SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Réforme des retraites : les syndicats prêts à

« mettre la France à l’arrêt » le 7 mars

Lors d'une conférence de presse, les syndicats se sont dits prêts à « mettre la France à l'arrêt» le 7 mars si l'exécutif restait sourd aux mobilisations de la rue contre la réforme des retraites, alors que se déroule une quatrième journée d'action.

Les huit principaux syndicats français se sont dits prêts ce 11 février à « mettre la France à l'arrêt dans tous les secteurs le 7 mars» si le gouvernement et le Parlement «restent sourds» à la mobilisation contre la réforme des retraites.

Alors qu'une quatrième journée de manifestations est en cours, les syndicats ont confirmé lors d'une conférence de presse leur appel à un cinquième acte le 16 février, demandant à l'exécutif de « retirer son projet de loi » et aux parlementaires de « rejeter massivement ce texte».

« Si malgré tout, [ils] restaient sourds à la contestation populaire, l'intersyndicale appellerait [...] à durcir le mouvement en mettant la France à l'arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain», ont prévenu les huit organisations, dans un communiqué lu par le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot.

La date du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, est également envisagée « pour mettre en évidence l'injustice sociale majeure de cette réforme envers les femmes».

Pour le leader de la CGT, Philippe Martinez, «la balle est dans le camp du président de la République et du gouvernement pour savoir s'il faut que le mouvement s'amplifie, se durcisse ou s'ils prennent en compte les mobilisations actuelles ».

Le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, estime pour sa part que cette annonce «d'un durcissement le 7 mars, ça laisse un peu de temps s'ils veulent réagir», et renvoie la faute sur «la position ferme et définitive du gouvernement» sur le report de l'âge légal de 62 à 64 ans.

VU sur l’application RT News

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Le droit de grève est un droit constitutionnel en France

Dès lors, la Constitution le protège en tant que liberté souveraine et mode d'expression des travailleurs.

N'en déplaise à tous ses détracteurs dans les médias qui le dénigrent, eux qui sont très à l'aise sur leurs appointements et leurs conditions de travail pour ne jamais revendiquer de toute leur vie.

N'en déplaise donc aux chiens de garde du capital, le droit de grève est aussi le droit de désorganisation au travail, mais aussi dans la société dans les limites de la légalité.

Faire grève sans contrarier quelqu'un ou bousculer les choses, ce serait comme pisser sur un violon pour qu'il égrène l'Internationale. Et seul le juge, jamais un journaliste,  protège le droit à la désorganisation effective du travail.

A bon entendeur, salut!

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
L'image du jour : la T R A N S M I S S I O N

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NON À LA RETRAITE À 64 ANS ! TOUS DANS LA RUE SAMEDI 11 FÉVRIER !

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Malgré plus de 10 milliards de bénéfices en 2022, la BNP Paribas compte supprimer 900 postes

La Banque BNP Paribas prévoit de supprimer 900 postes. Le groupe vient pourtant d’annoncer avoir dépassé les dix milliards de bénéfices en 2022, un chiffre record. Prêter aux riches et économiser sur les salaires : voilà une recette classique pour occuper une place de choix dans le monde capitaliste.

Patrons-voyous

Crédit photo : AFP

La banque BNP Paribas devrait supprimer 921 postes en France, sur un total d’un peu plus de 5000, au sein de sa filiale dédiée au crédit à la consommation, BNP Paribas Personal Finance, a-t-on appris mardi de source syndicale. Quelques heures plus tôt, en matinée, le groupe avait pourtant annoncé des résultats historiques en 2022 : un bénéfice net de plus de 10 milliards d’euros, en hausse de 7,5 % sur un an.

L’essentiel (un peu plus de 700) de ses suppressions de postes sera concentré dans les services dit fonctionnels (finance, informatique, marketting, etc), le reste dans les services dit opérationnels (centres d’appels, agences, etc) indique une des sources syndicales. Dans un communiqué, la banque explique avoir « construit un projet de transformation stratégique pour stimuler la croissance et la profitabilité, et garantir la pérennité de son modèle ».

