SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Un an après, les « Robins des bois » de l’énergie menacés

Les militants CGT de l’énergie avaient multiplié pendant la mobilisation pour les retraites les actions en faveur des usagers. Un an après, la répression syndicale se poursuit.

 

Les militants CGT de l’énergie avaient multiplié pendant la mobilisation pour les retraites les actions en faveur des usagers. Un an après, la répression syndicale se poursuit.

Des associations de solidarité passées en heure creuse, des habitants précaires protégés de coupures d’électricité ou baisses de tension… Au fil de la mobilisation contre la réforme des retraites, les « Robins des bois » de l’énergie ont multiplié les actions coup de poing, alertant déjà sur la flambée des prix de l’électricité. « Des actions symboliques, qui n’étaient pas dangereuses», précise Renaud Henry, secrétaire général de la CGT Énergie de Marseille.

Un an après le début de la mobilisation, les sanctions menacent toujours. Après la convocation par Enedis de deux militants CGT, l’organisation syndicale rencontre ce mardi la direction de l’entreprise gestionnaire du réseau public pour évoquer les menaces de sanction.

« Il y a un des deux agents qui est très menacé, sans que le procès n’ait eu lieu», craint le responsable syndical. Fin mars six militants syndicaux avaient en effet été interpellés au petit matin « suite à des faits de vols et de dégradations commis au préjudice d’Enedis», expliquait alors le parquet. Mis en examen, trois d’entre eux, dont le secrétaire général du syndicat à Marseille, seront jugés le 21 février prochain. Une journée de grève et un rassemblement seront organisés pour ce jour. « On va voir comment se positionnent Enedis et la justice, et en fonction on saura répondre», promet Renaud Henry.

Ailleurs aussi

Ces procédures ne sont pas isolées. Le secrétaire général de la fédération Sébastien Menesplier lui-même a été convoqué par les forces de l’ordre, tandis que le tribunal judiciaire de Bordeaux relaxait le 9 janvier dernier deux militants de la CGT énergie.

Y.S.

La CGT s’était mobilisée contre les convocations en novembre. PHOTO M.G.
La CGT s’était mobilisée contre les convocations en novembre. PHOTO M.G.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Tous aux côtés des agriculteurs mais pas de la FNSEA

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

10% d’augmentation de l’électricité : le gouvernement compte bien faire les poches des travailleurs

Bruno le Maire a confirmé une hausse des taxes sur l’électricité pouvant entrainer jusqu’à 9,8% d’augmentation des prix. Alors que les prix de production de l’électricité sont en baisse, le gouvernement fait un pas de plus dans l’austérité et le racket contre les classes populaires.

Austérité

10% d’augmentation des prix de l’électricité : pour sa première décision le gouvernement Attal annonce la couleur des attaques à suivre. Envisagée depuis plusieurs semaines, la hausse de la taxe intérieure sur la consommation a été confirmée ce dimanche par Bruno Le Maire. Elle entraînera une augmentation de 8,6% du tarif de base et de 9,8% sur le tarif heure pleine-heure creuse. Alors que les prix de production de l’électricité sont en baisse, le gouvernement fait volontairement le choix d’alourdir les taxes.

Macron et Attal n’ont pas souhaité assumer cette décision, aussi ont-ils délégué à Bruno Le Maire la tâche de l’annoncer. Le ministre de l’économie a en effet déclaré sur TF1 dimanche soir : « C’est une décision difficile mais nécessaire pour garantir notre capacité d’investissement et sortir définitivement du quoi qu’il en coûte. La prochaine hausse aura lieu le 1er février 2025 et nous reviendrons à la situation avant le bouclier tarifaire ». Prolongée depuis le début de la guerre en Ukraine et de l’augmentation des prix de l’énergie qui s’en est suivie, le bouclier tarifaire avait limité la taxation à 1 euro par mégawattheure. Pensé par le gouvernement pour surtout ne pas encadrer les prix et toucher aux profits pharamineux des entreprises de l’énergie, ce bouclier a entrainé une atténuation-relative- des effets de l’inflation, limitant à 4% l’augmentation de la facture d’électricité en 2022, à 15% en février 2023 et à 10% en août 2023, contre 99% et 74,5% prévus en l’absence du bouclier. 

Le gouvernement prévoit désormais de désosser ce dispositif en rétablissant une taxe de 21 euros par mégawattheure en février 2024 et de 32,44 euros en février 2025. Une augmentation colossale alors que les prix de gros de l’électricité ont diminué de près de 30% pendant l’année et que la Commission de Régulation de l’énergie préconisait le maintien du prix réglementé.

