SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

UNILEVER Port sunlightUnilever va investir près de 50 millions d'euros sur son site historique de Port Sunlight, dans le nord-ouest de l'Angleterre, avec la création de 150 postes. Il souhaite faire de Port Sunlight un "centre d'excellence" pour la fabrication de cosmétiques comme les shampoings et les gels pour la douche, avec un potentiel de croissance sur dix ans.

 

Lien des articles : ICI.

Article de l'EXPRESS : ICI


Pour rappel, Unilever investit en Pologne pour le shampoing et le gel de douche  !!!

Les chiffres annoncés au comité Européen :

- 33 millions d'unités minimum tranférés du site de Le Meux vers Bydgoszcz en 2012

- Rapatriement d'environ 40 millions d'unités de chez les sous-traitant (aucunes précisons données ...) en 2012

- 22 milions d'€ d'investissements à Bydgoszcz

- Embauche de 113 personnes

- Une baisse de 25% minimum des coûts de conversion en Pologne. Ils seront ainsi 50% plus bas que ceux du site de Le Meux !!!

 

Bonne journée

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

Le président de la filiale espagnole du géant agroalimentaire Unilever, Jaime Aguilera, a été interrogé aujourd'hui par la police à Barcelone dans le cadre d'une vaste opération au cours de laquelle 26 personnes ont été interpellées pour "divulgation d'informations confidentielles", selon une source policière.
Toutes ces personnes, poursuivies pour "collecte et divulgation d'informations confidentielles" et, pour certaines d'entre elles, pour "corruption", ont été laissées en liberté, mais vont être entendues par un juge, a précisé cette source.
Ces informations "peuvent concerner l'administration publique, ou des particuliers, ou encore des entreprises", a ajouté cette source sans fournir plus de précisions.
Trois membres de la Garde civile aussi interpellés
Parmi les personnes interpellées figurent également trois membres de la Garde civile, un policier, un fonctionnaire des impôts ainsi que des détectives privés.
Le groupe anglo-néerlandais Unilever, fondé en 1930, est présent dans plus de 180 pays à travers le monde et vend notamment à deux milliards de consommateurs quotidiens des thés Lipton, des soupes Knorr ou des déodorants Rexona.
Jaime Aguilera est son président en Espagne depuis 2009.
Il a été procédé à ces interpellations dans le cadre de "l'opération Pitiusa", une enquête qui avait déjà permis il y a un an le démantèlement d'un réseau de trafic illégal d'informations.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

 

Le syndicat FNV Bondgenoten a commencé à agir, le 28 février, après la rupture des pourparlers destinés à assurer aux salariés la garantie de conserver leurs droits et leurs prestations, notamment sur les retraites, et des garanties de travail, dans leur transfert de Unilever à Sodexo.

Dans une première série de mesures prise aux Pays-Bas, un groupe de salariés de l’usine Unox de Unilever à Oss a invité leurs collègues à déjeuner devant l’usine, le 28 février, en leur offrant le choix entre un 'sandwich pas frais sans suppléments' et un 'bon sandwich avec suppléments'.

Le géant anglo-néerlandais de l'alimentation et de la chimie a signé un accord avec Sodexo en 2012 sur l'externalisation de la gestion des services annexes de l'entreprise en Europe.

En conséquence, tous les salariés des‘services annexes de l’entreprise’ qui étaient directement employés par Unilever aux Pays-Bas ou qui étaient déjà externalisés chez un fournisseur de services, seront transférés chez Sodexo.

Il s'agit du personnel de nettoyage, de la restauration, de la sécurité et de l'accueil, soit environ 80 salariés, parmi lesquels des membres du syndicat FNV Bondgenoten, affilié à IndustriALL Global Union.

Selon la législation européenne sur le transfert de main-d'œuvre, certaines conditions, mais pas toutes, sont garanties après le transfert. Le transfert entrera en vigueur le 1er mai, et à cette date, les anciens salariés de Unilever assureront les mêmes tâches chez Unilever, mais à des conditions infiniment inférieures.

Unilever a rejeté les revendications syndicales sur la sauvegarde des conditions des travailleurs et travailleuses touchés. Les revendications étaient les suivantes:

  • Indemnisation pour perte sur les retraites – chez Sodexo, les travailleurs et travailleuses paieront davantage pour recevoir moins.
  • Garantie d'emploi de 5 ans.
  • Poursuite pendant 5 ans du bénéfice des hausses salariales structurelles prévues dans la convention collective Unilever.
  • Indexation de l’allocation personnelle pour compenser l'écart salarial entre Unilever et Sodexo.
  • Maintien de la rémunération des heures supplémentaires, de l'indemnité de travail en équipe et des autres allocations concernant la durée du travail, basées sur la convention collective Unilever. 
  • Pas de rupture de postes.
  • Maintien de plusieurs assurances d’invalidité au niveau de Unilever.  

