SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Comité de groupe France

Aujourd'hui, les 5 organisations syndicales ont rendez-vous avec M.FAURE Frédéric, le DRH National d'Unilever afin de négocier l'accord sur la répartition des sièges au comité de groupe France pour les deux prochaines années. Pour le calcul des sièges au sein de cette instance, nous tenons compte des résultats aux élections professionnelles en nombre d'élu dans les instances représentatives du personnel avant le 31 décembre 2010, et ceci dans toutes les usines, siège et vente.

La délégation Cgt sera composée de :

- Olivier  LEBERQUIER de FRALIB à Gémenos (coordinateur Cgt au plan national)

- Gérard CAZORLA de FRALIB Gémenos

- Frédéric BRIESMALIEN de l'usine de Le Meux

L'accord qui sera éventuellement trouvée sera valide pendant 2 ans. Il sera aussi question pour la CGT de discuter et de négocier des moyens supplémentaires pour le Comité de groupe France.

Pour info, les experts comptables des élus pour le Comité de groupe France sont ceux qui travaillent sur le projet d'UNILEVER de fermeture de FRALIB , mais aussi nos experts au CCE de notre société, il s'agit du cabinet PROGEXA. UNILEVER n'aime pas les exeprts de ce cabinet, car ils ne sont pas gentils avec UNILEVER ...

Enfin pour finir, la première préparatoire du Comité de groupe France aura lieu le 13 avril prochain et il sera notamment présenté un premier pré-rapport sur une éventuelle évasion fiscale d'UNILEVER en Suisse, par le cabinet qui avait été nommé pour cette expertise fiscale par 9 Comité d'Etablissement sur 10.

Notre délégué nous en dira plus prochainement.

Voici ci-dessous le projet de composition pour 2011 et 2012

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La composition 2009 et 2010

Compo 2009 2010

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

Bonsoir à tous,

Vendredi 25 mars 2011 le Conseil Régional a voté en Commission permanente  une délibération nous concernant. Cette décision démontre que le Conseil Régional s’inscrit dans la construction d’un projet alternatif  à la fermeture de notre site.

Cela bouge autour de notre projet alternatif et de nos exigences syndicales, nous avons donc dépassé aujourd’hui l’étape du simple soutien. 

Nous voudrions notamment souligner dans la délibération du Conseil Régional en page 3 « qu’il est stratégique de maintenir les 182 emplois à Gémenos soit dans le giron du Groupe UNILEVER en changeant l’organisation des productions ou en réinvestissant, soit en permettant la reprise d’activité, dans le cadre d’un nouveau process industriel pour relancer la production ou apporter des marchés de substitution. Cette poursuite de l’activité devra prendre en compte les attentes des salariés et des collectivités en matière de pérennisation du site de Gémenos ». 

Cette délibération décide « d’approuver le principe d’une aide au CE de FRALIB afin de lui permette de financer une étude qui devra faire l’état des lieux technique, commercial et économique précis et à partir de cela trouver les différents modèles de réindustrialisassions envisageables, y compris par la recherche d’un partenaire industriel »(voir la délibération jointe). 

C’est un pas en avant qui met en échec la tentative de la direction d’UNILEVER d’isoler les salariés. 

Bien entendue nous serons de la manifestation jeudi 31 mars à Marseille pour la venue des ministres du travail et de la santé pour défendre nos emplois, nos salaires notre protection sociale, nos services publics, nos industries….

Nous organisons un rassemblement interprofessionnel le lundi 4 avril à Fralib à 12h00 jour de la 2ème réunion dans le cadre de la procédure réengagée par la direction et à l’occasion de laquelle le cabinet d’expertise Progexa désigné par le CE remettra son rapport.

Conscients de la nécessité de répondre au niveau nécessaire aux contre-feux allumés par UNILEVER face à notre projet alternatif et à nos exigences, nous construisons également pour mi avril une grande initiative populaire sur la question du maintien de nos emplois  et de l’activité industriel avec au cœur la marque du « Thé Eléphant ».

Nous souhaitons a cette occasion y associé les partis politiques et les collectivités Territoriales pour qu’ils aient l’engagement politique nécessaire pour que notre projet soit « l’alternative » à la décision d’UNILEVER de sacrifier 182 familles.

