SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
VIDEO. Le Havre bloqué ! Comment durcir le mouvement ?

Pour la journée de mobilisation de ce mardi 7 février, les syndicats du Havre organisaient une opération blocage des sites industrielles et du port. Révolution Permanente était sur place ! Reportage à retrouver en vidéo.

7 février

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
RETRAITES – Attention, énorme ARNAQUE : la pension à 1200 euros brut minimum ne concerne que… 0,002% des salariés !

Pas de pension retraite en dessous de 1200 euros brut ? Les macronistes sont très fiers de pouvoir l’annoncer. Sauf que… c’est une énorme douille, il n’y a rien derrière. Premièrement, c’était déjà dans la loi depuis 2003, il suffisait de l’appliquer. Surtout, c’est pour une carrière complète au SMIC. Donc cela ne concerne que 0,002% des salariés. C’est ça le progrès pour Macron : voler deux années à tous les travailleurs et travailleuses du pays, en moyenne 36 210 euros par personne, et augmenter de moins de 100 euros une personne sur 50 000. Et après il s’étonne que 93 % des Français rejettent son projet.

Équilibre, justice, progrès : derrière un membre du gouvernement Macron, ces mots sonnent faux

Mardi 10 janvier. Derrière la Première ministre qui présente le projet de retraite à 64 ans, trois mots trônent : équilibre, justice, progrès. Design sobre, léché. Ça pour le service marketing, il y a du budget en macronie. Plus que pour financer de la protection sociale visiblement. L’histoire ne dit pas si le cabinet McKinsey a été mis à contribution pour trouver ce perfide slogan.

Ces mots sont ce qu’on appelle des concepts mobilisateurs en rhétorique. Dans le langage courant on dit : des mots creux. Des mots qui sonnent bien, super sympa en apparence. Mais en fait, suivant qui les utilise, cela prend un sens ou le contraire. Depuis 2017 et sa Révolution, c’est devenu la marque déposée des discours de Macron.

POURSUIVRE LA LECTURE :

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Olivier Dussopt, ministre du Travail et de la retraite sauce Macron a "toute la confiance de Matignon", sous-entendu du locataire actuel de l'Elysée

capture d'écran

Normal, pourrait-on entendre à la téloche, le ministre de la Justice est renvoyé devant la Cour de justice de la République et le secrétaire général de la présidence de la République est mis en examen pour prise illégale d'intérêts.

Mais pour en revenir à l'excellent ex-député socialiste Olivier Dussopt, adoubé ministre du travail par qui vous savez, le Parquet national financier le soupçonne de favoritisme dans une affaire de marché truqué.

J'ai dit excellent à l'encontre du ministre de la réforme des retraites à la sauce Macron, non pour obtenir une breloque sur mon veston, que je n'ai pas d'ailleurs.

Mais l'excellent député socialiste qu'il était, déclarait en 2010, contre la réforme Sarkozy des retraites de 60 à 62 ans: « Cette volonté est doublement injuste. D'une part, elle écarte d'emblée la recherche d'autres recettes, notamment la mise à contribution de l'ensemble des revenus et en particulier de ceux issus du capital. [...] D'autre part, [...] à la précarité et au taux de chômage historique qu'ils connaissent, vous allez ajouter l'infliction d'une double peine aux moins de trente ans en éloignant toujours plus le moment de leur départ en retraite".

Excellent non ?

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Tous mobilisés pour nos retraites

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

RAPPEL :

La Loi de Prorammation Militaire (LPM) de Macron pour la période 2024-2030 prévoit l'emploi de 413 milliards d'euros : le DOUBLE du budget de la période  2014-2017.

Tandis que les prix flambent, que l'hôpital est à l'agonie, que les services publics de manière gégérale sont sacrifiés, que les pauvres s'appauvrissent, que les sans domiciles sont légion ...

Télécharger RETRAITES_CHARS

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

REPRIS de COmmun Commune

SOURCE : Ou va la CGT ?

http://ouvalacgt.over-blog.com/2023/01/la-penibilite-dans-la-reforme-macron-une-enorme-mauvaise-blague.html

 

 

On savait depuis longtemps que Macron n’aime pas le mot « pénibilité », depuis une fameuse déclaration le 3 octobre 2019 : « Je n’adore pas le mot pénibilité, car ça donne le sentiment que le travail serait pénible », déclaration qui avait d’ailleurs fait un tollé à l’époque.

Macron a bien travaillé, le mot pénibilité n’apparaît pas dans le projet gouvernemental, on ne parle que d’usure professionnelle.

