URSSAF est respectée.

La direction répond que si il devait y avoir une avancée, la prime sera la même pour tout le monde.

Nous revendiquons l'embauche de salariés en contrat intérim ou CDD pour les deux sites de production

La direction répond quelle donne son accord pour la création de postes et l'embauche de salariés, mais dans l'attente du conflit avec FRALIB il n'y en aura pas. Elle va proposée des CDD dans un premier temps.

Concernant les autres revendications :

Complément prime d'ancienneté

                NON

Maintien des primes de nuit lors des absences pour congés

      La direction    va regarder ce point

Majoration de l'heure de nuit pour les équipes d'après-midi (de 21h à 22h)

                La direction répond que les textes du code du travail sont respectés

Abondement intéressement

La direction regardera ce point

Abondement en équivalent jour CET proportionnel à la RSP

NON

Extension de la prime flexibilité au 2ième collège

Point qui sera regardé par la direction

Maintien des primes pendant les congés

La direction est prête à regarder ce point

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #NAO 2011

Aprés une suspension de séance de plus d'1heure, la direction revient avec discours provocateur et son jeu favori comme en 2010 "avec accord et sans accord" avant de répondre aux revendications des organisations syndicales.

Elle recherchera un accord signé, et s'il n'y a pas de signature il y aura d'autres propositions !!!

jeu unilever

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #NAO 2011

Revendications CGT et salariés

Réunion de négociations salariales obligatoires 2011

- Augmentation générale de 130€ minimum, afin de rattraper l'écart entre l'évolution du SMIC et la grille des salaires des usines de Le Meux et de Saint-Vulbas, c'est-à dire 5% mini, mais jusqu'à un salaire maxi de 3000,00€ brut/mois hors ancienneté.

- Au-dessus de 3000,00€ brut/mois (hors ancienneté) application de l'Indice INSEE

- Revalorisation des différentes primes à hauteur de l'Augmentation Générale 5%.

- Prime de 1000,00€

- Participation égalitaire

- Mutuelle GMC : Si nouvelle augmentation en 2011, quelle soit prise en charge par la société

- Fin de la VARIABLE Paye pour les cadres

- Repos compensateur de nuit : 3h/semaine de nuit au lieu de 2h44. Nous exigeons que les collègues en VSD bénéficient du RC de nuit comme les collègues en semaine

- Prime de vacances : 1200,00€

- Prime de transport :

Inférieur à 20 km : 30,00€

Supérieur à 20 km : 45,00€

Nous revendiquons l'embauche de salariés en contrat intérim ou CDD pour les deux sites de production. 

Nous venons de déposer ces revendications à la direction. Maintenant place à la négociation.

 

Pour télécharger la liste des revendications (en dessous)

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

"Mais qui dégage la valeur ajoutée dans une usine ?"

Un clic sur l'image pour le savoir. Bonne réflexion

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Pour avoir l'image en grand, il faut cliquer dessus.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Des infos sur le blog de nos collègues de FRALIB en cliquant sur l'image ci-dessous.

Photo 6 Fredéric SEGURAN Fralib 7.2.2011

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

MotivationAlors que la direction est sans cesse en train de pleurer sur les coûts de production, etc ... elle n'hésite pas à faire appel à des cabinets extérieurs pour soi-disant l'aider dans son recrutement.

Dernièrement pour recruter du personnel en CDD, puisque la direction ne peut pas effectuer de CDI avec le conflit de FRALIB, elle à de nouveau fait appel à ce genre de cabinet.

Le coût de cette prestation n'est pas de 5 ou 10000,00€, mais de plus de 30000,00€ !!! Info des élus Cgt au CE.

Eh oui, les caisses sont vides…

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

"Le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Marseille a rendu sa décision vendredi 4 février 2011"

BAFFEVous pouvez prendre connaissance de l'ordonnance de référé du TGI de Marseille

Partie 1

Partie 2

 

Lire l'intervention en conférence de presse des salariés et élus de FRALIB en cliquant sur l'image ci-dessous. 

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Encore une preuve, qu'avec la CGT et le soutient des salarié tout est possible.


A bientôt.


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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

 

riche-pauvre-pauvrete-copie-1.jpgUnilever annonce des résultats en nette hausse pour 2010, sous l'effet de gains de parts de marché et de son expansion dans les pays émergents.

Le fabricant de produits de grande consommation, qui détient notamment les marques Knorr et Lipton, affiche un bénéfice net annuel de 4,6 milliards d'euros, en hausse de 26%, pour un chiffre d'affaires de 44,3 milliards (+11%) sur l'ensemble de l'exercice.

