SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Au siège de Sanofi, les salariés sont désormais « géolocalisés » au moyen d’une puce RFID

Depuis le début du mois d’avril, les 3000 salariés du nouveau site de Sanofi à Gentilly sont équipés d’une puce RFID (Radio Frequency IDentification) qui trace leur moindre mouvement. Officiellement, il ne s’agit que d’optimiser l’occupation de l’espace dans ces nouveaux bâtiments, conçus pour encourager le travail collaboratif. Mais les salariés évoquent un « flicage généralisé » à l’heure où l’entreprise poursuit ses réductions d’effectifs. Des caméras sont installées partout sur le site.

Tous les faits et gestes du personnel sont enregistrés et analysés. Pour évaluer l’utilisation des lieux, selon la direction. « Il ne s’agit pas de suivre les flux mais de gérer de façon simplifiée l’occupation de l’espace, comme la disponibilité des salles de réunion, des bulles, les heures d’affluence aux restaurants d’entreprise », égraine une porte-parole.

Depuis l’été dernier, ce campus arboré et 100% développement durable regroupe les personnels des sièges de Sanofi France et de Sanofi Groupe, ainsi que les unités des affaires industrielles et plusieurs départements de R&D. L’emménagement s’est accompagné de la mise en place de lieux totalement partagés pour encourager le travail collaboratif et la créativité, selon Olivier Brandicourt, le P-DG, qui a inauguré les locaux en juin 2015. Un concept d’open-space nomade qui a signé la fin des bureaux attitrés et individuels. Et a déstabilisé plus d’un collaborateur [au moment où] le groupe pharmaceutique a entamé de nouvelles coupes dans les effectifs. Au final, 615 postes vont être supprimés.

Lire l’intégralité de l’article sur le site de Liaisons sociales.

Les syndicats ont obtenu de la direction de Sanofi que les puces RFID ne soient pas intégrées aux badges eux-mêmes, mais aux porte-badge, ce qui donne davantage d’assurances en termes d’anonymisation des données. Ils ont également empêché l’installation d’une caméra face au local syndical du siège.

La direction de Sanofi se prévaut d’une autorisation officielle de la Commission nationale informatique et libertés (Cnil) pour l’installation de ses équipements, mais les syndicats qui ont demandé à en prendre connaissance « l’attendent toujours ».

OP

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Communiqué de presse CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

Le gouvernement a présenté le 11 avril dernier, des mesures importantes en faveur des jeunes (Aide à la Recherche du Premier Emploi, surcotisation des CDD, amélioration de la rémunération des apprentis, revalorisation des bourses, prolongation du droit aux bourses, création de places en BTS….). Pour les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL ces annonces sont le fruit des fortes mobilisations des jeunes, à l’appel des organisations lycéennes et étudiantes au côté des salariés. Elles répondent aux revendications portées de longue date par les organisations de jeunesse. Les organisations seront particulièrement vigilantes sur la mise en œuvre de ces mesures pour améliorer la formation et l’insertion à l’emploi des jeunes.

Pour autant, le désaccord sur le projet de loi reste entier. Et le 9 avril a permis à des milliers de personnes de toutes catégories sociales n’ayant pu se mobiliser jusqu’ici de s’inscrire dans le mouvement. L’opinion publique soutient cette mobilisation et de nombreuses initiatives se multiplient au niveau local. Le gouvernement doit poursuivre dans la voie du dialogue amorcé avec les organisations de jeunesse. Il doit aussi écouter les organisations de jeunesse et de salariés qui restent toujours opposées à la loi Travail.

Les organisations signataires rappellent une nouvelle fois que les pouvoirs publics doivent garantir le droit à manifester, à se réunir, à s’organiser tout en assurant la sécurité des manifestants.