Alors que ce dispositif a été lancé en 2021 pour prévenir le retour de manifestations populaires comme celles des gilets jaunes et des contestations contre la baisse du pouvoir d’achat, sa destruction est une nouvelle provocation contre les travailleurs, déjà durement touchés par l’inflation. Introduite par la Loi de finances pour 2024, passée sans vote au moyen de l’article 49-3, le relèvement de la taxe permettrait au gouvernement de tirer profit de la baisse du prix de l’électricité et devrait lui rapporter 6 milliards d’euros, alors que les profits du patronat explosent. 

Les travailleurs auraient pu bénéficié de la baisse des prix de production, mais non, le gouvernement a choisi de de durcir l’austérité. Une décision qui confirme les objectifs du gouvernement de couper les aides à la consommation et réduire les budgets des services publics, déjà annoncés pour le budget 2024 et prévus pour ceux des années à venir. En ce sens, Bruno Le Maire se félicite auprès de la presse de cette décision « courageuse », qui en annonce d’autres.

Alors que 12 millions de personnes ont des difficultés à se chauffer, selon une enquête de la Fondation Abbé Pierre, que 80% des interrogés affirment réduire leur consommation et que 86% des jeunes baissent leurs dépenses d’électricité, comme le montre l’enquête sur la précarité étudiante de notre collectif le Poing Levé, cette mesure aggrave la situation des travailleurs et de la jeunesse, les contraignant à toujours plus de sacrifices. 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
AUCHAN Pérols : la répression anti- CGT mise en échec

SOURCE : Actu.fr

Montpellier : Auchan Pérols retoqué par l’Inspection du Travail

Les licenciements de Marie-Hélène et Julien, salariés syndiqués dans le collimateur de la direction du magasin, ont été refusé. La CGT évoque une « victoire ».

En octobre dernier, la CGT et des salariés d’Auchan Pérols soutenaient deux salariés syndiqués dans le collimateur de la direction. (©Métropolitain – archives)

Le 24 octobre dernier, plusieurs dizaines de salariés d’Auchan Pérols étaient en grève et manifestaient devant les portes du magasin pour soutenir deux de leurs camarades syndiqués, Marie-Hélène et Julien, dans le collimateur de la direction. Celle-ci les recevaient au même moment pour des entretiens en vue d’un licenciement.

« Julien et Marie-Hélène sont aujourd’hui sous l’effet d’une mise à pied conservatoire qui relève directement de la répression syndicale et du harcèlement », affirmaient alors Arnaud Bachelart et Sophie Serra, tous deux délégués syndicaux CGT pour Auchan qui expliquaient que la direction du magasin local avait très mal vécu l’implantation réussie du syndicat au sein du magasin.

« Répression syndicale acharnée »

« Depuis plusieurs mois, nos deux camarades, qui ont implanté la CGT à Auchan Pérols, ont fait l’objet d’une répression syndicale acharnée », insistaient les deux délégués du personnel qui inscrivaient cet acharnement dans une stratégie de la terreur : « Ces deux tentatives de licenciement sont survenues à quelques semaines seulement des élections professionnelles (NDLR : qui ont eu lieu en décembre 2023 au sein d’Auchan Pérols », poursuit la CGT, assurant que « l’objectif principal de la direction était d’intimider les salariés et de faire pression sur le syndicat juste avant ces élections ».

 

Les deux licenciements refusés

`Lors du rassemblement d’octobre dernier, au cours duquel Métropolitain a tenté en vain d’obtenir une réaction de la direction d’Auchan Pérols, la CGT annonçait son intention de porter l’affaire devant la justice. Le syndicat vient justement d’obtenir devant l’Inspection du Travail ce qu’il considère comme « une grande victoire ». L’Inspection vient en effet de refuser le licenciement des deux salariés.

Pour la CGT, l’inspection du travail n’a pas été convaincu par les éléments présentés par la direction d’Auchan Pérols « qui s’appuient principalement sur des attestations subjectives provenant de l’organisation syndicale FO et de certains membres de l’encadrement ». Les deux salariés syndiqués pourront-ils reprendre normalement le travail et leurs activités ?

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

250 000 emplois menacés en 2024 selon le groupe BPCE : il faut interdire les licenciements !

Le groupe bancaire BPCE a annoncé ce jeudi qu'il estimait à 250 000 le nombre d'emplois menacés en 2024, un chiffre record depuis qu'il produit ces estimations qui annonce que les travailleurs vont continuer à être la variable d'ajustement de la crise. Retour sur les nombreuses faillites et licenciements de l'année 2023.

