SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
JUSQU'A QUAND ???
JUSQU'A QUAND ???
 
Voilà la question que je me pose à chaque nouvelle annonce de la classe qui nous vole tous les jours des acquis et conquis, jusqu’à quand ils vont pouvoir agir ainsi sans une réaction de masse ?
Cela fait des années que notre classe subit un vol permanent d’acquis et conquis, parfois avec des sursauts de réaction, mais très, trop souvent sans une réaction qui les oblige à stopper ce pillage en règle orchestré par le capital qui n’a jamais cessé lui d’être aux manettes de la lutte des classes.
Nous pourrions faire la liste de ce hold-up mais il faudrait des dizaines de pages tellement nous avons perdu en moins de 15 années.
Les milliardaires n’ont pas décidé d’investir que dans l’industrie hyper rentable, ils ont investi dans les moyens de communications et en ont fait des outils de propagande au service unique du capital et il a fallu un peu de temps et de méthodologie pour arriver à abreuver de haine et de la faute de l’autre une large partie d’une population qui est prête à valider toutes les théories du grand capital …
A cela il faut ajouter des réseaux dit « sociaux » qu’il faut rebaptiser réseaux « de désinformation et haine », des gens par millions lisent des propos qui ne tournent qu’autour d’intox, ou chaque intervenant croit détenir la vérité ou très souvent, les responsables de tout sont l’étranger, le plus pauvre, les profiteurs…
Le mélange des deux ajouté a une société du chacun pour soit, sont les meilleurs atouts d’un R’HAINE qui serait plus fréquentable, plus républicain que la gauche devenue entre temps « radicale, islamo gauchiste…. »
Les visages ont changé mais jamais autant le R’HAINE devrait s’appeler le partie du faschisme, une belle gueule et la jeunesse ne doivent pas faire oublier le fond de ce parti, sa naissance, son essence, pas besoin d’avoir un borgne à sa tête pour comprendre le danger que représente ce parti …
Ils n’ont que faire de la misère sociale et ils adorent celle societé, ils surfent dessus comme jamais, l’utilisent non stop, ils n’ont plus rien à faire ou dire, le système travaille pour eux en permanence…ils ont un VRP en or qui est à la tête de l’état.
Le pouvoir macroniste, après celui de hollande, Sarko, a prêté allégeance au capital qui décide de tout, tire les ficelles, notre pays est dirigé comme une multinationale, remplie d’amateurs qui exécutent bêtement contre très bonne rémunération et postes les ordres d’un chef qui va chercher ces objectifs dans les bureaux dorés du capital qui gère le monde !
Malheur à ceux qui osent demander la taxation des supers profits, des supers dividendes, de suite les chiens de garde sortent les crocs, de pros à sa bande, par le clown dangereux Hanouna et bien d’autres encore, il faut taper plus fort sur ceux qui fraudes aux aides sociales car ce sont eux qui détruisent le système, et faire l’éloge du patron du groupe Stellantis qui a réussi à faire de ce groupe une entreprise très performante, une fois cela dit le débat est clos !
Les patrons du CAC 40 dorment tranquille, pendant que le peuple fait monter le R’haine et autres partis nazis, eux profitent de leur matelas de billets dans un confort digne des années 30 …
La violence orchestrée continue d’être un autre moyen de finir le boulot de lobotomisation des masses, la violence à l’école qui exige une tenue unique, la violence dans la rue qui exige de punir les familles en supprimant les APL, la violence le soir qui exige des couvres feu…
Bien sûr, il faut un thème principal, celui de l’insécurité liée à l’immigration de masse, mais surtout pas l’insécurité sociale, voulue par un capital qui est servi comme jamais par un banquier accompagné de guichetiers sans talent
Tous les ingrédients sont réunis pour franchir le cap du fascisme au pouvoir, les élections européennes vont être une occasion rêvée de pouvoir franchir un cap de plus : « les français ont exprimé une volonté de plus de sécurité, plus de sévérité, il faut donc réarmer, aller plus loin…. »
2027 est encore loin mais tellement proche, en deux ans le pouvoir a réussi à divisé par deux les droits des chômeurs indemnisés et détruit bien d’autres droits, et il reste encore bien trop de temps à ce pouvoir pour lui permettre d’installer un parti qui ne montre pas son vrai visage et porte des habits bien trop propres par rapport à la politique qu’il mènerait si il accédait au pouvoir !
On poursuit pour apologie du terrorisme des militants syndicaux, ont les fait condamner a de la prison, pendant ce temps les pires idées sont mises en œuvre sous couvert d’un protectionnisme d’état…
On attend quoi ???
Collectivement nous pourrions et très vite les stopper, où sont les syndicats, les partis politiques dans le tous ensemble ?
Ils continuent à trouver comme excuse que les gens ne veulent plus se mobiliser, ce qui est totalement faut !
Les mouvements sporadiques, éclatés ne cessent pas, les mouvements dans les entreprises explosent, preuve que l’unité doit être portée et elle est la seule à faire peur au pouvoir…
La question ne se pose pas sur la possibilité à mobiliser ou pas, mais quelle mobilisation on nous propose.
Celle sur la réforme des retraites où il fallait absolument avoir Berger dans le mouvement qui comme son nom l’indique nous a pris pour des moutons…
Les mouvements qui font perdre sont nos pires ennemis, depuis quand n’avons nous rien gagné collectivement ?
La question qui arrive va être de savoir comment allons nous éviter une guerre civile ou les seuls vainqueurs seront ceux qui auront œuvré pour que celle ci arrive …
Il y a bien d’autres solutions que le parti de la fille du borgne, les médias eux ne vont pas lâcher leur ligne imposée par les puissants, le pouvoir va continuer à détruire un à un nos acquis et conquis…
C’est à nous et à nous seuls de décider de l’avenir, pour cela pas besoin de se triturer la tête, il existe une recette unique et qui fonctionne, prendre la rue, à des millions et ne pas la lâcher …
Tavares ce grand homme qui a sauvé le groupe Stellantis à bout de bras, ferait quoi sans les milliers de bras qui chaque jour perdent leur vie à la gagner ?
Chaque jour amène son lot de reculs sociaux et sociétaux, de menaces sur la démocratie, d’avancée du fascisme, de montée de la haine de l’autre, de manipulation permanente de l’opinion... Ne restons plus spectateur de cette situation, nous devons et pouvons tous ensemble faire cesser cette spirale qui n’a que trop durer.
Les partis de gauche les vrais, les syndicats qui ne sont pas pour la lutte des places, les millions de citoyen/nes qui ne veulent pas de ce cataclysme qui s’annonce, nous avons le devoir de nous unir et imposer nos choix pour nous et nos enfants …
Un ex goodyear Amiens

