SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

VOIR L'ÉMISSION CENSURÉE : https://youtu.be/O10pECbvQsE
LCI supprime le replay d’une émission qui n’avait pas plu aux équipes de Macron et Le Pen. Quand les “antisystèmes” obtiennent le retrait d’une émission… Émission de spécialistes de la com’ qui analysent leur com’. Du coup on l’a vue, et on a pas regretté ! Apparemment c’est la saison des punchlines :) Notre réaction à chaud, parce que les censures et pressions sur émissions qui plaisent pas aux politiques et aux patrons de

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MACRON le moindre mal ? Regardez la vidéo...

Si vous hésitez à voter Macron, regardez cette vidéo : Ancien ministre de l’économie, ancien banquier d’affaires, Macron peut avoir l’image d’un homme compétent, qui saurait gérer l’économie du pays et réduire le chômage.
Mais quel est son bilan ? Macron, c’est le pacte de responsabilité et le CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi) qui coûtent 41 milliards d’euros par an, soit 204 milliards (!) sur le prochain quinquennat. Est-ce que ça a marché ?

PAR EL DIABLO

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SOURCE : le blog de Roger Colombier

Ben non, la CFDT voulait des manifs uniquement centrées sur le vote Macron pour faire barrage à l'extrême droite. Vote Macron revendiqué dans un communiqué de la CFDT dès les résultats du premier tour.

Mais pas question pour elle des cortèges dénonçant la loi El Khomri ou Macron, les attaques contre la Sécu ou les services publics, le chômage et la précarité toujours en hausse malgré les accords Cfdt-Medef, etc, etc.

Bref, la CFDT désirait ni plus ni moins faire oublier sa collaboration à la politique droitière du pouvoir socialiste depuis 2012, politique qui a fait monter l'extrême droite en France.

A part ça, la CFDT ne fait pas de politique et défend les travailleurs. Chacun appréciera à la veille du 2e tour de la présidentielle, elle qui appelle à voter pour le monde dictatorial des affaires, pour son représentant, Emmanuel Macron, qui, dès son élection, légifèrera par ordonnances et décrets pas pour s'attaquer à la finance, augmenter le pouvoir d'achat ou nationaliser les secteurs nécessaires à la souveraineté de la France.

Par contre, CGT, FO, Solidaires et FSU seront partout en France dans les manifs unitaires pour les revendications légitimes et contre l'extrême droite.

La CFDT ne sera pas des manifestations syndicales unitaires du 1er mai 2017

Et une affiche qui n'a pas vieilli:

La CFDT ne sera pas des manifestations syndicales unitaires du 1er mai 2017
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
PAR FSC

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Le couple de sociologues de la grande bourgeoisie analyse pour Politis la trajectoire d’Emmanuel Macron, « mandaté par la classe dominante pour donner un grand coup de balai sur les divisions politiques, qui paralysent les intérêts de l’oligarchie ». Il dénonce également la « corruption de classe » que révèlent les « affaires » récentes.

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Whirlpool : quand Marine Le Pen refusait de lutter contre les délocalisations

par

La visite « surprise » de Marine Le Pen aux salariés en grève de Whirlpool d’Amiens, ce 26 avril 2017, est d’un cynisme sans nom, quand on s’intéresse au vote des députés FN au Parlement européen. La candidate du FN a décidé in extremis de perturber le déplacement d’Emmanuel Macron, venu dialoguer avec les représentants syndicaux et les salariés de l’usine. Celle-ci sera délocalisée à Lodz en Pologne.

Coût social : 290 emplois directs supprimés, et le double d’emplois indirects menacés. Les salariés de l’usine avaient pourtant accepté une augmentation de leur temps de travail, une flexibilité importante dans les horaires, et déjà vécu plusieurs plans de licenciement. Qu’importe ! La Pologne demeure moins chère, et les actionnaires peuvent s’augmenter : « Whirlpool Corporation a approuvé une augmentation de 10 % du dividende trimestriel sur les actions de la société », révèle le 24 avril le journaliste François Ruffin, fondateur du journal Fakir et candidat aux législatives à Amiens (lire ici).

