SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

UNILEVER Port sunlightUnilever va investir près de 50 millions d'euros sur son site historique de Port Sunlight, dans le nord-ouest de l'Angleterre, avec la création de 150 postes. Il souhaite faire de Port Sunlight un "centre d'excellence" pour la fabrication de cosmétiques comme les shampoings et les gels pour la douche, avec un potentiel de croissance sur dix ans.

 

Lien des articles : ICI.

Article de l'EXPRESS : ICI


Pour rappel, Unilever investit en Pologne pour le shampoing et le gel de douche  !!!

Les chiffres annoncés au comité Européen :

- 33 millions d'unités minimum tranférés du site de Le Meux vers Bydgoszcz en 2012

- Rapatriement d'environ 40 millions d'unités de chez les sous-traitant (aucunes précisons données ...) en 2012

- 22 milions d'€ d'investissements à Bydgoszcz

- Embauche de 113 personnes

- Une baisse de 25% minimum des coûts de conversion en Pologne. Ils seront ainsi 50% plus bas que ceux du site de Le Meux !!!

 

Bonne journée

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

gfhjgfjjghjftujhjjghUn clic sur l'image pour prendre connaissance de la note. 

 

Nous rappelons aux salariés, qu'il n'y a aucune obligation de signer cette note de service !

 

 Concernant la sécurité, la direction ferait bien de prendre en compte les remarques des salariés concernant l'ergonomie des chariots électrique et le mal de dos que cela occasionne !

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

UN CLIC SUR LES IMAGES POUR PRENDRE CONNAISSANCE DU TRACT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde
  
Le géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques a annoncé lundi la vente de ses marques Wish-Bone et Western, des sauces pour salade, à la société américaine Pinnacle Foods pour 580 millions de dollars (437 millions d'euros).
"Unilever a annoncé aujourd'hui avoir signé un accord pour la vente de ses marques de sauces pour salade Wish-Bone et Western à Pinnacle Foods", a indiqué Unilever dans un communiqué, indiquant espérer finaliser la transaction vers la fin du troisième trimestre ou au début du quatrième.

La fabrique où sont produites les deux marques n'est pas incluse dans la transaction et restera aux mains d'Unilever. Elle produira les sauces pour Pinnacle Foods en vertu d'un accord en vigueur pour une durée minimale de 12 mois.
"Wish-Bone est une marque très connue et la première marque de sauces pour salade italiennes aux Etat-Unis", a souligné le directeur d'Unilever-Amérique du Nord Kees Kruythoff, cité dans le communiqué.
"Alors que nous continuons à modifier notre en vue d'une croissance durable pour Unilever, ce changement va nous permettre de nous concentrer sur la croissance de notre portefeuille de base dans l'alimentaire", a-t-il ajouté.
Le chiffre d'affaires annuel de Wish-Bone et Western est approximativement de 190 millions de dollars (135 millions d'euros), a indiqué Unilever, selon lequel la transaction doit encore recevoir l'aval des autorités compétentes.

                         

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever France

Après un printemps grisâtre, les fabricants de glaces profitent de l'été caniculaire pour écouler les stocks.

L'été redonne le sourire aux fabricants de glaces. Après un printemps maussade, les ventes de glaces ont enregistré sur les trois premières semaines de juillet une progression de près de 40 % par rapport à la même période de l'année dernière selon l'institut Iri.

«  Notre chiffre d'affaires a accusé une baisse de près de 10 % sur les six premiers mois de l'année  », se souvient Nicolas Dron, chef du département glaces chez Unilever. Le groupe, qui commercialise les marques Magnum, Miko, Carte d'Or ou Ben & Jerry's et représente près de 30 % du marché de la glace, a cependant réussi à rattraper cette baisse grâce au seul mois de juillet. Et ce n'est pas seulement l'été, période pendant laquelle les fabricants de glaces réalisent près de la moitié de leurs ventes annuelles, qui a joué, mais surtout les températures exceptionnelles enregistrées cette année. Sur la plus belle semaine de juillet, celle du 15 au 21, Unilever a enregistré une progression des ventes de 50 % par rapport à la même semaine de 2012. «  En France, plus qu'ailleurs, la glace est un produit plaisir, et pas usuel. Les ventes sont donc très corrélées à la température », remarque François Vandon, directeur de l'activité glaces de l'usine Nestlé de Beauvais.

«  Toutes les glaces ne connaissent pas le même succès en été, observe Nicolas Dron. Celles qui marchent le plus sont les glaces dites "d'impulsion", comme les cornetto, les Magnum, les glaces à l'eau… tandis que les ventes de glaces au lait sont à peu près stables sur toute l'année. »

Les fabricants de glaces ne se sont pas laissé surprendre par ce soudain succès. Chez Unilever, le groupe des glaces travaille de près avec des instituts qui lui indiquent la météo à trois semaines et le comportement des consommateurs à en attendre. Dans les usines de Nestlé, les stocks se constituent de janvier à juin. «  Au printemps, notre usine marchait à 100 % de ses capacités, soit plus de 20 cônes par seconde, explique François Vandon, avec les faibles ventes du printemps, nous avons constitué des stocks plus importants que prévu, que nous sommes bien contents d'avoir aujourd'hui.  »L'usine de Beauvais fonctionne aujourd'hui à 80 % de ses capacités, en prévision des beaux jours encore attendus pour août.

