SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

La France a livré à l'Ukraine pour 640 millions d'euros de matériels militaires en 2022

La France a livré à l'Ukraine pour 640,5 millions d'euros d'armements l'année dernière, selon le rapport au Parlement sur les exportations d'armement de La France a livré à l'Ukraine pour 640,5 millions d'euros d'armements en 2022, selon le rapport du ministère des Armées au Parlement sur les exportations d'armement de 2022 de la France, dont La Tribune a obtenu une copie. Cette évaluation, a précisé le rapport, a été établie en tenant compte des méthodes utilisées dans le cadre de la Facilité européenne de Paix (FEP) de l'Union européenne (UE). La France a essentiellement cédé gratuitement 60 véhicules blindés de combat, 24 canons de 155 mm, 10 mortiers de 120 mm et 118 missiles (+ lanceurs de missiles) ainsi que deux systèmes d'artillerie, 34 mitrailleuses 7,62 mm, 562 mitrailleuses 12,7 mm et 704 lance-missiles et lance-roquettes antichars portatifs. L'année dernière, elle a également livré à l'Ukraine du matériel acheté. Soit 15 canons de 155 mm et 20 pistolets mitrailleurs.

« Les livraisons d'armement à l'Ukraine sont aujourd'hui particulièrement visibles car elles matérialisent, qualitativement et quantitativement, l'effort consacré par la France et ses partenaires pour aider un État agressé à se défendre de manière légitime, conformément à l'article 51 de la Charte des Nations unies. Elles reposent très majoritairement sur des cessions d'équipements de nos armées », a expliqué le ministre des Armées, Sébastien Lecornu en introduction du rapport.

Par ailleurs, en 2022, l'Ukraine a commandé aux industriels français pour 118,6 millions d'euros de matériels militaires. Pour satisfaire les besoins de l'Ukraine, la France a mis en place un fonds national de 200 millions d'euros, qui permet de faciliter et accélérer l'équipement des forces armées de Zelenski.

LIEN

 

Ainsi, Macron trouve l'argent pour financer la guerre - nous n'avons pas les chiffres pour cette année - mais pas pour les salaires et nos services publics. Qu'il s'agisse de dons gracieux pris sur notre propre défense nationale, ou d'argent frais sur notre budget, Macron puise dans nos portefeuilles pour le clown, son ami Zelenski.

En vain : celui-ci a perdu sa grande offensive malgré ce soutien à bout de bras poursuivi cette année sans compter par le camp occidental.

De tels résultats, aux USA, provoquent l'inquiétude. Les Américains se réveillent et contestent cette politique, favorisant dans les sondages Donald Trump qui y est opposé.

Mais en France, l'arc-en-ciel politique, qui se prétend « de gauche », tourne la tête, alors qu'une autre guerre se profile en Afrique, au Sahel précisément.

Le PCF, les Insoumis n'ont ni yeux pour voir, ni oreilles pour entendre : les députés sont en vacances d'idées et de projet depuis des mois et des années.

Et quand ils nous font part de leurs sentiments, c’est pire encore : ils se vautrent hardiment dans la boue sanglante du capital, adoptant pour l'essentiel, les thèses de l'Elysée enveloppées dans du papier doré.

Il est grand temps que notre peuple se réveille !

JEAN LÉVY

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Source : l'Humanité

Le chantier débute de la Tour Eiffel débute en 1887, la première grève des ouvriers en septembre 1888. L’histoire du monument est aussi vieille que celle de la CGT. Autant dire que la Tour s’y connaît en luttes sociales.

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Jeudi 10 août 2023

 

Le 4 juillet 2022, les salariés des boutiques de la Tour Eiffel manifestent pour une revalorisation des salaires à hauteur de 200 €.
Pierrick Villette
Le 4 juillet 2022, les salariés des boutiques de la Tour Eiffel manifestent pour une revalorisation des salaires à hauteur de 200 €.
 

« La grève, il faut en user sans en abuser », glisse un syndicaliste. Avant même son achèvement, la Tour fut un terrain de luttes sociales. Lors de l’inauguration du premier étage, Gustave Eiffel offre un banquet à « ses » ouvriers. « Je leur annonçai que je prenais à ma charge la retenue de 3 % qui, jusqu’alors, leur avait été faite sur leurs salaires pour payer l’assurance, en cas d’accident », écrit-il en 1890 dans « la Tour de 300 mètres ». D’abord accueillie « avec empressement », sa proposition est jugée insuffisante. « À partir du premier étage, ils manifestèrent à plusieurs reprises le désir d’une augmentation des prix de journée. »