 La croissance organique de ses volumes s'est établie à +4,1% sur l'exercice. Sur le seul 4ème trimestre, son bénéfice net dépasse un milliard d'euros (+14%) pour un chiffre d'affaires en progression de 12% à 10,8 milliards d'euros.

Face à la remontée des prix des matières premières en fin d'exercice, le groupe anglo-néerlandais a décidé de réduire ses dépenses publicitaires et promotionnelles.

En dépit d'une farouche concurrence et du retour de la volatilité des cours des matières premières, nos objectifs restent les mêmes, à savoir une croissance rentable des volumes sur nos marchés, une amélioration constante et durable de notre marge opérationnelle sous-jacente et un solide cash flow', indique Paul Polman, le directeur général du groupe, en guise de perspectives.

"Eh oui, ce n'est pas la crise pour tout le monde"

CaisseEnregistreuseM 545471

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Pour les collègues du site de Saint-Vulbas, vous pouvez faire parvenir vos revendicatioins par mail (adresse direct en haut du blog), ou en contactant notre Délégué Syndical Central CGT au 0681968949

Voici les documents qui ont été distribués cette semaine afin de préparer au mieux la première réunion de négociations sur les salaires, conditions de travail, emploi, régime de prévoyance, ... qui aura lieu le 10 février. La délégation Cgt sera composée de :

- Frédéric BRIESMALIEN - employé agent logistique

- Monique LECOCQ - Ouvrière conductrice de ligne

- Hugues DEVAUX - ouvrier conducteur de ligne et palettisation en VSD (week-end)

- Didier LEPAYSAN  - Agent de maitrise technicien mécanicien

Vous avez jusqu'au lundi 7 février pour remettre aux élus de la Cgt vos revendications ou les déposer dans l'urne qui se trouve devant la cantine.

La deuxième réunion est prévue le 17 février, des réunions d'infos seront faites par la Cgt même si la direction le refuse.

 

Vous pouvez télécharger le tract qui vous été distribué en cliquant ci-dessous sur l'autruche

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Le tableau mis à jour avec l'augmentation du SMIC au 1er janvier 2011 (en cliquant sur le poulain de la direction)

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A bientôt

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Notre Délégué Syndical Central, Frédéric BRIESMALIEN, s'est rendu sur le site de BOURJOIS Channel de Compiègne afin d'apporter le soutien des élus et syndiqués Cgt du site de Le Meux. Ils sont en grève reconductible depuis ce matin. Se sont prés de 130 salariés qui ont cessé le travail, rien ne rentre et rien ne sort du site de production.

Voici le communiqué de presse du syndicat Cgt.

PDF

Photo prise devant le site ; il fait trés froid, donc les salariés ont décidés d'effectuer des roulements entre "le chaud" et le froid devant l'usine afin de bloquer l'entrée.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

340x.jpg "Oh merci beaucoup pour votre dévouement, votre savoir-faire, vos compétenses, votre implication, ... les petits salariés. J'ai atteint mes objectifs, mais il y a la crise, donc désolé pour le partage, il va falloir encore vous serrez la ceinture un moment, en redoublant d'effort" 

Vous pouvez prendre connaissance de l'entretien de Paul POLMAN, le Pdg d'UNILEVER et ses 393 500,00€, dans le journal du FIGARO en date du 20 janvier 2011. (Un clic sur la photo).

En avant première, le nouveau siège d'UNILEVER en Allemagne, eh oui les caisses sont vides.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

la provence logo

Le CE assignait hier devant le juge des référés au tribunal de grande instance le groupe Unilever.

Me Ghenim, avocat du CE, a rappelé l'obligation de l'employeur de fournir une information de qualité, en vertu du code du travail.

 Me Ghenim, avocat du CE, a rappelé l'obligation de l'employeur de fournir une information de qualité, en vertu du code du travail.

La décision sera prise le 11 février. Le président Vincent Turbeaux prononcera-t-il la nullité du Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) proposé par le groupe Unilever aux 182 salariés de l'usine Fralib, dont il a annoncé la fermeture, ou se déclarera-t-il incompétent ?

Hier matin, Me Catherine Bertholet représentait les intérêts du groupe Unilever au tribunal de grande instance de Marseille, où Me Amine Ghenim défendait les intérêts du comité d'entreprises de Fralib, représenté par son secrétaire, Gérard Cazorla.

L'avocat au barreau de Seine-Saint-Denis, a démontré au fil d'un argumentaire parfaitement maîtrisé, comment aux yeux de son client, la multinationale n'avait pas fourni suffisamment d'informations à l'expert mandaté par le comité d'entreprise pour étudier le projet de fermeture, et surtout pourquoi le PSE proposé était insuffisant.

