PAR CGT COMPIEGNE FACEBOOK
SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI
Syndicat CGT Unilever HPCI France
PAR CGT COMPIEGNE FACEBOOK
En pleine manifestation à Paris, ce 28 juin, les CRS étaient de sortie. L'objectif ? Isoler le cortège cheminot du reste de la manifestation ! Une répression qui n'a pas entamé le moral des grévistes, la preuve en images !
Certains pensaient que la déstructuration du secteur énergétique permettrait d’étouffer les revendications et les mobilisations des salariés, aiguisant l’appétit des actionnaires privés et permettant le développement du Monopoly de l’énergie.
En réalité de plus en plus de salariés se mobilisent pour la défense du service public, de sa qualité et de leurs conditions de travail.
Les seules réponses qui sont faites par les directions d’entreprises se sont des assignations au tribunal ! Belle preuve de dialogue social… Inacceptable, la FNME CGT ne peut qu’encourager les salariés à amplifier les mobilisations et les blocages de sites.
Les salariés de la distribution de l’électricité (ENEDIS) et du gaz (GRDF), filiales d’EDF et d’ENGIE, occupent plus d’une centaine de sites à l’échelle nationale, revendiquant plus d’emplois, plus de reconnaissance de leurs compétences, de meilleures conditions de travail et de salaire pour pouvoir assurer leurs missions de service public. Ils s’insurgent aussi face à la réforme de l’astreinte que veut imposer la direction.
Les salariés de la production d’électricité hydraulique, charbon et nucléaire continuent de se mobiliser pour la défense des barrages, l’arrêt de la fermeture des centrales charbon et nucléaires et surtout pour que l’avenir de la production soit sous maîtrise publique. Des actions ont lieu dans certaines centrales nucléaires et sur des sites hydrauliques comme à Grand’Maison demain (Plus grand site de production d’électricité hydraulique de France).
Les salariés du Groupe ENGIE sont appelés à une grande journée de mobilisation le 26 juin 2018 pour l’avenir du Gaz en France, quand le choix d’ENGIE est d’abandonner cette énergie. Cette journée fera aussi l’écho à l’annonce du gouvernement de la privatisation totale d’ENGIE.
Côté RTE, les salariés se mobilisent contre la fermeture des dispatchings régionaux (Sites de pilotage régionaux des lignes électriques). La direction de RTE ayant décidé que tout devait être piloté depuis Paris, peut-être que son PDG désire lui-même actionner les disjoncteurs depuis son bureau à la Défense !
La FNME CGT soutient fortement l’ensemble des travailleurs de l’énergie qui sont dans la lutte et qui décident de reprendre en main leur outil de travail. L’avenir du service public de l’électricité et du gaz en France se joue dans les mois à venir. La lutte pour un service public de l’énergie est une bataille pour servir l’intérêt général et non les intérêts privés.
Les travailleurs du secteur sont appelés à continuer les mobilisations
Les travailleurs du secteur énergétique continueront de se mobiliser car l’avenir de l’énergie, notre bien commun, est trop importante pour le laisser entre les mains de saltimbanques !
SOURCE:
VOIR ÉGALEMENT LE LIEN CI-DESSOUS:
PAR EL DIABLO
C'est dans Le MEDIA que cet interview a été réalisé alors que dans les médias officiels c'est la campagne pour justifier la contre-réforme du pouvoir qui a seulement droit de cité et que la lutte des cheminots est présentée comme un échec ... selon leurs critères et selon ... leurs souhaits.
MAIS
PAR FSC
Une première victoire, maintenant des garanties !
Le président du Conseil départemental de la Somme vient d’annoncer le report de sa décision pourtant « définitive », pourtant « indiscutable », pourtant « irrévocable » de fermer trois collèges dans le département de la Somme.
Il annonce une commission d’enquête afin d’y associer les élus, les équipes éducatives, les parents d’élèves…
Grâce au réveil du Peuple Picard Libre, à coup de manifestations, de rassemblements et d’études solides et argumentées, le président du Conseil départemental n’avait pas d’autre choix que de reculer.
