SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
L'usine de Ludres, où étaient jusqu'à présent fabriqués les célèbres sachets de levure roses, a été vendue par le groupe allemand Dr Oetker, toujours propriétaire de la marque.
 

Les célèbres levures Alsa quittent la Lorraine, leur terre d'origine. L'usine de Ludres, en Meurthe-et-Moselle, a fabriqué ses derniers petits sachets roses. Le groupe allemand Dr. Oetker, tout en conservant la marque, s'est récemment séparé du site de production en le vendant au groupe italien Newlat. Les levures Alsa seront désormais majoritairement produites en Allemagne, la production y ayant déjà été majoritairement redirigée depuis 2021, précise Le Parisien. L'entreprise allemande avait elle-même racheté la marque et l'usine au géant Unilever en 2018.

Les sachets de levure chimique étaient fabriqués depuis 1972 sur le site de Ludres. Newlat, qui a promis d'investir 20 millions d'euros et de conserver la centaine de salariés, veut désormais y produire des levures sous sa marque Minuto, visant un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros à l'horizon 2024. Le nouveau propriétaire italien de l'usine a également annoncé la signature d'un contrat pour approvisionner en préparation pâtissière une grande multinationale, qui n'est autre qu'Unilever selon l'AFP. C'est la première implantation de Newlat sur le sol français.

 

Patrimoine lorrain

Bien que la reprise de l'usine ait été accueillie avec soulagement, éloignant la crainte de licenciements qui planait alors au-dessus de Ludres, syndicats et salariés regrettent le départ de l'iconique marque de levure, historiquement associée au territoire lorrain. Dr Oetker "n’a jamais voulu faire de maintenance ou d’entretien. La seule chose qu’ils ont faite, c’est garder la marque et la produire ailleurs, en la déracinant […]. Maintenant, on espère les concurrencer et même passer devant eux, avec les investissements", promis par Newlat, avance un salarié au Parisien.

La marque Alsa est née à la toute fin du XIXe siècle, de l'idée d'un jeune boulanger alsacien installé en Lorraine, Emile Moensch – le nom Alsa est un hommage à sa région d'origine.

Jérémy Bruno avec AFP Journaliste BFMTV

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

À partir du 19 janvier, l’heure est à la mobilisation partout en France pour défendre nos retraites et refuser de travailler encore plus longtemps alors que ce n’est pas justifié !

En grève pour nos retraites

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
64 ANS ET 43 ANNUITÉS POUR 10 MILLIARDS DE DÉFICIT ? MACRON PÉNALISE LE TRAVAIL POUR ÉPARGNER LE CAPITAL !

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
30% des hommes les plus pauvres seront morts à l’âge de la retraite avec la réforme de Macron

La presse se faisait récemment l’écho d’un chiffre choc : aujourd’hui, un quart des 5% d’hommes les plus pauvres sont morts à l’âge de la retraite. Or, avec la réforme de Macron, le chiffre passe à un tiers des hommes les plus pauvres.

Offensive anti-ouvrière

Crédits photo : AFP

Ce mardi, Elisabeth Borne doit présenter la réforme des retraites, avec en ligne de mire le report de l’âge légal de départ à la retraite. Initialement envisagé à 65 ans, celui-ci devrait a priori être repoussé à 64 ans et combiné à une accélération de l’application de la réforme Touraine. Une réforme profondément anti-ouvrière.

Alors que le gouvernement insiste sur l’idée que l’espérance de vie augmenterait en France pour justifier sa réforme, un chiffre choc a été largement repris à partir d’un article de Libération de décembre 2021 : aujourd’hui, près de 25% des 5% d’hommes les plus pauvres sont déjà morts à 62 ans, âge légal de départ à la retraite. Un chiffre qui s’appuie sur une étude INSEE revenant sur le taux de mortalité en fonction du niveau de vie.

Or, avec la réforme prévue par Macron, ce constat s’aggraverait violemment. En effet, ce sont aujourd’hui 29% des 5% des hommes les plus pauvres qui sont morts à 64 ans, et 30,4% qui sont morts à 65 ans. En clair, avec la réforme des retraites de Macron, près d’un tiers des hommes les plus pauvres n’arriveront pas à l’âge de la retraite.