FNV Bondgenoten calling for decent transfer terms for membersFNV Bondgenoten calling for decent transfer terms for members

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Hurriyet – La marque de crème glacée Algida d’Unilever va investir 100 millions de dollars US dans une usine de production à Aksaray en Anatolie centrale. L’usine, qui deviendra le site de production modèle pour Unilever, va dynamiser la part du marché intérieur d’Algida et augmenter ses exportations.
Grâce à cet investissement, une deuxième usine Algida verra le jour en Turquie et une 35ème dans le monde, avec à la clé 295 emplois. L’usine devrait débuter la production en mai 2013.

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SODEXO : signe avec Unilever un partenariat européen de plusieurs millions d'euros portant sur le Facilities Management

Sodexo annonce la signature d'un partenariat avec Unilever, l'un des leaders mondiaux de l'industrie de grande consommation, dans le but de proposer et d'intégrer une large gamme de services sur environ 70 sites Unilever répartis dans 15 pays européens. Le contrat, d'une valeur de plus de 90 millions d'euros par an, est conclu pour une période initiale de cinq ans.

Cet accord s'inscrit en droite ligne des objectifs stratégiques de Sodexo : offrir une large gamme de services intégrés permettant d'améliorer les performances de ses clients mais également la qualité de vie des bénéficiaires de ces services. Sodexo assurera ainsi le déploiement et la gestion d'une large gamme de services de maintenance technique et de gestion des services généraux.

Sylvia Metayer, Directeur Grands Comptes Internationaux de Sodexo, a déclaré : « Nos équipes Sodexo se réjouissent de la signature de ce partenariat international, qui permettra à notre entreprise de fournir une gamme complète de services en tant qu'intégrateur de solutions de Qualité de Vie. Nous sommes convaincus que nous pouvons apporter de la valeur ajoutée et contribuer aux objectifs commerciaux d'Unilever par la mise à disposition de services performants, permettant à Unilever de se concentrer sur son cœur de métier. »

Ken Manke, Vice-président Workplace Services au sein d'Unilever, a ajouté : « Ce partenariat s'inscrit dans la droite ligne de la stratégie d'Unilever et de sa volonté de fournir des services d'excellence dans l'ensemble du Groupe et de mettre son envergure internationale au service de la compétitivité locale. Le choix d'un fournisseur principal contribue à la réduction significative des coûts tout en renforçant la cohérence et la pertinence de nos services. Cette décision nous donnera également l'opportunité de mesurer plus efficacement les performances d'Unilever en matière de services généraux. »


Pays concernés par le partenariat :
Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Italie, Irlande, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Royaume-Uni, Suède et Suisse.

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Les travailleurs et travailleuses de Unilever font grève pendant dix jours, du 18 au 28 janvier, sur les sites de production de denrées alimentaires et de produits nettoyage chez Unilever au Royaume-Uni, pour protester contre les réductions prévues dans les retraites. Une caisse syndicale de grève a été ouverte.

ROYAUME-UNI: Des arrêts de travail ont interrompu, le 18 janvier, la production de denrées alimentaires et de produits de nettoyage de premier ordre, notamment la moutarde Colman, Marmite et Persil.

Les modifications apportées au régime de retraite chez Unilever vont réduire de 20 à 40 pour cent l'épargne des travailleurs et travailleuses. Une travailleuse estime qu'elle perdrait 7.000 livres sterling par an quand elle prendra sa retraite dans le cas où Unilever décidait de mettre en œuvre son projet d'abolition du modèle de retraite basé sur le salairefinal. Les conditions de départ à la retraite des cadres dirigeants ne seront pas affectées.

La responsable nationale du syndicat Unite, Jennie Formby, a déclaré: "Le soutien ferme obtenu pour cette grève montre clairement à Unilever que nos membres ne sont pas prêts à être traités comme des chiens." "Nous n'en sommes qu'à notre deuxième jour de grève, et les travailleurs et travailleuses qui bénéficient d'un soutien consistant du public et qui reçoivent chaque jour des messages de solidarité, restent fermement sur leur position et refuseront de se laisser intimider pour accepter ces changements".

"Nous sommes prêts et disposés à rencontrer Unilever pour envisager des solutions au conflit".

Unite a présenté le 17 janvierle film "Unilever - pas aussi propre qu'on le prétend" sur la manière dont Unilever traite son personnel. Les téléspectateurs/trices sont invités à envoyer un message simple au directeur général de Unilever, Paul Polman: "Il est temps pour vous de parler".

Des rassemblements de soutien sont prévus à la demande de Unite du 18 au 28 janvier sur les sites de production de Unilever au Royaume-Uni à Warrington, Purfleet, Manchester, Merseyside, Leeds, Gloucester, Gwent et Staffordshire.

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La Commission européenne inflige 315 millions d’euros d’amendes aux géants mondiaux du secteur.  Entre 2002 et 2005, Procter & Gamble, Unilever et Henkel s’étaient entendus sur les prix dans huit pays d’Europe. 

Bruxelles lave plus blanc ! Dans le cadre de sa vaste ­offensive contre les cartels, la Commission européenne s’attaque aux lessiviers. Elle a infligé mercredi une amende de 315,2 millions d’euros à Procter & Gamble et à Unilever, qui s’étaient entendus pendant plus de trois ans sur les prix dans huit pays européens.