En d’autres termes, la banque déplore la moindre rentabilité de certains secteurs (toute relative on l’aura compris en comparaison des chiffres de la maison mère) : le crédit à la consommation, et le crédit auto, tous deux plus chers pour l’emprunteur moyen accablé par l’inflation, les bas salaires et la hausse des taux d’intérêts. Mais le groupe a trouvé la parade, en interne, à ce manque à gagner : un plan de départ « volontaires », c’est-à-dire de licenciements.

De quoi permettre à la BNP Paribas de prévoir une distribution de près de 10 milliards d’euros cette année à ses actionnaires : 4,8 milliards sous forme de dividendes et 5 milliards par le rachat d’une partie de ses propres actions. En résumé les « réflexions stratégiques » de la première banque européenne ont un air de déjà vu : donner aux riches ce qu’on peut voler aux pauvres.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Sur BFM un éditorialiste cite une loi de Pétain pour appuyer la réforme de Macron

Malaise sur le plateau : sur BFM l’éditorialiste Emmanuel Lechypre a trouvé un argument massue pour défendre la réforme des retraites en citant une loi de Vichy. Après avoir comparé les Chinois morts du Covid à des « pokemon », cet éditorialiste montre qu’il est bien autant anti-ouvrier que raciste.

C’était mieux avant ?

Capture d’écran BFM

Emmanuel Lechypre n’est plus à une connerie près. Rappelez-vous, il avait brillé pendant la pandémie lors de la diffusion d’un enterrement pour les morts du Covid en Chine : « On enterre des pokemon » avait-on alors pu entendre chuchoter l’éditorialiste. Depuis plus de 10 ans, ce fidèle toutou du capital fait les tours des plateaux pour défendre les grands patrons, les actionnaires et expliquer qu’il faut détruire les acquis de la classe ouvrière.

Sur BFM, ce mercredi 8 février, il s’est une nouvelle fois illustré en faisant la promotion d’une loi pétainiste. « Bah moi je vous lis quand même ce qu’il y a d’écrit dans la loi du 14 mars 1941 »… Sûr de son argument massue, il commence à lire devant Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, un passage de la loi qui justifierait par la démographie l’augmentation de l’âge légal de départ à la retraite.

Quelques soupirs de malaise se font entendre sur le plateau avant que Martinez n’interrompre ce brave expert : « Non mais en 41… Je pense que la France était pas dans son meilleur état, mais vous avez le droit de prendre des références de Vichy, mais c’est un peu compliqué ». Le désœuvrement se lit sur le visage de la présentatrice, plus experte en histoire que l’expert du plateau : « Bah oui parce que 41 là, Emmanuel... »

Pas convaincu Emmanuel Lechypre affirme qu’il vérifiera si la loi du 14 mars 1941 a bien été promulguée sous Vichy...

Mais pour faire justice à Emmanuel Lechypre, il faut reconnaître qu’il est allé piocher dans des références pertinentes pour défendre le projet de Macron. L’Allocation pour les Vieux Travailleurs Salariés mise en place par Pétain en 1941 ne permettait en effet de prendre sa retraite qu’à partir de 65 ans et de toucher une pension de misère (3600 francs par an, quand un salaire mensuel moyen à la même époque tourne autour de 1500F).

Ce qui transpire derrière cette grande séquence de télévision, c’est la volonté et le besoin pour la bourgeoisie de frapper fort contre les travailleuses et les travailleurs, et pour cela de trouver l’inspiration dans un régime qui a mis toute la force étatique à la destruction de la classe ouvrière organisée et à la persécution des étrangers et des Juifs.

Le régime de Vichy, qui avec sa Charte du Travail d’octobre 1941 (Emmanuel Lechypre n’aura pas besoin de vérifier, on vous l’assure c’était sous Vichy) a dissous l’ensemble des confédérations syndicales et interdit la grève, se donnait en effet pour ambition de supprimer la lutte des classes et de faire travailler en bonne entente les ouvriers et les patrons… au service des patrons. Le macronisme et l’ensemble des forces capitalistes évoluent pas à pas dans cette direction.

Pour notre bien, pour sauver le système de retraites par répartition, il faut accepter de se faire exploiter plus longtemps, de mourir avant la retraite et surtout de ne pas toucher à la fortune colossale du grand patronat. Dans le même temps, pour le bien de nos vacances, le gouvernement propose généreusement d’interdire les grèves pendant les vacances scolaires. Et puis qui sait demain, aussi le week-end, puis les autres jours de la semaine ?

