Publié par Info'Com-CGT
Syndicat CGT Unilever HPCI France
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Publié par FSC
REPRIS d'Histoire et Société
Dans le contexte d’intense mobilisation des retraites, nos camarades de la CGT du Val de Marne répondent à la fois à la déclaration de Macron sur l’augmentation du budget militaire et sur la rencontre entre Scholz et Macron aujourd’hui : nous avons en effet assisté à la plus pitoyable des démonstrations de la fin de l’Europe, avec ce malheureux chancelier allemand qui tente de résister à l’entrée en guerre avec la Russie que lui imposent les Etats-Unis et l’OTAN, et Macron qui ne sait plus où il va cherchant à exister dans le mépris général.Hier ces deux “dirigeants’ d’une Europe faillie ont donné simplement l’autorisation à la Pologne, la hyène de l’Europe comme l’appelait Churchill, de livrer ses chars Leopard à Kyiv, comme l’a expliqué le Président polonais Andrzej Duda. Le pays se passerait de l’approbation allemande. Mais c’est pour mieux probablement dépecer l’Ukraine en reconsituant le rêve nationaliste de la droite polonaise celle du grand duché contenant Llov, la lituanie, la biélorussie… dans cette période les puissances secondaires voient l’oportunité de réaliser les projets fascistes de leurs classes dirigeantes.
Aujourd’hui en effet, dans une Europe qui se délite et se résume de plus en plus à être le vassal des USA et coïncider avec l’OTAN dans la guerre que les capitalistes des USA et ceux de France (des marchands d’armes en particulier) veulent livrer à la Russie, Macron a encouragé et poussé l’Allemagne à livrer des chars, parlant même pour l’encourager de livrer des Leclercs. Tout cela sans demander leur avis aux Français. C’est là que l’on mesure l’irresponsabilité de la totalité des députés (moins un) qui ont voté un blanc seing à l’OTAN dans la résolution 390. Il faut que comme le fait la CGT du val de Marne le mouvement des travailleurs en lutte s’empare aussi de la lutte pour la paix.
La France n’exclut pas de livrer des chars de combat lourds Leclerc à l’Ukraine pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie, a déclaré dimanche Emmanuel Macron au côté du chancelier Olaf Scholz, alors que Kiev réclame des chars, notamment à l’Allemagne qui détient la clé de la livraison de chars Leopard 2 par plusieurs pays européens. « Pour ce qui est des Leclerc, j’ai demandé au ministre des Armées d’y travailler. Rien n’est exclu et cela s’apprécie en effet collectivement », a déclaré le président français, tandis qu’Olaf Scholz, interrogé sur les Leopard, a déclaré que « la manière dont nous avons agi par le passé est toujours étroitement coordonnée avec nos amis et alliés et nous continuerons à agir en fonction de la situation concrète ».
Publié par FSC
Retraites: Karl Gustaf-Scherman, qui a porté l'âge légal à 65 ans en Suède il y a 20 ans , invite Emmanuel Macron
"à ne pas recopier le même modèle"
VIDEO à l'adresse :
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Les dépenses de #retraites ne dérapent pas, elles sont relativement maîtrisées, dans la plupart des hypothèses, elles diminuent plutôt à terme". Nous dit le président du Conseil d’orientation des retraites (COR). Alors, Macron/Borne, vous racontez des blagues ?
Propos tenus lors de l'audition du président du COR le jeudi 19 janvier de la commission des finances et des affaires sociales de l'assemblée nationale.
VIDEO de l'audition à l'adresse :
https://event.assemblee-nationale.fr/video.12756728_63c935c6a9f3a?timecode=746500
Publié par FSC
Hurlements du côté de la réaction à propos des délarations de Sébastien de couper le courant aux élus tenants de la contre-réforme assimilées à du terrorisme ... en oubliant les autres propositions qui consistent à lutter contre la précarité énergétique des citoyens ... auxquels précisément les directions d'EDEF coupent le courant " en temps normal".
Toujours la confrontation de points de vue de classe totalement opposés!
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Ce vendredi, Google a annoncé la suppression de 12 000 postes dans le monde, portant à plus de 200 000 le nombre de licenciements dans le domaine de la tech et des GAFAM en à peine plus d'un an. Un véritable carnage social alors même que ces entreprises continuent de dégager d'énormes profits.