Que Marine Le Pen se préoccupe du sort des salariés dont les usines sont délocalisées est une nouveauté. Le 4 octobre 2016, plusieurs groupes parlementaires européens proposent au vote une résolution « sur la nécessité d’une politique européenne de ré-industrialisation au regard des affaires Caterpillar et Alstom ». Les deux groupes viennent alors d’annoncer d’importantes délocalisations et suppressions de poste. Caterpillar supprime 2500 emplois de son usine de Charleroi en Belgique, tandis qu’Alstom annonce la fermeture de son site de Belfort, impliquant la suppression de 400 emplois.

Les parlementaires profitent de ces deux exemples pour demander à la Commission européenne de redéfinir une politique industrielle européenne. Objectif : éviter que des usines soient déplacées vers des pays avec « des protections sociales et environnementales plus faibles que celles appliquées par l’industrie européenne », répondre à « la nécessité de sécuriser les emplois industriels européens », en particulier pour des secteurs stratégiques comme le transport ferroviaire, et créer « des emplois de qualité, aptes à permettre des bénéfices tangibles pour les citoyens européens » [1]. Le but est de mettre fin à la concurrence entre bassins d’emplois européens, et de prévenir de futures délocalisations hors des frontières de l’Europe.

Invités à se prononcer, 18 députés FN, dont Marine Le Pen, ont voté… contre. Mireille d’Ornano était absente et Florian Philippot s’est prononcé pour, comme le montre le site indépendant votewatch.eu qui suit l’activité des parlementaires européens. Malgré l’opposition du FN, la résolution visant à freiner les délocalisations a été adoptée.

 

Vote des eurodéputés FN le 4 octobre 2016, sur la nécessité d’une politique européenne de ré-industrialisation

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Macron, c'est le gars qui met une casquette pour brader ensuite l'entreprise.

Macron, c'est le gars qui met une casquette pour brader ensuite l'entreprise.

CI-DESSOUS : Extrait de l’émission Spécial Investigation du 9 novembre 2016 : Anti-corruption, l'arme fatale américaine. Cet extrait montre la partie qui dénonce la responsabilité d'Emmanuel Macron dans la vente d'Alstom à General Electric, alors qu'Arnaud Montebourg avait bloqué la vente par décret.

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PAR FSC

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Portland : une ville américaine contre les multinationales
 

Considérée comme la capitale de l’Amérique « bobo », la ville de Portland, sur la côte Ouest, a multiplié les initiatives politiques ciblant les multinationales. Après avoir imposé une surtaxe sur les firmes trop inégalitaires sur le plan salarial, la municipalité vient de décider de se désinvestir totalement de toutes les grandes entreprises.

On savait que certaines collectivités locales, sous l’aiguillon de campagnes citoyennes, pouvaient être amenées à prendre position contre des entreprises, à cesser leurs relations commerciales avec elles, à les boycotter, ou à s’en désinvestir financièrement. C’est ainsi que récemment la ville de Paris a décidé de ne plus se procurer le sable de l’opération « Paris Plage » auprès de Lafarge. Une décision motivée par les activités douteuses de cette dernière dans le cadre de la guerre civile syrienne et par son souhait affirmé de participer à la construction du mur anti-migrants voulu par Donald Trump à la frontière États-Unis-Mexique (lire notre article). La municipalité de Portland, aux États-Unis, vient de passer à l’étape supérieure, en décidant de se désinvestir purement et simplement de toutes les multinationales, quelles qu’elles soient.