Crise sociale

Crédits photo : Dorian M

Le deuxième groupe bancaire français BPCE (Banque Populaire-Caisse d’Épargne) estime que 250 000 emplois sont menacés par les défaillances d’entreprises en 2024, un record absolu depuis sept ans. Pour 2023, il annonçait 240 000 emplois menacés et d’après le groupe Altares DB, 17 000 entreprises françaises ont fait faillite durant le dernier trimestre 2023 ce qui correspond à un record depuis 1993, au plus fort de la récession.

Selon BPCE, ces chiffres correspondent au « rattrapage » des défaillances évitées par le « quoi qu’il en coûte », le plan d’aide de l’État aux entreprises appliqué par le gouvernement à partir de mars 2020 et dont la plupart des mesures ont pris fin en juin 2022.

2023, une année de liquidations judiciaires et de licenciements

Pourtant, ces faillites sont loin de marquer une spécificité française et s’inscrivent plutôt dans une tendance mondiale marquée par l’inflation. Le 23 décembre, Euronews titrait « 2023 : l’année des grandes faillites » et signalait que les faillites mondiales d’entreprises ont atteint au printemps un record depuis huit ans, notamment aux États-Unis et en Europe.

La crise est notamment provoquée par la baisse de la consommation dans un contexte d’inflation et d’appauvrissement de la population (notamment pour l’habillement, l’ameublement, le jardinage et les logements neufs) ainsi que par la hausse du coût de l’énergie et du transport des matières premières.

Selon le « baromètre national des entreprises » produit par le Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce et l’institut Xerfi lors du premier trimestre et troisième trimestre de 2023, les secteurs les plus touchés par les liquidations judiciaires sont les métiers de la construction et les agences immobilières, les petits commerces (restauration rapide, boulangeries, salons de coiffures), la programmation informatique et le nettoyage.

Ces entreprises sont généralement modestes (quelques dizaines d’employés le plus souvent) mais d’autres secteurs ne sont pas épargnés, comme l’industrie. Ils représentent les perdants de la crise actuelle, comme il existe des grands gagnants avec les bénéfices records engrangés par les actionnaires des grands groupes pétroliers et de la grande distribution.

Parmi les faillites importantes de 2023, dans l’industrie d’abord, on note l’usine de Plastima (Mayenne) qui a mis à la porte 77 salariés après sa liquidation le 6 février, l’usine de vannes FCT Saint-Juéry (Tarn) avec 71 salariés le 20 juin, CEAT Électronique (Côte-d’Or) avec 230 salariés le 24 juillet, l’usine de cloisons Clestra (Bas-Rhin) avec 125 salariés le 3 octobre et la verrerie Holophane (Eure) avec 208 salariés mis à la porte le 30 novembre dernier.

Dans la vente, ce sont notamment le gigantesque plan de licenciements de 1900 employés qui a suivi la liquidation, le 13 janvier, de la société de livraisons Place du marché ex-Toupargel, le magasin de chaussures San Marina le 20 février avec 650 salariés et le vendeur de meubles Habitat le 28 décembre avec 383 salariés mis à la porte.

Enfin, on note aussi le licenciement de 107 salariés du groupe de presse Melchior (Nouvelle-Calédonie) après la liquidation du 17 mars, des 94 salariés du groupe d’aide à l’enfance Aramis (Puy-de-Dôme) le 5 avril et des 78 salariés d’Air Guyane le 29 septembre.

La liste n’est pas exhaustive et, par ailleurs, la liquidation judiciaire n’est que l’aboutissement d’un long processus de « défaillances » pour lequel la variable d’ajustement est souvent les travailleurs. Ainsi l’année dernière a également été marquée d’importants plans de licenciements motivés par des facteurs économiques.

La construction particulièrement touchée

Particulièrement sensibles à la hausse du coût de transport des matériaux, liée à celle des prix de l’énergie qui étaient déjà en hausse et qui ont explosé après le début de la guerre en Ukraine, les travailleurs des petites et moyennes entreprises de la construction et du logement semblent être parmi les plus durement touchés.

La baisse de la construction de logements neufs a également affecté le secteur alors que la Fédération française du bâtiment a d’ores et déjà annoncé que 2024 s’annonce encore pire. Son président Olivier Salleron, représentant patronal, déclarait à Franceinfo en décembre : « On est donc en train de parler de défaillances d’entreprises, mais aussi de plusieurs milliers de salariés qui ne vont pas être réembauchés et il va commencer à y avoir des plans sociaux. On prévoit la perte de 3 000 à 10 000 salariés ». D’après les chiffres de l’INSEE, des milliers d’emplois ont déjà été supprimés dans la construction en 2023.