Nous ne lâcherons rien et nous continuerons à lutter toujours avec la même détermination et la même volonté contre la fermeture de l’usine pour le maintien de l’emploi et la poursuite de l’activité. 

Encore et toujours :

continuons le Boycott de LIPTON    

NOUS NE LAISSERONS PAS PARTIR LE THE DE L’ELEPHANT DE PROVENCE

  Hasta la victoria siempre !

Délibération du Conseil Régional

(un clic sur l'image)

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

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24/03/11 | 07:00 | Laurence Bollack

Colgate-Palmolive frappe un grand coup. Le lessivier américain, qui n'avait pas réalisé d'acquisition depuis 2006, a annoncé hier l'achat de Sanex pour 672 millions d'euros. Le fabricant de déodorants et de gels douche était tombé en décembre dans le giron d'Unilever, lorsque ce dernier avait repris les activités d'hygiène de Sara Lee. Mais la Commission européenne, gardienne de la concurrence, réclamait des cessions, estimant que le rapprochement de Sanex et de marques d'Unilever telles que Dove et Rexona aurait probablement conduit à des hausses de prix dans plusieurs pays, dont le Royaume-Uni et l'Espagne.

En déboursant près de 1 milliard de dollars pour prendre le contrôle de Sanex, Colgate-Palmolive signe sa plus importante opération de croissance externe des dix dernières années. Mais il paie le prix fort : 3,6 fois le chiffre d'affaires, qui s'est élevé l'an dernier à 187 millions d'euros, réparti à parts égales entre les déodorants et les gels douche. Selon les calculs de Bloomberg, les opérations comparables réalisées au cours des cinq dernières années se sont en effet conclues en moyenne à un prix représentant 1,1 fois les ventes annuelles.

Plusieurs amateurs sur les rangs

Mais, dans le cas de Sanex, Colgate-Palmolive n'avait pas d'autre choix que de casser sa tirelire. Car il n'était pas seul sur les rangs, l'activité suscitant également l'intérêt de Procter & Gamble et d'Henkel. Sans compter qu'Unilever l'a vendue la mort dans l'âme. L'opération entre par ailleurs dans la stratégie de Colgate, qui, certes, possède les marques Ajax, La Croix, Paic ou Soupline, mais cherche à se renforcer dans les produits d'hygiène personnelle et la nutrition animale, où les marges sont plus importantes. Colgate a d'ailleurs annoncé parallèlement la cession à Unilever de ses lessives en Colombie pour 215 millions de dollars.

Colgate va acquérir Sanex via une transaction en numéraire qui doit être bouclée d'ici à la fin juin. La double opération annoncée hier doit améliorer de quelque 4 % les résultats du groupe cette année, et d'environ 1 % en 2012. L'acquisition de Sanex reste soumise à l'approbation de la Commission européenne. Quant à la vente des lessives, elle doit recevoir le feu vert des autorités réglementaires colombiennes et ne pourra intervenir qu'une fois l'achat de Sanex effectivement réalisé.

Les Echos

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Pour vous rendre directement sur le site interactif  du congrés, rendez-vous sur le site de l'UGICT Cgt (un clic sur l'image)

Union Générale des Ingénieurs, Cadres et Techniciens

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

Meeting franco-allemand
dans le cadre de la semaine de mobilisation européenne au moment

du Sommets des Chefs d’Etat consacré au « Pacte de compétitivité »

22 mars 2011
Intervention de Bernard THIBAULT,
Secrétaire général de la CGT
_______________________________

Chers Amis, Chers Camarades,

Je veux tout d’abord vous remercier d’avoir répondu présent à ce rassemblement unitaire avec nos camarades du DGB.

Cette mobilisation s’inscrit dans une semaine d’action de l’ensemble des syndicats européens pour dénoncer un véritable pacte d’austérité qui sera à l’ordre du jour de la réunion des chefs d’état à la fin de cette semaine.

Aujourd’hui à Paris, jeudi à Berlin et à Bruxelles, samedi à Londres, le 9 avril à Budapest, les syndicats ont décidé de réagir ensemble devant ce qu’il faut bien appeler une agression sociale caractérisée.