Après la régression de 2017 (voir notre article de l’époque « La pénibilité, Macron et la CGT »), le gouvernement Macron cherche à faire croire qu’il se préoccupe des prolétaires, de leur santé, des conditions de travail.

 Et bien voici le détail de ce qu’il y a dans le projet de loi, tel que trouvé sur le site du Ministère du Travail, c’est-à-dire sans intermédiaire, sans interprétation :

RETRAITES - La PÉNIBILITÉ dans la réforme Macron : une énorme mauvaise blague

Sur les carrières longues, tout a été dit, et le texte est d’une hypocrisie sans nom. Les anciens qui ont commencé très jeunes partiront bien plus tard, et les inaptes, invalides, malades professionnels devront travailler (ou plutôt chômer…) deux ans de plus. On rappelle (voir un article précédent « Usure prématurée, carrières incomplètes, les vrais enjeux des retraites ») que le taux d’emploi des 60-64 ans est de 35% seulement – tous métiers confondus. Pour les ouvrier.e.s de la construction, de l’agro-alimentaire, du nettoyage ou de l’automobile, on doit approcher le 0%. Les chiffres sont tenaces, surtout lorsqu’ils proviennent des services mêmes de l’Etat !

 

Sur la pénibilité, RIEN. Trois volets :

Tous les articles de ce blog sur la pénibilité et la souffrance au travail, ICI.
On y retrouvera la cinquantaine d'articles écrits sur ce sujet depuis 2007, au fil des attaques successives de tous les gouvernements

-    Amélioration du Compte Professionnel de Prévention (C2P), sans vraiment de précisions sur « plus de droits ». Sachant qu’aujourd’hui, il ne concerne que quelques milliers de personnes par an (entre 3000 et 12000 selon les sources) qui l’utilisent pour partir plus tôt. Le texte gouvernemental parle de plus de 60 000 personnes supplémentaires « couvertes par le C2P », mais cette formule plus que vague n’entraîne pas du tout qu’il y aura plus de bénéficiaires d’une préretraite pénibilité !

Ensuite on parle de congé de reconversion pour pouvoir changer de métier, la belle blague. Chacun.e sait très bien que quand on est cassé au travail, aucun patron n’envisage, même de très loin, un reclassement ou une reconversion. Pour mémoire dans les années 60/70, dans toutes les usines il y avait des postes réservés dans ce sens : vigiles, huissiers, cantine, postes administratifs allégés etc. Tous ces postes ont disparu, guerre économique et rentabilité oblige. Les fonctions ont soit carrément disparu, absorbées dans d’autres postes ou par l’informatique, soit sous-traitées pour coûter moins cher. On notera que cette option bidon « reconversion » existait déjà dans la loi de 2014… (voir « Décrets pénibilité : où en est-on exactement ? »). Et qu’apparemment, neuf ans plus tard on la ressort du chapeau comme une nouveauté… Ca a dû bien marcher durant ces neuf ans !

L'occasion de rappeler que la France est le pays où la productivité instantanée du travail, la vraie source de pénibilité, est une des plus élevée au monde, même les économistes du journal patronal Les Echos sont obligés de le reconnaître.

-    Prévention et reconversion, précisément sur les trois critères qui ont été retirés de la pénibilité en 2017, lol ! Mais rien pour les travailleurs concernés. Et pas un mot sur les risques chimiques.

-    Et cerise sur le gâteau, « suivi médical renforcé » des salariés « exerçant des métiers identifiés comme exposés à la pénibilité ». Seule chose intéressante dans la formulation : la reconnaissance implicite du caractère collectif de la pénibilité de certains métiers. Mais solution individuelle à ce problème collectif, « suivi médical renforcé » pouvant déboucher sur une inaptitude et donc à un départ à 62 ans. Au lieu de reconnaître socialement, économiquement et collectivement la pénibilité de certains métiers et de certaines entreprises, on individualise médicalement le suivi, en rejetant la responsabilité de la décision sur les médecins. Déjà, quand on connaît le côté larbin des médecins du travail salariés par les grandes entreprises, on peut déjà imaginer le pire. Et ça escamote la responsabilité du mode de production en tant quel tel, les choix techniques, organisationnels complètement destructeurs pour les travailleurs : le travail de nuit et les horaires décalés, le travail à la chaîne et au rendement, tous les facteurs de pénibilité donc qui ne sont pas des excès que l’on pourrait corriger, mais des conséquences de la course à la productivité dans la guerre économique mondialisée.

