SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
AMBROISE CROIZAT, père de la SÉCURITÉ SOCIALE [RETRONEWS]

HOMME POLITIQUE MEMBRE DU PARTI COMMUNISTE, SURNOMMÉ LE « MINISTRE DES TRAVAILLEURS », AMBROISE CROIZAT EST L’HOMME À L’ORIGINE DE LA RETRAITE ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE.

Né à Briançon en 1901 dans une famille de « métallos », Ambroise Croizat s'engage dans l'action syndicale dès 1914, avant de rejoindre le Parti communiste à l'âge de dix-neuf ans pour en devenir le secrétaire général quelques années plus tard.

 

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PAR EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
photo d'illustration

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Une étude de l'Insee révèle que l'espérance de vie dépendrait très fortement du niveau de revenu. Pour un foyer gagnant 1000 euros par mois, une hausse de 100 euros se traduirait par exemple par un gain d'une année d'espérance de vie pour les hommes.

 

On dit souvent que nous sommes tous égaux face à la mort : il semblerait que ce ne soit pas tout à fait le cas. Une étude de l'Insee conduite en France entre 2012 et 2016 révèle en effet que le niveau de revenu serait fortement corrélé à l'espérance de vie. De manière plus concrète : plus on est riche, plus on vit longtemps.

 

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PAR EL DIABLO

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Et comme on pouvait s'y attendre, Gattaz n'aime pas du tout ça; comme si c'était une nouveauté !

SOURCE : Orange.fr

Samedi 10 février, la semaine de 35 heures fêtait ses 20 ans. Le 10 février 1998, les députés ont adopté en première lecture le projet de loi dit d'"orientation et d'incitation à la réduction du temps de travail", porté par la ministre du Travail du Premier ministre Lionel Jospin, Martine Aubry.

Avec ce texte, naissait la semaine de 35 heures. Depuis, le débat sur le maintien ou l'abrogation de cette loi s'invite très régulièrement dans le débat public. Débat relancé, hasard du calendrier, par l'accord sur la semaine de 28 heures de travail conclu mardi 6 février dans la métallurgie allemande.

L'accord trouvé en Allemagne sur la semaine de 28 heures dans la métallurgie n'est "pas transposable en France", a immédiatement réagi le président du Medef Pierre Gattaz, invoquant la spécificité du "miracle économique allemand". L'accord trouvé peut être "un point d'appui" pour "continuer à matraquer sur la nécessité de réduire le temps de travail" en France, a estimé de son côté Frédéric Sanchez, numéro un de la CGT métallurgie. La CGT revendique au niveau national un passage aux 32 heures hebdomadaires.

PAR FSC

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source : facebook
PAR EL DIABLO

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
A l’Assemblée Nationale, personne n’écoute les paroles… [Par François Ruffin]

Le 7 février 2018

Durant tous les débats qui ont eu lieu dans l’hémicycle sur le Burn Out et les 400000 personnes touchées par les troubles psychiques liés au travail, et pas seulement mes prises de paroles, qu’a fait Monsieur Castaner ?

 

Il avait, je le dis sans ironie, des excuses pour ne pas être passionné, jeudi dernier [01/02/2018] par la question du burn-out: il était assigné à cette séance, comme pour une corvée pour lui. A cause de la défaillance de la ministre du travail, Muriel Pénicaud. Et comme je le signalais dans l’hémicycle, c’est plutôt là que réside, sinon le scandale, du moins l’anomalie:

 

“Je regrette l’absence de Muriel Pénicaud alors que cette question l’intéresse au premier chef. Notre débat aurait été sans doute nourri ! J’ai parlé tout à l’heure de négligence dans la société : je considère que la manière dont on traite ce dossier ce matin est une négligence de la part du Gouvernement. Sans vous désobliger, monsieur Castaner, je rappelle que c’est hier soir que vous avez appris que vous devriez défendre la position du Gouvernement sur ce dossier. Or, lorsqu’on compte environ 400 000 troubles psychiques par an liés au travail, je trouve que c’est là une manière négligente de traiter, non pas moi – je m’en fiche bien –, non pas l’Assemblée, mais ce problème de société.”