Alors que le chômage, la précarité, les bas salaires et l’exclusion sociale gangrènent les pays d’Europe, les gouvernements s’apprêtent à adopter une série de mesures anti-sociales comme remèdes à la crise :

-      il faudrait ainsi réduire les salaires,

-      étendre la flexibilité des horaires de travail,

-      reculer les âges de départ en retraite,

-      réduire les dépenses de protection sociale et les budgets publics.

Tout ceci nous est présenté comme des mesures incontournables pour sortir d’une crise dont les travailleurs en Europe ne sont en rien responsables.

Le président de la République française et la chancellerie allemande sont à l’origine de cette démarche qui satisfait grandement les employeurs.

Nous sommes là, ensemble, syndicalistes allemands et français, pour dénoncer ce projet, non seulement parce que c’est injuste socialement mais aussi totalement inadapté et en total décalage avec les origines de la crise.

Au même moment où ce plan d’austérité se dessine, les grands groupes affichent des profits record et des dividendes versés aux actionnaires parfois supérieurs à ce qu’ils étaient avant la crise.

C’est à cela qu’il faut s’attaquer en priorité.

L’Europe n’est pas malade du fait des droits sociaux.

Par contre, elle sera de plus en plus contestée si elle sert de levier pour mettre en concurrence les travailleurs européens sur le moins disant social.

Nous nous sentons solidaires des travailleurs grecs à qui l’on veut faire payer les turpitudes de leur ancien gouvernement,

Nous nous sentons solidaires des travailleurs roumains à qui on impose une révision de leur code du travail pour plus de flexibilité,

Des polonais de qui on exige une baisse des salaires et pensions,

Des anglais frappés par la baisse des budgets publics.

Nous sommes déterminés à poursuivre ensemble le combat pour une Europe sociale, sans quoi elle n’aura aucun avenir.

Pas plus en France que dans d’autres pays, l’austérité ne doit être à l’ordre du jour.

-      La lutte contre les bas salaires et la précarité doit être présente dans les entreprises,

-      Le principe du travail égal – salaire égal dans un même lieu de travail doit être la règle,

-      La mise en place du salaire minimum national doit être garanti,

-      Les budgets sociaux doivent être préservés.

Avec votre participation, nous n’abandonnerons pas notre objectif d’une reconnaissance des travailleurs de toute l’Europe.

Tous ensemble, soyons offensifs !

Merci de votre attention.

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Déclaration commune des syndicats Français et Allemands

L’Europe n’a pas besoin d’un pacte sur la compétitivité Merkel-Sarkozy mais d’un changement d’orientation politique pour une Europe juste et équitable

Au cours des prochaines semaines, le Conseil Européen va adopter les mesures de convergence budgétaire et économique dans le cadre du dispositif du « semestre européen ». En l’état actuel des propositions, en particulier celles impulsés par les chefs d’Etat Allemand et Français, les organisations syndicales françaises et allemandes CGT, FO, UNSA, CFTC, DGB, avec la CES, expriment leur critique fondamentale.

Nous nous prononçons fortement contre une gouvernance économique basée sur une conception limitée de la compétitivité fondée sur la stagnation, voire la réduction des salaires et des marchés de travail flexibles et dérégulés.

Depuis longtemps, ces organisations revendiquent une plus grande convergence économique et sociale dans l’Union Européenne. Les difficultés que connaissent plusieurs Etats membres de la zone euro confortent cet objectif. Mais la consolidation de l’euro et les objectifs qui en découlent en matière de gouvernance doivent viser le développement économique, l’emploi et le progrès social.

Les propositions pour la diminution des salaires minimums pour l’abolition des systèmes d’indexation et la non prise en compte de l’inflation sont des offensives qui remettent en cause les droits des salariés, et l’autonomie des partenaires sociaux dans le champ de la négociation collective, propre à chacun des systèmes nationaux de formation des salaires.