 

Un insecte dans sa glace au citron

 

Le sorbet contenait un ingrédient imprévu

 

Le Nogentais pense qu'il s'agit d'un cafard.

 

Benoît Lopez, un habitant de Nogent-sur-Oise, n'est pas près de remanger du sorbet au citron de sitôt. Il faut dire que la découverte faite dans sa coupe de glace a de quoi refroidir : « Le dimanche 21 juillet, ma femme a ouvert une boîte de sorbet Carte d'or. En mangeant ma glace, j'ai vu des petites pattes, puis le corps d'un gros insecte, je pense que c'est un cafard, sans certitude », explique-t-il.

Écœuré, il appelle le service client du fabricant, Unilever, qui lui demande de compléter un questionnaire fastidieux, de prendre des photos, et de leur envoyer l'insecte. « J'appelais pour râler, pas forcément pour un dédommagement, mais pour qu'ils sachent ce que j'ai découvert. Je pensais avoir des excuses, et un remboursement de mes deux bacs de glace. Au lieu de cela, la personne que j'ai eue au bout du fil a insinué que le cafard venait de chez moi », raconte-t-il.

Benoît Lopez est pourtant sûr qu'il n'y a aucun insecte de ce genre chez lui. « Et ma femme venait d'ouvrir la boîte ! Il était bien au milieu de cette boule », insiste-t-il. Le Nogentais se dit révolté de n'avoir aucune réponse du service client d'Unilever, alors qu'il exige le remboursement de ses deux bacs de sorbet.

Contacté ce lundi, le service presse d'Unilever a pris en compte nos questions, mais n'a pas rappelé pour apporter les réponses.

C. L.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

Il est difficile de s’attaquer au commerce équitable sans s’attirer les foudres de ses défenseurs. C’est pourtant ce qu’entreprend Donatien Lemaître avec brio dans le documentaire « Le business du commerce équitable » (France, 2013, 1h20), diffusé ce mardi à 22h25 sur Arte.

 commerce équitable

Donatien Lemaître montre au grand jour les problèmes de harcèlements sexuels sévissant dans les plantations d’Unilever au Kenya.

Le commerce équitable s’est développé. A-t-il réussi à garder ses objectifs initiaux ou a-t-il été récupéré par les multinationales en manque d’image ? Voici la question à laquelle a voulu répondre Donatien Lemaître dans « Le business du commerce équitable ».

Le label Fairtrade / Max Havelaar est le label du commerce équitable le plus répandu en Europe ; il est apposé sur 75 % des produits issus du commerce équitable. L’ONG internationale Fairtrade, responsable du label, représente aujourd’hui 1,3 million de producteurs et de travailleurs organisés au sein de plus de 1 100 groupes dans 70 pays. Elle travaille avec plus de 3 000 entreprises à travers le monde.

L’enquête de Donatien Lemaître montre comment les petits producteurs de cafés labellisés gagnent en général à peine plus que les autres producteurs. S’ils sortent de la pauvreté extrême, peuvent scolariser leurs enfants et recevoir des soins grâce à la prime de développement, ils ne sortent jamais réellement de la pauvreté. Dans une coopérative du Chiapas, au Mexique, Donatien Lemaître montre comment la prime de développement de 72 000 euros reçue en 2011 a servi à construire une pièce supplémentaire dans chaque maison avec un four écologique.

Et pourtant, même si les enseignes de la grande distribution déclarent ne pas prendre de marge supérieure pour ces produits, ce commerce fait leurs affaires. Les grandes marques ne s’y sont pas trompées : les glaces et barres chocolatées dans grandes multinationales déclinent désormais leurs produits en version « équitable ».

Philippe Juglar, ancien négociant de café, affirme que la totalité de la chaîne de l’équitable est payée par le consommateur. « Les intermédiaires, négociants, transporteurs, torréfacteurs, etc. ne font pas d’efforts sur leur marges parce que c’est du commerce équitable, et les distributeurs, je pense, en moyenne, ont plutôt une marge supérieure car ils font du commerce équitable », explique-t-il. Ces critiques sont bien connues et régulièrement adressées à l’encontre du commerce équitable, puisque rien n’encadre les marges de la distribution dans le cahier des charges de Max Havelaar.