Depuis plus d’un mois, les étudiant-es, lycéen-nes, salarié-es, privé-es d’emploi et retraité-es sont mobilisés pour exiger le retrait du projet de loi Travail en discussion au parlement. Le droit du travail doit aujourd’hui prendre en compte nombre d’enjeux (évolution technique et technologique, émergence de nouvelles technologies d’information et de communication, du numérique, transition écologique, évolution des besoins de la population...) et en mesurer les transformations induites sur le travail. L’enjeu est offrir des garanties et des droits en conséquence aux salariés des secteurs privé et public.

A terme, cette remise en cause de pans entiers du Code du travail risquerait d’avoir aussi des conséquences sur le statut de la Fonction publique alors que les agents vivent déjà des situations dégradées.

Les organisations syndicales dénoncent l’entêtement du gouvernement à maintenir son projet de loi Travail. Il doit les recevoir et entendre les revendications des salariés : emploi, salaires et pensions, temps de travail, protection sociale, garanties collectives, conditions de travail, égalité professionnelle femme/homme, santé au travail, médecine du travail, formation permettant des créations d’emplois stables et de qualité, droits et libertés syndicales… des propositions porteuses de progrès social et correspondant à la réalité du travail d’aujourd’hui et de demain.

Car dans un contexte de crise aggravé par une politique d’austérité, lutter contre la flexibilité, contre la précarisation des emplois est une nécessité.

Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) appellent l’ensemble des salarié-es, privé-es d’emploi, étudiant-es, lycéen-nes, retraité-es à se mobiliser à nouveau par la grève et à participer massivement aux manifestations le 28 avril prochain.

Dès à présent, elles appellent à l’organisation d’assemblées générales dans les entreprises et administrations pour assurer le succès de cette journée et décider de la poursuite de l’action pour obtenir le retrait de la loi et l’obtention de nouveaux droits.
Elles se saisiront du 1er mai, pour donner à cette journée de solidarité internationale, un caractère particulier en pleine mobilisation contre le projet de
loi Travail.

A Compiègne nous appelons l'ensemble des lycéens, étudiants, salariés du public et du privé, retraités, privés d'emploi et tous ceux qui veulent définitivement voir ce texte disparaître à venir se rassembler le

JEUDI 28 AVRIL 2016 A 10H00

Cours Guynemer

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les marchés émergents deviennent plus «difficiles» pour Unilever

Le producteur des savons Dove et du thé Lipton estime que les pays émergents, où il réalise plus de la moitié de ses ventes, vont devenir plus difficiles cette année, les économies latino-américaines et africaines devant composer avec les conséquences de la baisse des prix des matières premières et du ralentissement de la croissance mondiale.

Unilever a confirmé jeudi son objectif de croissance organique annuel en dépit d'une solide performance au premier trimestre. Le groupe de produits de grande consommation anglo-néerlandais escompte des marchés difficiles, souligne Reuters. Le producteur des savons Dove et du thé Lipton estime que les pays émergents, où il réalise plus de la moitié de ses ventes, vont devenir plus difficiles cette année, les économies latino-américaines et africaines devant composer avec les conséquences de la baisse des prix des matières premières et du ralentissement de la croissance au niveau mondial. «Nous nous attendions à des marchés plus rudes et c'est bien ce que nous avons trouvé», a déclaré à Reuters le directeur financier Graeme Pitkethly.

Unilever a dégagé une croissance organique de 4,7% au premier trimestre 2016, conforme au consensus que le groupe avait lui-même fourni. Les ventes se sont établies à 12,5 milliards d'euros, a indiqué Unilever dans un communiqué, assurant que les taux de change ont eu un impact négatif de plus de 7%. Le chiffre d'affaires en lui-même a diminué de 2% à 12,5 milliards d'euros, conséquence d'effets de change défavorables dans plusieurs pays tels que le Brésil et l'Argentine.

Les ventes ont augmenté de 2,6% en volume, ce qui est mieux que prévu, tandis que les prix ont augmenté de 2%, un pourcentage en revanche en deçà des attentes des analystes. Les ventes sur les marchés émergents se sont inscrites en hausse de 8,3% à 7,2 milliards d'euros, tandis qu'elles ont baissé de 0,3% sur les marchés développés, à 5,3 milliards d'euros. Le groupe a, en outre, attribué la hausse de sa branche de produits de nettoyage par le succès de sa lessive Omo.