 

François Ruffin

 

SOURCE :

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SEULE LA LUTTE PAYE et pas les négociations bidon à la mode Macron avalisée par les dirigeants de la CFDT qui ne cessent mensongèrement de promouvoir auprès des travailleurs l'idée que la "concertation", le "dialogue social" seraient porteurs de progrès !

Comme si les choix décisifs n'étaient pas faits à l'avance, la mise en scène consistant à présenter la validation de ces choix par les syndicats d'accompagnement, de soumission comme le résultat de véritables négociations.

La vérité c'est qu'il n'y a plus de grain à moudre comme au temps d'une autre rapport de forces au plan national et international et que l'oligarchie dirigeante d'un système en crise n'a que des reculs sociaux sans fin à proposer aux travailleurs.

RESISTANCE !

 

PAR FSC

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

http://www.octelio.com/img/logos/big/logo_alsa.png

Unilever vient d’annoncer avoir reçu une offre dite ferme de Dr. Oetker pour le rachat de son activité de pâtisserie et de préparation de desserts Alsa pour un montant non révélé. Cette offre est bien entendu soumise aux exigences réglementaires et aux processus de consultation des instances représentatives requis.

 C’est un projet qui s’inscrirait dans le contexte de la stratégie mondiale d’Unilever d’accélérer le processus de création de valeur durable sur le long-terme. Dans ce cadre, il s’avère que la catégorie pâtisserie et préparation pour desserts ne s’inscrit pas au cœur du portefeuille d’Unilever, en constante évolution.

 Nous sommes confiants pour notre part dans le fait que, gérée et soutenue par Dr.Oetker, Alsa, marque fortement ancrée dans la tradition des desserts, serait à même d’exploiter tout son potentiel.

 La marque Alsa a été fondée en 1897 en Lorraine par Emile Moench et grâce à ses équipes, n’a cessé depuis d’innover et de diversifier ses produits. Le savoir-faire et la qualité d’Alsa en font une marque reconnue dans la catégorie des produits pour pâtisserie et préparations pour desserts en France et à l’international. Alsa a rejoint le portefeuille d’Unilever lors de l’acquisition de Bestfoods en 2001. Son site de production est basé à Ludres en Lorraine où l’entreprise emploie 140 personnes, et une équipe au siège. Alsa a aussi conquis sa place dans les cuisines professionnelles avec les produits vendus sous sa marque dans la division Food Solutions.

 En ce qui concerne les activités d’Unilever Food solutions pour le marché RHF, qui commercialise des produits notamment sous les marques Alsa, il n’y aurait aucun changement puisque FS aurait un accord avec Dr. Oetker et nous deviendrions leur agent en France.

 La Direction de Dr. Oetker a déclaré :“ Alsa est une marque dont le savoir-faire et la qualité des produits viendraient pleinement s’intégrer à la gamme de produits Dr.Oetker. Nous serions heureux d’accueillir Alsa dans le Groupe Dr.Oetker. Notre objectif est de poursuivre le développement de la marque en France et à l’international, en s’appuyant sur son savoir-faire et sa capacité d’innovation. »

 Pour l’heure, en tous les cas, il n’y a aucun changement. Nous continuons à mettre en œuvre le plan 2018 agréé avec nos clients et utilisateurs.

 Soyez assurés que nous partagerons avec vous de plus amples informations, en relation avec ce sujet, dès connaissance d’éléments complémentaires.

 Bien à vous

 Bauke

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A propos de Dr.Oetker

Dr.Oetker regroupe de nombreuses sociétés de production et de vente présentes dans 40 pays. Ces sociétés opèrent principalement en Europe de l’Ouest et de l’Est mais également en Amérique du Nord et du Sud, en Afrique, en Asie et en Australie.

 Le Groupe emploie au total 11 640 personnes – dont près de 230 sur les deux sites de production en France.

Dr.Oetker a généré un chiffre d’affaires global s’élevant à 2 414 millions d’euros en 2016.