Crédits photo : AFP/KENZO TRIBOUILLARD
Ce vendredi, Sundar Pichai, PDG d’Alphabet (maison-mère de Google) a annoncé la suppression de 12 000 postes dans le monde, soit plus de 6% de ses effectifs. Bien qu’évasive, on comprend dans une lettre envoyée aux salariés et postée sur le blog de l’entreprise que ces licenciements seront mondiaux et généralisés : « Ce processus prendra plus de temps en raison des lois et pratiques locales » précise t-il. De plus, Sundar Pichai ajoute que les emplois touchés « sont répartis entre Alphabet, les domaines de produits, les fonctions, les niveaux et les régions », une formule floue qui laissent des milliers de salariés dans l’incompréhension.
Mais Google n’est pas le seul géant économique à avoir dévoilé des plans de licenciements massifs. En effet, rien que cette semaine, Microsoft a annoncé le licenciement de 10 000 salariés d’ici mars, soient environ 5 % de ses effectifs mondiaux. Le même jour, Amazon a communiqué à des milliers de salariés qu’ils allaient perdre leur travail. Au total, ce sont plus de 18 000 suppressions d’emplois depuis novembre, la plus grande suppression de postes de l’histoire du géant logistique.
A cela s’ajoute, l’entreprise Méta (Facebook) qui a supprimé 11 000 postes en novembre mais aussi les 7 000 licenciements chez Salesforce, 6 000 pour Tesla, 3 700 chez Twitter, 2 000 pour Coinbase, 1 000 chez Snapchat, autant pour Robinwood et 450 chez Netflix. La liste est loin d’être exhaustive. En résumé, c’est une véritable hécatombe sociale pour le secteur avec plus de 200 000 licenciement en à peine plus d’un an selon le décompte du site.
Ces suppressions de postes sont justifiées par Sundar Pichai par une fin de la « croissance spectaculaire » de la période Covid, où ce secteur a beaucoup embauché, à l’instar de Méta. Le PDG de Google explique donc qu’aujourd’hui, la « réalité économique » ne serait pas la même. L’argumentaire est à peu près le même chez Microsoft qui se justifie en invoquant le « contexte macroéconomique ». Chez Amazon, on pointe aussi du doigt le phénomène d’embauche massif dû à une hausse de la demande durant la crise du Covid.
Alors que Google a enregistré près de 14 milliards de dollars de bénéfices net, son PDG, sur fond de rivalité concurrentiel entre différente plateformes de contenu vidéo, tend à prétendre que la société serait en crise. En réalité, Google est loin d’être au bord de la faillite, comme son PDG voudrait le faire croire. La société fait seulement moins de bénéfices que pendant la période Covid ou son activité avait explosé.
Le constat est sensiblement le même chez Microsoft qui, pourtant, s’apprête à investir 10 milliards de dollars dans OpenAI, l’entreprise à l’origine des intelligences artificielles génératives Dall-E et ChatGPT. Microsoft prévoit aussi d’investir 69 milliards de dollars pour acquérir l’éditeur de jeux vidéo Activision Blizzard. Ce n’est donc pas l’argent qui manque, en témoigne son dernier chiffre d’affaires publié en octobre qui s’élève à plus de 50 milliards, soit une hausse de 11 % par rapport à l’année dernière.
On comprend donc que dans chacun des cas, les motivations de ces licenciements ne sont pas liés à une menace de faillite que subiraient ces géants économiques. Bien au contraire, ces derniers continuent à engranger des bénéfices, mais licencient en masse pour maintenir leur taux de profit. Après avoir embauché massivement pour assurer la hausse d’activité engendrée par la pandémie, le secteur de la tech et des GAFAM font face à un ralentissement du marché et les premiers à en subir les conséquences, ce sont les travailleurs.
Alors que nous faisons aujourd’hui face à une crise économique et énergétique sans précédent, et que les travailleurs sont les premiers à en faire les frais, il nous faut revendiquer l’interdiction des licenciements. Ces suppressions de postes ne servent qu’à maintenir les taux de profits des grands patrons alors même qu’ils engrangent déjà des bénéfices démesurés. Il est également essentiel de revendiquer la plus grande transparence sur les comptes de l’entreprise, afin que les patrons ne puissent plus mentir aux salariés sur les raisons les poussant à licencier !
Publié par REVOLUTION PERMANENTE
Macron en vassal des USA nous engage dans la guerre.
C'est pourquoi il sacrifie les investissements sociaux (hôpital, école, retraites ...) au profit des dépenses militaires.
C'est pourquoi de notre côté la lutte pour la défense du système de retraites se confond avec la lutte pour la PAIX et le refus de fournir des armes et des tanks au régime de Kiev !
Publié par FSC
532422
Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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