SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO

Voici ci-dessous les revendications :

NAO 2025

 

  1. Un Talon pour tous les salariés (l’enveloppe de L’AG transformée en Talon)
  2. Régulation des coefficients : coefficient inchangé depuis 20 ans = passage au coefficient supérieur avec une augmentation de salaire de 50€. Pour les hommes comme pour les femmes. Mais aucune femme dans le conditionnement au coefficient 215/225.
  3. Majoration nuit à 30 %
  4. Heures de nuit récup passage de 0,50 à 0,60
  5. Prime vacances à 1500€
  6. Maintien prime nuit d’été à 250€ pour le personnel en 3X8 et 190€ pour le personnel week-end
  7. Pour le personnel de journée, possibilité de faire la semaine de 4 jours au lieu de 5.
  8. Application à l’identique pour les hommes sur les dispositions particulières pour le travail de nuit des femmes
  9. Congés seniors qui débutent à partir de 50 ans
  10. Prise en charge de l’augmentation de la mutuelle par la direction
  11. Prime polyvalence : les salariés ne s’y retrouvent pas. La prime est trop faible. Nous demandons que cette prime polyvalence soit à 60€. Pour un mois non complet, pour une moyenne de 20 jours par mois, la prime est proratisée.
  12. Complément prime ancienneté de 31 à 40 ans
  13. Augmentation de la prime de transport
  14. Information syndicale 2 fois/an

 

Prochaine réunion le mardi 14 janvier 2025 à 09H00.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Les travailleurs trop riches ? Le ministre de l’Economie va baisser le taux du livret A à 2,5%

Aujourd’hui fixé à 3%, le taux du Livret A baissera à 2,5% à partir du 1er février. Le gouvernement est particulièrement réactif pour gratter tout ce qu'il peut aux travailleurs au prétexte que les prix n'augmentent presque plus.

Faire les poches aux travailleurs

C’est une première en cinq ans. D’après une annonce du ministre de l’économie Eric Lombard, le taux du Livret A sera donc amené à baisser d’ici le 1er février. Aujourd’hui fixé à 3%, il devrait descendre « autour de 2,5% », selon le ministre. Alors que le taux du Livret A n’avait pas connu de baisse depuis 2020, cette mesure est aujourd’hui justifiée par la baisse de l’inflation, mesurée à +1,3% sur un an en novembre, lors du dernier pointage réalisé par l’Insee.

Le ministre de l’économie a expliqué que : « L’épargne est non seulement protégée mais elle permet au patrimoine réel d’augmenter ». Une déclaration hypocrite qui cherche à masquer les pertes réelles qu’entraînera cette baisse sur l’épargne des 55 millions de Français qui ont recours au Livret A. Une épargne qui profite avant tout aux banques qui engrangent des millions sur le dos des maigres réserves dont bénéficient les ménages, mais aussi aux investissements de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Le directeur du Cercle de l’épargne, un think tank pro-patronal, le reconnait lui-même, loin d’être une pure décision technique, résultant de la moindre augmentation des prix, La baisse du taux du Livret A est une décision éminemment politique. » En 2022, l’augmentation de son taux avait été une manière pour Bruno Le Marie et le gouvernement de ne pas augmenter les salaires face à l’inflation, tout en prétendant hypocritement « protéger les Français de l’augmentation des prix ». Pourtant, face à une inflation avoisinant les 5%, l’augmentation du taux du Livret A à 1,38% était déjà une manière de faire fondre les quelques sous que les travailleurs peuvent se mettre de côté. Cette fois, toujours selon le directeur du Cercle de l’épargne, la diminution du taux est « censée inciter les Français à moins épargner et à plus consommer ».

Dans un contexte d’incertitude économique et politique, avec la menace de fermetures d’entreprises, de licenciements, les capitalistes voudraient relancer la croissance en privant les travailleurs des quelques miettes qu’il leur reste pour ne surtout pas toucher aux profits des plus riches.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Nous sommes le 6 janvier, il est 16h49 et ça y est, les PDG du CAC 40 ont déjà gagné l'équivalent du salaire moyen de leur entreprise !
En 2023, les PDG du CAC40 ont gagné en moyenne 117 fois plus que leurs salariés.
Il est temps de s'attaquer à ces écarts de rémunération mirobolants et de partager plus justement les richesses produites par les grandes entreprises. Notre dernière étude sur le sujet est disponible ici 👉 https://bit.ly/Cash40Oxfam

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Timothée Esprit, licencié pour avoir soutenu la Palestine : soyons nombreux à Pau pour le soutenir !