Selon le baromètre du conseil national des greffiers des tribunaux de commerce pour le troisième trimestre 2023, le secteur du bâtiment et de l’entretien est sévèrement concerné par les faillites. Sur trois mois, 463 entreprises de la maçonnerie ont été placées en liquidation judiciaire (+90%), 181 de peinture et vitrerie (+76%), 165 agences immobilières (+132%) et 123 entreprises d’installation d’eau et de gaz (+86%).

L’année 2023 a notamment été marquée la faillite du constructeur limousin Euro-France le 5 avril, ayant conduit au licenciement d’une douzaine d’employés, une vingtaine ayant été préalablement mis à la porte sur demande des « garants » du groupe bancaire BPCE qui se sont ensuite retirés, du constructeur de modules E-Loft à Plougafran (Côtes-d’Armor) ayant conduit à celui de 167 salariés et de l’entreprise également limousine Batidur le 20 décembre dernier avec licenciement de 22 employés (une dizaine d’autres ayant été virés en novembre).

Le patronat fait payer la crise aux travailleurs. Il faut imposer l’interdiction des licenciements !

Tandis que des grands groupes se gavent, en l’occurrence leurs dirigeants et leurs actionnaires, certaines petites et moyennes entreprises font faillite et mettent à la rue leurs salariés, parfois dans des conditions ignobles. Or, si les patrons disposent toujours de leur patrimoine personnel pour continuer leurs affaires ailleurs, leurs salariés n’ont plus d’autre choix que de tenter de retrouver un emploi, souvent plus dur et moins bien payé.
Autrement ils doivent rejoindre l’armée des 2,3 millions de chômeurs dont le gouvernement réduit chaque année un peu plus les moyens de subsistance.

Dans le cas de certaines entreprises, notamment les plus grosses, les conditions de ces liquidations judiciaires posent également question. Au nom de l’aide et de la préservation de l’emploi, le gouvernement n’hésite parfois pas à confier d’importantes sommes, sans aucune contrepartie, aux dirigeants des entreprises jugées en difficulté. Lors du gigantesque plan de licenciement de l’entreprise Place du Marché en janvier 2023, les salariés se sont vus refuser une prime de licenciement au-delà du minimum légal et ils avaient alors questionné la destination du prêt de 35 millions d’euros avancé par l’État aux patrons milliardaires, la famille Bahadourian, quelques mois avant la liquidation.

Ça ne doit pas être aux salariés de payer la crise. Plus que jamais, il faut imposer l’interdiction des licenciements et exiger des entreprises qui veulent licencier leurs salariés l’ouverture des livres de compte et la fin du secret commercial. En cas de défaillance, les travailleurs ne doivent pas servir de variable d’ajustement et c’est bien aux patrons qu’il incombe de rembourser les conséquences de leur direction.

D’un autre côté, face aux attaques contre les chômeurs et le monde du travail, il faut imposer l’augmentation générale des salaires et des pensions, ainsi que leur indexation sur l’inflation. Une perspective que les direction syndicales doivent prendre à bras le corps, loin du dialogue social qu’elles mènent depuis plusieurs mois.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

« Le RN à Valdunes : on en veut pas de cette merde là ! »

Alors que les soutiens politiques affluent à l’usine de Valdunes, en attente d’un repreneur, le délégué syndical CGT du site a tenu à faire un salutaire rappel : le RN n’a pas sa place dans nos luttes.

CGT Valdunes

La situation est toujours très précaire pour les 300 salariés de l’entreprise Valdunes, dans le Nord, en attente d’un repreneur depuis l’abandon par son actionnaire unique, le chinois MA Steel, en mai dernier. L’entreprise, qui s’étend sur deux sites, une forge à Leffrinckoucke près de Dunkerque et l’usine à Trith-Saint-Léger, est toujours sans repreneur global, puisque seule la forge a pour le moment reçu une proposition de la part d’Europlasma. Les salariés, qui ont mené 15 jours de grève à la rentrée de septembre refusent cependant de scinder Valdunes et d’abandonner l’une des branches.

Seule usine du pays à avoir les capacités de fabriquer des roues de train, notamment pour les tramways et les métros, les salariés défendent le rôle écologique que doit jouer Valdunes à l’heure de la transition écologique et de l’importance que revêtent le train et les transports publics. Face à la pression de la mise en redressement judiciaire de l’entreprise, et devant le compte à rebours de plus en plus serré avant la fermeture des sites, de nombreux soutiens politiques se sont mobilisés pour exiger une action de la part du gouvernement.