Un constat terrible qui masque par ailleurs la question de l’état de santé dans lequel nombre de travailleurs arrivent à la retraite. En effet, selon la DRESS, en 2016, « l’espérance de vie en bonne santé à la naissance s’élève à 64,1 ans pour les femmes et 62,7 ans pour les hommes ».

La réforme accentuera donc la tendance à enterrer les plus pauvres avant le départ à la retraite et à réduire, pour les ouvriers et les travailleurs des métiers les plus difficiles, le temps de retraite passé en bonne santé. Face à cette situation il est non seulement urgent de préparer une réponse d’ampleur face à l’attaque de Macron, mais aussi de mettre un terme à un système où l’on use nos vies et nos corps à travailler sans pouvoir voir se rapprocher l’horizon de la retraite.

En ce sens, il faut se battre pour un retour de l’âge de départ à 60 ans et le droit au départ à 55 ans, à taux plein, pour tous les métiers pénibles. Des revendications qui ne sont pas une option pour changer nos vies.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Point sur les négociations salariales de mardi 10 janvier 2023.

Après plusieurs heures de négociation, nous avons pu trouver un terrain d’entente avec la direction. Cela fait plusieurs années que nous n’avons pas eu une telle augmentation mais n’oublions pas que nous n’avons jamais connu une telle inflation depuis plus de 40 ans et celle-ci va sûrement continuer. Mais nous pouvons tout de même noter que cet accord et même s’il ne peut pas satisfaire 100 % des salariés, cette augmentation générale, tout le monde y trouvera son compte. Dommage que le talon n’a pas été retenu par la direction.

Le talon aurait permis de réduire les écarts surtout pour ceux qui sont en bas de l’échelle. Une personne qui gagne 3000 € et une autre qui gagne 1700 €, à la fin ce montant avec un pourcentage est complètement différent. (Avec une augmentation de 4,5 %, une personne qui gagne 3000 € aura une augmentation de 135 €, et la personne qui gagne 1700 € aura 76,5 € d’augmentation)

Le but n’est pas de diviser mais n’oublions pas ce qui a été fait sur ces dernières années. Dans le contexte actuel, et en fonction des propositions faites par la direction, il est quasiment impossible de trouver un compromis qui satisfasse tout le monde.

Cela fait plus de 14 ans que les négociations salariales se terminent par un pourcentage, ce système de pourcentage a amplifié les écarts entre les bas salaires et les hauts salaires.

Il y avait d’autres propositions de la part de la direction qui aurait pu être plus avantageuse pour les bas salaires tout en laissant une bonne partie des salariés sans aucune garantie d’augmentation individuelle.

De surcroît, il était hors de question d’accepter une autre proposition de la direction sur une augmentation individuelle de 0,7 % pour les salaires de base inférieurs à 3100 € et s’asseoir sur 4,5 % d’augmentation sur les primes habillage et d’équipe pour les postés. Pour d’autres, ça ne le dérangeait pas du tout !

Alors oui pour la CGT, le meilleur compromis pour les salariés était d’accepter la proposition de 0,6 % d’augmentation individuelle pour les salaires de base inférieurs à 2900 €.

Dans ces conditions la CGT signera l’accord

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Augmentation générale de 4,5%, + l'augmentation générale sur les primes équipes et habillage pour les postés, qui s'appliquera à partir du 1er Mars 2023.

Doublement de la prime de transport de 200€ à 400€ (par an).

Et une enveloppe de 1,2% sur l'augmentation individuelle, avec un minimum de 0,6% d'AI pour les salaires inférieur à 2900€.

Fin des négociations à 23H10.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La CGT vient de faire la proposition d'une augmentation générale de 150€ pour tous les salariés.

L'inflation moyenne en 2022 est de 5,2%, le panier de la ménagère en 2022 est à +14%, les énergies +23%...

La CGT se focalise aujourd'hui sur l'augmentation générale et propose à la direction de parler des accessoires lors d'une prochaine réunion.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La situation actuelle d'explosion des prix de l'électricité est l'occasion de revenir sur les décisions politiques nationales et européennes qui ont conduit au désastre actuel.

L'organisation d'une dérégulation, d'une casse du service public et d'une mise en concurrence qui devait conduire - on nous le jurait à l'époque - à la baisse des factures pour les particuliers et les entreprises.

