SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Ah bon ?
Il veut mettre fin au premier poste de dépenses de l'Etat, c'est-à-dire aux 2 000 sortes d'aides publiques aux grandes entreprises pour un montant de 260 milliards par an qui finissent dans les poches des actionnaires ? Il veut mettre fin à la dégressivité de l'impôt pour les plus riches : plus on est riche moins on paye d’impôts ? Il veut mettre fin à la fraude sociale de 9 milliards par an , à 88% du fait des employeurs, qui tue notre système social ? Etc, etc...

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

La justice a condamné La Poste pour des faits de discrimination syndicale et de harcèlement moral à l'encontre du secrétaire de la section syndicale SUD Poste 78 Vincent Fournier. Une victoire importante qui met en avant la répression répandue au sein de l’entreprise.

La semaine dernière, la direction de la Poste a été condamnée à 40 000 € d’amende pour presque dix ans de discrimination syndicale et de harcèlement moral à l’encontre du secrétaire de SUD Poste 78, Vincent Fournier. La cour d’appel a aussi annulé autant d’années de sanctions à l’encontre du syndicaliste qui remonte à lorsqu’il était encore à la CGT FAPT.

Une victoire importante après une décennie de harcèlement et de répression anti-syndicale contre Vincent Fournier

Ce jugement, qui résonne comme une victoire importante pour tous les syndicalistes sous le feu de la répression, est le fruit de plusieurs années de luttes de la part de Vincent Fournier.

En effet depuis 2015, presque chaque année (voir nos articles de 2017 et 2019), le syndicaliste, qui doit faire vivre ses deux enfants avec à peine plus d’un SMIC, a dû subir à répétition des mises à pied allant jusqu’à plusieurs mois, avec des suspensions de salaire.

En plus de cela, la direction de La Poste l’a menacé continuellement de licenciements, en déposant plainte et mains courantes à de nombreuses reprises, tout en lui imposant des amendes et des convocations au commissariat. La direction lui reproche notamment ses prises de parole dans les centres postaux et sa présence lors des grèves. C’est-à-dire ni plus ni moins que son activité syndicale.

POURSUIVRE LA LECTURE :

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Ce qui est scandaleux c'est que les moyens d'information et de formation de l'opinion soient sous la coupe de milliardaires qui s'achètent avec la complicité de l'état qui laisse faire et de journalistes chiens de garde du système et qui vont à la soupe

 

Le terrible constat c'est que pour s"en tenir aux questions internationales à l'importance majeure où les enjeux de guerre et de paix sont sur la balance,l'opinion publique est saturée de mensonges et de manipulations.

Cette situation pouvant ouvrir la voie à toutes les aventures.

Eh puisque nous sommes dans le 80éme anniversaire du programme du Conseil National de la Résistance rappelonsqu'il stipule:

 

II - MESURES À APPLIQUER DÈS LA LIBÉRATION DU TERRITOIRE

4) Afin d’assurer :


- l’établissement de la démocratie la plus large en rendant la parole au peuple
français par le rétablissement du suffrage universel ;
- la pleine liberté de pensée, de conscience et d’expression ;
- la liberté de la presse, son honneur et son indépendance à l’égard de l’Etat, des puissances d’argent et des influences étrangères ;

La situation actuelle a incontestablement atteint un point de déshonneur  qui exige que montent l'exigence d'un contrôle et d'une régulation publique du secteur et une remise en cause radicale de  l'appropriation des médias par les oligarques au service des intérêts privés, de la concurrence et au final de la guerre !

Dans ce contexte de domination massif par l'argent et le pouvoir étatique, la liberté d'expression ne revêt plus qu'un aspect de cautionnement de l'innacceptable !

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Sur Mediapart

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Nous venons d'apprendre à l'instant de la part du directeur de site, que suite à la baisse des volumes, Unilever a décidé de suspendre en totalité l'équipe week-end à partir du 1er avril 2024. Et il y a de forte chance que cela puisse durer plusieurs semaines.

 

Nous vous tiendrons au courant prochainement de la suite à venir !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

REPRIS de : 

On voit bien sur qui l’argent ruisselle, l’Ukraine a vu gonfler les profits des marchands d’armes, comment cela peut-il se passer avec un état totalement en faillite comme l’Ukraine ? L’ingéniosité pour faire payer les Français, les petits épargnants n’a pas de limite…

Publié par Céline Bourdin, le 08/03/20243 min de lecture

L'État piochera-t-il bientôt dans notre Livret A pour financer l'armée ?

L’État piochera-t-il bientôt dans notre Livret A pour financer l’armée ?

