SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Ce 5 février, un lundi soir, ils étaient 35 000 à Francfort (19 000 selon la police) à manifester contre la fascisme depuis qu'a été révélé le plan secret de l'Afd ( l'équivalent du RN français. Ils sont dans le même groupe au parlement européen) et de certains responsables de droite et hommes d'affaire s'ils arrivaient au pouvoir : expulser des millions de migrants, même installés depuis longtemps, et arrêter tous ceux qui ne supporteraient pas l'extrême-droite au pouvoir. .
Ce sont des millions d'allemands qui manifestent sans discontinuer depuis 25 jours, tous les jours, dans toutes les villes, petites ou grandes et même dans des villages, pour dénoncer l'extrême-droite et exiger sa mise au ban de la société. Ainsi, dorénavant, la plupart des villes refusent de louer leurs salles à l'Afd (parti d'extrême-droite), des citoyens ont organisé des boycott des journaux ou journalistes qui leur ouvrent leurs colonnes et micros... et le mouvement s'est étendu à l'Autriche avec d'énormes manifestations dans les principales villes.
De son côté l'Afd panique... et Marine Le Pen aussi qui a peur que le scandale s'étende à elle. Elle vient de rompre avec l'Afd - du moins le prétend elle - alors qu'elle est mouillée jusqu'au cou avec ce parti et continue à faire partie du même groupe au parlement européen
LE PLUS GRAND MOUVEMENT DE L'HISTOIRE DE LA REPUBLIQUE FEDERALE ALLEMANDE... MARINE LE PEN PANIQUE

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Jackpot pour les actionnaires du CAC 40 : près de 100 milliards d’euros de dividendes ont été versés en 2023. Soit une hausse de 21 % par rapport à l’an passé. De l’autre côté, le nombre de salarié·es payé·es au Smic n’a jamais été aussi élevé (plus de 3 millions de personnes soit 17,3 % des travailleur·ses en 2023).

Les profits grimpent, les salarié·es trinquent...

Les secteurs bancaires et l’industrie du luxe ont été très généreux. Mais c’est Total Énergies qui arrive sur la première marche du podium avec 18,7 milliards d’euros de dividendes versés à ses actionnaires. Si l’augmentation des prix de l’énergie a fragilisé la situation économique de nombreux foyers, elle a donc aussi permis à une minorité de bien en profiter !

Les profits grimpent, les salarié·es trinquent... 

Le prix élevé de l’énergie contraint de nombreuses personnes à ne plus pouvoir se chauffer correctement. Pourtant, le gouvernement prévoit une nouvelle hausse du tarif de l’électricité de 10 % à partir du 1er février 2024. 

Avec une hausse des prix à la consommation de 4,9 % en moyenne en 2023 et même de 6,9 % pour l’alimentation, depuis 2021, les travailleur·ses ont perdu en pouvoir d’achat alors que les versements aux actionnaires du CAC 40 ont continué d’augmenter.

En 2023, jamais les inégalités n’ont été aussi criantes. 

D’un côté, les dividendes ne cessent de progresser alors que, de l’autre, les salaires réels et le niveau de vie, du fait de l’inflation, baissent. Les dividendes augmentent de 40 % entre 2021 et 2023 alors que le pouvoir d’achat baisse de 2 % sur la même période.

 

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Du salaire et rien d'autre que du Salaire !

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LES AGRICULTEURS CONTINUENT

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Le racket

Publié par Info'Com-CGT

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15 interpellations vers Rungis : Darmanin commence à réprimer la mobilisation des agriculteurs

Quinze personnes ont été interpellées ce mercredi aux abords de Rungis pour « entrave à la circulation », alors que le gouvernement hausse le ton contre toute radicalisation du mouvement paysan, main dans la main avec la FNSEA.

Mouvement des agriculteurs

Crédit image : capture d’écran Huffington post

Edit à 18h33 : De nouvelles interpellations sont à priori en cours, concernant une quarantaine de personnes. Selon CLPRESS, des agriculteurs en provenance d’Agen qui s’étaient rendus à Rungis sont placés en garde à vue uns à uns avant d’être transférés au commissariat.

Des « lignes rouges » à ne pas franchir

Alors que plusieurs centaines d’agriculteurs tiennent depuis deux jours un « siège » de Paris, dans l’objectif d’imposer un certain nombre de revendications, le gouvernement commence à durcir la répression. 15 000 policiers et gendarmes supplémentaires ont ainsi été mobilisés dans toute la France, tandis que des blindés de la gendarmerie entourent Rungis et les principaux aéroports franciliens depuis dimanche soir. Ce matin, quinze personnes ont été interpellées, officiellement pour « entrave à la circulation » au niveau de Rungis.