Incitant à la désertion du service public !

MENSONGES !

Plus que jamais ce qui est à l'ordre du jour c'est le retour à l'intégration de la filière énergétique et sa nationalisation Non pour nationaliser les pertes et préserver les profits comme le prévoit le pouvoir macronien;

Mais pour assurer un accès abordable financièrement à tous les citoyens, aux petites entreprises.

Cela de manière durable!

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Selon la lettre financière Vernimmen.net, « les entreprises du CAC 40 ont rendu à leurs actionnaires 80,1 milliards d’euros » en 2022 !

Par L'Obs avec AFP

· Publié le

 

Les quarante entreprises du CAC 40, principal indice boursier français, ont distribué le montant record de 80,1 milliards d’euros à leurs actionnaires en 2022, en dividendes ou rachats d’actions, selon la lettre financière Vernimmen.net.

« En 2022, d’après nos compilations, les entreprises du CAC 40 ont rendu à leurs actionnaires 80,1 milliards d’euros, dont 23,7 milliards d’euros sous forme de rachats d’actions, soit le niveau le plus haut jamais enregistré depuis que nous faisons cette étude » (2003), a souligné la lettre d’information spécialisée.

Les dividendes versés atteignent 56,5 milliards d’euros, contre 45,6 milliards en 2021 et 28,6 milliards en 2020, durant la pandémie.

« Ces chiffres, qui sont excellents, ne sont qu’à l’unisson d’autres tout aussi excellents enregistrés en 2022, malgré un contexte économique et géostratégique compliqué », souligne Vernimmen.net, citant notamment un taux de chômage au plus bas, des créations d’entreprises à leur plus haut historique ou des levées de fonds à un niveau inédit par les start-up.

TotalEnergies redistribue 13,3 milliards d’euros

Les trois premiers groupes redistribuant des capitaux propres à leurs actionnaires ont représenté 31 % du volume, selon la même source : TotalEnergies (13,3 milliards d’euros de rachats d’actions ou de dividendes), LVMH (7,1 milliards) et Sanofi (4,7 milliards).

La barre des 50 % est franchie en ajoutant quatre autres groupes à ce trio de tête, BNP Paribas, Stellantis, AXA et Crédit Agricole.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
53 ème congrès de la CGT : critiquant la participation de la confédération au collectif « Plus jamais ça », Olivier MATEU candidat au poste de secrétaire général pour empêcher toute dérive vers un « syndicalisme d'accompagnement » du capitalisme
Olivier Mateu

Succession de Martinez à la CGT : Mateu candidat contre « un syndicalisme d'accompagnement »

Secrétaire général CGT des Bouches-du-Rhône et candidat à la direction du syndicat, Olivier Mateu a justifié mercredi son « désaccord» avec la candidate officielle à la succession de Philippe Martinez, dénonçant «un syndicalisme d'accompagnement» du capitalisme, dans un entretien au journal La Marseillaise. «Tout le monde a découvert dans la presse que le secrétaire général sortant allait arrêter. Et on apprend qu'il laisse aussi une feuille de route. Or c'est au congrès de tracer cette feuille de route. C'est bien parce qu'on est en désaccord avec cela qu'on entend porter des éléments dans le débat », a expliqué M. Mateu dans un entretien publié mercredi par le quotidien régional La Marseillaise.

L'union départementale CGT des Bouches-du-Rhône avait annoncé mi-décembre qu'elle proposait la candidature d'Olivier Mateu pour remplacer Philippe Martinez. A la tête de la CGT depuis 2015, celui-ci avait indiqué en mai qu'il ne se représenterait pas pour un nouveau mandat et avait désigné Marie Buisson pour lui succéder. Pour l'heure, la candidature de M. Mateu n'est néanmoins pas complètement officielle, son nom n'ayant pas encore été intégré à la liste des 60 membres de la future Commission exécutive confédérale (CEC), constituée par la commission de candidature à partir des personnes «mises à disposition» par les fédérations et les unions départementales. Cela n'empêche donc pas Olivier Mateu d'exprimer ses griefs vis-à-vis de la direction confédérale, dont il estime qu'elle ne permet pas «d'avoir des débats de la bonne manière». Il critique notamment la participation de la CGT au collectif «Plus jamais ça», lancé au printemps 2020, qui demande notamment l'arrêt des soutiens publics aux projets dans le secteur des énergies fossiles.

