SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Tarif de l'électricité; ça va exploser avec un surcout de 233 euros par an en janvier 2026

Dans une étude de 13 pages, UFC-Que-Choisir dénonce "l'impact catastrophique" de la nouvelle régulation du nucléaire entrant en vigueur en janvier 2026.

 

Cette nouvelle réglementation est conforme pile poil avec les directives de l'UE du capital, alors que la France par le nucléaire produit majoritairement de l'électricité made in Gaule. Pour aligner le prix du jus sur celui prohibitif des tarifs du gaz. 

Cette disposition, qui affaiblit une fois de plus notre souveraineté nationale, a été votée dans le Budget 2025 des finances par le biais du très démocratique et social article 49-3 de la Constitution ficelée en 1958. C'est dire, entre parenthèses, si nous faisons fort en progrès social et démocratique.

La motion de censure contre le gouvernement Bayrou n'avait été votée que par les députés Lfi, Pc et écologistes.

L'extrême droite s'était abstenue, elle qui pourtant proclame à cor et à cris défendre les catégories populaires. François Hollande, ex-président de gôche de la République devenu député NFP sans doute par la Providence -non?- et ses potes du même métal n'ont pas plus voté la motion de censure.

En Allemagne, aux dernières législatives, les socialistes au pouvoir ont pris une raclée historique et la droite sera prochainement chef du gouvernement outre-Rhin.

En France, après Hollande, dont l'ennemi était la finance, ce fut Macron, ex-gérant d'une très grande banque d'affaires, qui devint locataire de l'Elysée. Avant d'avoir été ministre émérite du camarade Hollande.

Une petite souris m'a dit que ledit François Hollande se reverrait bien à l'Elysée. Non, sans blââgue...

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Grève chez AkzoNobel à Montataire contre « le plus gros plan » de surpression d’emplois jamais connu sur le site

Les salariés du site de production de peinture décorative d’AkzoNobel à Montataire étaient en grève ce jeudi à l’appel de l’intersyndicale. Ils protestent contre le plan de suppression de 89 emplois qui touche le site du Bassin creillois.

AKZO NOBEL à Montataire
AKZO NOBEL à Montataire
AKZO NOBEL à MontataireAKZO NOBEL à Montataire
AKZO NOBEL à MontataireAKZO NOBEL à Montataire

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Déremboursement des arrêts maladies , Grâce au RN/FN et au PS qui n’ont pas voté la censure contre Bayrou, nos droits sociaux en prennent de nouveau un sacré coup !
Êtes-vous au courant que pendant les affaires #Bayrou, Macron et Bayrou ont passé des lois au 49-3 qui s'attaquent à nos droits sociaux et nous appauvrissent ?
Par exemple, déremboursement des arrêts maladie :
Les arrêts maladie

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Il quittera son poste le 1er mars, une décision «d’un commun accord», assure le groupe dans un communiqué. Brendan McDermid / REUTERS

Il quittera son poste le 1er mars, une décision «d’un commun accord», assure le groupe dans un communiqué. Brendan McDermid / REUTERS

Le géant britannique de l’agroalimentaire et des produits d’hygiène Unilever, en pleine restructuration et dont le bénéfice a baissé l’an dernier, a annoncé mardi le départ surprise de son directeur général, Hein Schumacher, après moins de deux ans en poste. Il quittera ses fonctions le 1er mars, une décision «d’un commun accord», assure le groupe dans un communiqué, quelques semaines après l’annonce d’un bénéfice en repli de 11% en 2024. Il sera remplacé par Fernando Fernandez, actuel directeur financier.

«Bien que le Conseil d’administration soit satisfait des performances d’Unilever en 2024, il reste encore beaucoup à faire pour obtenir les meilleurs résultats» possibles, a commenté le président du Conseil d’administration, Ian Meakins, cité dans le communiqué. Hein Schumacher avait pris la tête du groupe connu pour les savons Dove, les déodorants Axe ou les soupes Knorr, à l’été 2023, alors que la stratégie de son prédécesseur Alan Jope était questionnée par des investisseurs, dont le fonds activiste Trian du milliardaire américain Nelson Peltz, entré peu avant au Conseil d’administration.