Une nouvelle proposition sur le financement des entreprises de l’industrie de la défense vient d’être adoptée au Sénat. L’État piochera-t-il bientôt dans notre Livret A ?SOMMAIRE

Depuis plusieurs semaines, le financement des petites et moyennes entreprises de l’industrie de la défense pose question. En première lecture, ce mardi 5 mars, le Sénat a, dès lors, adopté une proposition de loi, qui vise à utiliser une partie de l’épargne collectée sur le Livret A pour ce financement. Présentée par Pascal Allizard, elle prévoit également d’affecter une partie de l’épargne du livret de développement durable et solidaire (LDDS) vers les PME de l’industrie de la défense française. Explications.

 

Livret A : vers un financement de l’armée ?

L’argent présent sur les livrets d’épargne va-t-il bientôt servir au financement de l’armée ? Les mois passent et cette perspective semble se rapprocher, si l’on en croit les dernières décisions de l’exécutif. Au Sénat, c’est désormais une proposition de loi, qui a été adoptée avec une probable affectation prochaine des sommes stagnantes sur les livrets à cet effet. Le Sénat a toutefois tenu à modifier le texte, comme le rapportent nos collègues de MSN, pour préciser que ce fléchage ne devra pas conduire “à diminuer les parts des ressources collectées au titre du Livret A et du LDDS aujourd’hui affectées au financement de la transition énergétique et de l’économie sociale et solidaire”.

À l’heure actuelle, près de 60 % des fonds du Livret A et du LDDS sont dédiés au logement social tandis que le reste, l’épargne non centralisée qui est concernée par la proposition de loi – est consacré aux PME, à la transition énergétique ou encore à l’économie sociale et solidaire. Un dispositif similaire avait déjà été adopté au Parlement ces derniers mois, mais le Conseil constitutionnel l’avait censuré deux fois, le jugeant “sans rapport avec les textes auxquels il avait été ajouté”.

Livret A : un nouveau livret d’épargne à créer ?

Pour l’heure, la possibilité d’aller piocher dans le Livret A ne fait pas l’unanimité. Afin de dissiper la confusion à ce niveau, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, avait affirmé préférer la création d’un nouveau produit d’épargne consacré à la défense, qui, selon lui, “doit rester [consacré au] logement social”.

Au Sénat, la ministre déléguée aux Entreprises, Olivia Grégoire, a fait une déclaration similaire en affirmant que “l’instrument [n’était] pas le plus approprié”. Elle a notamment promis aux sénateurs que Bercy réunirait “à l’été” les acteurs financiers, investisseurs et industriels de la défense pour un “événement majeur” sur le financement du secteur.

Livret A : une nouvelle proposition de loi à l’étude ?

Les Français sont, eux aussi, réticents à la possibilité de cette mesure. Comme le révèlent nos collègues de MoneyVox54 % d’entre eux ne sont pas favorables à cette mise en application alors que 29% des personnes interrogées sont, quant à elles, pour l’utilisation d’une partie de l’épargne réglementée pour soutenir la défense.

Le 20 février dernier, le sénateur PS du Val d’Oise, Rachid Temal, ainsi que huit autres sénateurs socialistes, ont déposé une autre proposition de loi. Celle-ci voudrait créer un nouveau produit d’épargne dédié, le livret d’épargne défense souveraineté (LEDS)qui serait exclusivement consacré au financement de la défense. Le Sénat n’a, pour le moment, pas souhaité suivre cette proposition.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

REPRIS de : 

 

 [ Eh Attal a devant l'Assemblée nationale a le culot mensonger de prétendre que la victoire de la Russie en Ukraine signifierait un cataclysme pour le pouvoir d'achat des français.

Alors que précisément ce sont leurs sanctions et leur politique de soutien inconditionnel à Kiev qui DEJA ont des répercussions catastrophiques pour les travailleurs et le peuple comme l'atteste les conséquences de leurs choix pour les agriculteurs européens! ]

 

Plus de 160 milliards d’euros par an, c’est la somme gigantesque d’aides publiques indirectes et directes aux entreprises. Chaque année, le tiers du budget de l’Etat s’envole en direction des grands groupes capitalistes. Cette année, encore, près de 100 milliards d’euros ont été reversés aux actionnaires du Cac 40. Coïncidence ? Non. L’argent du citoyen paye l’assisté de la Bourse.

Pire, le déficit des comptes publics, grevée chaque année par les aides publiques au secteur privé et le refus du gouvernement de taxer les riches et le Capital, est utilisé, chaque année, comme prétexte pour écraser les chômeurs et le droit du travail, libéraliser encore davantage le secteur public, lorgner sur le « magot » de la Sécu, ponctionner les caisses de l’Agirc Arco, restreindre et contrôler les aides dites sociales. A ces mesures et projets s’ajoutent un tour de vis budgétaire supplémentaire brutal.

