SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Les ultra-riches

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La position de Bernard Arnault est indécente, 7 ans que Macron fait des cadeaux fiscaux aux patrons, et quand on leur demande de contribuer aux efforts budgétaires il n'y a plus personne.
300 plans de licenciement en cours, un niveau de chomage qui explose, et à côté le CAC 40 distribue 100 Mds de dividendes. De qui se moque-t-on ?
 
Le gouvernement doit reprendre la main !

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(Alliance News) - Unilever PLC s'oriente vers une double, voire une triple cotation de son activité de crèmes glacées, Amsterdam étant susceptible d'être un lieu d'introduction en bourse au même titre que Londres ou New York, a rapporté le Financial Times vendredi.

Selon des sources du FT, la société envisage de se séparer de sa division de crèmes glacées, d'une valeur de 15 milliards d'euros, qui comprend des marques telles que Magnum et Ben & Jerrys, et une décision devrait être annoncée sur le lieu de cotation d'ici la fin du mois de mars.

Unilever, qui est cotée à Londres, est encore en train d'évaluer un certain nombre de facteurs qui influenceraient son choix, selon le FT, et le résultat pourrait changer.

Toutefois, les Pays-Bas sont susceptibles de figurer parmi les marchés pour la cotation, ce qui pourrait provoquer la consternation à Londres, où le groupe a son siège social, poursuit le rapport.

Nelson Peltz, l'investisseur activiste et membre du conseil d'administration d'Unilever, a plaidé en faveur d'une cotation aux États-Unis, ajoute le rapport. Un représentant de Peltzs Trian Fund Management s'est refusé à tout commentaire. Unilever s'est également refusé à tout commentaire.

Les actions d'Unilever ont clôturé en baisse de 0,1 % à 4 659,50 pence chacune à Londres vendredi.

Par Jeremy Cutler, journaliste à Alliance News

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Le chômage en forte hausse : face à la casse sociale, le mouvement ouvrier doit construire une riposte

Le taux de chômage a enregistré sa plus forte hausse depuis 10 ans et pourrait atteindre 8,5 % de la population active d'ici la fin 2025. Une situation alarmante face à laquelle le mouvement ouvrier doit construire une riposte pour le maintien de l'emploi et le partage du temps de travail.

Casse sociale

Crédit photo : France Travail

L’année 2025 marque un tournant dans la conjoncture économique et sociale. Selon les chiffres de la DARES publié ce lundi, le nombre de personnes disponibles mais sans emplois (catégorie A) a augmenté de 4,0 % pour le dernier trimestre et de 3,7 % sur l’ensemble de l’année 2024. Nous assistons à la plus forte hausse du chômage en France (hors Mayotte) des dix dernières années si l’on exclut la période de crise du Covid-19.

Et les prévisions économiques ne prévoient pas une amélioration à court terme. Stéphane Colliac, économiste de la banque BNP Paribas alerte dans les colonnes du journal Le Monde sur « 100 000 destructions nettes d’emploi en 2025 » et un « taux de chômage à 8,5 % de la population active en fin d’année ». La jeunesse est particulièrement touchée avec, selon la DARES, une augmentation du nombre de chômeurs de catégorie A de moins de 25 ans qui atteint les 8,5 % pour le dernier trimestre.

Cette hausse brutale du chômage fait suite à une vague de destruction d’emplois, en témoignent les inscriptions à France Travail faisant suite à un licenciement économique qui sont en hausse de 26 %. D’un côté, 2024 a enregistré un nombre record de défaillances d’entreprises engendrant des licenciements qui restent souvent peu médiatisés. De l’autre, on assiste à des plans de licenciements massifs dont plus de 300 ont été recensés par la CGT depuis septembre 2023. Les secteurs comme la métallurgie, la chimie, le commerce ou les services publics sont les plus touchés.

Début 2024, le chômage était retombé à 7,5%, suite à la « politique de l’offre » de Macron. Ce dernier avait favorisé la création d’emplois précaires, notamment en subventionnant massivement l’apprentissage. Le renversement de tendance en cours constitue un énorme désaveu de la politique Macron alors qu’il fait face à une importante crise politique.

Dans ce contexte, le mouvement ouvrier ne peut pas rester passif. Il y a urgence à construire une riposte d’ampleur à échelle nationale pour défendre le maintien de tous les emplois en imposant l’interdiction des licenciements. Plutôt que de participer à assurer la stabilité du gouvernement Bayrou en participant à la mascarade du « conclave », les directions du mouvement ouvrier doivent se saisir de la crise politique en cours pour imposer des revendications qui répondent à la crise.

Il faut non seulement défendre l’interdiction des licenciements, l’embauche immédiate en CDI de tous les travailleurs précaires, mais aussi la réduction et le partage du temps de travail sans baisse de salaire pour que chaque travailleur puisse trouver un emploi.

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Pour empêcher la syndicalisation, Amazon quitte le Québec et licencie 1 900 travailleurs

Ce mercredi, la multinationale américaine a annoncé la fermeture définitive de ses sept entrepôts québécois entraînant la perte d’emploi de près de 2000 travailleurs. Une décision scandaleuse suite à une intense lutte anti-syndicale dans ses centres logistiques.