Parmi ceux-ci, le Rassemblement national (RN), qui a tenté de jouer la carte de la récupération politique et de se poser en défenseur de la classe ouvrière. Une posture immédiatement démasquée par les ouvriers, qui ont depuis martelé leur refus de voir l’extrême droite venir devant l’usine : « les camarades et moi on va le répéter pour la centième fois : le RN n’a pas sa place dans le dossier Valdunes », s’est exprimé Philippe Lihouck, délégué syndical CGT, dans une récente vidéo. « Le RN, ou le FN parce que ça n’a pas changé, nous à Valdunes on n’en veut pas de cette merde là. Que le message soit clair : jamais le RN n’aura sa place ici » a-t-il conclu.

En effet, le message est très clair, le RN a toujours été et restera toujours un ennemi de nos luttes. Les campagnes de communication du RN feront difficilement oublier que le parti de Marine le Pen s’est opposé à l’augmentation du SMIC à l’assemblée nationale, que pendant la réforme des retraites, Marine Le Pen montrait son visage anti-ouvrier en demandant à Darmanin de briser les grèves des éboueurs et des raffineurs et de réquisitionner les ouvriers. Aujourd’hui, les positions anti-ouvrière du RN se retrouvent dans la scélérate loi immigration, qui vise à précariser toujours plus les travailleurs immigrés et sans papiers, et rendre leur vie impossible.

Les ouvriers en lutte de Valdunes nous offrent un rappel limpide et salutaire, qui dénonce le RN pour ce qu’il est : un ennemi de classe de l’ensemble des travailleuses et travailleurs, qui a pour seul objectif de servir les patrons.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : Millavois

Millau. Un syndicaliste de la CGT convoqué au commissariat pour « dégradation de bien public »

« S’en prendre à un ou une camarade de la CGT, c’est s’en prendre à toute la CGT ». Le message est bien passé. Aussi, ce jeudi après-midi, ils étaient une soixantaine de militants syndicalistes (CGT FAPT, Sud PTT, FO Com) de Millau, Saint-Affrique, Decazeville, et de sympathisants, à venir soutenir Patrick Manguin, convoqué au commissariat de Millau après une plainte déposée par la direction de La Poste pour « dégradation de bien public » dans le cadre du récent conflit des facteurs de Millau.

 

L’intéressé, qui n’est pas postier, mais qui a soutenu le mouvement en tant que membre de la commission exécutive de l’union locale de la CGT, était le premier surpris. « Je ne sais pas pourquoi je suis convoqué, j’ai bien une petite idée, mais je ne suis pas certain », souriait-il avant de franchir la porte du commissariat en compagnie de son avocat.

« Tout le monde n’est pas traité de la même façon »

« C’est le quatrième camarade de la CGT qui est convoqué en quelques mois », faisait remarquer Céline Tabariès, porte-parole de la CGT, en rappelant les cas de Laurence Cahors à Decazeville et Patrick Conquand à Marcillac-Vallon contre qui La Poste avait déjà porté plainte, ou encore celui de la syndicaliste Corinne Mora, mise en cause par l’ancienne directrice de l’hôpital de Millau pour diffamation.

« Tout le monde n’est pas traité de la même façon », commentait Patrick Conquand en prenant l’exemple des syndicalistes de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs, qui, eux, ne seraient « jamais inquiétés » malgré les dégradations à Toulouse ces derniers jours ou les centaines de panneaux d’agglomérations retournés.

Il avait déposé du fertilisant sur les marches de la Poste

Ce n’est qu’une heure et demie plus tard que Patrick Manguin est sorti du commissariat de police de Millau. Le syndicaliste a finalement été mis en cause pour avoir déposé du fertilisant sur les marches de la Poste durant le conflit, mi-novembre 2023.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE :

Ces militants ont comparu en « reconnaissance préalable de culpabilité », alors qu’ils avaient joué le rôle de médiateur avec la police lors de l’occupation de voies de chemin de fer, durant une manifestation contre la réforme des retraites.

 

Le tribunal de Poitiers.© GUILLAUME SOUVANT / AFP

Poitiers (Vienne), le 6 avril 2023. En plein bras de fer contre la réforme des retraites, plus de 8 000 manifestants défilent dans les rues, à l’appel de l’intersyndicale. En milieu d’après-midi, une partie du cortège dévie sur les voies SNCF longeant le parcours. Le trafic ferroviaire est interrompu.

Écharpe tricolore sur les épaules, Kentin Plinguet, adjoint PCF à la maire de Poitier et militant CGT, se retrouve sur les rails. Une action « concertée avec les forces de l’ordre par les responsables syndicaux », assure le jeune militant. « Les autorités avaient donné leur accord pour une occupation d’une heure. Passé ce délai, la manifestation a repris son cours. Moi-même je ne suis pas resté durant l’occupation », poursuit l’intéressé.