Le groupe allemand Henkel qui faisait aussi partie du cartel, a, lui, bénéficié d’une immunité totale pour avoir révélé les faits. Pour les autres, l’amende aurait pu être plus salée. Mais la Commission a accordé un rabais de 60 % à l’américain Procter & Gamble, et de 35 % à l’anglo-néerlandais Unilever, car ils ont coopéré et reconnu leur culpabilité pour obtenir un accord amiable.

Procter devra donc payer 211,2 millions d’euros, et Unilever 104 millions. Des montants élevés, justifiés par la taille des parts de marché et «l’extrême gravité de l’infraction».

Le cartel a commencé à l’occasion d’une initiative professionnelle visant à améliorer les performances écologiques des produits et a fonctionné entre janvier 2002 et mars 2005 dans huit pays: Belgique, France, Allemagne, Grèce, Italie, Portugal, Espagne et Pays-Bas. Henkel, Procter et Unilever se sont entendus pour se partager le marché des lessives en poudre et fixer les prix. Ils se sont ainsi mis d’accord pour ne pas baisser les tarifs quand la taille des paquets diminuait, a souligné le commissaire à la Concurrence Joaquin Almunia. Ce dernier n’a voulu citer aucune ­marque, estimant n’être «pas là pour faire de la publicité». Les produits des trois grands lessiviers font partie de la vie quotidienne des Européens : Bonux et Ariel pour Procter & Gamble, Skip et Omo pour Unilever, ou encore Le Chat ou Mir pour Henkel.

Main de plus en plus lourde 

Unilever a assuré dans un communiqué que le règlement amiable était «dans l’intérêt même de l’entreprise», et souligné que le montant avait déjà été provisionné.

L’affaire risque cependant de peser sur les poursuites en dommages et intérêts éventuellement engagées devant les tribunaux des États membres. Une condamnation de Bruxelles constitue généralement une «preuve contraignante de l’existence et du caractère illicite des pratiques en cause», rappelle la Commission.

«Les entreprises ne doivent pas se faire d’illusions sur la détermination de la Commission à poursuivre une lutte énergique contre les ententes qui imposent aux consommateurs des prix plus élevés que ceux qu’ils paieraient dans le contexte d’une concurrence saine et loyale», a martelé Joaquin Almunia. Bruxelles a en effet la main de plus en plus lourde dans ses sanctions, qui peuvent théoriquement atteindre 10 % du chiffre d’affaires. Près de 12 milliards d’euros d’amendes ont été infligés ces cinq dernières années.

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UNILEVER, encore une fois, la main dans le sac ... Rappelez-vous qu'UNILEVER à été condamné récemment ( ICI ), et bien ce n'est pas fini. Ils viennent d'être de nouveau  condamné en Allemagne pour, tenez vous bien, "échange d'informations !!!! :

"Allemagne: amende à Unilever et Kraft pour échange illégal d'informationsBerlin (awp/afp)

Trois fabricants de produits de consommation, dont des filiales des géants Unilever et Kraft Foods, ont été condamnés à une amende de 38 millions d'euros en Allemagne pour "échange d'informations entravant la concurrence", a indiqué jeudi le gendarme de la concurrence.

Les filiales allemandes d'Unilever et de Kraft Foods, ainsi que le groupe allemand Dr. Oetker, ont été reconnus coupables par l'Office anti-cartel d'avoir échangé des informations, en violation des règles de la concurrence.

"La concurrence est entravée par ces comportements", a commenté le président de l'Office, Andreas Mundt, dans un communiqué, "même s'il ne s'agit pas des ententes classiques sur les prix, les territoires ou les clients".

L'enquête se poursuit sur un quatrième industriel, a précisé l'Office. Les faits constatés concernent entre autres le secteur de la confiserie, des glaces, des pizzas surgelées et des aliments pour animaux.

Kraft Foods est notamment propriétaire des marques Milka et Suchard ou encore des biscuits Oreo, Unilever des produits glacés heartbrand (Magnum) et des soupes Knorr. Dr. Oetker, marque très connue en Allemagne, fabrique entre autres des produits lactés et desserts, et des pizzas.

Les sociétés incriminées "ont organisé pendant des années des rencontres informelles", selon l'Office, pour s'informer mutuellement entre autres de leurs politiques de prix à l'égard du commerce de détail.

L'enquête a été lancée après un témoignage du groupe Mars, a encore indiqué l'Office. Du coup le groupe britannique, fabricant des barres chocolatées du même nom et d'aliments pour chiens et chats, échappe à une amende.

Le fabricant allemand de lessive et de cosmétiques Henkel a également participé par moments aux réunions illégales, mais n'est pas soumis au paiement d'une amende car il fait aussi l'objet d'une enquête séparée pour entente dans les articles de droguerie, précise l'Office.

Celui-ci a commencé à s'intéresser au marché des produits de consommation en 2008, et plusieurs enquêtes distinctes sont encore en cours, principalement dans les sucreries. Deux d'entre elles concernent des hausses de prix concertées sur certains produits.

sm

(AWP/17 mars 2011 15h17)

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