La normalisation du pétainisme s’exprime depuis plusieurs mois dans les médias. C’est Zemmour qui essaye d’en faire un héros national, c’est Juliette Briens vidéaste raciste qui revendique la « France libre de Vichy » sur le plateau de Hanouna, Macron qui rend hommage au « grand soldat » Pétain ou Darmanin qui fait la promotion de figures de l’Action Française. Emmanuel Lechypre n’est qu’une pierre de plus à cet édifice médiatique qui dit la radicalisation de la bourgeoise dans sa politique raciste, à l’heure où est discuté la prochaine loi anti-immigrés de Darmanin, et anti-ouvrière avec la réforme des retraites, la réforme de l’assurance-chômage et nos salaires, bouffés quotidiennement par l’inflation.

Réussir à faire reculer Macron sur sa réforme, c’est aussi faire taire tous ces éditorialistes et experts qui hurlent à la défense de la démocratie et de la liberté face aux grèves, mais sont prêts à ressusciter les heures les plus sombres du 20ème siècle quand il s’agit d’exprimer leur haine des travailleurs.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
36 milliards de bénéfice pour Total : il est là l’argent pour nos retraites et nos salaires

TotalEnergies encaisse 36 milliards de bénéfices nets sur l’année 2022, un record historique pour le groupe. Dans le même temps, en plein mouvement contre la réforme de retraites qui veut nous faire travailler plus, l’inflation continue de grimper en rognant les salaires qui n’augmentent pas, et les services publics s’effondrent

De l’argent, il y en a…

Crédits photo : AFP - LOIC VENANCE

TotalEnergies clôt les annonces des résultats annuels des pétroliers ce mercredi avec des profits records sur l’année 2022. Le groupe a généré cette année un bénéfice net de 36 milliards d’euros, un record absolu pour Total.

Ces profits monstres sont liés en grande partie aux activités du groupe dans le domaine du gaz naturel liquéfié (GNL), au centre des tensions commerciales énergétiques avec les sanctions apposées sur le gaz russe depuis le début de la guerre en Ukraine. Alors que les bénéfices engrangés par Total s’avèrent être les plus importants réalisés par l’entreprise et l’un des meilleurs de l’histoire du CAC40, ce record est le fruit des conséquences de la guerre, Total n’ayant pas hésité à faire exploser les prix à la pompe.

Avec ces bénéfices, Patrick Pouyanné, PDG de Total, prévoit déjà d’augmenter… les actionnaires du groupe. Cette somme astronomique va servir à rehausser de 7,2% les acomptes sur dividendes perçu par les actionnaires, ainsi qu’à l’acquisition d’action à une hauteur de 2 milliards de dollars. L’entreprise avait déjà annoncé le versement d’un dividende aux actionnaires en décembre dernier, pour un montant de 1,8 milliards d’euros (hausse de 5 % par rapport à 2021).

De leurs côtés, les autres pétroliers ont aussi profité de la crise russe ainsi que de l’inflation pour engranger des profits record. C’est le cas notamment d’ExxonMobil avec 56 milliards de dollars, Chevron avec 36,5 milliards de dollars ou encore Shell et ses 40 milliards de dollars.

Des bénéfices record sur le dos des travailleurs !

L’inflation rampante sert aussi de tremplin pour le bilan économique de Total. En effet, alors que l’entreprise engrange des sommes monstres et que le prix à la pompe augmente, les salaires des travailleurs de TotalEnergies restent fixes. C’était notamment le sujet des revendications des grévistes de Total l’automne dernier qui ont mis à l’arrêt les installations de la multinationale pendant trois semaines. Au même moment, les chiffres des bénéfices de Total au troisième trimestre 2022 sortaient. Nous nous étions alors entretenus avec Alexis Antionoli, secrétaire général CGT sur la raffinerie de Normandie : « C’est quelque chose de complètement démesuré, quand on voit le vécu dans un site comme le nôtre, quand on voit les conditions de travail dans lesquelles on est, les postes vacants, les difficultés à gérer l’ensemble des postes, c’est déconnecté totalement de tout ça et on voit qu’on est dans un groupe qui fait du cash comme jamais et que cet argent, il ne revient jamais à l’outil de travail ni aux salariés, il revient toujours à l’actionnaire. »