300 euros d’amende

C’est pourtant bien cette action qui vaut à l’élu, ainsi qu’à deux responsables de la CGT énergie, dont le secrétaire général du syndicat dans la Vienne, une condamnation à 300 euros d’amende ce jeudi par le tribunal de Poitiers. « La répression se systématise, cela se traduit par une pénalisation des formes et pratiques plus ou moins transgressives dans les conflits sociaux, mesure l’historien Stéphane Sirot. Les énergéticiens sont ciblés car cette profession est à même de perturber l’économie. »

Cette condamnation découle d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Cette procédure permet de juger rapidement l’auteur d’une infraction à condition que celui-ci reconnaisse les faits reprochés. Face aux images à disposition des enquêteurs, « nous avons plaidé la bonne foi. Sans être les initiateurs de cette occupation, nous avons joué notre rôle de médiateur entre les manifestants et les forces de l’ordre, pour éviter les débordements. Cela nous coûte une condamnation aujourd’hui », déplore Kentin Plinguet. Ce alors que 500 manifestants étaient présents sur les rails ce 6 avril 2023.

« La CGT est délibérément ciblée »

« Le parquet est incapable d’expliquer pourquoi seuls mes trois clients ont été condamnés, alors que d’autres personnalités publiques émanant de différentes organisations syndicales et partis politiques étaient identifiables sur les photos », relate leur avocate, Me Sylvie Martin.

Pour Stéphane Sirot, « la CGT est délibérément ciblée par un pouvoir qui cherche à réprimer depuis 2017 les forces qui parviennent à contester les politiques néolibérales. Cela correspond à la volonté de retour à l’ordre martelé par Emmanuel Macron. »

Les trois prévenus échappent à l’inscription de leurs peines au casier judiciaire B2. Le bulletin numéro 2 est une mesure préjudiciable à une embauche dans des centaines de professions, notamment dans la fonction publique. Alors que 1 000 cégétistes, dont 17 secrétaires généraux d’organisations, sont inquiétés, Sophie Binet a abordé le dossier de la répression antisyndicale lors de sa rencontre avec Gabriel Attal, le 17 janvier. 

« Le premier ministre a assumé une question de principe en cas de désordre provoqué. Comment appeler au dialogue social et dans le même temps poursuivre devant les tribunaux les dirigeants syndicaux ? » s’interroge la secrétaire générale de la CGT.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
[ EXCLU ] Unilever-Intermarché : la guerre est déclarée (les huissiers sont passés en magasins) !

Encore une série passionnante à suivre dans l’univers du retail : les relations tumultueuses entre Intermarché et Unilever. Souvenez-vous, dès la fin d’année dernière, Les Mousquetaires “taillaient un costard” à Knorr (revoir ici) pour cause de hausse injustifiée (à leurs yeux). Plus récemment, c’est Magnum et Carte d’Or (toujours Unilever donc) qui étaient dans le viseur pour cause de shrinkflation. A chaque fois, un ton moqueur… que n’apprécie visiblement guère Unilever.

Hier, le groupe a en effet missionné des commissaires de justice (le nouveau nom des huissiers) pour sommer plusieurs magasins Intermarché de cesser ces affichages jugés comme dénigrants. “Les messages laissent à penser que la réquerante (en l’occurrence Unilever) aurait un comportement défavorable à l’égard du consommateur” peut-on lire. Sur la foi de la sommation que j’ai pu consulter, il n’y a aucune décision de justice attachée. Juste une sommation. Suffisant pour qu’un magasin au moins ait décidé… d’agrandir les affiches. Bref, la guerre est déclarée. Et la réconciliation – déjà improbable avant l’épisode d’hier – est encore repoussée. J’vous le disais : cette série-là aussi est passionnante. Vivement le prochain épisode… (je crois bien, me concernant, que ça sera demain !)

Publié par www.olivierdauvers.fr

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Derrière l'affaire de madame Oudéa-Castéra, les subventions publiques aux établissements d'enseignement privés

Sans doute pour l'égalité des chances à la sauce du Capital, pour les établissements privés sous contrat avec l'éducation nationale, des subventions publiques prennent en charge la totalité de la rémunération du personnel enseignant, soit en moyenne 73 % du financement de ces établissements.

 

Stanislas à Paris, dans lequel la ministre de ladite éducation nationale scolarise ses enfants, n'échappe pas à la règle.