Licencié pour avoir exprimé son soutien au peuple Palestinien, soyons nombreux ce mercredi à 12h devant la Cour d'appel de Pau pour exprimer notre soutien envers le militant syndical. Solidarité !

Représsion syndicale

Ancien délégué CGT de l’entreprise Toray-CFE à Abidos (Pyrénées-Atlantiques), le militant syndical Timothée Esprit, Secrétaire fédéral de la FNIC-CGT, a appris son licenciement au printemps dernier. En cause ? Son soutien pour la Palestine. Officiellement licencié pour avoir publié une photo du logo du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) sur son compte Facebook personnel, le délégué syndical a saisi le tribunal des prud’hommes afin de le contester. Le tribunal a écarté la compétence du juge des référés, le 28 juin dernier, et a ainsi refusé les demandes légitimes du délégué syndical. Un nouveau procès se tient donc devant la Cour d’appel de Pau ce mercredi pour réexaminer le référé contre ce licenciement abusif chez le premier fabricant mondial de fibres de carbone.

Le 28 mai 2024 à l’occasion d’un premier rassemblement à Lacq, Timothée Esprit expliquait au micro de Révolution Permanente : « Ça fait quatorze ans que je milite dans l’entreprise. Aujourd’hui j’ai été convoqué. Je viens d’apprendre le motif ce matin : ils veulent me licencier pour mon engagement auprès de la Palestine. Ce motif est inédit. On a eu des camarades de la CGT et des militants politiques qui ont été convoqués pour apologie du terrorisme, mais ce qui est inédit ici c’est que je suis menacé de licenciement. […] C’est un nouveau cap franchi, au niveau national, sur la répression syndicale et la répression politique.

« Toray ce sont des conditions de travail infernales et une répression syndicale inouïe. Je suis le quatrième membre de la CGT licencié depuis 2022. Et il y a eu des avertissements, des mises à pied et des convocations de salariés pour fait de grève... » énumérait aussi le délégué syndical licencié à Toray, dans son discours devant les prud’hommes le 14 juin sous les applaudissements d’une centaine de soutiens réunis pour l’occasion.

La CGT a déjà été poursuivie devant le tribunal par la direction de Toray pour « fait de grève illicite ». « Ils ont perdu, mais j’ai été convoqué en gendarmerie pour une autre affaire, j’ai essuyé des sanctions disciplinaires pour revendiquer sur les conditions de travail, on vient d’avoir le licenciement de trois militants CGT il y a à peine un an. » racontait Timothée Esprit à notre micro « On est sur une direction qui fait feu de tout bois contre toute personne qui oserait ne serait-ce que relever la tête. Effectivement, c’est un licenciement politique, mais au-delà de ça ils veulent se débarrasser de moi comme d’autres : à Toray je suis le quatrième, et ailleurs il y en a d’autres ». Les exemples de répression contre les syndicalistes combatifs se multiplient : il y a un an, la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet dénonçait déjà que plus de 1000 militants et 17 dirigeants syndicaux étaient visés par des procédures judiciaires. Du jamais vu depuis l’après-guerre selon elle.

Si cette répression d’ampleur a suscité une riposte organisée, par la grève, à l’image des luttes pour Timothée Esprit ou des travailleurs de Neuhauser contre le licenciement du délégué CGT Christian Porta et plusieurs de ses collègues, la réponse est restée limitée à des luttes locales ou sectorielles en l’absence d’un plan de bataille des directions syndicales. Une absence de perspectives stratégiques que regrettait Timothée Esprit à notre micro. « Demain, tout le monde peut être dans ma situation. L’important c’est de ne pas réagir entreprise par entreprise, moi ou mon syndicat contre mon patron. Il faut une réaction de la classe ouvrière. Les appels à la grève, chez Michelin, dans le bassin de Lacq dans plusieurs usines, mais aussi chez Air Liquide et dans d’autres industries. Les gens qui se sont mobilisés ont donné la ligne de conduite à chaque travailleur. » expliquait-il le 14 juin dernier.

« Tous les copains et les copines qui sont dans les boîtes et les usines en bleus de travail, dès lors qu’ils expriment leur opinion, à savoir si telle guerre est injuste, si des gens meurent pour rien, peuvent potentiellement être condamnés ou éjectés. C’est l’expression politique de la classe ouvrière qui est mise en danger. Et il faut avoir une réaction en bloc tous ensemble. » concluait-il.

C’est donc à la fois pour défendre le fait que soutenir la Palestine n’est pas un crime, et dénoncer tout atteinte contre l’expression politique des ouvriers, que nous devons être nombreux pour soutenir Timothée Esprit ce mercredi 8 janvier à midi, place de la Libération à Pau.