Selon le récit du média américain TruthOut, cette mesure est le résultat d’une lutte de longue haleine menée par la société civile locale. Portland s’était déjà positionnée contre les énergies fossiles en se désinvestissant des entreprises pétrolières et charbonnières et en interdisant toute nouvelle infrastructure liée aux énergies fossiles sur son territoire. (Plusieurs terminaux d’exportation de charbon ou de gaz sont projetés sur la côte Ouest des États-Unis.) Récemment, la municipalité a décidé de couper ses liens financiers avec une banque locale finançant le Dakota Access Pipeline, cet oléoduc emblématique combattu par les Sioux (lire notre article). Elle était pressée par les militants d’en faire de même pour des firmes comme Wells Fargo ou Caterpillar, impliquées dans l’industrie des prisons privées ou dans les colonies israéliennes illégales en Palestine. Finalement, le conseil municipal de Portland a décidé, plutôt que de devoir mettre à jour sa liste chaque année, de renoncer totalement à ses investissements dans des multinationales quelles qu’elles soient. Ceci malgré les réticences du maire et du trésorier de la ville, qui craignaient la perte de revenu que ce désinvestissement risque d’entraîner.

Portland détient un portefeuille d’investissement de 1,7 milliard de dollars en titres et obligations. Elle laissera ses obligations actuelles dans des multinationales arriver à expiration et ne les renouvellera pas. L’argent de la ville sera investi dans d’autre types d’obligations. Portland envisage aussi de créer une banque municipale pour contribuer au financement de l’économie locale, au lieu de passer par des investissements financiers dans des multinationales.

Contre les rémunérations patronales excessives et les inégalités salariales

Cette initiative inédite n’est pas une première pour Portland. En décembre 2016, la municipalité avait déjà passé une ordonnance visant à surtaxer les entreprises qui présenteraient de trop fortes inégalités salariales. Concrètement, les firmes dont les dirigeants gagnent plus de 100 fois le salaire médian de leurs employés verront leur impôt sur les sociétés augmenter en conséquence. Selon le média américain Yes ! Magazine, la ville attend de cette mesure entre 2,5 et 3,5 millions de dollars de recettes fiscales supplémentaires, qui seront affectées en priorité aux programmes d’aide aux sans-abri.

La proportion de 100 fois le salaire médian peut déjà sembler très élevée, mais selon l’Institute for Policy Studies, un think tank progressiste qui fait campagne pour l’adoption de cette mesure à Portland et ailleurs [1], pas moins de 500 multinationales américaines présentes localement, parmi lesquelles Chevron, Nike, McDonald’s ou Microsoft, sont potentiellement concernées. 90% des recettes attendues proviendraient de ces grandes multinationales. En 2014, l’écart moyen aux États-Unis entre la rémunération du PDG et le salaire médian était de 300, contre seulement 20 dans les années 1960.

Olivier Petitjean

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Photo : Maciek Lulko CC

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Les chômeurs : laissés-pour-compte des politiques d’austérité qui font le lit du FN