Pour rappel, Rungis abrite le plus grand marché de produits frais au monde, où sont acheminées en continu des denrées de toutes l’Europe et où viennent se fournir la quasi-totalité des enseignes de grande distribution et de restauration d’île-de-France. Il s’agit donc d’un point stratégique central, qui incarne aux yeux de nombreux agriculteurs le symbole par excellence de leur exploitation par les géants de la grande distribution.

Une réalité dont le gouvernement est on ne peut plus conscient, et qui explique pourquoi le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré ce matin sur France 2 qu’il ne « laissera pas faire » les agriculteurs qui ne respecteront pas ses « lignes rouges », ces dernières étant justement l’interdiction de s’approcher de Rungis, des aéroports et de Paris elle-même. L’objectif du gouvernement est clair : contenir le mouvement dans un cadre le plus « pacifiste » possible, le temps de trouver un compromis avec la FNSEA, son alliée traditionnelle dans le secteur paysan, qui se trouve par la force des choses propulsée à la tête du mouvement de contestation.

La FNSEA main dans la main avec le gouvernement

Les intérêts de la FNSEA, dirigée par un consortium d’agro-businessmen et de très gros exploitants, convergent en effet avec ceux du gouvernement, contre une partie importante des revendications de la base des agriculteurs. Il convient dès lors pour la corporation et pour le gouvernement de réussir le jeu d’équilibriste suivant : apaiser la colère des agriculteurs, sans que la direction de la FNSEA ne soit discréditée aux yeux de sa base, en touchant le moins possible aux intérêts capitalistes et si possible en canalisant le mouvement afin d’en faire une offensive anti-écologiste et xénophobe. Dans cet esprit, le gouvernement comme la FNSEA savent qu’ils ont tout à gagner à criminaliser les éléments les plus radicaux du mouvement.

Arnaud Rousseau, l’agro-businessman à la tête de la FNSEA, a ainsi appelé ce midi « au calme et à la raison », condamnant toutes les actions dépassant le cadre imposé par son organisation. Il a de plus déclaré que beaucoup de revendications des agriculteurs concernent des « sujets européens » qui ne se « règlent pas en trois jours ». Il cherche par cette déclaration à canaliser la colère des paysans non pas contre le gouvernement et les grandes entreprises de l’agro-alimentaire, mais contre l’Union européenne, ennemi bien plus flou et bien plus inatteignable, proposant de la sorte une porte de sortie évidente au gouvernement.

Dès lors, ce récit mensonger implique que Paris ne soit plus une cible centrale et que le parlement européen devienne le terrain de lutte privilégié, un discours rêvé à l’approche des élections européennes, pour LREM mais aussi et surtout pour le RN qui cherche a faire de cette contestation la rampe de lancement de sa campagne, en présentant Jordan Bardella comme « le porte voix des campagnes ». Ce récit implique aussi et surtout pour le gouvernement de réprimer brutalement tous ceux qui continuent de cibler prioritairement les administrations et les capitalistes français, et de les stigmatiser au maximum au profit de ceux qui, bien encadrés par la FNSEA, accepteront de porter exclusivement leur mécontentement contre l’Union européenne.

Vers le début d’une répression généralisée du mouvement ?

C’est dans cet objectif que la répression commence à se durcir, pour l’instant exclusivement autour de points stratégiques tels que le marché de Rungis. Quinze personnes, dont il n’a pour l’heure pas été précisé s’il s’agit d’agriculteurs, ont ainsi été interpellées ce matin pour « entrave à la circulation » au niveau de Rungis. Ce premier coup de filet est évidemment la preuve du caractère stratégique de ce site, puisque le gouvernement a jusque là accepté de laisser près de 800 tracteurs entraver la circulation de 10 autoroutes menant à Paris, mais n’a pas toléré qu’une quinzaine le fasse aux abords de Rungis. Il est surtout l’illustration de la fébrilité grandissante du gouvernement, confronté à une crise dont il est bien en peine de s’extirper et dont la nouvelle salve de mesures annoncées par Gabriel Attal, lors de son discours de politique générale, semblent loin de contenter le secteur agricole, durement impacté par la politique de précarisation que continuera à mener le nouveau Premier ministre.

Pour autant, il n’est pas à exclure que le gouvernement durcisse dans les jours qui viennent la répression à l’encontre des autres points de blocage qu’il tolère pour l’instant, notamment si la FNSEA parvenait à conserver la direction symbolique du mouvement tout en ordonnant la levée des blocages, ou si ces derniers venaient à menacer trop durement les profits des capitalistes.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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« Désmicardiser la France » : derrière la formule choc, des attaques contre les bas salaires

Lors de son discours de politique générale, le Premier ministre a dit vouloir s'attaquer au problème des bas salaires et « désmicardiser la France ». Derrière la formule de communiquant se cachent en fait de nouvelles attaques contre les bas salaires, voire au fonctionnement du SMIC lui-même.