Dans le même communiqué unitaire, l’union locale CGT de Pau, la FSU 64 Solidaires Béarn appellent également à se rassembler le lendemain à 13 heures au même endroit en solidarité avec Ernesto (SUD Éducation) et Bernard, gilet jaune, accusés de « violences » pendant une manifestation contre la réforme des retraites.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Le saviez-vous

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NAO 2025

Voici les prochaines dates des NAO :

 

Vendredi  janvier 2025

 

Jeudi 23 janvier 2025

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

LA CGT UNILEVER VOUS SOUHAITE UNE BONNE ANNÉE 2025 ENGAGÉE, OFFENSIVE, SOLIDAIRE POUR VOUS ET VOS PROCHES.

Bonne année 2025

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Un point de vue qui a le mérite d'attirer l'attention sur la démarche de l'oligarchie qui a consisté et consiste à organiser la dépendance des états et des peuples à l'égard des marchés financiers, des intérêts privés ...

Eh par conséquent de soumettre les peuples au chantage et aux menaces des " plans structurels " chers au Fond Monétaire International (FMI) pour s'en prendre directement aux services publics comme on a pu le voir avec la Grèce en complicité avec l'Union européenne et ses dirigeants!

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Marcel Monin pour France-Soir
 
Publié le 24 décembre 2024
 
 
Image
dette

 

Il y a une quarante d’années, des esprits distingués qui avaient le pouvoir, imaginèrent que les élus dépenseraient mois, s'ils empruntaient auprès des banques privées et autres financiers privés, lorsque l’argent des impôts ne leur donnaient pas assez de moyens, Et non plus auprès de l’Etat lui-même (1), via la Banque de France. La perspective d’avoir à leur payer des intérêts (ou à tout le moins à faire payer ces intérêts par les contribuables- électeurs) étant censée leur faire passer leurs mauvaises habitudes.  

Ces idées étaient moins stupides qu’il peut y paraître (quelle qu’ait été l’augmentation vertigineuse de la dette qui les a suivies). 

Pour au moins deux raisons.  

Déjà, parce que la réforme qui s’en est suivie a été une aubaine pour ceux qui avaient des capitaux à placer. Les bons du trésor leur assuraient d’être tranquilles longtemps puisque les politiques puisaient dans la poche des contribuables.  Et puisque les politiques empruntaient sans cesse pour rembourser et si besoin pour assurer le paiement des intérêts. Ce qui n’aurait pas été le cas si l’Etat ou les collectivités territoriales s’étaient procuré l’argent auprès de l’Etat. Etat qui pouvait exiger ou non le remboursement. Etat disposant de la maîtrise (lui et non les marchés financiers) de la détermination du taux d’intérêt en fonction de la politique économique, s’il entendait en mener une (librement).  

Ensuite, parce pour le commun des mortels, « qui dit dette, dit remboursement » (capital et intérêts). Sentiment et surtout argument qui engendrent une deuxième opportunité, quand les politiques veulent réaliser le désendettement par l’abandon de certains services publics ou l’arrêt de certaines prestations. (On ne sait guère faire autre chose). Ce qui permet aux détenteurs privés de capitaux de mettre la main sur ces activités (2), qui doivent continuer (transports par rail ou par autobus, enseignement, médecine, …et même sécurité), donc, qui peuvent rapporter. Ce qu’ils ne pourraient pas espérer si les prêts étaient remboursés par une simple émission monétaire par l’Etat. 

Il est donc probable que les dirigeants actuels continueront à dire aux citoyens, quitte à se moquer quand même un peu d’eux, (et à faire dire et répéter par les médias amis), que ce ne serait pas bien que ces derniers transfèrent à leurs enfants la charge de la dette. Dette que les dirigeants en question ont contractée à l’occasion du … bon déroulement de leur carrière politique.  

 

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(1) Le traité de Maastricht interdit carrément de le faire. 

(2) Préoccupation qui a fait l’objet de la formulation d’un principe recouvrant en réalité des intérêts très concrets. On se rappelle que ceux qui ont provoqué le transfert du pouvoir des mains du roi vers les leurs en 1789 ont proclamé  le principe de la « liberté du commerce et de l’industrie ». Qui veut en réalité dire, que tout ce qui est susceptible de rapporter de l’argent doit être réservé à l’initiative privée. Préoccupation que l’on retrouve dans la jurisprudence sur les interventions économiques des communes. Lesquelles ne peuvent mettre en place des activités de type commercial ( comme ouvrir une boucherie) que lorsque l’initiative privée est défaillante, et que pour le temps de cette défaillance. 

Publié,par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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