Sous pression pour améliorer les performances, le Néerlandais de 53 ans avait dévoilé il y a un an un plan stratégique pour se focaliser sur 30 marques «motrices» représentant conjointement 70% des recettes de l’entreprise. Puis, en mars dernier, il avait annoncé la scission de la division glaces (qui compte les marques Ben & Jerry’s ou Magnum notamment) et lancé pour doper les marges un plan d’économies prévoyant 7500 suppressions d’emplois, près de 6% des effectifs. Mais le groupe a été pénalisé l’an dernier par des pertes liées notamment à son départ de Russie et par les coûts de son plan de restructuration, qui ont pesé sur son résultat. Il prévoit en outre «un début d’année 2025 ralenti».

Le plan stratégique «a mis Unilever sur la voie d’une performance améliorée» dont le Conseil d’administration veut désormais «accélérer la mise en oeuvre», a précisé le président Meakins, assurant être «reconnaissant» à M. Schumacher. Il reviendra désormais à Fernando Fernandez, Argentin de 58 ans, de «fournir aux actionnaires la valeur que le potentiel de l’entreprise exige», a-t-il poursuivi. L’annonce faisait déraper le cours de l’action d’Unilever, qui reculait de plus de 3% peu après l’ouverture de la Bourse. Hein Fernandez recevra un salaire fixe annuel d’1,8 million d’euros, 50.000 euros de moins que son prédécesseur, et pourra recevoir des primes en fonction de sa performance, a précisé le groupe.

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Unilever confirme son engagement en Tunisie avec l’ouverture d'un site de production

Unilever Tunisie confirme son engagement en Tunisie avec l’ouverture de son site de production employant déjà 170 personnes. Cette annonce a été faite lors d’une rencontre entre les représentants de la Tunisia Investment Authority (TIA) et Suzanne Hassanein, Chef des affaires générales et de la communication externe d’Unilever Tunisie, consacrée aux perspectives de développement du groupe.

A cette occasion, les représentants de la TIA ont réaffirmé le rôle d’accompagnateur des investissements en mettant en avant les incitations fiscales et les mesures favorisant l’attractivité de la Tunisie. Les discussions ont porté sur l’expansion d’Unilever en Tunisie, notamment à travers l’innovation, la diversification des produits et les initiatives en matière de durabilité.

L’implantation d’Unilever témoigne de l’attractivité croissante de la Tunisie pour les multinationales cherchant à renforcer leur présence en Afrique du Nord et en Méditerranée. Grâce à ses infrastructures modernes et à un écosystème favorable, le pays se positionne comme un hub stratégique pour l’industrie et l’innovation.

La TIA s’engage à poursuivre son accompagnement en facilitant les démarches administratives et en soutenant les entreprises à chaque étape de leur implantation. Avec cette nouvelle unité de production, Unilever consolide son empreinte régionale et contribue à la dynamique économique locale par la création d’emplois et de valeur ajoutée.

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La lutte de classes

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Indemnisation des arrêts maladie à la baisse

Le budget de la Sécurité sociale est passé comme une lettre à la Poste du temps où cette administration fonctionnait en service public. Et François Hollande et ses potes députés n'ont pas censuré le gouvernement Bayrou. C'était selon eux, pour faire adopter un budget moins pire que le pire.

 

En tout cas, les fonctionnaires ne seront plus rémunérés qu’à hauteur de 90 % de leur traitement pendant le premier trimestre, contre 100 % actuellement.

Pour les travailleurs du privé, à partir du quatrième jour d’arrêt, les indemnités versées par la Sécu ne dépasseront pas 41,47 € brut journalier contre auparavant 53,31 €.

Toutefois, les salariés gagnant plus de 1,4 Smic par jour ne seront pas pénalisés s'ils ont un an d'ancienneté. Ils percevront  90 % de leur salaire pendant leur premier mois d'arrêt maladie Charge au patron de combler l’écart. Et de ce fait de n'accorder aucune augmentation salariale ou tout autre prime pour rentrer dans son bénéf.

Toutefois, cette obligation ne s’applique pas pour les CDD et pour ceux avec moins d’un an d'ancienneté. 

Avec la nouvelle mesure, les revenus des jeunes embauchés, des travailleurs changeant d'entreprise et les plus précaires doivent donc baisser en cas d’arrêt maladie.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Réveil
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Réveil
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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

« Plus rien ne tourne dans les deux usines » : grève massive contre les licenciements à Lubrizol

Face à l'annonce du licenciement d'un salarié sur quatre des usines de Lubrizol, les travailleurs ont répondu par une grève massive depuis le lundi 17 février. Deux des trois usines sont à l'arrêt pour revendiquer le maintien de tous les emplois.