Cette commission d’étude, nous la réclamions.
Et c’est avec sérieux et application que nous y participerons.
Pour que soit enfin posée cette question : comment rattraper nos 50 % de retard en difficulté de lecture sur le reste du pays ?
Comment faire pour que la Picardie ne soit plus la région où la chance d’obtenir le baccalauréat soit la plus faible ?
Nous adressons nos félicitations aux parents d’élèves et enseignants de Domart, Feuquières et Guy Mareschal.
Ainsi qu’aux militants de Picardie debout !
Cette victoire, c’est la leur. Et à la fin c’est nous qu’on va gagner !
François Ruffin et son équipe.
PAR EL DIABLO
Délégation à Cologne, envahissement de réunions, les ouvriers de Ford multiplient les démonstrations de résistance suite à l’annonce, le 7 juin dernier, de la fermeture définitive de l’entreprise si aucun repreneur ne se présente et ainsi le lancement du plan social dit PSE (Plan de Sauvegarde de l’Emploi).
Trois réunions PSE sans avancée réelle
Ce mercredi 27 juin se tenait la troisième réunion concernant le « Plan de Sauvegarde de l’Emploi » (PSE), sous forme d’un comité d’entreprise extraordinaire, elle fait suite à la première journée de discussion du mardi 26 juin, comme annoncée [dès le 7 juin, jour de l’annonce du lancement du PSE→https://www.revolutionpermanente.fr/Ford-Blanquefort-fermeture-de-l-usine-et-plan-social-Chronique-d-un-scandale].
La première réunion du mardi s’est déroulée durant toute la journée. De nouveau, sans grande avancés, avec dans l’après midi l’annonce des modalités du « Le projet de licenciement collectif pour motif économique », que l’on peut retrouver sur le site de la CGT Ford, ces modalités sont évidemment de faible compensation contre la vie ruinée des 900 ouvriers et leurs familles.
Ce mercredi, les salariés de l’usine ont donc fait entendre leur voix durant cette troisième séance de planification de fermeture, en débrayant puis allant envahir le comité d’entreprise extraordinaire. Cette action, suivie par une centaine d’ouvrier a interrompu la production quelques heures, mais a surtout rappelé une nouvelle fois la détermination des militants à lutter contre la fermeture de l’usine. Il s’agit aussi de jouer un rôle dans la prise de décision et de ne pas se contenter de négocier des primes de départ. Seuls les représentants CGT ont quittés la réunion pour discuter avec leurs collègues, obligeant la direction à envoyer un porte- parole (le chef du personnel) aux salariés. Sans pour autant parvenir à répondre à leurs questions !
Une nouvelle dynamique
L’annonce définitive de la fermeture, qui est annoncée pour fin aout 2019, avec des premiers départs en janvier 2019, a relancé la détermination des ouvriers.
Il faut souligner le périple qu’a effectué une délégation jusqu’à Cologne, le 20 juin, pour se rendre au siège de la direction. Voyage qui a été ponctué par de nombreux moments de solidarité, que ce soit en gare de Paris avec des cheminots, ou une fois sur place avec des syndicalistes de l’usine Ford local.
Vidéo du collectif Raffut, qui a suivi la délégation partie pour Cologne
Plus récemment, la projection de l’excellent film « En Guerre », a réuni plus de 200 personnes à Blanquefort lors d’une soirée de soutient, durant laquelle HK est une nouvelle fois venu chanter !
Perspectives à venir !
Les Ford seront évidemment présents à la manifestation inter-pro de ce jeudi 28 juin, mais il faudra surtout allez les soutenir lors de la seconde manifestation à leur initiative, ce samedi 30 juin !
Une journée de démonstration collective, soutenue par de nombreux collectifs et partis politiques : l’UD CGT 33, la Fédération CGT métallurgie, l’USTM 33, Solidaire 33, Sud PTT 33, la CIP, AC !, Attac33, CIPG, Ensemble, LO, NPA, le PCF … Philippe Poutou et Olivier Besançenot, porte-paroles du NPA et tous deux ex-candidats aux présidentielles seront également présent.