Tout sourire, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a ainsi annoncé une « économie » de plus de 10 milliards d’euros, exclusivement sur le budget de l’Etat. Le gouvernement a annulé par décret, sans débats, ces dépenses budgétées. Ce carnage social est un plan d’austérité qui massacre encore un peu plus nos services publics et cible notamment l’Ecologie, le travail/emploi et l’enseignement

Dans le détail,

  • Ecologie : 3,4 milliards d’euros retirés du budget
  • Travail : 1,1 milliard d’euros retirés du budget
  • Education nationale : 8000 postes en moins, 691 millions d’euros retirés du budget
  • Recherche : 7500 postes en moins, 904 millions d’euros retirés du budget
  • Diplomatie : 400 postes (un chiffre colossal) supprimés, 174 millions d’euros retirés du budget
  • Sports : 302 millions d’euros retirés du budget en 2024, année pourtant « olympique »
  • L’aide publique au développement est rabotée quant à elle de 740 millions d’euros, quand l’aide à l’accès au logement perd 300 millions d’euros, contre 134 millions d’euros de moins pour la police nationale, 118 millions de moins pour l’administration pénitentiaire, 70 millions de moins pour la Santé.

Chacun peut voir le massacre qui se met en place. Contradiction : comment « réarmer » (sic) et réindustrialiser le pays quand on détruit les capacités d’actions publiques ? La réponse, selon la caste au pouvoir, est de continuer à se gaver sur notre dos, et à nous pressurer et précariser davantage.

Dans le même temps, l’Etat lance un investissement de plus de 400 milliards en direction des armées et du complexe militaro-industriel. Il y a peine une semaine, Macron annonçait une enveloppe supplémentaire de 3 milliards d’euros d’aides militaires au gouvernement ukrainien pour soutenir le régime de Kiev dans la guerre contre la Russie.

Ces chiffres indiquent la nature du choix politique du gouvernement. Ne laissons pas faire ces restrictions budgétaires qui sont l’illustration parfaite de la République en marche, « tout, partout, toujours pour les riches, rien pour les autres ».

Soyons lucides. Ce cauchemar ultra-libéral et autoritaire et ce gouvernement au service exclusif des riches et des capitalistes ne s’arrêteront que si nous les arrêtons. Ici et maintenant, attelons-nous à la la riposte générale du monde du travail.

 

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La question centrale fort peu abordée (en dehors du rôle spécifique lui des médias publics) est celle de la PROPRIETE des moyens d'informations.

Ce qu'il faut affronter c'est la concentration inédite des médias dans les mains des oligarques (LCI, CNews, Europe 1, C 8 ... accaparés par Bolloré, Bouyghes, Niel ...) et qui distillent leur idéologie nauséabonde en continu.

La résistance de certains jounalistes à cette emprise ne tenant pas en définitive face à la détermination propriétaire comme entre autre en a attesté la nomination de l'ex-rédacteur en chef de Valeurs Actuelles Geoffroy Lejeune à la tête du JDD malgré l'opposition opiniâtre de sa rédaction.

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Enquête Pénibilité dans la branche Chimie

Cliquez sur le lien ci-dessous pour ouvrir le questionnaire :

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13-14 mars 2024 : Assises de la santé et la sécurité des travailleurs-ses à la Bourse du travail à Paris

Les 13 et 14 mars, participez aux Assises de la santé et la sécurité des travailleurs·ses ! Une salle de 450 places et quatre salles de réunion vous accueillent.

La santé au travail concerne toutes les personnes qui travaillent, quels que soient leurs statuts (salariés, fonctionnaires, précaires, auto-entrepreneurs….). Toutes et tous, nous sommes exposés à des risques professionnels et des conditions de travail se traduisant par des accidents du travail, des maladies professionnelles, de la souffrance, de l’usure souvent non reconnue.

Le mal-être au travail, les atteintes à la dignité et autre comportements managériaux ont un impact sur le travail mais aussi sur la vie entière.

Ainsi, chaque année des dizaines de milliers de travailleuses et travailleurs sont licenciés pour inaptitude par refus des employeurs d’aménager les postes de travail, dans l’indifférence générale. C’est la double peine !

Des assises de la santé et de la sécurité pour mettre en œuvre un réseau de soutien permanent

Le combat pour la santé et la sécurité au travail articule plusieurs axes. Nous devons poursuivre le combat, avec les victimes, leur famille, les associations spécialisées pour la reconnaissance des accidents et pathologies du travail et pour l’indemnisation intégrale des préjudices subis par les victimes.