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La précarité tue : une étude de l’Inserm pointe la surmortalité liée au chômage

Alors que le gouvernement poursuit ses attaques antisociales sur les chômeurs, une étude récente de l'Inserm met en lumière les conséquences du chômage sur la santé des travailleurs. L’institut pointe que plusieurs milliers de personnes meurent ainsi chaque année de causes liées au chômage.

La précarité tue

Crédits photo : fdecomité - CC BY 2.0 DEED

Selon une récente étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dont les résultats sont rapportés par Politis la corrélation entre chômage et surmortalité est avérée. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : « le fait d’avoir été au chômage plus de 19 trimestres au cours de sa vie accroît de 28% la mortalité ». L’étude estime que chaque année, en France, plusieurs milliers de personnes meurent pour des raisons liées au chômage.

Après avoir suivi 200 000 personnes pendant neuf ans, les chercheurs de l’Inserm ont conclut qu’une situation de chômage favorise l’apparition de pathologies cardiovasculaires. Cela peut s’expliquer en grande partie par une prédisposition à plusieurs facteurs de risque, notamment la consommation d’alcool modérée, le tabagisme, la sédentarité, l’obésité, le diabète, les troubles du sommeil mais aussi la dépression.

Sans surprise, donc, les personnes vivant une situation précaire et d’inemploi ont plus de risques de vivre des épisodes dépressifs qu’un actif. De plus, plus le chômage est de longue durée, plus les risques s’accroissent. Ces résultats mettent en lumière l’impact profond du chômage sur la santé mentale et physique des individus qui constituent « l’armée de réserve du capital ».

Les résultats de cette étude tombe mal alors que le gouvernement cherche à faire passer les personnes en situation d’inemploi pour des « profiteurs », pour justifier ses offensives contre l’assurance-chômage, et contraindre les allocataires de l’assurance chômage à accepter des emplois précaires et mal rémunérés – ou à rejoindre les rangs des allocataires du RSA, lui aussi « réformé ». Attal a annoncé vouloir s’en prendre (une fois de plus) aux chômeurs, en annonçant vouloir réduire la durée maximale d’indemnisation et mener toute une série d’offensives contre les séniors, mais aussi en durcissant les conditions d’éligibilité aux allocations chômages.

Interviewé dans Politis, le professeur Pierre Meneton, qui a participé à l’enquête, revient sur cette image de « profiteur » : « Cette idée est totalement délirante. On le voit bien que le chômage est dramatique pour les gens, et on le mesure clairement ici, de manière très concrète, jusqu’au décès. ». Les réformes successives du gouvernement apparaissent ainsi d’autant plus dramatiques que l’étude démontre qu’en plus du chômage, la position sociale et les conditions de travail augmentent les risques cardiovasculaires, et sont donc un autre facteur de surmortalité.