«Le premier trimestre montre une bonne prestation en termes de volumes», a affirmé le directeur exécutif du groupe, Paul Polman, cité dans le communiqué relayé par l’AFP. «Nous maintenons notre élan, malgré un durcissement de l'environnement extérieur», a-t-il ajouté, s'inquiétant de la «volatilité» des marchés et de la «fragilité» de la demande. Unilever projette toujours une croissance organique de 3 à 5% cette année, a déclaré le directeur financier, la performance étant entravée par les incertitudes géopolitiques et l'instabilité économique. Le dividende trimestriel est augmenté de 6% à 0,3201 euro par action. Cette dernière a perdu hier 0,4% en Bourse de Londres en début de matinée. 

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les trois anciens présidents de la République coûtent quelque 9,6 millions d'euros par an au budget de l'État, selon une étude d'un député PS

Les trois anciens présidents de la République coûtent quelque 9,6 millions d'euros par an à l'État en dépenses de fonctionnement, personnel et protection, selon une nouvelle évaluation du député PS René Dosière, Valéry Giscard d'Estaing restant le plus coûteux, devant Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac.

"La réponse à ma question écrite au ministère de l'Intérieur sur le coût de la sécurité, longtemps attendue (pendant 17 mois!), permet d'ajuster les calculs que j'avais effectués le 27 janvier 2015 et qui s'élevaient à 6,2 millions", a écrit jeudi sur son blog ce scrutateur des dépenses de l'Etat.

Les dépenses s'élèvent à 3,9 millions par an pour VGE (2,5 en protection, 1,1 en personnel, 0,3 en fonctionnement), 3,3 millions pour Nicolas Sarkozy (1,8 en protection, 1,2 en personnel, 0,3 en fonctionnement), et 2,4 millions pour Jacques Chirac (1,3 en protection, 0,9 en personnel, 0,2 en fonctionnement), a-t-il détaillé. 

Ces calculs, avait précisé René Dosière, ne comprennent pas le traitement mensuel des anciens présidents (environ 6.000 euros), ni la rémunération mensuelle de membre du Conseil constitutionnel (12.000 euros), que VGE est le seul à toucher.

Les anciens présidents bénéficient d'un appartement de fonction meublé au service duquel sont affectés deux personnes. Ils ont droit à deux policiers pour leur protection rapprochée, une voiture de fonction avec deux chauffeurs et sept collaborateurs permanents.

Les dépenses de personnel sont supportées par les ministères mettant à disposition ces collaborateurs.

La surveillance de la propriété de Valéry Giscard d'Estaing à Authon (Loir-et-Cher) par des gendarmes revient à 1,3 million d'euros par an, celle du château de Jacques Chirac à Bity (Corrèze) à 502.407 euros. Nicolas Sarkozy n'a pas de propriété de ce type.

Pour la seule sécurité rapprochée plus celle des domiciles parisiens, assurées par la police nationale et les CRS, Nicolas Sarkozy est l'ancien président qui coûte le plus cher (1,79 million), devant VGE (1,13 million) et Jacques Chirac (800.756 euros).

La garde statique nécessite 6 effectifs par 24 heures. La surveillance du domicile de Jacques Chirac aurait été supprimée depuis juillet 2010, selon les éléments rapportés par le député socialiste.

François Hollande a demandé au Premier président de la Cour des comptes et au vice-président du Conseil d'Etat de lui faire des propositions sur le statut des anciens présidents, a noté René Dosière.

Le statut d'ancien président est réglé "sur la seule base d'une lettre personnelle" en 1985 de Laurent Fabius, alors Premier ministre, à Valéry Giscard d'Estaing, avait rappelé l'élu PS en 2015. 