Pire, le rapport de l'inspection générale de l'Education nationale, publié ce mardi par Médiapart, montre les atteintes à la laïcité et aux lois de la République. Acculé dans ses retranchements, madame Oudéa-Castéra n'admet qu'un seul cas d'homophobie à Stanislas.

Mais depuis août, les ministres successifs de l’éducation refusent de rendre publique l’enquête administrative visant l’établissement privé catholique. Le rapport demande pourtant à Stanislas de se mettre en conformité avec la loi.

Le président de la République, dans sa petite conférence de presse d'à peine 8 millions de téléspectateurs malgré 6 chaînes de télé pour ce faire, a conforté celle qui l'a adoubé pour administrer l'école. Mais le feu menace de s’étendre au fonctionnement et au financement des établissements privés sous contrat dans leur ensemble.

Pourquoi les commis du capital protègent-ils ces établissements privés ?

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Selon une étude d'Oxfam publiée le 15 janvier 2024, les inégalités dans le monde se sont rapidement aggravées au cours des trois dernières années. Alors que les milliardaires sont devenus plus riches et que les cinq plus riches d’entre eux ont plus que doublé leur richesse en seulement trois ans, 60 % des gens ont perdu leurs économies et leurs revenus.

 

À l'ouverture du Forum économique mondial de Davos, l'organisation de développement Oxfam International a publié lundi une nouvelle étude. Cela montre que les cinq personnes les plus riches du monde – tous des hommes – ont plus que doublé leur richesse depuis 2020. Dans le même temps, près de cinq milliards de personnes, dont les 60 pour cent les plus pauvres, se sont appauvries au cours de ces trois années.

En évaluant l’étude, Oxfam arrive à la conclusion qu’au taux de croissance actuel, le monde pourrait avoir son premier milliardaire en dollars dans dix ans. En revanche, la pauvreté mondiale ne serait pas éradiquée en 230 ans si la tendance actuelle se poursuivait.

Selon les données d'Oxfam, les cinq hommes les plus riches du monde ont réalisé un bénéfice moyen de 14 millions de dollars américains (12,8 millions d'euros) par heure depuis 2020. Leur richesse cumulée est passée de 405 milliards de dollars à 869 milliards de dollars au cours de cette période. La richesse totale de tous les milliardaires a augmenté trois fois plus vite que le taux d’inflation.

Dans le même temps, 4,77 milliards de personnes, soit les 60 pour cent les plus pauvres de l’humanité, ont perdu au total 20 milliards de dollars de richesse depuis 2020. Selon Oxfam, les salaires de 791 millions de travailleurs n'ont pas suivi le taux d'inflation. Chacun d'entre eux a perdu en moyenne près d'un mois de salaire en deux ans. 

Alors que les entreprises augmentent leurs super profits, des millions de travailleurs sont confrontés à une crise du coût de la vie alors que l’inflation fait baisser les salaires réels :

« Le pouvoir des entreprises est utilisé pour créer des inégalités : elles aggravent la situation des travailleurs et enrichissent les riches actionnaires, échappent à l'impôt et privatisent l'État. »

Cette inégalité n'est pas une coïncidence, déclare Amitabh Behar, directrice exécutive par intérim d'Oxfam International :

« La classe des milliardaires veille à ce que les entreprises augmentent leur richesse aux dépens de tous les autres. »

L'homme politique américain Bernie Sanders écrit dans l'avant-propos de la publication :

« Les milliardaires s'enrichissent, la classe ouvrière est en difficulté et les pauvres vivent dans le désespoir. C'est l'état malheureux de l'économie mondiale. »

Jamais auparavant, continue-t-on, il n’y a eu une telle inégalité en matière de revenus et de richesse. L’avidité, l’arrogance et l’irresponsabilité sont également sans précédent.

Pour remédier aux déséquilibres existants, les experts d'Oxfam ont appelé les gouvernements à limiter le pouvoir des entreprises, à démanteler les monopoles, à imposer des impôts sur les profits et les richesses excédentaires et à promouvoir des formes alternatives de propriété, telles que la propriété collective des travailleurs.

Selon l'étude, l'étude est basée sur des données provenant de diverses sources. Par exemple, Oxfam a combiné les estimations de Forbes sur la richesse des milliardaires avec les estimations du Crédit Suisse sur la richesse mondiale.

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Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Oudéa-Castéra : son mari PDG de la Société Générale a menti pour protéger l’évasion fiscale

En 2016, la Société Générale était largement citée dans le scandale des Panama Papers. Pourtant, son PDG, Frédéric Oudéa, avait juré dans une audition au Sénat en 2012 que la banque n’avait plus d’activité dans les paradis fiscaux. Depuis sa femme est devenue ministre de l'Education et poursuit la culture du mensonge.