Fondée par le pharmacien Dr. August Oetker en 1891 dans la ville de Bielefeld, l’entreprise familiale Dr.Oetker est l’un des principaux fabricants de produits à marque de l’industrie alimentaire. Elle commercialise en France près de 120 produits sur trois segments grand public, incluant les produits pour pâtisserie et préparations pour desserts, les produits apéritifs et les pizzas surgelées. Également présente sur le marché des produits pour boulangeries-pâtisseries et glaciers, Dr.Oetker imagine et crée une offre variée et gourmande pour les consommateurs et les professionnels.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Grève générale annoncée par les syndicats d’Air France-KLM

Suite à l’invalidation, en début de semaine dernière, d’un accord approuvé au préalable par la CFDT et le syndicat CFE-CGC, l’opposition syndicale qui représente plus de 50 % des salariés a déposé un préavis pour une journée de grève générale tous les services confondus pour le 22 février prochain.

Crédits photos : afp.com/Kenzo TRIBOUILLARD

Les négociations annuelles obligatoires (NAO) deviennent une épreuve de force pour la direction de la compagnie franco-néerlandaise, Air France-KLM. Dix syndicats représentant tous les corps de métier de la compagnie, pilotes inclus, réclament 6 % d’augmentation générale. Contre une proposition dérisoire de l’entreprise qui avait était accordée par les syndicats CFE-CGC et CFDT, rien d’étonnant pour ces centrales qui, depuis plusieurs années, nous ont habitués à une politique de conciliation et de dialogue avec le patronat.

Sur les dix organisations syndicales mobilisées, nous retrouvons les principales organisations syndicales des pilotes de la compagnie (SNPL, Spaf et Alter) et deux syndicats d’hôtesses et stewards (SNPNC et Unsa-PNC). Mais aussi cinq autres organisations qui travaillent au sol (CGT, FO, SUD, CFTC et SNGAF). Ces syndicats ont fait peser leur poids en tant que syndicats majoritaires pour faire valoir leur droit d’opposition pour enfin bloquer l’accord validé par CFE-CGC et la CFDT.

Ce qui a pris au dépourvu la direction c’est le refus en bloc de cet accord par le reste des syndicats représentant la majorité des travailleurs et le refus catégorique de la proposition de la part d’Air France-KLM, qui consistait en une augmentation de 0,6 % au mois d’avril et de 0,4 % au mois d’octobre, avec une enveloppe de 1,4 % d’augmentations individuelles mais seulement pour les agents au sol et une revalorisation des indemnités de déplacement.

Gel des salaires depuis 2011

Les travailleurs d’Air France ont subi un gel des salaires depuis sept ans. “Au titre de l‘inflation perdue (2012-2018), nous demandons une augmentation générale des salaires de 6%”, indiquent ces syndicats en appelant l’ensemble du personnel Air France “tous secteurs et tous métiers confondus”, à une journée de grève générale le jeudi 22 Février.

Ce gel des salaires, auquel s’ajoute des restructurations et suppressions de postes, a permis à l’entreprise de réussir par exemple dans l’année 2017 un résultat opérationnel qui est proche de 1,5 milliards d’euros, mais aussi un record en termes de trafic avec 93,4 millions de passagers ce qui signifie une hausse de 5,6 %. Ces résultats sont favorisés par une légère reprise dynamique et aussi le bas coût du baril de pétrole. Et il ne faut pas négliger la croissance de la compagnie low-coast d’Air France-KLM, Transavia qui a accru son activité de 11,2 %.

Des familles brisées, des chemises en lambeaux

La scène est toujours dans notre mémoire, le directeur de ressources humaines d’Air France, Xavier Brocheta, chemise en lambeaux, en train de fuir les salariés de la compagnie. Les salariés manifestaient contre un projet de restructuration qui visait à supprimer 2900 emplois pour améliorer la « compétitivité » de l’entreprise. Deux années plus tard, l’entreprise a enfin retrouvé « ses comptes » à force de suppressions d’emplois, de gels de salaires et d’augmentation des tâches de chaque salarié. C’est de cette façon que les capitalistes puisent leurs bénéfices, en profitant du malheur de milliers de familles brisées par des licenciements ou par un salaire de misère pour ceux qui ont eu la chance de ne pas être dans le « collimateur » de la direction.