M. Dosière a déposé auprès du groupe socialiste une proposition de résolution pour "clarifier, préciser et limiter les avantages consentis par la Nation envers ses anciens présidents".

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Le Parlement européen sacrifie l’intérêt général au secret des affaires

par Olivier Petitjean

Il n’y aura pas eu d’« heureuse surprise ». Les députés européens ont adopté hier à un très large majorité la directive sur le secret des affaires, un texte qui risque de rendre la vie beaucoup plus difficile aux lanceurs d’alerte, salariés, journalistes et plus généralement à tous ceux qui s’efforcent d’informer de manière indépendante sur les activités des entreprises.

La mobilisation de la société civile, les pétitions signées par plusieurs centaines de milliers d’Européens et le scandale des Panama Papers, survenu dix jours seulement avant le vote, n’auront pas suffi à dissuader les parlementaires européens d’adopter, en séance plénière à Strasbourg, la directive sur le « secret des affaires ». Sous couvert de lutter contre l’espionnage industriel, celle-ci consacre un principe très général et flou de protection des informations relatives à la vie des entreprises contre toute forme de divulgation publique (lire notre article). En les protégeant ainsi encore un peu plus des regards de la société. « Avec cette directive, le parlement européen a l’inconscience de créer un nouveau droit à l’opacité pour les multinationales et fragilise encore les contre-pouvoirs », s’indigne la coalition européenne d’ONG, de syndicalistes et de journalistes qui a mené la bataille contre ce projet.

Pour justifier leur soutien au texte, les eurodéputés sociaux-démocrates et libéraux déclarent avoir introduit suffisamment de garanties pour les journalistes et les lanceurs d’alerte, et que le projet soumis au vote représentait le meilleur des compromis possible. Il n’en reste pas moins que la directive consacre le principe du secret comme la règle, et le droit à l’information comme l’exception. Les décideurs européens ont refusé d’en circonscrire le champ aux pratiques anticoncurrentielles stricto sensu (l’utilisation des informations protégées à des fins économiques intéressées). Les entreprises auront donc une très grande latitude pour décider quelles informations elles souhaitent garder secrètes. Les protections introduites pour les journalistes et les lanceurs d’alerte ne sont pas automatiques et seront décidées devant les tribunaux. À une journaliste de la BBC qui lui demandait si elle pouvait lui garantir qu’elle ne serait jamais condamnée à cause de cette directive, la rapporteure française du texte, Constance Le Grip (Les Républicains), n’a eu que cette réponse : « Je ne suis pas juge. »

Les eurodéputés verts ont demandé - sans succès - que le vote d’hier au Parlement soit repoussé, afin que la directive sur le secret des affaires soit adoptée en même temps qu’un projet de directive sur la protection des lanceurs d’alerte, qu’ils doivent présenter le 4 mai prochain.

Carence démocratique

Pour la coalition qui a mené la lutte contre ce projet de directive, le vote d’hier symbolise toutes les carences démocratiques de l’Europe, dont savent parfaitement profiter les intérêts économiques : « Cette directive (...) a été élaborée en toute opacité par la commission européenne, à la demande et avec l’aide considérable de quelques multinationales françaises et américaines. (...) Manifestement, les eurodéputés n’ont pas compris les enjeux et les dangers du texte qui leur était soumis. Ce vote, intervenu au pas de charge le lendemain d’un débat expédié en moins d’une heure dans un hémicycle quasi vide, interroge le fonctionnement démocratique de l’Europe et la capacité de ses institutions à défendre l’intérêt général. »

On se souvient que début 2015, il avait été envisagé d’introduire dans la loi Macron de dispositions sur le secret des affaires à la teneur proche de la directive européenne. La proposition avait été abandonnée face à la levée de boucliers de la société civile (lire notre article). Maintenant que les inspirateurs du texte ont eu plus de succès au niveau européen, la bataille va revenir à l’échelle nationale, avec la transposition de la directive dans les législations de chaque pays. Le gouvernement français va-t-il essayer de réintroduire les sanctions pénales exorbitantes (jusqu’à 3 ans de prison et de 375 000 euros d’amende) qui avaient été envisagées l’année dernière ?