Les propositions actuelles de gouvernance économique et le pacte Merkel-Sarkozy dérogent à des nombreux principes du droit primaire européen. Les traités engagent l’Union à combattre les inégalités, améliorer les conditions de vie et de travail, respecter les systèmes de négociation collective nationaux et de sauvegarder l’autonomie des partenaires sociaux, et ne donnent pas de compétences à l’Union européenne en matière salariale. Avec les propositions du pacte Merkel-Sarkozy en matière salariale, l’Europe fait fausse route.

Nous nous prononçons contre le plafonnement européen des endettements, contre des politiques d’austérités qui entravent la croissance et contre la proposition d’un ajustement automatique des systèmes de retraite à l’évolution démographique.

Une gouvernance économique ne peut pas reposer sur les seuls objectifs d’équilibre budgétaire. L’Europe a besoin de favoriser en même temps le développement économique et sociale et, pour cela, doit radicalement changer de politique. Une obstination sur cette mauvaise politique au seul profit des forces du marché met en péril la stabilité de l’euro et mène à la détérioration de la situation économique, politique et sociale de tous les pays impliquées.

Nous considérons indispensable:

-       que soit préservé l’autonomie de négociation des partenaires sociaux en matière tarifaire ou bien qu’elle soit inscrite dans les constitutions nationales comme c’est le cas en Allemagne.

-       Que soient renforcées la cohésion sociale et le socle social de l’Europe à travers la lutte contre la précarité et les bas salaires  par la mise en place des salaires minimums nationaux garantissant une vie décente.

-       Que soit respecté sur le marché de travail, le principe du « travail égal – salaire égal » dans un même lieu de travail, quelque soit le statut (intérimaires, saisonniers, …). L’Europe ne peut pas avoir des travailleurs de seconde zone, socialement défavorisés.

-       Que la maîtrise des budgets et la réduction des déficits publics préservent les capacités d’investissement et les budgets sociaux

-       Que la convergence en matière fiscale soit basée sur une harmonisation de l’assiette de la fiscalité des entreprises et la fixation d’un taux-plancher d’imposition. A cet égard, l’annonce par la Commission européenne de son intention de présenter un projet de directive sur « une assiette commune consolidée d’impôts sur les sociétés » pour relancer le marché intérieur, va dans le bon sens.

-       Que soit adopté, au lieu des politiques d’austérité et du plafonnement européen des endettement, un programme d’innovations et d’investissements ambitieux pour l’encouragement généralisé des investissements dans le développement durable, afin de doter l’Europe  d’infrastructures modernes, d’industries pérennes, des services publics de qualité et d’une offre d’éducation et de formation de qualité.

Nous refusons et nous combattrons les réductions de salaires imposées par l’Etat ainsi que la fixation par celui-ci d’objectifs limitant ou plafonnant dans le cadre des négociations collectives, les salaires réels.

Compte tenu des enjeux pour les travailleurs de l’Union européenne, les partenaires sociaux doivent être consultés sur les réformes envisagées par les Etats et par l’Union européenne.

Le, 22 mars 2011

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Pour rappel, un communiqué du Réseau sortir du nucléaire en date du 26 juillet 2007, époque à laquelle Sarkozy ne faisait pas la guerre à la Libye mais de grands salamalecs à Kadhafi.

Tout ceci semble si loin maintenant, la prolifération des centrales nucléaires, les embrassades avec les tyrans du monde entier…

Heureusement, pour se souvenir, il nous reste quelques photos du bon vieux temps.

Le communiqué du réseau sortir du nucléaire, avec l'histoire des infirmières, ICI

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
23 mars (Reuters) - Colgate-Palmolive (CL.N: Cotation) a annoncé mercredi le rachat pour 672 millions d'euros à Unilever (ULVR.L: Cotation) de sa filiale de produits de soins Sanex. Parallèlement, le groupe anglo-néerlandais achète à l'américain ses activités dans la lessive en Colombie pour 215 millions de dollars (194 millions d'euros). Colgate précise que ces opérations combinées devraient apporter un supplément d'environ 4% à son résultat en 2011. (Bureaux de Londres et de Bangalore, Florent Le Quintrec pour le service français, édité par Danielle Rouquié)