Frédéric Oudéa, PDG de la Société Générale, en 2021

Frédéric Oudéa, PDG de la Société Générale, en 2021

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et désormais de l’Education Nationale, fait tâche depuis le remaniement de Macron. Son mensonge sur la raison du placement de ses enfants dans un lycée privé catholique intégriste fait enfler la polémique. Depuis, tout le monde s’intéresse à la ministre et à son entourage. Elle est en famille avec tous les éditocrates de ce pays : Alain Duhamel, Nathalie Saint-Cricq, Benjamin Duhamel. Mais elle est également mariée à Frédéric Oudéa, actuel président de Sanofi et ancien PDG de la Société Générale.

En 2016, celui-ci s’était fait épingler dans le cadre des Panama Papers, ce scandale financier qui avait révélé l’existence de plus de 200.000 sociétés offshore domiciliées au Panama. De nombreux chefs d’Etat du monde entier (Russie, Chine, Syrie, Qatar, France, Royaume-Uni etc.) et leurs familles pratiquaient ainsi du blanchiment d’argent et de la fraude fiscale. En France, du PS au FN tout le monde est concerné ainsi que des grands patrons comme Patrick Drahi (Libération, SFR). La Société Générale était particulièrement visée puisqu’elle contrôlait, par sa filiale luxembourgeoise, plus de 200 sociétés offshore pour le compte de ses clients au Panama en 2012. Au final, les Panama Papers révèlent la création de près de 1000 sociétés offshore panaméennes par la Société Générale entre 1977 et 2015.

Problème, en avril 2012, Frédéric Oudéa, déjà PDG de la Société Générale était auditionné par une commission au Sénat. Les yeux dans les yeux et la main sur le cœur, le mari de la future ministre de l’Education affirmait alors que la Société Générale n’avait plus d’activités au Panama : « La Société générale a fermé ses implantations dans les pays qui figuraient sur cette liste grise, mais aussi dans ceux que désignait la liste des États non coopératifs, c’est-à-dire en pratique, pour nous, à Panama. Toutefois, nous avons été au-delà et avons décidé de fermer également nos implantations dans les Etats qui ont été qualifiés de centres financiers offshore, c’est-à-dire pour nous, les Philippines et Brunei. Dans ces deux pays, nous n’exerçons plus d’activité et attendons maintenant l’autorisation du régulateur local pour entériner ces fermetures. »

Panique à bord à la Société Générale. Frédéric Oudéa est de nouveau convoqué devant le Sénat en mai 2016, où il maintient sa version : « Laisser penser que le groupe Société générale serait au cœur de l’évasion fiscale est une information erronée et injustifiée ». Pendant ce temps, en coulisse la banque fait le ménage en urgence, après avoir été perquisitionnée en avril 2016 lors de la publication des fichiers. Les enquêteurs du fisc ne semblaient pas penser qu’il était « erroné » de penser que la Société Générale était au cœur d’un trafic d’évasion fiscale.

Plusieurs associations et élus ont alors appelé à ce que Frédéric Oudéa soit condamné pour parjure devant le Sénat, une peine passible de 5 ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. Par chance, le bureau du Sénat estimait le 26 mai 2016, « qu’il n’y avait pas lieu de saisir la justice » estimant les propos de Frédéric Oudéa comportait seulement « une part d’ambiguïtés » sans être « susceptibles d’être qualifiés de faux témoignages ».

Un blanchiment express qui n’a lavé qu’en surface puisque la Société Générale, aux côtés d’autres banques, a été de nouveau perquisitionnée en mars dernier pour de nouveaux soupçons de « fraude fiscale aggravée ».

 

A l’heure des révélations des Panama Papers, Alain Duhamel (propagandiste infatigable de la bourgeoisie depuis de Gaulle !) s’enthousiasmait au micro de RTL que cette affaire permette de « mesurer la réalité et l’ampleur des dérives du capitalisme financier », craignant en même temps le danger de la « méfiance » populaire vis-à-vis des élites. Voilà qui a dû faire bien rire lors du repas de famille payé avec l’argent sale de la Société Générale.

S’il est une chose à retenir, c’est bien que la famille Oudéa-Castéra-Duhamel fait figure de référence dans l’art du mensonge et de l’hypocrisie. Performance d’autant plus spectaculaire qu’elle est réalisée à la télé, sans trucage ni honte et en toute décontraction, une vraie leçon de sport. C’est peut-être à cette activité si particulière que l’on s’exerce dans les écoles privées de l’élite où Amélie Oudéa-Castéra et Frédéric Oudéa ont placé leurs enfants.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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