Ainsi, face à l’offensive généralisée que l’exécutif lance contre les travailleurs, et dont la nouvelle réforme de l’assurance chômage est un volet supplémentaire, il est nécessaire de construire une riposte d’ensemble contre les lois antisociales et anti-ouvrières. C’est ce à quoi devrait s’atteler dès aujourd’hui les directions syndicales, pour exiger le retrait de toutes les contre-réformes de l’assurance-chômage, mais aussi pour imposer une autre répartition de travail, qui ne conduise pas à ce que certains se tuent à la tâche pendant que d’autres meurent du chômage.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Unilever continue d’augmenter ses volumes, mais pas en Europe
Unilever

En Europe, Unilever ne progresse que grâce à des augmentations de prix, mais ailleurs, la multinationale enregistre une nouvelle hausse des volumes. La croissance est tirée par les 30 grandes marques qui représentent 75 % des ventes.

L’Europe à la traîne

Au premier trimestre de cette année, les ventes d’Unilever ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 15 milliards d’euros. Les volumes vendus ont augmenté de 2,2 %. Cette croissance des volumes pour le deuxième trimestre consécutif est une bonne nouvelle pour l’entreprise qui, ces dernières années, a principalement augmenté ses ventes grâce à de fortes hausses de prix. En Europe, cependant, les volumes continuent de baisser, principalement en raison des mauvaises performances de la division alimentaire en Allemagne et aux Pays-Bas.

Les trente « Power Brands » ou marques puissantes sur lesquelles le PDG Hein Schumacher souhaite se concentrer davantage, ont enregistré une croissance du chiffre d’affaires de 6,1 %, tandis que les volumes ont augmenté de 3,8 %. Comme on le sait, la multinationale va céder sa division « crèmes glacées », avec des marques bien connues telles que Magnum et Ben & Jerry’s. Elle revoit également à la baisse certains de ses objectifs en matière de développement durable.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Manifestation départementale du 1er mai à Beauvais

Cette année, la manifestation départementale du 1er mai se tiendra à Beauvais / 10H30 / Départ et retour Place Jeanne Hachette.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Les grévistes ont levé leur mouvement jeudi 25 avril 2024, à 13 heures.

La grève aura duré 24 heures.

La grève aura duré 24 heures.

Dans la soirée de mercredi 24 avril, les grévistes du site de Colgate-Palmolive à Compiègne avaient décidé de poursuivre le mouvement qu’ils avaient déclenché dans l’après-midi. Ils y ont mis fin à 13 heures ce jeudi 25 avril.

Cette grève, lancée par une intersyndicale FO-CFDT, avait pour but de mettre en avant la solidarité des Compiégnois avec leurs collègues de Rillieux-la-Pape (Rhône), dont l’usine doit fermer dans le courant du mois de septembre 2024. Elle avait aussi pour but d’encourager la reprise des négociations. « Les discussions ont repris », observe Hervé Grosjean (FO). Les représentants syndicaux de l’usine restent cependant vigilants.

Le site de Rillieux-la-Pape emploie une centaine de salariés et fabrique des berlingots d’eau de javel Lacroix et d’assouplissant pour le linge Soupline.

Publié par courrier picard

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
POUR UNE RÉVOLTE OLYMPIQUE !

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Poursuivre sur la lancée : Unilever annonce une croissance de ses ventes au premier trimestre

La société multinationale de biens de consommation Unilever (LON:ULVR) (NYSE : UL) a publié ses derniers résultats financiers avant l’ouverture des marchés aujourd’hui, le 25 avril.

La société a connu une croissance sous-jacente de ses ventes de 4,4 %, les cinq secteurs d’activité ayant enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes, menée par la beauté et le bien-être (en hausse de 3,1 %) et la crème glacée (en hausse de 2,7 %).

La marge opérationnelle pour le trimestre n’a pas été annoncée, mais la société s’est dite “confiante de parvenir à une légère amélioration de la marge opérationnelle sous-jacente pour l’ensemble de l’année, reflétant une marge brute plus élevée et un investissement accru dans nos marques”.

Le chiffre d’affaires augmente de 1,4% à 15,0 milliards d’euros avec (2,0)% d’effet de change et (0,9)% de cessions nettes.

 

L’essentiel

Cependant, la principale question d’Unilever, ainsi que de ses concurrents dans le secteur des biens de consommation de base, demeure : qu’en est-il des volumes de ventes ?

Au cours des derniers trimestres, l’entreprise a tenté d’équilibrer des volumes de ventes en baisse avec des prix plus élevés – un cycle potentiellement négatif dans un environnement de forte inflation et aucun signe de baisse des taux d’intérêt pour l’instant.