Réparer ne suffit pas, il faut aussi que les employeurs coupables soient sévèrement sanctionnés au niveau pénal et au niveau civil, pour les obliger à prendre des mesures de prévention.

C’est pourquoi nous devons aussi agir en mobilisant les nombreux acteurs que sont notamment les syndicalistes, élus au CSE / CSA / CST, inspecteurs et inspectrices du travail, juristes, médecins, préventeurs, experts…

 

Assises de la santé et la sécurité des travailleurs-ses.

https://www.souffrance-et-travail.com/evenements/assises-de-la-sante-securite-travail/

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
En France, c'est 413 milliards pour l'armée !
En France, c'est 413 milliards pour l'armée !

En France, c'est 413 milliards pour l'armée ! ...
Et 50 milliards, votés par le "Parlement européen" quasi unanime (avec LFI, PS, etc,...), le 27 février, pour la guerre en Ukraine !
Les marchands d'armes se frottent les mains, et pour alimenter son économie de guerre Macron-Attal-Le Maire taillent à la hache le budget des travailleurs et les services publics !

Publié par Luttesinvisibles

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SOURCE : 

Austérité Disparue, la centaine de recrutements promis dans la loi de finances… Près de 20 % des postes sont vacants. Si la Cour des comptes s’en émeut, le gouvernement renonce à embaucher.

À l’échelle du plan d’austérité annoncé par le ministre Bruno Le Maire, c’est une goutte d’eau : 3,5 millions d’euros sur une économie globale de 10 milliards. Mais, au niveau des services de l’inspection du travail, c’est une nouvelle déferlante qui pourrait engloutir l’emploi : une centaine de postes supplémentaires, sur un effectif total de 1 600 inspecteurs du travail, viennent de disparaître par un discret coup de rabot qui n’a jusqu’ici pas été évoqué devant les organisations syndicales…

À l’automne 2023, Olivier Dussopt, alors ministre de l’Emploi, s’était gargarisé devant les députés, lors de l’examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2024, d’une hausse des recrutements, via le concours (200 postes) et via le détachement (100 postes), dans ce secteur crucial pour les droits et la protection des travailleurs. Dans le document budgétaire officiel, le gouvernement vantait même :« Ces volumes significatifs traduisent la politique volontariste de recrutements destinés à renforcer les effectifs de l’inspection du travail. »Las ! Quelques mois plus tard, le ministère vient d’enterrer purement et simplement les 100 postes qui devaient être accessibles, hors concours, à des fonctionnaires d’autres administrations.« Nous vous informons qu’aucune campagne de recrutement d’inspecteurs du travail par la voie du détachement n’est prévue pour l’année 2024 »,écrit, dans un message aux candidats, quel’Humanitéa pu consulter, la direction des ressources humaines.

Une saignée qui s’ajoute aux autres… La CGT du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle (CGT-TEFP) a rendu publique, en début de semaine, une carte recensant les sections vacantes à l’inspection du travail (voir ci-contre) : dans l’Orne, la Corse-du-Sud, le Cher, la Mayenne, le Val-de-Marne, l’Eure-et-Loir et la Sarthe, ce taux dépasse les 40 %. D’après le dernier décompte officiel du ministère, arrêté au 31 décembre 2023, sur les 2 005 sections existantes, 368 sont dépourvues de titulaires, soit 18,5 % du total. Avec plus de 10 000 travailleurs couverts en moyenne par agent, ce sont, comme le dénonce Simon Picou, de la CGT, près de« 4 millions de salariés »qui« n’ont pas accès au service public de l’inspection du travail, faute de recrutements suffisants ces dernières années ».

Pire encore : le taux de postes vacants à l’inspection du travail augmente, alors que, pour masquer la pénurie, le ministère a entrepris un long plan de suppression des sections territoriales. D’après un rapport de la Cour des comptes sur « la gestion des ressources humaines du ministère du Travail », paru le 28 février, leur nombre est passé de 2 194, en 2017, à 2 048, en 2022. L’institution relève également : « Dans le détail, entre 2015 et 2021, le principal contributeur aux économies d’emplois a été l’inspection du travail, qui a perdu 16 % de ses effectifs, soit près de 740 ETP (équivalents temps plein). »

D’après Simon Picou, la tendance s’accentue encore ces derniers mois.« Dans la Meuse, par exemple, il y avait 6 postes en 2022, 5 l’année dernière et 4 cette année,illustre le syndicaliste.La dégringolade se poursuit, nous réclamons l’arrêt des suppressions de postes, la réalisation des recrutements nécessaires pour les pourvoir, à commencer par le rétablissement de tous ceux qui étaient prévus en 2024. »

par  Thomas Lemahieu

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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