SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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LA SÉCURITÉ SOCIALE PROTÉGÉE PAR LA CONSTITUTION ? DES DÉPUTÉS VONT PRÉSENTER UN TEXTE EN CE SENS

Les députés communistes craignant son démantèlement progressif veulent faire entrer la « Sécu » dans la Constitution et vont proposer un texte en débat fin mai.

Les députés GDR (communistes et ultramarins) vont profiter de leur journée réservée à l'Assemblée fin mai pour proposer l'entrée de la sécurité sociale dans la Constitution et pour rouvrir un débat politique sur le CETA, a appris l'AFP auprès du groupe.


La Sécurité sociale protégée par la Constitution? Des députés vont présenter un texte en ce sens

Publié par FSC

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L'accueil de la flamme olympique prévue le 8 mai se prépare à Marseille où la grève des éboueurs suivie à 90% s'est étendue à 9 arrondissements.
La Métropole a demandé à la préfecture de réquisitionner de force les éboueurs illustrant bien que les JO, c'est la casse du code du travail. De son côté le pouvoir a prévu de mobiliser 6 000 policiers pour sécuriser l'arrivée de la flamme... 6 000 policiers qui vont suivre la flamme partout où elle va ? Payés par nos impôts ?
LES JO, C'EST LA CASSE DU CODE DU TRAVAIL
LES JO, C'EST LA CASSE DU CODE DU TRAVAIL

Publié par Luttesinvisibles

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Bruno Le Maire, sous entendu le locataire de l'Elysée, convoque le patron de la SNCF

capture honnête d'écran

le number two des chambellans du palais de l'Elysée est vénère. Voilà-t-y pas que la SNCF a signé un accord avec tous les syndicats représentatifs (CGT-SUD-CFDT-UNSA) sur un départ à la retraite anticipée. Dire qu'on aurait pu bêtement croire en un gouvernement pour le dialogue social. Eh bien non, seulement pour les accords signés dans le sens des intérêts du Capital.

Depuis 1911, après la grève générale des cheminots de 1910, les agents bénéficient d'un régime de retraite particulier et largement antérieur à la création de la Sécurité sociale en 1945. Depuis, ce plus disant social déplait aux gouvernements de tous bords. Et au lieu de transposer le régime général des retraites vers un droit conquis par les cheminots, les commis du capital crient haro.

Le sabotage du rail public et du statut particulier des cheminots ne datent pas de hier. Le dernier en date: le décret n° 2023-967 du 20 octobre 2023, paraphé par Macron, recule à compter du 1er janvier 2025 l’âge de départ à la retraite de 57 à 59 ans pour les agents et de 52 à 54 ans pour les conducteurs.  En 1911, c'était 55 ans pour les agents et 50 ans pour les roulants.

Avant Macron, il y a eu la réforme réactionnaire de la SNCF par Sarkozy président. S'ensuivit celle non moins réactionnaire de Hollande président socialiste qui eut le bon goût de prendre Macron dans son gouvernement. Bref, moins de progrès social pour les cheminots au statut et pire pour les nouveaux embauchés, eux soumis à partir en retraite à 64 ans malgré toutes les contraintes subies par la corporation.

Très vite, l'accord collectif à la SNCF a été fustigé par la droite et son extrême, fidèles commis du Capital comme ceux de l'Elysée.

Ce que prévoit cet accord collectif que, selon la loi, la SNCF se doit d'appliquer:

Retraite anticipée pour les cheminots occupant des postes à la pénibilité avérée. Comme conducteurs et aiguilleurs avec une "cessation anticipée d’activité" 30 mois avant leur retraite dont 15 mois travaillés rémunérés à 100 % et 15 mois non travaillés rémunérés à 75 %. Pour les contrôleurs, cessation d’activité sur 36 mois dont 18 mois non travaillés rémunérés à 75 %.  Pour les cheminots avec plus de quinze ans d’ancienneté, mais sans pénibilité "selon la SNCF", un dispositif sur dix-huit mois, avec neuf mois à temps plein et neuf mois de dispense d’activité rémunérés à 75 %.

Mais d'ores et déjà, la CGT-Cheminots a interpellé la SNCF pour des discussions concernant l'ensemble des agents.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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France Info

Syndicalisme : "On est vraiment dans une phase aiguë de répression", alerte un historien du syndicalisme
Stéphane SIROT :

La France est entrée dans une phase de répression aigüe du syndicalisme de la part du gouvernement, selon Stéphane Sirot, historien du syndicalisme, invité dans le Talk de franceinfo mercredi 1er mai.