Rendez vous donc à 14h place Pey Berland à Bordeaux pour faire de cette journée une réussite, mais surtout une démonstration et un premier pas pour la riposte qui doit continuer à s’organiser contre cette fermeture annoncé !
PAR REVOLUTION PERMANENTE
Questions CE :
Volume à date SHAMPOING/DENTAIRE et comparaison par rapport à l’année dernière
Part de marché shampoing/dentifrice et point promo publicité et budget
Point SUR
Point sur les embauches
Point sur les renouvellements des CDI I et point sur le cabinet de recrutement ?
Point intéressement
Comment la direction peut-elle expliquer un tel écart de salaire, avec les mêmes fonctions et anciennetés entre les salariés ? Comment compte-t-elle réduire ces écarts ?
Détails des investissements sur la ligne 13 suite au nouveau format Monsavon et montant de la Capex ? Que reste-t-il à faire ?
Etat d’avancement des témoins sur les nouvelles formules Zaha
Point sur le projet de faire du DOVE 200ml sur la ligne 16 ?
Mise à jour de l’organigramme
Organisation des ateliers pour juillet/août
Questions DP :
Points sur les modifications des nouveaux lèves palettes ?
Point sur la leçon ponctuelle créée le 25 mai 2018 « position connecteur stand trailers », nous demandons que la direction prenne une décision claire sur les remorques ?
Coût de la location du compacteur au local maintenance ?
Retour sur la planification des matchs de foot de l’équipe de France ?
Est-il prévu de mettre des glaces à la disposition des salariés ?
Divers
Arrivés il y a un an dans le Sud de l’Indre, deux Marocains, rejoints quelques mois plus tard par deux autres travailleurs, se sont fait exploiter par leur patron pendant des mois.
Crédits photo : NR, Thierry Roulliaud
Leur histoire est relatée dans le quotidien La Nouvelle République (LNR). Ces quatre bûcherons sont originaires de Ouaoumana, un village du centre du Maroc, à quarante kilomètres de la ville de Khenifra. Les premiers sont arrivés à Aigurande, dans le sud de l’Indre, en juin 2017.
Ils se sont fait embaucher en CDI par un homme qu’ils connaissaient, bientôt rejoints – en février 2018 – par deux autres travailleurs en CDD originaires du même village marocain. En semaine, ils devaient travailler dix heures par jour avec uniquement 20 minutes de pause-déjeuner, à couper du bois aux quatre coins de la région.
« Puis, il vient nous chercher pour nous ramener à l’appartement, racontent-ils aux journalistes de LNR. Le week-end, il nous faisait travailler dans le restaurant rapide qu’il est en train de retaper… ».
Ils se trouvent aujourd’hui dans une situation d’extrême précarité. Locataires d’un petit logement, tous les quatre ont vu leur patron déchirer leurs contrats de travail sous leurs yeux. Les premiers arrivants n’ont touché que 2 000 € pour le travail titanesque effectué en un an, tandis que les deux autres n’ont perçu que 330 € pour les quatre mois qui se sont écoulés depuis leur embauche.
S’ils poursuivent leur employeur avec l’aide de la CGT et le soutien de la mairie, cette histoire est surtout particulièrement révélatrice de la situation de la majorité des travailleurs immigrés. Pour les patrons ils ne représentent que de la main d’œuvre bon marché et corvéable à merci. Le fait qu’ils ne connaissent souvent personne en arrivant en France garantit bien souvent aux employeurs un isolement des travailleurs qu’ils exploitent, qui s’assurent ainsi de pouvoir les réduire en esclavage en toute impunité.
PAR REVOLUTION PERMANENTE
Un cadre hospitalier et un député LREM pointent du doigt le métier de caissière, comme si c’était une tare. Révoltant ? Oui, mais c'est bien plus que cela.
Dans le premier cas, une aide soignante souligne le fait que le stress dans son métier est plus grand et continu, ce à quoi un cadre lui répond qu’elle n’a qu’à envisager d’être caissière pour éviter ce désagrément.