Less plantations de bananes en République Dominicaine

La République dominicaine produit 35 % des bananes équitables produites dans le monde. Donatien Lemaître observe que, dans les plantations de bananes de République Dominicaine, des petits propriétaires ayant obtenu le label Max Havelaar ont pour main-d’œuvre des travailleurs haïtiens sans-papiers payés 4 à 5 euros par jour. Le petit producteur fait partie du processus, mais pas le travailleur. Ainsi, le commerce équitable a ses coopératives, ses programmes de développement, mais aussi ses forçats invisibles… Le problème apparaît également dans des grandes plantations labellisées, même s’il est vrai que les papiers des travailleurs y sont en règle. Max Havelaar y a donné son label aux grands propriétaires terriens, dont une Hollandaise possédant 215 ha de plantations.

 « Si les petits producteurs améliorent leurs conditions de vie, on oublie de dire qu’ils ont souvent des ouvriers qui continuent de vivre, eux, dans la misère », s’indigne Donatien Lemaître. « Pour certains produits comme la banane, l’organisation donne son label à de grands propriétaires terriens qui s’enrichissent grâce au système de prix garantis », précise-t-il.

Rainforest Alliance : l’équitable selon les multinationales

Donatien Lemaître s’intéresse aux multinationales de l’agroalimentaire et constate qu’au Kenya, le partenariat entre Rainforest alliance et Lipton (groupe Unilever) a profité à la marque et à la faune et à la flore locales, mais pas réellement aux travailleurs occasionnels des plantations de thé. Rainforest Alliance n’est pas du commerce équitable puisqu’il ne garantit pas de prix minimum aux producteurs et attire donc plus facilement les multinationales à la recherche d’image et de profits.

Rainforest Alliance certifie 14 000 hectares de thé pour Unilever au Kenya. 12 500 personnes vivent  dans les  villages construits aux abords des plantations. 4 000 travailleurs saisonniers rejoignent les rangs pendant les périodes de récoltes.

Trois travailleuses d’Unilever témoignent : le harcèlement sexuel des contremaîtres est monnaie courante dans les rangs de la plantation. Face à ce problème, Rainforest Alliance demeure pieds et poings liés, car le partenariat avec Unilever reste l’un de ses plus importants. Y renoncer entraînerait des pertes économiques considérables.

Max Havelaar réagit avant la diffusion du documentaire !

Max Havelaar n’a pas attendu la diffusion du documentaire pour réagir. Dans un communiqué en date du 2 août, l’association défend son action et précise surtout la dure réalité de terrain, loin de l’image idéale du commerce équitable, trop souvent véhiculée dans les médias.

Max Havelaar dit mettre en place un système de contrôle très strict, via l’organisme de contrôle Flo-Cert. Cet organisme dispose d’une centaine d’auditeurs dans le monde pour contrôler l’ensemble des coopératives et des paysans ayant le label Max Havelaar. Les contrôles ne pouvant pas se faire partout en permanence et les producteurs étant très éparpillés, savoir identifier les zones à risques est capital. Max Havelaar défend son mode de certification et rappelle qu’ « en 2012, FLO-CERT a suspendu au total 141 organisations de producteurs et 41 acheteurs (dont respectivement 35 et 12 ont au final perdu leur certification) ». Les pratiques déviantes seraient donc bien identifiées et les coopératives en question exclues du système.

Suite à l’adoption d’une nouvelle Stratégie sur les Droits des Travailleurs en 2012, « une révision complète  des cahiers des charges pour les organisations de producteurs qui ont une partie de leur  main d’œuvre salariée est en cours  afin d’améliorer la conformité avec les Conventions de l’OIT et afin de mieux responsabiliser les travailleurs sur les plantations », ajoute l’organisation.

Après la diffusion du documentaire, Max Havelaar a à nouveau réagit en répondant point par point aux critiques du documentaires. Leur réponse complète est retranscrite sur Max Havelaar répond au « business du commerce équitable ».

Ces explications suffiront-elles à garder la confiance des consommateurs ? « Un label éthique, c’est toujours mieux que rien du tout. Même s’il présente des imperfections, on a grâce à lui un début d’information sur la manière dont sont produits notre thé, nos bananes, notre café à l’autre bout du monde », reconnaît Donatien Lemaître. Pour un produit entièrement vertueux, il recommande de privilégier les petites boutiques, les circuits alternatifs et associatifs, comme Artisans du Monde qui refuse de travailler avec les grandes et moyennes surfaces, pour renforcer les systèmes alternatifs et éviter que la grande distribution s’enrichisse au tournant.

En avril 2013, Pascal Canfin, ministre délégué au Développement auprès du ministre des Affaires étrangères, et Benoît Hamon, ministre délégué à l’Économie sociale et solidaire et à la Consommation, ont présenté un plan de soutien au commerce équitable. Ce plan prévoit 7 millions d’euros de financement sur 3 ans et vise un triplement des ventes en 3 ans. Et pour cause : le panier moyen actuel de produits issus du commerce équitable ne s’élève qu’à 6,24 € par français et par an !

Auteur : Matthieu Combe

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