Licenciements

Crédit photo : TVA Nouvelles

La direction d’Amazon a décidé ce mercredi 22 janvier de fermer ses sept installations de la province québécoise et de licencier 1700 salariés et environ 250 employés temporaires. Selon le ministère du Travail et de la Solidarité sociale, ce serait même 3500 travailleurs qui vont perdre leur emploi en comptant les entreprises sous-traitantes d’Amazon. Dans un contexte de récession, de nombreuses familles se retrouvent en grande précarité, alors même que la firme américaine engrange des bénéfices record et multiplie les stratégies pour éviter les impôts et lutter contre les droits des travailleurs. Le groupe américain va désormais s’appuyer sur des sous-traitants pour assurer les livraisons au Québec, augmentant encore plus la pression sur les travailleurs de ces entreprises.

La multinationale américaine acte son retrait après seulement 3 ans de son installation au Québec. Une décision scandaleuse, et «  difficile à comprendre d’un point de vue business  », comme l’écrit Libération. En effet, elle répond plutôt à la vague de syndicalisation en cours depuis le printemps 2024 dans un des entrepôts de l’entreprise. En mai 2024, un groupe d’employés de l’entrepôt DXT4 de Laval avait créé un syndicat dans le but d’obtenir une revalorisation salariale et de meilleures conditions de travail. Amazon avait contesté la création de ce syndicat et mené une campagne de harcèlement pour éviter à tout prix une syndicalisation des employés des autres centres logistiques.. Dans une déclaration du 22 janvier, la présidente de la CSN (Confédération des Syndicats Nationaux) avait dénoncé les manœuvres du groupe : « C’est une gifle pour tous les travailleuses et les travailleurs du Québec. Depuis le début de notre campagne il y a trois ans, Amazon a tout fait pour empêcher la syndicalisation de ses employé-es : campagne de peur, messages antisyndicaux, contestation du Code du travail, congédiements déguisés… Et aujourd’hui, on apprend que la multinationale préfère se retirer du Québec plutôt que de respecter son obligation à s’entendre sur une convention collective ? C’est totalement inacceptable. »

Cette répression antisyndicale s’inscrit dans une stratégie menée par Amazon dans ses entrepôts à l’échelle internationale pour freiner l’extension des mouvements de lutte, un mois seulement après la plus grande grève dans l’histoire d’Amazon aux Etats-Unis. En outre, ce retrait arrive aussi suite à l’annonce par Trump de l’augmentation des tarifs douaniers de 25 % sur tous les produits importés du Canada et du Mexique, si ces pays n’endiguaient pas le « flot de drogues et de migrants » vers les États-Unis. Face à l’exacerbation de la guerre commerciale, ce sont les travailleurs et leurs familles qui risquent d’en payer les frais, à l’instar des milliers de travailleurs qui perdent leurs sources de revenu en raison des caprices répressifs du multimilliardaire Jeff Bezos, qui s’affichait récemment aux côtés de Donald Trump lors de son investiture. Contre cette offensive, seule une mobilisation large du monde du travail pourra permettre de lutter contre les répressions syndicales et la précarisation des travailleurs.

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« Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. La lutte de classes, au contraire, est la base de l'unité, son motif le plus puissant.

C'est pour la mener avec succès en rassemblant l'ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n'est pas une invention, c'est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu'elle cesse : renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l'exploitation et à l'écrasement.

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7 h de travail gratuit par an : le gouvernement relance l’idée pour imposer son budget austeritaire

Ce week-end, plusieurs ministres ont remis en avant l’idée de nous faire travailler sept heures supplémentaires, gratuitement, chaque année pour combler le déficit de la Sécu. Après l’accord de non-censure avec le PS, le gouvernement Bayrou met les bouchées doubles pour accomplir son programme austéritaire.

Attaque sociale

Alors que Barnier avait préféré faire retirer cette proposition quand il pensait encore pouvoir éviter la censure, les macronistes ont remis sur la table l’idée d’une nouvelle « contribution de solidarité » pour combler le budget de la Sécurité sociale.

Le gouvernement relance la piste dès 7 heures de travail gratuit

Comme l’assume Catherine Vautrin (actuelle ministre du Travail, qui faisait déjà partie du gouvernement Barnier… et du gouvernement Attal avant lui !), cela reviendrait à « travailler sept heures de plus dans l’année ». « Soit dix minutes de plus chaque semaine », ajoute-t-elle dans l’interview qu’elle a donnée ce dimanche pour le JDD. Étrange manière de présenter les choses ! Car, si le mécanisme peut sembler complexe, le principe est très simple : concrètement, il s’agit surtout de retirer aux salariés une journée de repos, et de les mettre au travail sans les payer.

Il s’agit en effet de reproduire le principe de la journée dite de « solidarité », mise en place en 2004 par le gouvernement Raffarin sous la présidence de Jacques Chirac. Cela consiste en réalité à supprimer un jour férié ou un RTT. L’argent produit par cette journée de travail supplémentaire sera ensuite versé à la branche « autonomie » de la Sécurité sociale, qui finance des dispositifs à destination des personnes handicapées et des personnes âgées dépendantes comme les EPHAD, les maisons départementales de personnes handicapées (MDPH), ou encore les prestations pour l’aide à domicile.

