SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Ils sont maintenant des milliers à Paris, tout autour de l’Assemblée Nationale
A Nantes où ils sont également très nombreux à défiler contre le #PPLSécuritéGlobale, la police gaze
La foule est aussi au rendez-vous à Lyon contre le #PPLSecuriteGlobale

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Refuser l’offensive autoritaire,
pourquoi manifester contre la
loi sécurité globale ?

 

Ce mardi 17 novembre, le texte de loi relatif à la sécurité globale sera examiné à l'Assemblée Nationale. Mais quel est l'objectif d'un tel projet de loi dont la portée liberticide est dénoncée jusque... l'ONU ? En jeu notamment pour l’exécutif : renforcer une institution policière particulièrement délégitimée, pour faire face aux prochaines vagues de contestations sociales.

 

Publié par Le Mantois et Partout aille

Crédit PHOTO GONZALO FUENTES/REUTERS

Dans un entretien donné au Parisien dimanche 15 novembre, Gérald Darmanin a affirmé que le « cancer de la société, c’est le non-respect de l’autorité ». Des mots qui synthétisent plutôt bien ce pourquoi Darmanin a été nommé ministre de l’intérieur en juillet dernier, à savoir : relégitimer une police particulièrement fragilisée et mener la politique ultra-sécuritaire du gouvernement. En ce sens, le premier flic de France et le gouvernement n’ont pas chômé. Loi séparatisme islamophobe visant la communauté musulmane et ses associations, augmentation des moyens alloués à la police et à la répression, loi sécurité globale, loi LPR criminalisant les luttes étudiantes etc.
 
Ce mardi 17 novembre, le texte de loi relatif à la sécurité globale passe en première lecture à l’Assemblée nationale. Cette loi, qui propose notamment d’interdire de filmer des policiers en exercice, entérine un tournant autoritaire de la part de l’État français, palpable depuis maintenant plusieurs années. Dans la continuité de cette loi, dimanche dernier le Ministère de l’Intérieur a publié son « Livre blanc de la sécurité intérieure » dans lequel sont données les futures orientations du gouvernement en matière sécuritaire et qui confirme l’orientation actuelle vers toujours plus de répression.
Dans un article, Mediapart a analysé le contenu de ce rapport. Au programme : surveillance accrue, contrôle de l’information, affermissement idéologique pro-flic, renforcement de l’impunité policière et recours accru aux sociétés de sécurité privée. Ce rapport devrait servir de cadre pour une prochaine loi d’orientation et de programmation de la sécurité intérieure prévue pour 2022 (LOPSI 2022). Ça promet…
 
La loi sécurité globale en étendant les pouvoirs des forces de police, représente une véritable attaque contre les droits démocratiques. Ainsi pour les journalistes notamment, diffuser des images de policiers en exercice pourrait coûter 1 an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. La loi prévoit aussi l’élargissement des prérogatives de la police municipale. Cependant, une large opposition à cette loi s’est faite entendre. Par exemple, pratiquement tous les médias mainstream de BFM au Figaro, en passant par Le Monde, Libération et des chaînes du service public, ont signé une récente tribune contre l’article de la loi qui interdit de filmer les policiers en exercice.
 
Cet agenda ultra-sécuritaire confirme ainsi que ce sera bien par la matraque que le pouvoir en place compte répondre à la profonde crise politique qu’il traverse, sur fond de crise économique accélérée par la crise sanitaire. La dernière séquence introduite par la crise sanitaire n’a fait qu’intensifier les conditions de potentielles explosions sociales. Le premier confinement, qui avait révélé que c’est bien la classe ouvrière et ceux d’en bas qui font tourner la société, avait été particulièrement dur et violent pour les classes populaires, précarisant toujours plus ces dernières. Dans les quartiers populaires ce confinement a impliqué une répression nettement intensifiée et meurtrière. Une dizaine de personnes décédaient des mains de la police. Cette situation avait ainsi débouché sur des débuts de révoltes dans différents quartiers populaires en Île-de-France et dans différentes villes de provinces. Situation qui continue aujourd’hui où les classes populaires continuent de payer durement la facture d’une gestion catastrophique de la crise sanitaire par le gouvernement.
 
A la sortie du premier confinement, un mouvement massif contre le racisme et les violences policières avait éclaté. D’ampleur international, le mouvement mené par le Comité Adama en France avait approfondi la crise de l’institution policière, en dévoilant son caractère fondamentalement raciste et oppressif. En réponse à ce mouvement le gouvernement, Darmanin et Schiappa en tête, contre-attaquait sur un terrain sécuritaire avec comme objectif de renforcer une police déligitimée.
 