Stéphane Sirot, historien du syndicalisme, estime mercredi 1er mai dans le Talk de franceinfo que la France est entrée dans une phase de répression aigüe du syndicalisme de la part du gouvernement. Il prend notamment pour exemple la convocation dans un commissariat de membres du bureau confédéral de la CGT et la "multitude de militants poursuivis" par la justice.

 

Le syndicalisme réprimé

"On connaît une phase répressive vis-à-vis du syndicalisme et plus particulièrement du syndicalisme CGT, estime Stéphane Sirot. Pour prendre que les exemples les plus flagrants, notons la convocation de membres du bureau confédéral de la CGT dans un commissariat, qui était quelque chose que nous n'avions pas vu je crois depuis la guerre d'Algérie. Je pense aussi à cette multitude de militants qui sont poursuivis parce qu'ils ont mené dans leurs mouvements sociaux quelque chose qui pourtant est ultra classique dans les mouvements sociaux, c'est à dire des pratiques qui sortent des rapports de droit."

 

"Cela renvoie d'ailleurs à la critique qu'on entend aujourd'hui sur les blocages des universités, poursuit Stéphane Sirot, qui hérissent le poil de certains qui voudraient que ceux qui se mobilisent restent dans des normes, et qui leur permettraient de maîtriser les mouvements et les contestations. Il me semble qu'on est vraiment dans une phase aiguë de répression du syndicalisme."

Publié par FSC

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La désinstrualisation
La désinstrualisation
La désinstrualisation
La désinstrualisation
La désinstrualisation

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Manifestation départementale du 1er mai à Beauvais

Cette année, la manifestation départementale du 1er mai se tiendra à Beauvais / 10H30 / Départ et retour Place Jeanne Hachette.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

En France 650 personnes accusées d'apologie du terrorisme !

En fait c'est vous Macron, " en armant l'armée israélienne qui pratiquez l'apologie du terrorisme " !

Alors, arrêtez moi ... ou débattez !

 

 

Publié par FSC

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JUSQU'A QUAND ???
JUSQU'A QUAND ???
 