Comme si le métier de caissière était de tout repos, qu’elles n’ont aucun problème dans les relations avec les clients et la direction, comme l’ont démontré ces braves femmes caissières de Carrefour qui se sont battues contre leur direction et pour améliorer leur salaire et leurs conditions de travail.
Le deuxième cas est plus choquant et méprisant : un entrepreneur qui se revendique de LREM réagit via Twitter sur la réponse de Macron à un adolescent l’ayant interpellé par le diminutif « Manu ». Se targuant de la nécessité de ce recadrage puisque « on ne s’adresse pas au Président comme on s’adresse à une caissière ».
Pourquoi utiliser encore une fois cet exemple et pourquoi change-t-on de genre ? Le mépris cette fois-ci vise la fonction de caissière et la femme. Ce n’est pas anodin. Il faut savoir que Macron vend une image réformiste mais avec un retour aux valeurs chrétiennes – « Je souhaite réparer les liens abîmés entre l’église et l’État » a-t-il déclaré le 11 avril 2018.
Cela démontre une fois de plus à quel point la place des femmes, et en particulier celle des femmes travailleuses, est secondaire dans la société Macronienne. Le fait d’être une femme dans une situation précaire est souvent assimilé à de la faiblesse, et même si c’est vrai que nous sommes les premières a être touchées par les conséquences des réformes des gouvernements successifs et la croissante précarité et à payer les pots cassés lors des moments de crises économiques, ce sont pourtant ces mêmes femmes qui font partie des plus déterminées dans les luttes.
Je suis moi-même une de ces femmes en situation précaire, mère isolée de 3 enfants, cheminote en grève sur le préavis reconductible, déterminée et activiste dans la bataille du Rail.
PAR REVOLUTION PERMANENTE
Communiqué unitaire
UNE VILLE EN ÉTAT DE SIÈGE
Comme la veille à Saint Brieuc, la visite d'Emmanuel Macron à Quimper (le 21/06/2018) se sera déroulée dans une ville en quasi état de siège, avec une interdiction de circulation dans tout le centre ville depuis la gare jusqu'aux allées de Locmaria, le blocage de la manifestation contre la politique du gouvernement à hauteur du parking de la gare, l'interdiction faite à certains riverains de rejoindre leur logement dans le périmètre verrouillé par les forces de police.
La cerise sur le gâteau, aura été l'injonction faite aux syndicalistes réunis devant la gare de couper leur sono sous la menace d'une confiscation du matériel, la confiscation effective du mégaphone d'un militant présent, la prétention des autorités de l'Etat (transmise par la police) à imposer aux manifestants de faire silence au moment du discours du président et enfin la recherche des cheminots qui avaient eu l’aplomb de faire retentir les sirènes de leur train pendant l'intervention présidentielle.
Du jamais vu à Quimper!
Ces pratiques en disent long sur la dérive autoritaire d'un pouvoir qui ne supporte aucune contestation et veut imposer sa politique de casse sociale par tous les moyens.
Pour les organisations Attac Quimper, CGT, Sud Solidaires, CNT, FSU 29, Collectif antifasciste, Coordination nationale des hôpitaux et maternités, Comités de soutien à la ZAD de NDDL, NPA, Climat Social, EELV, Ensemble!, Fraternité Douarnenez et Quimper, France Insoumise, Génération.S Quimper, Nouvelle Donne Finistère, PCF, UDB, aujourd'hui, nos libertés publiques, en premier lieu la liberté de manifester, sont gravement en danger.
Malgré ces menaces inquiétantes, nos organisations sont déterminées à poursuivre et à manifester leur opposition à cette politique en faisant entendre partout la volonté populaire d'une société plus juste et plus solidaire.
VOIR ÉGALEMENT LE LIEN CI-DESSOUS:
Nos "grands médias" s'évertuent à réduire l'importante baisse de popularité de Macron à la mesure concernant la réduction de la vitesse à 80 !
Pour masquer la certitude que nous avons affaire au président des riches et des privilégiés qui paye cash sa contre-réforme de la SNCF, la mise en cause des dépenses sociales, son projet de contre-réforme des retraites, ses cadeaux aux couches nanties ...
PAR FSC
530272
Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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