Le chômage repart à la hausse en catégorie A : + 1,2% (sur 3 mois) en mars. Le niveau atteint en fin de quinquennat est très élevé : 3 508 100, contre 2 922 100 à l’arrivée de Hollande, soit 20% d’augmentation.
Dans tous les cas, l’extension de la précarité est toujours là. C’est ainsi que le chiffre de la catégorie B (personnes en activité réduite de 78 heures maximum) baisse inhabituellement de 1,3 % et la catégorie C (personnes ayant exercé une activité réduite de plus de 78 heures) continue d’augmenter de +0,6 %.
Le total B et C reste à un niveau record : 1 995 700 contre 1 425 000 en mai 2012.
Même le chômage des moins de 25 ans augmente (+ 0.8%) et, cela, d’autant plus qu’on note une forte présence des jeunes dans ces catégories où la précarité explose.
Les seniors encore les dindons de la farce
Les seniors (+ de 50 ans) sont toujours de plus en plus nombreux à rejoindre les rangs des privés d’emploi. Ils sont aujourd’hui 1 357 100. Cela fait 11 mois consécutifs que leur nombre ne cesse d’augmenter. En avril 2016, ils étaient 1 288 500 pour les catégories ABC, soit +5,3% sur la période.
Les signataires de la dernière convention assurance chômage ont décidé le 28 mars dernier de couper dans les droits des 50/55 ans. En supprimant jusqu’à un an de leur durée d’indemnisation, une partie d’entre eux risque de ne pas renouveler leur inscription à Pôle Emploi et ne se trouvera donc plus dans les chiffres. La convention prévoit d’inciter les demandeurs d’emploi seniors à partir en formation : quand on sait que le nombre de retour à l’emploi durable après formation n’est que de 17%, comment croire qu’avec de tels objectifs on puisse faire baisser durablement les chiffres du chômage ? Rappelons que les seniors sont plus souvent victimes du chômage de longue durée.
Le 1er-Mai pour faire barrage au FN et pour des revendications sociales y compris pour les privés d’emploi.
L’augmentation de la précarité, l’augmentation du nombre de chômeurs seniors sont autant de coups portés aux salariés de notre pays. C’est pourquoi la CGT appelle l’ensemble des salariés et des organisations syndicales à faire du 1er-Mai une journée de mobilisation, de lutte et d’expression revendicative exceptionnelle, une journée de rassemblement pour faire barrage au FN, pour faire échec aux politiques d’austérité et pour les droits des travailleurs, le progrès social, la liberté, l’égalité, la justice, la fraternité, la paix, la démocratie et la solidarité internationale.

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Le MEDEF choisit son camp : GATTAZ soutient MACRON

Le patron des patrons accorde son soutien à Emmanuel Macron et se dit prêt à « résister » au FN

Officialisant son soutien à Emmanuel Macron, Pierre Gattaz a souhaité devenir le «partenaire» du leader d'En Marche!. Le président du Medef n'a pas hésité pas à évoquer la résistance au nazisme en cas de victoire du Front national.

« Nous sommes aujourd'hui derrière le candidat Emmanuel Macron, en tout cas sur le plan économique et social. Il n'y a pas l'ombre d'une hésitation », a déclaré le 24 avril Pierre Gattaz, président du Medef, le « syndicat des patrons » au cours d'un entretien avec l'agence de presse AFP.

Le patron des patrons s'est par ailleurs dit « rassuré » de constater qu'un des deux candidats qualifiés pour le second tour avait un programme économique allant « dans le bon sens », à ses yeux. Il a néanmoins estimé qu'il ne s'agissait pas d'un « blanc seing » accordé au candidat d'En Marche! .

[…]

LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS :

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PAR FSC

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26,5 % des assurés sociaux ont renoncé à se faire soigner en 2016 par manque d’argent

 

Appli Ameli

Plus d’un quart des personnes se rendant dans les caisses d’assurance maladie renonceraient aux soins par manque d’argent.

26,5 % des assurés sociaux ont renoncé à se faire soigner en 2016, selon l’Observatoire des non-recours aux droits et services, Odenore.

La Caisse nationale d’assurance-maladie a chargé l’Observatoire de sonder 29.000 patients se présentant dans les CPAM. 

Environ 39 % des assurés interrogés renoncent aux prothèses dentaires (sans plafond tarifaire jusqu’en 2017), 34 % sur des soins dentaires conservateurs, avec pourtant des tarifs régulés. Viennent ensuite les consultations de spécialistes, l’ophtalmologie et les lunettes.

Plusieurs CPAM ont réagi en instaurant des dispositifs pour réamorcer la dynamique de soins chez ceux et celles qui ont jeté l’éponge par manque d’argent. Dans le Gard et dans la Somme, départements pionniers, l’effort porte d’abord sur le repérage des personnes dans le besoin, en mobilisant les agents d’accueil, les personnels des centres d’examen, mais aussi les professionnels de santé libéraux.

La généralisation à tout le territoire français devrait s’achever d’ici à un an. Un premier bilan montre que dans le Gard, un dossier sur trois a abouti à la réalisation de soins.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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