La grève générale du 22 février est un premier pas en avant pour freiner la spirale de licenciements et le gel de salaires qui frappe tous les travailleurs. L’exemple des employés d’Air France-KLM est un pas en avant pour la convergence de tous les secteurs du transport aérien, et doit être suivi en dépassant toute logique corporatiste imposée par les directions syndicales et d’entreprise. Parce que le manque de personnel et les bas salaires se font ressentir autant chez Air France que chez Ryanair et d’autres entreprises du domaine du transport aérien, mais aussi chez les contrôleurs aériens et les employés de services à l’intérieur des aéroports.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
En plus de leurs indemnités, les députés vont avoir 900€ par mois en plus pour se loger à Paris

Nouvelle décision de l’Assemblée Nationale pour améliorer les « conditions de vie » des députés : allouer à certains d’entre eux une enveloppe de 900€ par mois pour qu’ils puissent se loger à Paris. Une solution pour mettre fin … à la précarité !

Les voies de la moralisation de la vie publique sont impénétrables. C’est en tout cas ce que l’on pourrait penser quand on prend connaissance des dernières décisions de l’Assemblée Nationale. En effet, mercredi 7 février dernier, les députés ont décidé de donner aux députés qui n’ont pas de bureau « avec possibilité de couchage » (c’est à dire un bureau sans lit) une enveloppe de 900 euros par mois pour louer un pied à terre à Paris. Si les députés de la région parisienne sont évidemment exclus de la réforme, cela pourrait concerner près de 220 députés. En effet, en plus des bureaux équipés, l’Assemblée dispose d’un hôtel avec une cinquantaine de chambres pour loger les députés en déplacement. Reste 220 députés à loger. Du moins hypothétiquement, car entre 2012 et 2016, le taux moyen de présence à l’Assemblée, mesuré lors des votes, était de 23 %. Soit 3 députés sur 4 qui ne se déplacent pas pour les votes.

Dans ces conditions, l’allocation d’une énième enveloppe pour les députés revient tout simplement à augmenter leurs rémunérations, déjà pharamineuse au regard du salaire moyen des salariés français. En effet, en plus des 7100€ brut par mois de traitement, les députés ont une indemnité représentative de frais de mandat de 5570€ brut. Ajoutez à cela 900€ d’« APL parlementaire », on atteint près de 13500€ à la disposition des « représentants de la Nation » chaque mois !

Au delà du salaire déjà énorme dilapidé par les députés, il faut comparer ce qui apparaît comme une APL parlementaire au maximum que peut percevoir le tout-à-chacun avec des Aides Personnalisées au Logement, dont le plafond est autour de 400€. Soit moins que la moitié que la nouvelle enveloppe des grabataires du palais Bourbon. Vous parliez de moralisation de la vie politique ?

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La politique de Macron : la plus terrible attaque contre nos salaires de toute notre histoire [Par Gérard Filoche]

Par Gérard Filoche

En plus des ordonnances pour la casse d'un siècle de droit du travail, Macron, confirmant sa majorité, prépare la plus terrible attaque contre nos salaires de toute l'histoire de notre pays.

 

Du jamais vu.

 

Il va supprimer le salaire brut.

 

Ce n'est pas une politique "du centre" c'est une politique à la Margaret Thatcher qui menace.

 

Les grands médias des 9 milliardaires font mine de nier ou déforment la réalité : comme si seul comptait le salaire net en bas de la feuille de paie.

 

Mais non, c'est le salaire brut qui compte !

 

Réexpliquons-le à nos concitoyens car le pouvoir cherche à supprimer les feuilles de paie papier et à les "simplifier" pour ne pas qu'on voit la manœuvre.

 

Le salaire net c'est pour payer la force de travail.

Le salaire brut c'est pour payer la reproduction de la force de travail.

Le salaire net on vit avec au mois le mois

Le salaire brut on vit avec tout au long de la vie.

Le salaire net vous permet de consommer et de vivre quotidiennement.

Le salaire brut vous permet de faire face à tous les aléas de la vie, quand vous avez besoin de logement, quand vous êtes en charge de famille, quand vous êtes malades, quand vous avez un accident du travail ou une maladie professionnelle, quand vous êtes au chômage, et quand vous êtes en retraite.

 

Les cotisations ne sont pas des impôts, elles sont obligatoirement pré-affectées à ce pourquoi elles sont collectées, elles ne vont pas aux caisses publiques, car les différentes caisses de Sécurité sociale sont de droit privé (et devraient être gérées par les cotisants, les représentants des salariés normalement élus comme cela l'était à l'origine de la "Sécu". Allez revoir le film "La sociale" de Gilles Perret).