Il est encourageant de constater que la croissance des volumes a atteint 2,2 %. En particulier, les principales marques de la société ont enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes supérieure de 6,1 %, tirée par une hausse de 3,8 % des volumes de ventes.

Unilever avait plusieurs points à prouver avec ses résultats d’aujourd’hui – notamment s’il parvenait à maintenir la dynamique de redressement illustrée par ses résultats du quatrième trimestre, avec son « plan d’action pour la croissance » qui prend de l’ampleur.

Le 8 février, Unilever a annoncé des résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2023 plus solides que prévu, grâce à la croissance des ventes dans l’ensemble de sa division et à un programme de rachat d’actions de 1,5 milliard d’euros qui a séduit les actionnaires et qui commence à être mis en œuvre. En conséquence, le cours de l’action Unilever a augmenté de 3 % sur la journée.

Pourtant, 2023 a été marquée par son lot de problèmes pour l’entreprise, notamment une concurrence accrue, la montée en flèche des prix des matières premières dans une macro-économie déchirée par la guerre et le fait de devenir une cible pour les investisseurs opposés aux questions ESG. C’est peut-être pour cette raison que le chiffre d’affaires de l’entreprise pour le trimestre se terminant le 31 décembre 2023 s’est élevé à 14,59 milliards d’euros, soit une baisse de près de 5 % sur un an et la pire performance de l’entreprise depuis 2020 et la pandémie. Le BPA a également baissé de 1,4 %, bien que les ventes du quatrième trimestre aient augmenté de 1,8 % par rapport au troisième trimestre.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Victoire ! L’inspection du travail refuse le licenciement d’Alexandre, délégué syndical à la Fnac

Licencié sous des prétextes fallacieux fin 2023, Alexandre, délégué syndical FO à la FNAC Champs-Elysées, vient de voir son licenciement refusé par l’inspection du travail. Une victoire précieuse dans un contexte général de répression.

Répression syndicale

Crédits photo : Maksym Kozlenko

Début décembre 2023, Alexandre et un de ses collègues ont été convoqués pour un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement. Après 3 mois d’attente, le verdict de l’inspection du travail est enfin tombé, en faveur d’Alexandre dont le licenciement a été refusé explicitement.

En effet, Alexandre et son collègue avaient été licenciés pour avoir voulu, après la fin d’une promotion, récupérer un carnet de note offert pour l’achat d’un article à la Fnac. Comme l’indiquent une quarantaine de témoignages de ses collègues, c’est une pratique largement répandue et autorisée pour les employés, qui permet de déstocker ces cadeaux ne pouvant être revendus.

Seulement, alors que Alexandre et sont collègue avaient laissé les cadeaux lorsqu’on leur a interdit de les prendre, ils ont finalement licencié par la direction. Alors que le CSE avait refusé les licenciements, Alexandre étant syndicaliste, c’est l’inspection du travail qui a dû trancher l’affaire. Finalement, son licenciement a été refusé, avec la démonstration qu’il ne s’agissait en aucun cas d’une tentative de vol.

Comme l’explique Alexandre, la direction de la FNAC cherche en réalité à intimider ceux qui relèvent la tête : « C’est loin d’être le premier épisode, ces dernières années, on a réussi à les faire condamner trois fois pour discrimination et harcèlement syndical sur des militants de FO ». En effet, derrière ce prétexte bidon, la direction du magasin a voulu licencier un délégué syndical combatif, qui avait notamment été un moteur de la grève historique à la FNAC Champs-Elysées en 2016.

Cette décision est un appui important afin de pouvoir obtenir la réintégration de son collègue qui, n’étant pas un élu syndical, a été licencié. Pour autant, Alexandre a conscience de ne pas être un cas isolé : « C’est la continuité de ce qui s’est passé ces dernières années. Après avoir mis en place la régression sociale, c’est la seconde partie du projet. Ils savent que c’est le moment d’attaquer ceux qui vont au combat ». Alors que les cas de répression syndicales se multiplient à travers le pays, la réintégration d’Alexandre est une victoire précieuse sur laquelle il faut s’appuyer pour construire une riposte d’ensemble qui mette un coup d’arrêt aux offensives du patronat.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Signe de l'aiguisement des luttes et des enjeux et de la tentation " nécessaire " pour le capital d'enfreindre les usages démocratiques 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
et Commun Commune
 

 

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Depuis quelques jours la direction ddu fabricant de pneus fanfaronne en annonçant la mise en place d'un "salaire décent". Qu'en est-il réellement ?
Débunkage par Thomas Vacheron du bureau confédéral.

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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