Le 19 septembre 1888, c’est la grève. La première. Les négociations durent trois jours. Eiffel doit céder. « Il fut convenu que le prix de l’heure de chaque catégorie d’ouvriers serait, à partir de fin août, augmenté progressivement de 0,05 franc pour chaque mois jusqu’à concurrence de 0,20 franc comme maximum. » Le travail reprend. Le 20 décembre, alors que le deuxième étage vient d’être construit, nouvel arrêt de travail. Gustave Eiffel tient bon. « J’estimai, à ce moment que, si je faisais une concession nouvelle, j’entrerais dans une voie pleine de périls. » Il promet néanmoins une gratification de 100 francs « à tous les monteurs qui continueront le travail jusqu’à la pose du drapeau ». Tout rentre dans l’ordre. La Tour est achevée. Eiffel rend hommage à ses ouvriers « qui ont déployé pendant tout le cours du travail des qualités exceptionnelles d’énergie et d’endurance aux intempéries ». Ils se révéleront, au fil du temps, de redoutables négociateurs.

La bagarre de 1988 où « les salaires ont été multipliés par deux »

« Quand on ferme la tour Eiffel, quinze minutes plus tard, les médias sont là, sourit un syndicaliste. Ça donne du poids à nos revendications. » Jusqu’en 2006, la tour Eiffel obéit aux règles d’une société privée. Ses salariés, échappant au préavis de cinq jours – obligatoire dans le secteur public –, peuvent se mettre en grève du jour au lendemain. « C’est simple, se souvient un vieux cégétiste. On fermait le lundi, ça durait une semaine, et le vendredi, on obtenait gain de cause. La direction voulait à tout prix sauver le week-end. »

Il évoque la bagarre de 1988. « La tour Eiffel lève le pied », peut-on lire sur de vieilles affiches syndicales, précieusement conservées dans un dossier. Les agents d’accueil, sous-payés, réclament alors que leurs primes soient intégrées à leur salaire. La direction leur tient tête quelques jours, puis cède. « Les salaires ont été multipliés par deux. »

Principaux représentants des salariés de la Tour, CGT et FO sont systématiquement solidaires. « À une exception près, on a toujours fait front commun », dit l’un d’eux. Et ça marche. « On a toujours gagné. » Un lundi de 1994, les visiteurs trouvent ainsi porte close. « On réclamait une hausse de 4 francs de l’heure pour tout le monde. » Le vendredi, après une semaine de bras de fer, ils obtiennent gain de cause. « D’un seul coup, ça faisait une belle augmentation. »

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : Ouest France

Les adhérents de la CGT se sont réunis ce mercredi 9 août 2023 devant le portail de l’entreprise Lactalis, à Clécy (Calvados). Ils étaient venus soutenir Yan Bertot, représentant syndical dans l’entreprise, convoqué de nouveau devant la direction de la Société fromagère

 

Yan Bertot, représentant syndical de la CGT de la Société fromagère de Clécy (Calvados), qui fait partie du groupe Lactalis, a écopé de cinq jours de mise à pied. Dès 13 h 30, mercredi 9 août 2023, alors qu’il est de nouveau convoqué devant la direction de l’entreprise, les manifestants de la CGT et de Solidaires se massent devant le portail de la société, et pointent une « répression syndicale ».

 

« J’ai reçu ma lettre de sanction le 20 juillet, et le 28 j’étais de nouveau convoqué pour aujourd’hui », raconte-t-il en secouant la tête. Après seulement vingt minutes d’entretien, le chargé de maintenance de la station d’épuration revient, un sourire crispé aux lèvres.

« J’irai jusqu’au bout »

« On me reproche d’être intervenu dans une armoire électrique sans protection », explique-t-il aux manifestants. « Cette accusation est faite sur le seul témoignage de mon chef d’équipe et ne correspond pas à mes souvenirs », souffle-t-il, sans vouloir en dire davantage. Des électriciens d’une société extérieure seraient intervenus le même jour, soit le 27 juillet. Les accusations de la direction auraient été « très floues, et ils se sont contredits plusieurs fois ».

Alors qu’il a déjà contesté la première sanction, il se dit prêt, d’ici un mois, à contester la seconde. « J’irai jusqu’au bout, aux prud’hommes, s’il le faut ».