 

Le salaire brut ce n'est pas une "charge" comme ils le disent, c'est un bonheur.

 

C'est une partie du salaire mutualisée et redistribuée à chacun selon ses besoins, c'est ce qu'il y a de plus beau dans notre pays.

 

Le salaire brut vous est redonné en "temps différé" quand vous êtes malades, en "temps indirect" pour le logement, mais aussi en "temps réel" quand vous êtes en retraite (car dans ce cas il va en direct, de ceux qui travaillent à ceux qui sont en retraite, la retraite par répartition n'est pas une épargne !).

 

C'est le capital, l'actionnaire, l'employeur qui paient votre protection sociale, le salaire brut, chaque mois, en même temps que votre salaire.

 

Macron a déjà supprimé les cotisations familiales, il a baissé les cotisations parfois jusqu'à 1,6 ou 1,9 fois le smic. Là, il supprime et remplace tout par l'impôt.

 

C'est nous, par nos impôts, qui paieront dorénavant à la place de notre patron. Un hold-up de 470 milliards contre nous ! Un cadeau géant de 470 milliards pour le Medef.

 

Pour tenter de masquer ça, ils vont augmenter de quelques euros votre salaire net mais baisser de centaines d'euros votre salaire brut.

 

Ils baissent le haut de la feuille de paie en faisant croire qu'ils augmentent le bas de celle-ci. C'est un coup de bonneteau.

 

Et c'est pourquoi Macron diffère le prélèvement de l'impôt à la source initialement prévu fin janvier 2018, purement pour manipuler, cacher cette énorme arnaque.

 

SOURCE:

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

La CGT a décliné l'invitation du Premier ministre à la réunion conclusive sur l'apprentissage prévue vendredi 9 février, le même jour que la négociation interprofessionnelle en cours.

Cette opération de communication gouvernementale percute, en effet, de plein fouet la liberté de négocier puisque le Premier ministre compte, par une conférence de presse, rendre des arbitrages alors que l'avenir de l'apprentissage est à l'ordre du jour de la négociation.

Le texte patronal a d'ailleurs été retoqué par les organisations syndicales qui ont demandé au patronat de revoir sa copie.

Si le gouvernement voulait faire pression pour appuyer les régressions patronales il ne s'y prendrait pas autrement !

La CGT est une organisation syndicale responsable et ne veut pas servir d'alibi pour que le gouvernement s'appuie sur un consensus qui n'existe pas à l'issue de la concertation apprentissage menée par Sylvie Brunet sous l'égide de France Stratégie.

Au contraire, la CGT fidèle à sa démarche d'aller chercher en négociation des conquêtes sociales, va s'assoir à la table de négociation vendredi 9 février 2018 pour faire gagner les jeunes, les travailleurs et les privés d'emploi.

Elle portera le renforcement du droit à congé rémunéré de reconversion et d'évolution professionnelle qu'est le CIF, l'amélioration de l'accès de toutes et tous à une formation continue qualifiante et la garantie d'un renforcement de la formation initiale professionnelle scolaire, universitaire et par apprentissage.

Montreuil, le 8 février 2018

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SOURCE : le site de la CFDT 

Première réaction d'Yvan Ricordeau, secrétaire national de la CFDT, à la sortie de Matignon

 

   

« La moitié des mesures annoncées visent à améliorer le statut de l’apprenti » se réjouit la CFDT qui a poussé dans ce sens tout au long de la concertation qui s’est achevée le 30 janvier. Si la revalorisation des grilles de rémunération - augmentation de 30 euros nets pour les jeunes apprentis de 16 à 20 ans, rémunération au moins égale au Smic pour les jeunes de plus de 26 ans - et l’aide de 500 euros aux apprentis de plus de 18 ans pour passer le permis de conduire sont des mesures satisfaisantes, « il sera indispensable de les compléter par un pack d’aides au logement, au transport et à l’achat de matériel », précise la CFDT. Autre nouveauté, l’embauche des apprentis pourra se faire tout au long de l’année scolaire et l’apprentissage sera ouvert aux jeunes jusqu’à 30 ans.

PAR FSC

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Une illustration de l'affrontement de classe au plan international et de l'intervention de l'état impérialiste en chef dans le champ syndical visant à entraver l'influence grandissante du syndicalisme international de classe incarné par la FSM et son secrétaire général Georges Mavrikos.