Ces profits démesurés ne concernent pas seulement les salariés de Total, mais bien toute la population. En effet, comme le rappelle l’économiste Maximes Combes sur Médiapart : « 19 milliards de profits, c’est l’équivalent de la rémunération annuelle de 380 000 personnels d’hôpitaux, la rénovation globale de 310 000 passoires énergétiques, ou encore une prime de 6 300 euros pour chacun des 3 millions d’étudiants. ». Au moment où l’inflation et la précarité touchent toutes les couches de la société et où le gouvernement sert toujours plus la vis sur les servicespublics, l’accumulation des profits des groupes pétroliers laisse un goût amer à ceux qui n’arrivent pas à boucler leur fin de mois.

De l’argent, il y en a …

Ces chiffres sortent en pleine mobilisation contre la réforme des retraites rejetée par une très large majorité de la population. Dans la pétrochimie, les raffineurs ont réalisé 48 heures de grève, à partir de la journée nationale du 7 février, avec des taux de grévistes très importants. La journée du 7 février a également permis de voir rejoindre la bataille de nombreux sous-traitants des installations pétrolières.

Avec la mobilisation en cours dans la pétrochimie, l’annonce des profits des entreprises pétrolières rappelle qu’il y a de l’argent, mais que ce dernier « revient toujours à l’actionnaire ». Les bénéfices réalisés par Total sont supérieurs au prétendu déficit des retraites qu’agite le gouvernement pour nous voler deux ans de vie. Pour leur arracher, il faut construire le rapport de force sur le terrain de la grève reconductible à l’image de ce que portent les raffineurs dans cette mobilisation contre la réforme de retraite qui cristallise la colère de la fin du mois. Les questions des retraites et des salaires sont aujourd’hui intimement liées, le cahier revendicatif du mouvement doit s’élargir en particulier à l’augmentation et l’indexation des salaires afin de convaincre et de permettre aux secteurs précaires de préparer la grève reconductible.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Encore une belle année pour Unilever en 2022 :

 

8,269 milliards d'€ de bénéfices

 

et

 

distribue sous formes de dividendes à ses actionnaires et toujours en augmentation :

 

4,329 milliards d'€

Unilever remercie les prolétaires.

 

Comme le dit le BIG BOSS, l'année 2022 est une très bonne année !

 

Unilever pour l'année 2022, bénéfices et dividendes

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
VIDEO. Le Havre bloqué ! Comment durcir le mouvement ?

Pour la journée de mobilisation de ce mardi 7 février, les syndicats du Havre organisaient une opération blocage des sites industrielles et du port. Révolution Permanente était sur place ! Reportage à retrouver en vidéo.

7 février

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
RETRAITES – Attention, énorme ARNAQUE : la pension à 1200 euros brut minimum ne concerne que… 0,002% des salariés !

Pas de pension retraite en dessous de 1200 euros brut ? Les macronistes sont très fiers de pouvoir l’annoncer. Sauf que… c’est une énorme douille, il n’y a rien derrière. Premièrement, c’était déjà dans la loi depuis 2003, il suffisait de l’appliquer. Surtout, c’est pour une carrière complète au SMIC. Donc cela ne concerne que 0,002% des salariés. C’est ça le progrès pour Macron : voler deux années à tous les travailleurs et travailleuses du pays, en moyenne 36 210 euros par personne, et augmenter de moins de 100 euros une personne sur 50 000. Et après il s’étonne que 93 % des Français rejettent son projet.

Équilibre, justice, progrès : derrière un membre du gouvernement Macron, ces mots sonnent faux

Mardi 10 janvier. Derrière la Première ministre qui présente le projet de retraite à 64 ans, trois mots trônent : équilibre, justice, progrès. Design sobre, léché. Ça pour le service marketing, il y a du budget en macronie. Plus que pour financer de la protection sociale visiblement. L’histoire ne dit pas si le cabinet McKinsey a été mis à contribution pour trouver ce perfide slogan.

Ces mots sont ce qu’on appelle des concepts mobilisateurs en rhétorique. Dans le langage courant on dit : des mots creux. Des mots qui sonnent bien, super sympa en apparence. Mais en fait, suivant qui les utilise, cela prend un sens ou le contraire. Depuis 2017 et sa Révolution, c’est devenu la marque déposée des discours de Macron.

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Publié par EL DIABLO

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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