L'information

Après un rapide résumé de la situation de l'usine, depuis l'annonce de sa fermeture le 28 septembre dernier aux salariés, au motif que "pour Unilever, le site de Gémenos c'est le maillon faible", Me Ghenim démontait la justification économique fournie par le groupe "dire que l'usine de Gémenos ne fournit que 5% de la production et représente 27% des coûts, cela ne signifie rien !"

Tout simplement, expliquait le conseil du CE, parce que l'usine de Gémenos n'est plus une unité classique de production depuis longtemps, mais un simple "prestataire de services", chargé de transformer la matière première fournie par la filiale suisse USCC du groupe, qui est aussi propriétaire des produits finis "dans le cadre d'un contrat de location gérance." Du coup pour apprécier la pertinence du projet de fermeture, l'expert mandaté par le CE aurait dû pouvoir accéder à des informations économiques sur cette filiale, ce qui n'a pas été possible. "Une entreprise nous dit vous n'êtes pas performants en volume, et vous coûtez cher. Nous voulons savoir à quelle hauteur nous avons participé au chiffre d'affaires et au bénéfice du groupe." Pour Me Ghenim, Unilever n'aurait fourni aux salariés que des informations partielles, et partiales, ne permettant pas d'envisager d'autre issue que la fermeture.

Obstruction

Faux, répondait Me Bertholet, énumérant les multiples réunions tenues depuis l'annonce du projet de fermeture, et même avant. L'avocate d'Unilever évoquait même une volonté "d'opposition de principe", "une démarche d'obstruction" systématique, des syndicats, refusant de signer chaque ordre du jour des comités d'entreprise convoqués : "Pourquoi le comité d'entreprise se tire une balle dans le pied ? Le garant des droits des salariés c'est le comité d'entreprise, c'est l'intérêt de son secrétaire de s'impliquer." Quant à l'accès à l'information, le rapport de 300 pages qu'a rendu l'expert de Projexa le 13 décembre prouve bien à ses yeux qu'il n'a pas été entravé. "Si des documents n'ont pas été versés, c'est tout simplement parce qu'on ne les avait pas." Pour M e Bertholet, le bilan formel de la filiale suisse USCC n'existe tout simplement pas.

Aux yeux de l'avocate de toute façon, la fermeture du site de Gémenos "unité la plus petite et la moins compétitive", sur les quatre que compte le groupe en Europe, s'imposait presque d'elle-même, par la décroissance sur le marché des thés et des infusions en France "pays latin plutôt dévolu à la consommation de café." Un argument qui faisait presque sourire l'assistance, pourtant assez tendue, essentiellement composée de salariés de Fralib. Car le coeur des débats portait aussi sur le Plan de sauvegarde de l'emploi, jugé insuffisant par les syndicats. 

Lles indemnités

"L'on peut statuer en référé lorsque le PSE est notoirement insuffisant, c'est le cas", expliquait Me Ghenim, justifiant au passage l'assignation devant le juge des référés, alors que pour son adversaire, cette audience aurait pu être évitée. "Les élus ont travaillé, ils ont comparé ce PSE à celui mis en oeuvre il y a trois ans, les mesures sont moindres." soulignait Me Ghenim, estimant aussi que les indemnités de licenciement étaient "réduites au minimum conventionnel." Quant à l'accord de méthode, qui aurait pu encadrer les négociations concernant le PSE, si les salariés ont refusé de le signer, c'est aussi parce qu'on leur demandait, en contrepartie "de renoncer à toute action judiciaire, collective ou individuelle." Car c'est bien le reproche que fera Me Bertholet au CE : ne pas avoir accepté de signer l'accord de méthode, qui aurait permis l'aménagement de mesures supplémentaires. Et de s'étonner que les salariés s'interrogent sur le contenu du PSE "puisqu'on ne sait pas quelles seront les mesures définitives

Si elle demandait à ce que son adversaire soit débouté, l'avocate d'Unilever appelait, en conclusion, à l'organisation de nouvelles réunions, pour répondre aux questions dont les salariés n'auraient pas eu la réponse, ou ajouter de nouvelles mesures au Plan de sauvegarde de l'emploi. Une suggestion qui faisait sourire la salle. Me Ghenim, lui, espère bien obtenir l'annulation du PSE, la reprise de la procédure, la présentation d'un nouveau PSE, et l'interdiction, dans l'intervalle, du licenciement des salariés.

Marie-Cécile BÉRENGER

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