Les ressorts de la guerre froide ne sont pas derrière nous!

Un cuisant démenti au récent dénigrement de la FSM de la part de l'ex dirigeant de la fédération CFDT des finances Jean-Marie Pernot inquiet de l'attrait de la FSM en particulier au sein de la CGT : La FSM existe, elle progresse, elle attire et elle inquiète fortement tous les tenants d'un syndicalisme d'accompagnement du capitalisme et des guerres d'agression occidentales semeuses de chaos!

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En tant que Fédération Syndicale Mondiale, nous dénonçons le gouvernement des États-Unis qui a refusé de délivrer un visa d’entrée aux États-Unis au Secrétaire Général de la FSM, George Mavrikos.

Le Secrétaire Général de la FSM a prévu une visite aux États-Unis en mars 2018 pour assister à un événement des Nations Unies à New York, où il est représentant permanent de la FSM, et pour participer en tant que orateur principal à la réunion annuelle des Organisations Syndicales membres et amis de la FSM qui se déroulera le même mois à Los Angeles, États-Unis.

Nous avons suivi la procédure de l’ESTA mais malheureusement la réponse persistante des autorités étatiques compétentes des États-Unis était négative.

Cette position du Département d’Etat américain est antidémocratique et vise à empêcher l’action syndicale libre et le renforcement du mouvement syndical militant des travailleurs aux Etats-Unis. En même temps, c’est une discrimination intentionnelle contre la FSM et contre son droit à remplir son rôle au sein des Nations Unies, un rôle qu’elle a depuis 1945. Les gouvernements des États-Unis n’aiment pas la ferme ligne anti-impérialiste, antimonopoliste de la FSM et ils croient que, par des interdictions antidémocratiques, ils mettront un terme à notre action internationaliste en faveur des peuples luttant pour décider par eux-mêmes, de manière libre et démocratique, de leur présent et de leur avenir. Mais ils n’y parviendront jamais, peu importe combien de discriminations anti-démocratiques et racistes ils font contre le mouvement syndical international.

Nous avons également adressé à l’ambassade des États-Unis à Athènes sans recevoir une réponse positive.

Le Ministre des Affaires Étrangères de Grèce a également été informé, mais le gouvernement de coalition de SYRIZA et d’ANEL de l’extrême droite, ni veut ni peut assurer le droit de libre circulation des citoyens de la Grèce aux États-Unis.

En même temps, des Organisations Syndicales aux États-Unis ont envoyé une lettre de protestation au Secrétaire d’État américain, M. Tillerson, mais jusqu’à présent aucune solution n’a été trouvée.

La réponse des autorités compétentes des États-Unis à toutes ces actions légales auxquelles nous avons procédé pour la délivrance de visa, était que nous devions solliciter d’être exonérés du « Terrorist Travel System ».

Ces actions sont provocatrices et inacceptables. La FSM est une organisation syndicale internationale massive de classe, avec 92 millions de membres dans 126 pays du monde. Depuis sa fondation, en octobre 1945 jusqu’à aujourd’hui, son histoire est publique et bien connue. Il n’a jamais été servile envers les impérialistes ou les multinationales. Maintenant elle ne vendra pas non plus son histoire.

En même temps, l’interdiction d’entrée du Secrétaire Général de la FSM aux États-Unis soulève une autre question. Comment les organisations internationales peuvent-elles opérer aux États-Unis, puisque leur gouvernement établit de façon arbitraire des règles antidémocratiques et des restrictions arbitraires en matière de délivrance de visas? Nous attendons avec intérêt la position des services compétents des Nations Unies sur ce sujet, puisque les Etats-Unis interdisent l’entrée du représentant légal de la FSM dans le pays où se trouve le Siège des Nations Unies.

Sur la base de cette situation, nous demandons qu’un visa légal soit accordé au Secrétaire Général de la FSM et que toutes ces discriminations contre les cadres de la FSM s’arrêtent.

Nous assurons les travailleurs des États-Unis que, quelles que soient les difficultés et les obstacles, la FSM sera à leurs côtés dans leurs justes luttes. L’internationalisme et la solidarité sont les armes invincibles des travailleurs et des peuples.

LE SECRÉTARIAT

PAR FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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