«La CGT n'a pas vocation à mettre fin à des filières industrielles sans avoir réfléchi à la transition», plaide M. Mateu dans La Marseillaise. «Faire ces propositions est donc très dangereux comme stratégie : il y a des fermetures d'usines si cela est pris au pied de la lettre», a-t-il ajouté, estimant que ces propositions revenaient à transformer la CGT «en lobby, en syndicalisme d'accompagnement» du capitalisme.

Olivier Mateu a insisté sur le fait que sa candidature «n'est pas une question de guerre de places, d'individus» et avait pour objectif «la confrontation d'idées, sur des questions de fond»: «La lutte des classes existe, elle est menée par le camp d'en face».

SOURCE:

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
30% des hommes les plus pauvres seront morts à l’âge de la retraite avec la réforme de Macron

La presse se faisait récemment l’écho d’un chiffre choc : aujourd’hui, un quart des 5% d’hommes les plus pauvres sont morts à l’âge de la retraite. Or, avec la réforme de Macron, le chiffre passe à un tiers des hommes les plus pauvres.

Offensive anti-ouvrière

Crédits photo : AFP

Ce mardi, Elisabeth Borne doit présenter la réforme des retraites, avec en ligne de mire le report de l’âge légal de départ à la retraite. Initialement envisagé à 65 ans, celui-ci devrait a priori être repoussé à 64 ans et combiné à une accélération de l’application de la réforme Touraine. Une réforme profondément anti-ouvrière.

Alors que le gouvernement insiste sur l’idée que l’espérance de vie augmenterait en France pour justifier sa réforme, un chiffre choc a été largement repris à partir d’un article de Libération de décembre 2021 : aujourd’hui, près de 25% des 5% d’hommes les plus pauvres sont déjà morts à 62 ans, âge légal de départ à la retraite. Un chiffre qui s’appuie sur une étude INSEE revenant sur le taux de mortalité en fonction du niveau de vie.

Or, avec la réforme prévue par Macron, ce constat s’aggraverait violemment. En effet, ce sont aujourd’hui 29% des 5% des hommes les plus pauvres qui sont morts à 64 ans, et 30,4% qui sont morts à 65 ans. En clair, avec la réforme des retraites de Macron, près d’un tiers des hommes les plus pauvres n’arriveront pas à l’âge de la retraite.

Un constat terrible qui masque par ailleurs la question de l’état de santé dans lequel nombre de travailleurs arrivent à la retraite. En effet, selon la DRESS, en 2016, « l’espérance de vie en bonne santé à la naissance s’élève à 64,1 ans pour les femmes et 62,7 ans pour les hommes ».

La réforme accentuera donc la tendance à enterrer les plus pauvres avant le départ à la retraite et à réduire, pour les ouvriers et les travailleurs des métiers les plus difficiles, le temps de retraite passé en bonne santé. Face à cette situation il est non seulement urgent de préparer une réponse d’ampleur face à l’attaque de Macron, mais aussi de mettre un terme à un système où l’on use nos vies et nos corps à travailler sans pouvoir voir se rapprocher l’horizon de la retraite.

En ce sens, il faut se battre pour un retour de l’âge de départ à 60 ans et le droit au départ à 55 ans, à taux plein, pour tous les métiers pénibles. Des revendications qui ne sont pas une option pour changer nos vies.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La première réunion débutera le mardi 10 janvier 2023 à 14H00.

 

Ce qui a été obtenu sur le site d'Amora n'est pas une garantie que nous ayons la même chose.

 

Rappelez-vous l'année dernière, les 2 usines du groupe Unilever avaient obtenu 1,6% d'AG.

Chez nous, il était prévu de nous donner 0% et nous avons fini à la suite d’un référendum à 1,1% d'AG !!!!

Aucune des propositions des organisations syndicales n'ont été retenues, et c'est par le biais du référendum que l'inacceptable est passé ! (la direction rigole encore)

 

Pourtant, jamais de notre vie d'exploité, nous n'avons connu une telle inflation.

Nous ne pouvons pas être dans l'inaction face à autant de mépris.

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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