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Avec les menaces de grève sur les plateformes de gaz liquéfié de l'australien Woodside , la presse française dénonce ces grèves en Australie qui selon elle pourraient faire grimper les prix.
Ce n'est bien sûr que de la propagande anti-grèves. Les bénéfices de ces sociétés de gaz liquéfié sont considérables - ce que ne dit pas la presse - et ce sont eux qui font monter les prix. Il est tout à fait possible d'augmenter les salaires en rognant légèrement sur les profits et les prix n'augmenteront pas.
Mais la presse française ne parle pas – de peur que ça fasse boule de neige ici – de la vague de grèves en Australie pour les salaires qui fait que leur nombre est au plus haut depuis 5 ans en ayant même augmenté de 150% ces dernières semaines et cela malgré un droit de grève de plus en plus limité.
Depuis début juin, les grèves ont touché près de 20 000 travailleurs sur un large éventail de professions reflétant une tendance croissante à la contestation partout contre l'inflation. Cette semaine, près de 10 000 fonctionnaires du gouvernement fédéral ont entamé une action revendicative. Au cours de chaque mois de cette année, il y a eu chaque mois plus de votes en faveur de la grève que le mois précédent.
Au deuxième trimestre de 2022, l'activité gréviste a atteint son plus haut niveau en près de deux décennies, avec plus de 128 000 jours de travail perdus.
Ces luttes ont abouti dans un premier temps à l’élection d'un gouvernement travailliste au niveau fédéral et dans tous les États et territoires, à l'exception de la Tasmanie. Mais les promesses d'un "avenir meilleur" ont été vite remplacées par la demande du gouvernement travailliste aux travailleurs de faire des efforts et des sacrifices au nom des "gains de productivité" nécessaires selon les autorités pour que le pays aille mieux et qu'il y ait ainsi un ruissellement profitable aux travailleurs !
Mais maintenant ces mensonges ne marchent plus et les grèves reprennent de plus belle.
Aussi, les travaillistes ont durci la législation anti-grève à la fin de l'année pour tenter d'enrayer la montée des luttes. L'ancienne législation imposait d'essayer de trouver un accord avant de déclencher une grève mais la nouvelle a encore aggravé les choses.
Avec la nouvelle loi, lorsqu'un syndicat envisage de déclencher un scrutin de grève, il doit y avoir préalablement au déclenchement du scrutin et de la grève, une conférence de conciliation patronat-syndicats sous l’autorité des tribunaux du travail. La loi exige que ces conférences se déroulent « en privé », c'est-à-dire derrière le dos des travailleurs et ces négociations peuvent durer des mois et des mois. De plus, si après neuf mois de négociation, les parties sont dans une impasse, les tribunaux du travail peuvent interdire la grève et imposer les exigences de la direction.
Mais rien n'y fait, malgré tous les obstacles, chaque mois de cette année qui passe voit un nombre croissant de grèves et de votes en faveur de grèves à venir.
COMME AUX USA, AU CANADA ET EN GRANDE-BRETAGNE, LE NOMBRE DE GREVES EXPLOSE EN AUSTRALIE

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

En juin et juillet, les volumes de glaces vendus ont reculé de -3,7 % par rapport à 2022, avec un chiffre d’affaires en hausse de +9,9 %, porté par l’inflation.

C’est chez les moins de 35 ans que la baisse est la plus forte.

C’est chez les moins de 35 ans que la baisse est la plus forte.

Coup de froid sur les glaces ! Après l'année record 2022, la consommation de glace a reculé de près de 4 % en volumes au cours de la saison estivale 2023, entre le 29 mai et le 30 juillet, révèle NielsenIQ. Selon le panéliste, les ventes en hyper, super, discount, e-commerce et proxi se sont en revanche appréciées de près de 10 % en valeur, portées par l’inflation alimentaire. « L’inflation cumulée depuis janvier 2022 est de 20,4% pour les glaces, contre 17,9 % pour les PGC-LS », souligne d’ailleurs Nielsen. Mais si la saison 2023 est en deçà de celle de 2022, ses performances sont bien au-delà de la saison 2021 : le nombre d’unités vendu a en effet progressé de +12,9 % par rapport à 2021.

Les volumes de glaces vendus reculent de 4 % sur la saison 2023

C’est chez les moins de 35 ans que la baisse est la plus forte au cours du dernier trimestre, perdant 129 000 foyers acheteurs. En revanche, le marché a gagnée 95 000 nouveaux acheteurs chez les plus de 65 ans. De même, 104 000 foyers de trois personnes ont déserté les linéaires glaces, quand 58 000 nouveaux foyers de deux personnes ont succombé aux plaisirs glacés. Enfin, c’est chez les foyers au niveau de vie moyen intermédiaire que la baisse est la plus forte (perte de 107 000 foyers acheteurs). C’est surtout dans les départements du sud de la France et des régions côtières que les ventes ont le plus reculé. En nombre d’unités de glace, le nombre de foyers consommateurs a ainsi reculé de -13,2 % dans la zone Pyrénées Aquitaine, de -9,7 % en Provence Languedoc, -7,9 % en Nord Picardie et de -6,2 % en Touraine Charente. Il a en revanche progressé de +0,2 % dans le Grand Est.

Les bâtonnets gourmands Magnum d’Unilever confirment leur statut de blockbuster. Entre juin et juillet, la marque classe 6 références dans le top 10 des meilleures ventes.