En réalité, il s’agit purement et simplement d’une contribution financée par les travailleurs, sans que cela ne coûte un centime au patronat, sans entrainer aucune amélioration pour les services publics, que le gouvernement va encore dégrader avec son budget austéritaire.

Amélie de Montchalin, la ministre des Comptes publics, a cherché à atténuer la portée de l’attaque, évoquant que les 7 heures de travail gratuit étaient « une piste qui est sur la table ». Si cette manœuvre permet de faire passer, en la déguisant, une mesure impopulaire, l’objectif du gouvernement est bien de faire pression, pour que l’Assemblée acte de nouvelles attaques contre les travailleurs. La mesure permettrait en effet de générer jusqu’à 2,4 milliards d’euros de recettes supplémentaires, et les entreprises auraient l’entière liberté de l’appliquer comme bon leur semble.

Derrière l’enfumage du deal avec le PS, Bayrou trouvera bien 50 milliards sur notre dos

Or, pour parvenir au 50 milliards d’économies espérées par le gouvernement, pas question de toucher au patronat. C’est en ce sens que ce dernier s’en prend aux travailleurs et aux classes populaires En ce sens, ce que Bayrou a donné d’une main lors des négociations, il compte bien le reprendre de l’autre. Sans rien apporter pour éviter l’austérité, le deal entre le PS et le gouvernement permet surtout au dernier à se maintenir au pouvoir, lui donner les moyens de continuer sa politique austéritaire, tout en permettant d’éviter que l’instabilité s’enracine.

De la même façon, cette attaque qui marque la détermination de Bayrou à appliquer son programme, démontre le caractère absurde de l’acharnement des directions syndicales à vouloir négocier avec le gouvernement et le patronat sur la réforme des retraites. C’est notamment le cas de la CFDT qui s’est félicité pour l’ouverture du « conclave », évoquant une « opportunité inédite ». De son côté, la CGT compte également participer aux rencontres, critiquant seulement le format des négociations sans remettre en cause le principe de ces négociations. A cet égard, la confédération appelle de ses vœux une « conférence de financement avec tout le monde autour de la table ».

Les directions syndicales veulent donc, d’un côté, négocier sur les retraites, dans un cadre ultra-contraint au sortir duquel le gouvernement ne gardera que les propositions ayant fait consensus, pendant que, de l’autre, Bayrou continuera ses offensives contre les travailleurs. Une logique qui revient à accepter des défaites et renoncer d’emblée à affronter le budget austéritaire record de Bayrou.

Face à la détermination du gouvernement, des macronistes et de la droite, les négociations et le dialogue social sont condamnés à l’impuissance. A l’inverse, contre un gouvernement faible, qui a dû négocier pendant des semaines pour acheter sa survie, une orientation alternative pour le monde du travail, qui proposerait des perspectives de luttes contre l’austérité, la vague de licenciements et l’abrogation de la réforme des retraites, serait en capacité de faire reculer Bayrou.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Commentaire du quotidien «Rizospastis» , organe du CC du KKE, publié le 11/1/25

 

 
 

 

Récemment, la dirigeante du parti d’extrême droite allemand AfD a déclaré qu’« Hitler était un communiste et un socialiste ». Alice Weidel a fait cette déclaration lors de sa discussion très médiatisée avec Élon Musk, milliardaire et allié de Donald Trump. Elle a dit cela pour montrer la distance qui est censeé la séparer du nazisme, puisque « Hitler n’était pas un conservateur ni un libertarien. Nous sommes exactement le contraire. »

Qui sait ? Peut-être qu’elle en sait plus que les capitalistes industriels qui ont soutenu Hitler, comme le président de l’Association des Industries Allemandes, Krupp, à l’époque. Peut-être que, selon elle, même le capital allemand qui a versé des millions de marks au parti national-socialiste, permettant ainsi à Hitler d’accéder au pouvoir, était...« communiste ».

Peut-être que les monopoles américains « Ford », « General Motors », IBM, etc., qui ont joué un rôle de catalyseur dans le soutien au nazisme en encaissant d’énormes profits, étaient des « miasmes crypto-socialistes ».

Peut-être que les dirigeants de Ford et d’IBM eux-mêmes, qui ont reçu les médailles de « Croix Allemande » du Troisième Reich, ne se rendaient même pas compte de ce dans quoi ils s’embarquaient avec leur Adolf...

Les chiens de garde du capitalisme, tels que l’AfD, rivalisent avec l’Union européenne en matière de propagande pour assimiler le fascisme au communisme. Il s’agit d’une doctrine utilisée pour embellir la forme la plus barbare du pouvoir capitaliste, le fascisme et le nazisme, et pour calomnier la plus grande conquête des peuples, le socialisme-communisme et le pouvoir ouvrier. La confiance des géants du business comme Musk dans de telles forces est donc tout à fait naturelle...

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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