Mouvement ouvrier

CGT Lubrizol

Depuis lundi soir 22h, les travailleurs de Lubrizol, fabriquant d’additifs pour huile de moteurs, sont en grève reconductible pour la défense de leurs emplois. Pour cause, depuis le 6 février, les sites du Havre (76) ainsi que de Rouen (76), sont menacés par un plan de licenciement qui détruirait 169 emplois, dont 140 pour la seule usine de Rouen.

Sur fond de colère suite à l’annonce du plan de licenciement, c’est un sentiment d’incompréhension qui règne. Thierry Bazire, secrétaire général de la CGT Lubrizol raconte :« On a fait un gros chiffre d’affaires en 2024 d’un milliard d’euros et un bénéfice pour la boîte de soixante millions ! Il y a aucune raison de nous licencier ! Ils veulent juste faire pareil mais avec moins de salariés ».

Depuis la riposte s’organise. Après l’annonce du plan de licenciement le 6 février, un rassemblement s’est tenu avec les travailleurs. Dans la foulée, à l’appel de la CGT, la grève a été lancée lundi 18 février au soir. « Maintenant on est dans le dur de la grève, alors on fait passer le mot chaque soir pour savoir si les collègues veulent continuer. Plus rien ne tourne dans les deux usines et même si ils essayent de réquisitionner quelques employés pour la mise en sécurité, ça ne suffit pas pour relancer la production » détaille Thierry Bazire. La CGT annonce que « 100 % des effectifs de production sont en grève à Rouen et à Oudalle »

En juin 2024, un précédent mouvement de grève avait déjà porté ses fruits alors que les travailleurs réclamaient l’embauche de 15 nouveaux salariés. Un combat qui reste dans les esprits à l’heure où la direction est prête à licencier 10 fois plus de monde. « Nous, on n’a plus rien à perdre et on sait que notre seul rapport de force c’est la grève alors s’ils veulent jouer on va jouer ! » affirme le secrétaire de la CGT. Contre cette attaque qui concerne un employé sur quatre de la filiale, leur revendication est simple, la suppression de ce plan de licenciement et la sauvegarde de tous les emplois.

C’est loin d’être la première fois en effet que la direction de Lubrizol traite les travailleurs avec mépris. En 2019, l’énorme incendie sur le site de Rouen avait choqué à l’échelle du pays : « tous les stocks avaient pris feu. Par miracle aucun collègue ni riverain n’a été blessé mais il n’y a eu aucune poursuite en justice alors qu’il y aurait pu y avoir des victimes et aujourd’hui l’enquête est au point mort » dénonce le représentant CGT.

Alors que l’ampleur de l’incendie avait entraîné le rejet de 9 505 tonnes de produits chimiques dans l’air et sur le sol, l’ampleur de la pollution et les risques pour la santé ont provoqué un sentiment de stress et d’insécurité pour les habitants et les travailleurs. Plusieurs habitants et travailleurs ont signalé des troubles respiratoires, des nausées et des maux de tête et des milliers d’exploitations aux alentours ont dû jeter leur production par crainte de contamination. La même usine de Rouen avait déjà connu des fuites de gaz nauséabond en 2013.

Face à la casse sociale et au mépris du patronat pour la vie des ouvriers et de la population, les travailleurs de Lubrizol montrent la voie à suivre. Ils nous rappellent encore une fois que la grève est la seule arme efficace pour imposer un rapport de force. Plus largement, face à la perspective d’une hausse brutale du chômage, le mouvement ouvrier doit construire une riposte massive pour défendre le maintien de l’emploi et non pas se limiter à lutter pour des meilleures indemnités de départs qui arrangent le patronat.

Plus que jamais, le monde du travail doit défendre ses intérêts, sans concessions au patronat, en revendiquant l’interdiction des licenciements ainsi que l’embauche immédiate en CDI des travailleurs précaires, en CDD ou intérimaires. Il est aussi nécessaire de se battre pour l’expropriation et la nationalisation sans indemnités ni rachat des entreprises qui ferment et licencient ainsi que leur mise sous contrôle des travailleurs. C’est seulement par cette voie qu’il sera possible de penser une réorganisation de la production en adéquation avec les besoins et la santé de la population et des travailleurs.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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