La bataille se poursuivra également devant les tribunaux. Le procès du lanceur d’alerte Antoine Deltour et du journaliste français Édouard Perrin, à l’origine des « LuxLeaks » doit s’ouvrir dans quelques jours. Il y a lieu de craindre que ce ne soit pas le dernier.

Olivier Petitjean

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !

Confirmation, pas de démocratie avec François Hollande.
Malgré que les forces de l'ordre sont aux services du peuple dans une démocratie, elles sont belle et bien aux services de Hollande et contre le peuple .
Le commissaire de police de Compiègne nous à donc interdit de manifester et interdit de sono ! ... il a donc fait appel à ses collègues CRS stationnés peu loin de là ...
Autant dire que plus de CRS que de manifestants...

Manifestations dans l'Oise le JEUDI 28 AVRIL 2016

BEAUVAIS : 10 H PLACE JEANNE HACHETTE
COMPIEGNE : 10 H COURS GUYNEMER
MONTATAIRE : 10 H DEVANT LA MAIRIE (parking de GOOS)

Fraternellement
La CGT Compiègne

MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !
MANIFESTATION INTERDITE POUR LA VENUE DU PRESIDENT !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Aujourd'hui, le piquet de grève a débuté dès 9H puis, et puisqu'à midi il n'y avait toujours pas de négo digne de ce nom, les camarades sont allés manifester sous les fenêtres de la sous-préfecture de Compiègne.

Le résultat ? Une délégation CGT a été reçue par le sous-préfet pendant près d'1H30 pour demander une médiation encadrée par la DIRECCTE afin de déboucher sur un accord concernant une augmentation salariale. Le sous-préfet a accepté cette revendication et en effectue la demande officielle de ce pas.

Nous attendons désormais de savoir quand aura lieu cette médiation afin de permettre, enfin, la tenue de réelles négociations.

En attendant d'avoir une date, les camarades ont voté la poursuite du mouvement.
Dès demain matin, ils iront accueillir François Hollande en visite à Compiègne.
La lutte continue, on lâche rien!!!

Fraternellement
La CGT FATP Oise
La CGT Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

La CGT Oise organise un comité d'accueil pour la visite de François Hollande chez Plastic Omnium à Venette.
Le rassemblement est en haut de carrefour proche de (conforama,intersport,orange ect ...) à 9 HEURES 30 demain matin vendredi.

VENEZ NOMBREUX ,TOUS ENSEMBLE

Fraternellement
La CGT Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Aujourd'hui, la bonne nouvelle est tombée!

La DIRECCTE se prononce contre le licenciement de notre DS CGT FAPT Webhelp Compiègne Bélinda Hafir ,elle est réintégrée dès demain.

Au passage, la CGT FAPT Oise et La CGT Compiègne en profite pour remercier l'ensemble des camarades qui ont soutenu Belinda.
Mais bien évidemment, demain, elle sera en grève, avec tous ses collègues pour réclamer une augmentation salariale!

Demain matin, piquet de grève dès 9H puis, si à midi il n'y a pas de négo digne de ce nom, les camarades iront manifester sous les fenêtres de la sous-préfecture de Compiègne.

La lutte continue, on ne lâchera rien !

Fraternellement
La CGT FATP OISE
La CGT Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La Fédération CGT de la Police dénonce une hypocrisie

Le 7 avril, Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière a annoncé que l’Etat allait confier la gestion de son parc de radars embarqués à des sociétés privées, à compter de janvier 2017.

Les motifs de ce choix tiendraient à la sous-utilisation des 319 voitures équipées, qui ne circuleraient qu’une heure par jour, en raison d’effectifs mobilisés sur d’autres missions.