Annonces anti-ouvrières

Crédit photo : capture d’écran BFMTV

« Nous avons un SMIC nettement supérieur à celui de nos voisins, et nous en sommes fiers, mais nous avons une part de nos travailleurs proches du SMIC beaucoup plus importantes que nos voisins. C’est un problème. » Lors de son discours de politique générale, contenant d’autres annonces sur les attaques à venir, Gabriel Attal a fait mine de se préoccuper des bas salaires en France. Si la part des bas salaires proches du SMIC est forte en France, c’est parce que l’inflation a explosé depuis 2021, que les salaires n’ont pas suivi et que le macronisme n’a rien fait puisqu’il ne faut pas perturber la liberté des entreprises (liberté des patrons de ne pas augmenter leurs salariés). Seul le salaire minimum est indexé sur l’inflation et suit donc globalement la hausse des prix. C’est ce qui produit non seulement un effet de tassement, puisque les salaires sont petit à petit « rattrapés » par le SMIC, mais aussi une augmentation du nombre de smicards, passés de 12% des salariés du privé en 2021 à 17% en 2023. Le macronisme a donc bien « smicardisé la France », au contraire de la formule du Premier ministre.

Celui-ci, faisant mine de découvrir des problèmes avec lesquels les macronistes n’auraient rien à voir, cible deux responsables des bas salaires : les « branches » et les « mécanismes d’exonération ».

Le premier est un élément de langage pointant le fait que les minimas salariaux de nombreux secteurs sont en-dessous du SMIC [1] et expliquant que le gouvernement va demander aux branches de se mettre à niveau. Autrement dit, la même méthode que Bruno Le Maire, qui jusqu’à aujourd’hui n’a rien réglé puisqu’encore 90 branches sont concernées.

Le deuxième ouvre la porte à davantage de discussions. Évoquant le sujet des exonérations et allègements de cotisations patronales, de « charges » si l’on en croit le vocabulaire patronal, Attal reprend encore une fois les discours de la droite. Si les salaires n’augmentent pas, c’est parce que cela coûterait trop cher aux patrons. « Pour augmenter un salarié au SMIC de 100€, il en coûte 238 à l’employeur.  » Décortiquons le propos. Il est vrai qu’il existe plusieurs mécanismes qui aboutissent à une « trappe à bas salaires », c’est-à-dire un encouragement à ne pas augmenter les salaires. Premièrement, il faudrait nuancer cela en ayant en tête que les profits des grands groupes ont explosé et qu’il y a largement de quoi augmenter les salaires, même avec ces mécanismes.

De plus, les discours de droite prennent le problème à l’envers en expliquant qu’il y a plus de cotisations pour les salaires au-dessus du SMIC. La réalité est qu’il y a moins de cotisations pour les salaires au SMIC, et cela n’est pas qu’un problème de sémantique. Car la situation vient d’abord du fait qu’il y a eu années après années des allègements et des exonérations de cotisations, autrement dit des cadeaux au patronat, concentré sur le SMIC et les bas salaires, pour encourager soi-disant à embaucher. En clair, c’est 75 milliards par an d’argent public offert au patronat, d’ailleurs sans effet sur l’emploi. Le macronisme a approfondi cette logique, par exemple en 2019 en convertissant les 20 milliards du CICE en exonérations de cotisations. Tous ces allègements de cotisations n’étant pas compensés par l’État, ils affaiblissent donc en même temps le budget de la Sécurité Sociale, ce qui sert ensuite d’excuse à la casse du système de santé, avec comme dernier exemple en date le doublement de la franchise médicale, ainsi qu’à la réduction de toutes les aides pour les plus précaires, comme la durcissement des conditions du RSA, la suppression de l’allocation spécifique de solidarité (ASS) dont bénéficient certains chômeurs en fin de droits, ou encore une nouvelle réforme annoncée de l’assurance chômage notamment ciblée contre les plus âgés.

Dans son discours, le premier ministre n’a pas précisé les attaques prévues, mais a mentionné que le prochain projet de loi de finance devant s’appuyer sur des « propositions de parlementaires, de partenaires sociaux et sur un certain nombre de travaux d’experts qui sont actuellement conduits ». Les pistes les plus probables vont dans le sens d’augmenter les cadeaux fiscaux au patronat, par exemple en agissant sur l’ « allégement Fillon ». Celui-ci consiste en des exonérations de cotisations patronales dégressives jusqu’à 1,6 SMIC et pourraient être moins dégressives (ce que les économistes mainstream appellent « réduire la pente ») et/ou étendues au-delà de 1,6 SMIC. Autrement dit, au lieu de supprimer toutes ces exonérations, ce qui serait la seule mesure juste les concernant, le gouvernement va distribuer des cadeaux supplémentaires aux patrons. Il est probable que cela ne les encourage même pas à augmenter les salaires, mais il est clair par contre que pour les salariés qui sont déjà au-dessus du SMIC, le patron recevra de nouveaux allègements.