Voilà la question que je me pose à chaque nouvelle annonce de la classe qui nous vole tous les jours des acquis et conquis, jusqu’à quand ils vont pouvoir agir ainsi sans une réaction de masse ?
Cela fait des années que notre classe subit un vol permanent d’acquis et conquis, parfois avec des sursauts de réaction, mais très, trop souvent sans une réaction qui les oblige à stopper ce pillage en règle orchestré par le capital qui n’a jamais cessé lui d’être aux manettes de la lutte des classes.
Nous pourrions faire la liste de ce hold-up mais il faudrait des dizaines de pages tellement nous avons perdu en moins de 15 années.
Les milliardaires n’ont pas décidé d’investir que dans l’industrie hyper rentable, ils ont investi dans les moyens de communications et en ont fait des outils de propagande au service unique du capital et il a fallu un peu de temps et de méthodologie pour arriver à abreuver de haine et de la faute de l’autre une large partie d’une population qui est prête à valider toutes les théories du grand capital …
A cela il faut ajouter des réseaux dit « sociaux » qu’il faut rebaptiser réseaux « de désinformation et haine », des gens par millions lisent des propos qui ne tournent qu’autour d’intox, ou chaque intervenant croit détenir la vérité ou très souvent, les responsables de tout sont l’étranger, le plus pauvre, les profiteurs…
Le mélange des deux ajouté a une société du chacun pour soit, sont les meilleurs atouts d’un R’HAINE qui serait plus fréquentable, plus républicain que la gauche devenue entre temps « radicale, islamo gauchiste…. »
Les visages ont changé mais jamais autant le R’HAINE devrait s’appeler le partie du faschisme, une belle gueule et la jeunesse ne doivent pas faire oublier le fond de ce parti, sa naissance, son essence, pas besoin d’avoir un borgne à sa tête pour comprendre le danger que représente ce parti …
Ils n’ont que faire de la misère sociale et ils adorent celle societé, ils surfent dessus comme jamais, l’utilisent non stop, ils n’ont plus rien à faire ou dire, le système travaille pour eux en permanence…ils ont un VRP en or qui est à la tête de l’état.
Le pouvoir macroniste, après celui de hollande, Sarko, a prêté allégeance au capital qui décide de tout, tire les ficelles, notre pays est dirigé comme une multinationale, remplie d’amateurs qui exécutent bêtement contre très bonne rémunération et postes les ordres d’un chef qui va chercher ces objectifs dans les bureaux dorés du capital qui gère le monde !
Malheur à ceux qui osent demander la taxation des supers profits, des supers dividendes, de suite les chiens de garde sortent les crocs, de pros à sa bande, par le clown dangereux Hanouna et bien d’autres encore, il faut taper plus fort sur ceux qui fraudes aux aides sociales car ce sont eux qui détruisent le système, et faire l’éloge du patron du groupe Stellantis qui a réussi à faire de ce groupe une entreprise très performante, une fois cela dit le débat est clos !
Les patrons du CAC 40 dorment tranquille, pendant que le peuple fait monter le R’haine et autres partis nazis, eux profitent de leur matelas de billets dans un confort digne des années 30 …
La violence orchestrée continue d’être un autre moyen de finir le boulot de lobotomisation des masses, la violence à l’école qui exige une tenue unique, la violence dans la rue qui exige de punir les familles en supprimant les APL, la violence le soir qui exige des couvres feu…
Bien sûr, il faut un thème principal, celui de l’insécurité liée à l’immigration de masse, mais surtout pas l’insécurité sociale, voulue par un capital qui est servi comme jamais par un banquier accompagné de guichetiers sans talent
Tous les ingrédients sont réunis pour franchir le cap du fascisme au pouvoir, les élections européennes vont être une occasion rêvée de pouvoir franchir un cap de plus : « les français ont exprimé une volonté de plus de sécurité, plus de sévérité, il faut donc réarmer, aller plus loin…. »
2027 est encore loin mais tellement proche, en deux ans le pouvoir a réussi à divisé par deux les droits des chômeurs indemnisés et détruit bien d’autres droits, et il reste encore bien trop de temps à ce pouvoir pour lui permettre d’installer un parti qui ne montre pas son vrai visage et porte des habits bien trop propres par rapport à la politique qu’il mènerait si il accédait au pouvoir !
On poursuit pour apologie du terrorisme des militants syndicaux, ont les fait condamner a de la prison, pendant ce temps les pires idées sont mises en œuvre sous couvert d’un protectionnisme d’état…
On attend quoi ???
Collectivement nous pourrions et très vite les stopper, où sont les syndicats, les partis politiques dans le tous ensemble ?
Ils continuent à trouver comme excuse que les gens ne veulent plus se mobiliser, ce qui est totalement faut !
Les mouvements sporadiques, éclatés ne cessent pas, les mouvements dans les entreprises explosent, preuve que l’unité doit être portée et elle est la seule à faire peur au pouvoir…
La question ne se pose pas sur la possibilité à mobiliser ou pas, mais quelle mobilisation on nous propose.
Celle sur la réforme des retraites où il fallait absolument avoir Berger dans le mouvement qui comme son nom l’indique nous a pris pour des moutons…
Les mouvements qui font perdre sont nos pires ennemis, depuis quand n’avons nous rien gagné collectivement ?
La question qui arrive va être de savoir comment allons nous éviter une guerre civile ou les seuls vainqueurs seront ceux qui auront œuvré pour que celle ci arrive …
Il y a bien d’autres solutions que le parti de la fille du borgne, les médias eux ne vont pas lâcher leur ligne imposée par les puissants, le pouvoir va continuer à détruire un à un nos acquis et conquis…
C’est à nous et à nous seuls de décider de l’avenir, pour cela pas besoin de se triturer la tête, il existe une recette unique et qui fonctionne, prendre la rue, à des millions et ne pas la lâcher …
Tavares ce grand homme qui a sauvé le groupe Stellantis à bout de bras, ferait quoi sans les milliers de bras qui chaque jour perdent leur vie à la gagner ?
Chaque jour amène son lot de reculs sociaux et sociétaux, de menaces sur la démocratie, d’avancée du fascisme, de montée de la haine de l’autre, de manipulation permanente de l’opinion... Ne restons plus spectateur de cette situation, nous devons et pouvons tous ensemble faire cesser cette spirale qui n’a que trop durer.
Les partis de gauche les vrais, les syndicats qui ne sont pas pour la lutte des places, les millions de citoyen/nes qui ne veulent pas de ce cataclysme qui s’annonce, nous avons le devoir de nous unir et imposer nos choix pour nous et nos enfants …
Un ex goodyear Amiens

Publié par Luttesinvisibles

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La précarité tue : une étude de l’Inserm pointe la surmortalité liée au chômage

Alors que le gouvernement poursuit ses attaques antisociales sur les chômeurs, une étude récente de l'Inserm met en lumière les conséquences du chômage sur la santé des travailleurs. L’institut pointe que plusieurs milliers de personnes meurent ainsi chaque année de causes liées au chômage.