Récemment, c’est le corps enseignant ainsi que les lycéens qui ont exprimé leur colère à travers l’organisation de grèves et de blocages contre l’absence de protocole sanitaire dans les établissements scolaires. Une nouvelle fois les lycéens ont fait l’objet d’une répression particulièrement violente où des jeunes de 16 ans avait été matraqués, gazés et embarqué en garde-à-vue. Cette explosion pourrait bien en annoncer d’autres dans un contexte où les attaques contre les travailleurs s’intensifient avec la multiplication de plans sociaux massifs ou de fermeture d’usines comme celle de Bridgestone à Béthune, qui ont déjà détruits plusieurs centaines de millier d’emplois en quelques mois.
 
En ce sens, de nombreux éditorialistes et politologues proches du régime comme Pascal Perrineau, s’inquiètent et craignent, à juste titre, que la dernière séquence introduite par la crise sanitaire ne vienne que renforcer cette crise profonde et débouche sur
une « nouvelle « gilet-jaunisation » de la France ». La stratégie du gouvernement de répondre à cette crise sur un terrain principalement répressif et en attaquant les droits de démocratiques illustre un renforcement répressif préventif ainsi cette peur de futures explosions sociales mais aussi l’incapacité à y faire face autrement.
 
N’ayant plus rien à offrir aux exploités et aux opprimés depuis un moment, les classes dominantes et leur gouvernement sont donc aujourd’hui contraintes de devoir renforcer l’un de leurs principaux pilier : l’appareil répressif et la coercition. Face à ce tournant autoritaire et la multiplication des attaques contre les droits démocratiques, il est impérieux d’organiser une réponse à la hauteur de ces attaques en construisant un rapport de force large par la base, entre les différentes associations ciblées par ces attaques, les organisations de jeunesses et les organisations du mouvement ouvrier. Un rapport de force qui puisse être la base pour imposer une autre réponse à la crise que celle que tente de mettre en place le gouvernement et les capitalistes et qui n’augure que plus de répression et de précarité.

En ce sens nous appelons à venir massivement au rassemblement qui se tiendra devant l’Assemblée Nationale à 18h contre la loi Sécurité Globale.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Le ministre de la police à la police: "souriez, vous ne serez plus filmée"

Gérard Darmanin soutient deux fois plutôt qu'une la proposition de loi des députés-godillots de l'Elysée venant à l'Assemblée nationale ce mardi 17 novembre 2020. Elle est dite loi sur la "sécurité globale". Inquiétante pour la démocratie et les libertés, notamment celle d'informer.

 

Si chacun doit condamner sans aucune réserve les agressions contre les policiers, restreindre la liberté d'informer ternit immanquablement la réputation des forces de l'ordre dit républicain. En effet, l'article 24 de cette proposition de loi interdit la diffusion "malveillante" d'images de policiers et de gendarmes. En clair, sous peine d'amendes et d'emprisonnement, interdiction de filmer des violences policières, à moins de flouter les visages. Bonjour donc à l'identification de ceux qui transgressent la loi républicaine qu'ils doivent pourtant servir envers et contre tout.

Autre cerise sur le gâteau, si j'ose dire, dans ladite proposition de loi: la surveillance généralisée de l'espace public par des drones. Souriez braves gens qui manifestez, vous êtes filmés!

Et poire après le dessert, le transfert de certaines compétences de la police nationale aux policiers municipaux, pire aux officines de sécurité privée.

La Commission nationale consultative des droits de l'Homme, chargée de conseiller l'Elysée et le Parlement, estime que cette proposition de loi redessine de "manière préoccupante les contours d'une nouvelle donne sécuritaire".

On s'en fiche, ont répondu l'Elysée et ses factotums de l'Assemblée nationale.

Cela va dans le bon sens, mais peut mieux faire, a dit le Rassemblement national, ex-FN fondé avec des collaborateurs pétainistes durant l'occupation nazie de la France.

 

Publié par Le Mantois et Partout ailleur

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Video. Grève exemplaire à
Toray contre les licenciements :
soutenez la caisse de grève !

 

Depuis le 18 octobre les salariés de Toray sont en en lutte pour le retrait du plan de « départs volontaires » concernant 29 salariés. La grève se durcit depuis 10 jours, l’usine de Lacq est à l’arrêt complet et une seule des cinq lignes de l’usine d’Abidos fonctionne. De par leur combativité et leur intransigeance dans la défense des conditions de vie et de travail des salariés, la grève des Toray est un exemple à suivre !