Une remise en cause du SMIC lui-même ?

Mais dans les « travaux d’experts qui sont actuellement conduits », on trouve des attaques plus profondes que le macronisme pourrait dégainer. C’est le cas d’un « comité indépendant », en tout cas indépendant des salariés, cité par Les Echos, qui propose de remettre en cause le mécanisme d’indexation du SMIC sur l’inflation. Du côté des « propositions de parlementaires », on peut s’attendre au même ton, comme on le voit déjà du côté du député macroniste Marc Ferraci proposant de « désindexer le SMIC ». Si le rapport de forces le lui permet, le gouvernement reprendra tôt ou tard ce genre de mesure.

Contre l’appauvrissement de tous, défendre nos salaires nous-mêmes

On le voit, derrière les formules sur les branches ou la « désmicardisation », aucune augmentation de salaire. Nous n’aurons aucun coup de pouce de députés qui s’augmentent eux-mêmes de 300€ ou des sénateurs qui s’augmentent de 700€. En ce début d’année où de nombreuses négociations salariales (les NAO) vont s’ouvrir, celles-ci peuvent être l’occasion de se battre pour de vraies augmentations de salaire, qui rattrapent ce qu’on a perdu avec l’inflation, et pour une indexation des salaires sur l’inflation pour que les augmentations d’aujourd’hui ne soient pas annulées par l’inflation de demain.

Mais se battre seulement boite par boite ne suffira pas, c’est pour cela que les directions syndicales ne doivent pas renvoyer les questions salariales au « dialogue social » au niveau de l’entreprise mais préparer une lutte d’ensemble au niveau national qui ait comme point de départ une augmentation d’au moins 400€ et l’indexation des salaires sur l’inflation.

[1] : En France, il existe dans chaque branches d’activité des négociations paritaires sur les niveaux de rémunération correspondant aux différents niveaux de classification. Théoriquement, ceci sert à garantir qu’un avancement de carrière correspond à un avancement salarial. Plusieurs branches ont dans leur classification, des rémunérations se trouvant sous le SMIC pour les catégories les plus basses. Dans les faits, aucun salarié n’est payé en-dessous du SMIC car un complément est fait par des primes ou autre. Ce qu’on doit comprendre, c’est qu’en réalité les minima de salaire sont tellement bas dans les branches qu’il arrive souvent qu’un avancement de classification ne se traduise pas automatiquement par une hausse de salaire.

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Rassemblement intersyndical contre la répression et le licenciement du secrétaire de l’UL CGT de Roissy

Plusieurs syndicats de l'aéroport appellent à se rassembler et à manifester contre la répression syndicale à Roissy et pour la réintégration du secrétaire de l’UL CGT Roissy, licencié par Transdev.

Aéroport de Roissy

Le 10 janvier, le secrétaire de l’Union Locale CGT Roissy Nicolas Pereira s’est fait licencier par Transdev. Un saut dans la répression à l’aéroport où de nombreux travailleurs se font réprimer. En effet, des cas de harcèlement aux licenciements en passant par les convocations policières, tous les moyens sont bon afin de réprimer pour le patronat.

Dans ce contexte, un rassemblement a été appelé le 1er février à 12 H 30 devant AIR France cargo (Roissy). Une initiative intersyndicale à l’appel de la CGT Roissy, de Sud aérien, de la CFTC, STAAAP, UNSA, de la CFDT et de FO.

« Des militants comme Nicolas Pereira de l’Union Locale CGT de Roissy, Nordine et Mohamed, élus du personnel CGT chez Transdev, ainsi que Tayeb Khouira, porte-parole de Sud Aérien, et Alain Khan, délégué syndical Sud Aérien, ont tous fait face à des sanctions et des intimidations inacceptables. Ces attaques ne sont pas isolées mais visent à affaiblir le mouvement syndical dans son ensemble » peut-on lire sur le tract.

Alors que la colère gronde déjà dans l’aéroport et où des récentes grèves pour les salaires ont vu le jour, ces cas de répression illustrent clairement la volonté de discipliner les travailleurs dans la perspective des Jeux Olympiques. Une offensive contre laquelle il est central d’opposer un front large, dont la constitution d’une intersyndicale est un premier pas important.

Soyons nombreux à nous rassembler le 1er février à 12 H 30 devant AIR France cargo (Roissy) !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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NAO UNILEVER usine Le meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Première réunion NAO

mardi 30 janvier 2024

à 14H00

NAO USINE UNILEVER à Le meux

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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