Les volumes de glaces vendus reculent de 4 % sur la saison 2023

Publié par www.lsa-conso.fr

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LA LEGION D’HORREUR

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Pour une fois, nous sommes d'accord avec « Le Monde », sa Une datée du 8 août, précise sous le titre :

« Bernard Arnault le tout-puissant », le quotidien ajoute « : Le PDG de LVMH a acquis un statut de chef d'État »

Et en conséquence, sur deux pages, le quotidien lui consacre "une enquête en deux volets", truffée de photos de Bernard Arnault avec les grands de l'univers, avec pour titre en lettres capitales :

« BERNARD ARNAULT LE TOUT PUISSANT »

Pourtant, Bernard Arnault n'est pas le financier qui détient le capital du « Monde » ...(*)

Et puisé dans l'article, citant un essayiste évoquant les « grandes entreprises », (Celles-ci) sont devenues des acteurs politiques ». 

Et « Le Monde » ajoute : « Un pouvoir sans frontières, sans légitimation démocratique ».

Le quotidien reprend ensuite les propos d'un député macroniste :

« Bernard Arnault est arrivé à un niveau de puissance économique tel qu'il a inversé le rapport de force avec le politique »

« Le Monde » verserait-il dans le complotisme ?

C'est la puissance de ses 221,8 milliards de dollars - la deuxième fortune du monde – que le patron de l'industrie du luxe de notre pays – avec ses compères du CAC 40 – pèse sur l’économie et la politique de la France. 

C'est ce qu'on appelle dans notre jargon, l'oligarchie financière. Elle détient à la fois la direction de l'économie, le pouvoir politique géré par ses relais à l'Elysée et, par ses laquais, la mainmise médiatique sur l'opinion.

C'est ce qui conduit « Le Monde » à consacrer deux pages entières à Bernard Arnault, comme du temps des rois, la gazette officielle ne relayait que les nouvelles de la Cour...

Mais sommes-nous si loin de ce temps-là ?

JEAN LÉVY

(*) Logotype du groupe Le Monde. 2010 : rachat du groupe par le trio Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse. Octobre 2019 : Daniel Kretinsky entre au capital du Monde. 

Publié par EL DIABLO

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SOURCE : L'Informateur

Michelin Blanzy – « La décision est de réintégrer l’élu CGT »

 

Communiqué de la CGT Michelin Blanzy.


Cela faisait deux mois que l’élu du Syndicat CGT Blanzy était en mise à pied conservatoire et ne touchait plus de salaires.
Suite aux deux enquêtes des services internes de Michelin Clermont Ferrand qui accusaient l’élu de harcèlement, l’inspection du travail devait mener sa propre enquête au sein de l’établissement et a rendu son jugement.
Face aux accusations d’insultes, de refus de travailler, de harcèlement, de chantage financier, il a été prouvé que les faits étaient soit inexistants, montés de toute pièce, soit proscrit et déjà contesté par l’élu. Celui-ci, d’ailleurs, va saisir les prud’hommes pour contester les blâmes et mise à pied disciplinaire.
L’inspection du travail a pu mener une enquête rigoureuse en allant voir les plaignants et l’élu et se faire un avis.
La décision est la réintégration de l’élu CGT a son poste de travail, qui lui avait été supprimé pendant deux ans et le paiement des arriérés de salaires.
La machine à broyer le syndicalisme CGT s’est arrêtée sur cette décision, mais les dommages restent importants pour l’élu calomnié et sali.
L’importante mobilisation des instances de la CGT, que ce soit local ou au niveau national, ont permis de faire la lumière sur cette machination de Michelin pour faire licencier un élu gênant.
Et malgré la collusion des autres syndicats SUD et CGC avec la direction, notre syndicat récupère son élu pour mener à bien la défense des salariés.
Cela démontre que les ‘’services harcèlement ‘’ de Michelin sont détournés de leur objectif initial, soit pour détruire un salarié à Blanzy, soit comme dans une autre affaire à Michelin Clermont Ferrand, ou les services censés protéger une salariée, ont protégé les harceleurs. Rien de surprenant lorsque l’on sait que Michelin a protégé un harceleur sexuel et moral jusqu’ en cassation, quitte à payer 630000 € de dommages, juste pour défendre sa hiérarchie.
La CGT a toujours été contre ces systèmes internes, trop souvent détournés, et a toujours préféré que les affaires de harcèlement soient traitées en dehors de l’usine par des professionnels de la justice.
Comme pour le fils de cet élu, qui lui aussi a déposé un recours contre son licenciement aux prud’hommes, la CGT usera de ses moyens pour faire condamner aux dépens Michelin pour ces faits calomnieux.


Le syndicat CGT Michelin Blanzy

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7 chauffeurs face à Uber

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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