 

Aéronautique

Depuis le 18 octobre les salariés de Toray Carbon Fibers Europe (CFE) sont en en lutte pour le retrait du plan de « départs volontaires » concernant 29 salariés. La grève se durcit depuis 10 jours, l’usine de Lacq est à l’arrêt complet et une seule des cinq lignes de l’usine d’Abidos fonctionne. De par leur combativité et leur intransigeance dans la défense des conditions de vie et de travail des salariés, la grève des Toray est un exemple à suivre !

Son exemple et ses enseignements, notamment si leur grève était victorieuse, pourraient marquer un changement dans la dynamique et l’état de esprit des travailleurs du secteur aéronautique et au-delà. Les soutenir en apportant à leur caisse de grève afin qu’ils puissent tenir dans la durée est un enjeu central pour la victoire !

Gaetan Gracia, délégué CGT aux Ateliers de la Haute Garonne et militant au NPA-Révolution Permanente revient sur cette lutte et appelle à soutenir les grévistes !

 



Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Ce samedi 14 novembre à 19h, le Sénat a imposé le retour à des concertations sur la réforme des retraites majoritairement rejetée par la population et par une mobilisation historique notamment des grévistes de la RATP et de la SNCF. C'est lors du vote sur le budget de la Sécurité sociale pour 2021 qu'un amendement surprise intégrant cette réforme des retraites a été voté par les sénateurs de droite, majoritaires au Sénat.

URGENT. Le Sénat remet la réforme des retraites à l’ordre du jour par un amendement surprise

Crédits photos Laurence Cohen.

"Budget de la sécurité sociale : à 19h la majorité de droite du sénat fait rentrer par un amendement la réforme des retraites rejetée par les Français : report de l’âge de départ et allonger la durée des cotisations. Très choquant en pleine crise", explique Laurence Cohen sénatrice PCF.

Comme le relate Public Sénat, "le Sénat a décidé, en séance, de réactiver la conférence de financement sur l’équilibre et le financement des retraites, suspendue au printemps dernier, que le gouvernement souhaitait en parallèle de sa réforme sur un système universel. En cas d’échec de cette conférence des partenaires à formuler des propositions, le rapporteur LR pour la branche vieillesse, René-Paul Savary, a fait adopter par l’hémicycle ses propres remèdes. Tout en concédant que ses amendements n’avaient aucune chance de survivre à la navette parlementaire."

Le site d’information officiel du Sénat ajoute : "Selon ses pistes, il s’agirait à la fois de repousser progressivement l’âge légal de départ à la retraite jusqu’à 63 ans en 2025. Mais aussi d’accélérer l’allongement de la durée de cotisations pour atteindre 43 annuités dès la génération 1965."

L’amendement a été voté par les seuls groupes LR et Union centriste (200 voix pour) selon Public Sénat. "Les groupes de gauche et les sénateurs LREM ont voté contre (118 voix)", tandis que le groupe écologiste n’a pas pris part au vote.

Nous relayons ci-dessous le post de Nantes Révoltés qui récapitule les évènements.

🔨LA RÉFORME DES RETRAITES IMPOSÉE PAR SURPRISE AU SÉNAT

- Les casseurs sont au pouvoir-

Lors du vote sur le budget de la sécurité sociale pour 2021, ce samedi 14 novembre à 19H, les sénateurs droite, majoritaires au sénat et estimant que Macron ne va pas assez vite, ont fait rentrer par un amendement de dernière minute la réforme des retraites massivement rejetée par les Français :

➡️ Report de l’âge de départ à 63 ans
➡️ Allongement de la durée des cotisations à 43 annuités
➡️ Attaque contre les régimes protecteurs
➡️ Etc ...

Une véritable provocation en plein confinement, alors que la liberté de contester est drastiquement réduite, et que la crise sanitaire engendre une crise sociale catastrophique. Une provocation également, car cette réforme avait mis des millions de personnes dans les rues, suscité des mois de grève, et était contestée par l’immense majorité de la population. C’est une accélération : après ce coup de force, il ne reste plus qu’un vote à l’Assemblée avec la majorité En Marche/Le Républicains pour faire passer définitivement la casse des retraites.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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De quoi le macronisme est-il le nom ?

Rédigé par Canaille Lerouge

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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