 

Le gouvernement, sur la défensive vu le rejet massif de la retraite des morts, nous promet des améliorations lors du débat parlementaire. Comment y croire une seule seconde ? Quand nous ferons, comme nous l’avons fait en 2014, le bilan des décrets parus, nous n’aurons que nos yeux pour pleurer.

 

Jeudi 19, nous avons donné un vrai coup de semonce au gouvernement. Demain, mardi 31, nous en donnerons un deuxième, c’est l’évidence. Mais il va falloir frapper plus fort, de manière organisée pour des objectifs précis et partagés par tous.

 

Sur ce blog, nous avançons depuis longtemps plusieurs mots d’ordre :

  • Non à la retraite des morts, Retraite à 55 ans, les flics l’ont bien entre 52 et 57 ans !
  • Reconnaissance collective de métiers et entreprises pénibles, comme pour l’amiante !
  • Tiers-temps pénibilité, un an de pré-retraite pour trois ans de travail pénible, comme pour l’amiante !
  • Contre la précarité, les carrières incomplètes, aucune condition de trimestres !
  • Pension minimale à 1500€ (net…), 4500€ maximum.
  • Un seul régime de retraites, intégration des retraites complémentaires dans le régime général
  • Fin du paritarisme, source de corruption et de bonne gestion capitaliste – un article du Canard Enchaîné du 25 janvier vient de mettre à nu la gestion paritaire de l’ARRCO-AGIRC, et c’est pas triste… (voir ICI)

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Voilà à quoi mène la politique de Macron. Défendons les intérêts de notre classe, celle des travailleurs et non des riches !

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NON À LA RÉPRESSION SYNDICALE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Au lendemain d'une journée de colère populaire, contre la réforme du système de retraites, réforme qui priverait chaque salarié du bénéfice de deux années  de repos bien gagné, le moment ne serait-il pas venu de s'interroger sur les conditions misérables  dans lesquelles des millions de retraités vivent leur quotidien, après une vie d'activité, souvent précaire?

Posons-nous la question : la seconde vie de repos après celle passée au travail, doit-elle se poursuivre en aggravant encore plus ses conditions d'existence ?

Car combien de millions de retraités sont-ils aujourd'hui, avec leurs pensions, à même de pouvoir à la fois, se chauffer, s'éclairer et se nourrir normalement, tout en payant les charges d'un loyer, pour eux, exorbitant ?

Pensons aux personnes seules, souvent veufs ou veuves, avec les maigres moyens de leur seule retraite ?

Ne serait- pas venu le temps de légiférer pour faire en sorte que le montant des pensions servies permette à chacun de vivre normalement dans un pays comme la France ?

À cette interrogation, Macron et son clan font dire par leurs médias obéissants que ces mesures feraient exploser les caisses des retraites, et que le budget national n'y suffirait pas, avec l'endettement qui pèse sur nos finances.

Pourtant, le président de la République annonce un budget des armées de 413 milliards d'euros, de l'an prochain à 2030. 

413 milliards pour l'OTAN et combien pour les rémunérations ?

Dès aujourd'hui, les ressources nouvelles pourraient être trouvées en réformant le Code des impôts.

Ne dit-on pas, pour s'en réjouir, dans les médias patronaux, que l'activité du luxe était devenue l'industrie la plus rentable dans la France d'aujourd'hui, et que partant, son grand patron Bernard Arnault, pouvait de flatter d'être l'homme le plus riche du monde, avec une fortune qui égale le budget recette de la France...

Lui et les capitaines d'industrie, les administrateurs des sociétés du CAC 40, bénéficiaires de rémunérations millionnaires et de montagnes de dividendes, accumulent des fortunes à faire pâlir Ali Baba et sa caverne merveilleuse.

Sans parler de la clientèle attitrée de Givenchy, de Louis Vuitton et de Dior, les habitués de l'hôtel Ritz, des yachts et des jets privés, tous ces gens riches à milliards, pourraient payer de quoi satisfaire les victimes des bas salaires et des pensions de misère...

Pas en payant seulement des tranches d'impôts supplémentaires, mais en faisant en sorte, par exemple, que ceux qui touchent un SMIC par jour ou davantage, se voient régler au fisc la totalité du surplus de revenus excédant une somme déjà rondelette de, par exemple, trente fois le SMIC, celui-ci étant confortablement relevé pour les salariés et les retraités et garanti par une échelle mobile.

Car ce qui compte, c'est ce qui vous reste après impôts, pour vivre dignement.

N'est-ce pas là le combat des syndicats ?

JEAN LÉVY

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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