La Fédération CGT de la Police CGT a aussitôt réagit, dénonçant une hypocrisie, en soulignant qu’il était fondamental d’augmenter le recrutement de personnels actifs, techniques et administratifs plutôt que de privilégier une rentabilité financière, qui profiterait au secteur privé, au mépris de la sécurité des personnes.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance du tract.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Des avancées pour les jeunes mais
une détermination intacte contre la loi travail

La CGT ne peut que se satisfaire que la mobilisation continue pour le retrait du projet de loi travail et pour de nouveaux droits.

Elles ont permis aux organisations de jeunesse de pouvoir faire avancer des sujets et revendications que nous partageons.

En effet les annonces faites par Manuel Valls notamment sur :
• la sur taxation des CDD,
• des bourses prolongées de 4 mois après l’obtention du diplôme pour les plus modestes,
• un quota de places en IUT pour les bacheliers des filières technologiques,
• un nombre de place en BTS augmenté,
• et une amélioration de la rémunération des apprentis,

Sont autant de mesures réclamées de longue date par les organisations de jeunesse.

Ces revendications sont aussi partagées par la CGT, comme celles concernant la rémunération des apprentis ou la taxation des CDD à condition qu’elle ne soit pas compensée par de nouveaux cadeaux au patronat qui en annuleraient les effets.

Ces annonces, qui restent à concrétiser, ne modifient en rien la philosophie et le contenu de la loi travail qui demeurent inacceptables.

Elles ne sont pas de nature à éteindre la contestation unitaire et sa dynamique.
L’intersyndicale qui se réunira jeudi soir, analysera le 9 avril et les suites du mouvement pour le retrait du projet de loi travail avec la nouvelle grande prochaine journée nationale de grève et de manifestation du 28 avril 2016.

Gagner le retrait du projet de loi travail, gagner le code du travail du 21ème siècle, c’est aussi permettre à la jeunesse et aux salariés un avenir de progrès social.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

POINT DE LUTTE WEBHELP ! . . .

Aujourd'hui dès 8H30 nous étions une grosse centaine de grévistes.
Sur la journée nous avons eu plus d'une centaine de grévistes.
87 salarié(e)s ont débrayé de sur l'ensemble de la journée, certaine(e)s quelques heures ou uniquement la demi-journée, du coup, s'il est difficile de chiffrer exactement, on peut toutefois, sans hésiter, dire qu'il y avait 20% du personnel en grève. C'est donc une immense satisfaction car il y a eu, ce lundi, deux fois plus de grévistes que vendredi ! Il y avait des grévistes dans 17 des 19 projets du site : énorme !!!

Ils ont décidé de se prendre en main et de refuser la fatalité. En se mobilisant, ils veulent faire changer les choses. Maintenant, ils attendent que leur direction daigne les écouter au lieu d'appeler à la rescousse un huissier et des forces de l'ordre. Nos camarades de Webhelp veulent une augmentation des salaires, ils créent les richesses de cette entreprise, ils veulent donc une meilleure répartition de celle-ci.

Aujourd'hui, chansons et slogans, des concerts de klaxon, des chenilles improvisées au son de "On lâche rien", des actions symboliques (la section CGT a été remettre un sandwich merguez harissa au patron pour montrer qu'elle partageait ses richesses!) ont rythmé la journée. L'aide de l'UL de Compiègne et de la CGT St Gobain, qui ont amené barbec', sono (120 décibels qui ont retenti très forts toute la journée) et camionette, a été primordiale, ils seront encore là demain!

Car demain, les camarades motivés poursuivent leur grève. Ils ont voté cette décision suite à une AG d'une heure durant laquelle ils se sont exprimés sur le fait que si la direction croyait les arrêter et les démoraliser en signant aujourd'hui les NAO avec la CFDT, c'était râpé, demain la lutte continue. La CGT demande l'ouverture de négo sur une seule et unique revendication : Une augmentation de salaire!

Demain, la lutte continue chez Webhelp Compiègne!!!

La CGT FAPT Oise
Jérôme Pottier

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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