La précarité tue

Crédits photo : fdecomité - CC BY 2.0 DEED

Selon une récente étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dont les résultats sont rapportés par Politis la corrélation entre chômage et surmortalité est avérée. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : « le fait d’avoir été au chômage plus de 19 trimestres au cours de sa vie accroît de 28% la mortalité ». L’étude estime que chaque année, en France, plusieurs milliers de personnes meurent pour des raisons liées au chômage.

Après avoir suivi 200 000 personnes pendant neuf ans, les chercheurs de l’Inserm ont conclut qu’une situation de chômage favorise l’apparition de pathologies cardiovasculaires. Cela peut s’expliquer en grande partie par une prédisposition à plusieurs facteurs de risque, notamment la consommation d’alcool modérée, le tabagisme, la sédentarité, l’obésité, le diabète, les troubles du sommeil mais aussi la dépression.

Sans surprise, donc, les personnes vivant une situation précaire et d’inemploi ont plus de risques de vivre des épisodes dépressifs qu’un actif. De plus, plus le chômage est de longue durée, plus les risques s’accroissent. Ces résultats mettent en lumière l’impact profond du chômage sur la santé mentale et physique des individus qui constituent « l’armée de réserve du capital ».

Les résultats de cette étude tombe mal alors que le gouvernement cherche à faire passer les personnes en situation d’inemploi pour des « profiteurs », pour justifier ses offensives contre l’assurance-chômage, et contraindre les allocataires de l’assurance chômage à accepter des emplois précaires et mal rémunérés – ou à rejoindre les rangs des allocataires du RSA, lui aussi « réformé ». Attal a annoncé vouloir s’en prendre (une fois de plus) aux chômeurs, en annonçant vouloir réduire la durée maximale d’indemnisation et mener toute une série d’offensives contre les séniors, mais aussi en durcissant les conditions d’éligibilité aux allocations chômages.

Interviewé dans Politis, le professeur Pierre Meneton, qui a participé à l’enquête, revient sur cette image de « profiteur » : « Cette idée est totalement délirante. On le voit bien que le chômage est dramatique pour les gens, et on le mesure clairement ici, de manière très concrète, jusqu’au décès. ». Les réformes successives du gouvernement apparaissent ainsi d’autant plus dramatiques que l’étude démontre qu’en plus du chômage, la position sociale et les conditions de travail augmentent les risques cardiovasculaires, et sont donc un autre facteur de surmortalité.

Ainsi, face à l’offensive généralisée que l’exécutif lance contre les travailleurs, et dont la nouvelle réforme de l’assurance chômage est un volet supplémentaire, il est nécessaire de construire une riposte d’ensemble contre les lois antisociales et anti-ouvrières. C’est ce à quoi devrait s’atteler dès aujourd’hui les directions syndicales, pour exiger le retrait de toutes les contre-réformes de l’assurance-chômage, mais aussi pour imposer une autre répartition de travail, qui ne conduise pas à ce que certains se tuent à la tâche pendant que d’autres meurent du chômage.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Unilever continue d’augmenter ses volumes, mais pas en Europe
Unilever

En Europe, Unilever ne progresse que grâce à des augmentations de prix, mais ailleurs, la multinationale enregistre une nouvelle hausse des volumes. La croissance est tirée par les 30 grandes marques qui représentent 75 % des ventes.

L’Europe à la traîne

Au premier trimestre de cette année, les ventes d’Unilever ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 15 milliards d’euros. Les volumes vendus ont augmenté de 2,2 %. Cette croissance des volumes pour le deuxième trimestre consécutif est une bonne nouvelle pour l’entreprise qui, ces dernières années, a principalement augmenté ses ventes grâce à de fortes hausses de prix. En Europe, cependant, les volumes continuent de baisser, principalement en raison des mauvaises performances de la division alimentaire en Allemagne et aux Pays-Bas.

Les trente « Power Brands » ou marques puissantes sur lesquelles le PDG Hein Schumacher souhaite se concentrer davantage, ont enregistré une croissance du chiffre d’affaires de 6,1 %, tandis que les volumes ont augmenté de 3,8 %. Comme on le sait, la multinationale va céder sa division « crèmes glacées », avec des marques bien connues telles que Magnum et Ben & Jerry’s. Elle revoit également à la baisse certains de ses objectifs en matière de développement durable.

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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