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Vous pouvez vérifier directement sur le site en cliquant sur l'image. Maintenant cela concerne aussi DOVE, SIGNAL, SUN, TIMOTEI, ... Un clic sur l'image et choisir le lieu.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

UNILEVER, encore une fois, la main dans le sac ... Rappelez-vous qu'UNILEVER à été condamné récemment ( ICI ), et bien ce n'est pas fini. Ils viennent d'être de nouveau  condamné en Allemagne pour, tenez vous bien, "échange d'informations !!!! :

"Allemagne: amende à Unilever et Kraft pour échange illégal d'informationsBerlin (awp/afp)

Trois fabricants de produits de consommation, dont des filiales des géants Unilever et Kraft Foods, ont été condamnés à une amende de 38 millions d'euros en Allemagne pour "échange d'informations entravant la concurrence", a indiqué jeudi le gendarme de la concurrence.

Les filiales allemandes d'Unilever et de Kraft Foods, ainsi que le groupe allemand Dr. Oetker, ont été reconnus coupables par l'Office anti-cartel d'avoir échangé des informations, en violation des règles de la concurrence.

"La concurrence est entravée par ces comportements", a commenté le président de l'Office, Andreas Mundt, dans un communiqué, "même s'il ne s'agit pas des ententes classiques sur les prix, les territoires ou les clients".

L'enquête se poursuit sur un quatrième industriel, a précisé l'Office. Les faits constatés concernent entre autres le secteur de la confiserie, des glaces, des pizzas surgelées et des aliments pour animaux.

Kraft Foods est notamment propriétaire des marques Milka et Suchard ou encore des biscuits Oreo, Unilever des produits glacés heartbrand (Magnum) et des soupes Knorr. Dr. Oetker, marque très connue en Allemagne, fabrique entre autres des produits lactés et desserts, et des pizzas.

Les sociétés incriminées "ont organisé pendant des années des rencontres informelles", selon l'Office, pour s'informer mutuellement entre autres de leurs politiques de prix à l'égard du commerce de détail.

L'enquête a été lancée après un témoignage du groupe Mars, a encore indiqué l'Office. Du coup le groupe britannique, fabricant des barres chocolatées du même nom et d'aliments pour chiens et chats, échappe à une amende.

Le fabricant allemand de lessive et de cosmétiques Henkel a également participé par moments aux réunions illégales, mais n'est pas soumis au paiement d'une amende car il fait aussi l'objet d'une enquête séparée pour entente dans les articles de droguerie, précise l'Office.

Celui-ci a commencé à s'intéresser au marché des produits de consommation en 2008, et plusieurs enquêtes distinctes sont encore en cours, principalement dans les sucreries. Deux d'entre elles concernent des hausses de prix concertées sur certains produits.

sm

(AWP/17 mars 2011 15h17)

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

Afin de motiver les salariés et surtout de revoir son OEE remonté, la direction a eu un éclair de génie en remettant en place la prime trimestrielle.

Nous avons rappelé à la direction qu’auparavant cette prime existait et n’a apporté que des conflits et une certaine zizanie, c’est à se demander « quelle est son but réel ».

Cette prime serait comprise entre 0 et 150€ en fonction de l’évolution de l’OEE et par palier, en atteignant l’objectif pour 2011 67,5% en shampoing et 75% en dentaire. (à date en shampoing  58% et 70% en dentaire).

Malgré nos interventions dans toutes les instances ainsi que le conflit que nous avons connu dernièrement ou les salariés ont pu s’exprimer et dire ce qu’ils avaient sur le cœur ; on aurait pu s’attendre à un déclic de la direction face à l’ampleur du mouvement et du malaise qui règne dans cette usine et bien il en est rien, la direction se préoccupe seulement de ses objectifs qui sont loin d’être atteint (s’inquiète t-elle déjà pour sa variable pay) en ce qui concerne  L’OEE !

On reste toujours avec les mêmes problèmes c'est-à-dire :

-          Problème d’effectif toujours en baisse, fin février nous sommes à 295 salariés CDI

-          Toujours plus de précarité

-          Charge de travail qui ne cesse de grandir dans les services périphériques (nous travaillons sur un dossier, celui-ci à peine fini que nous passons à un autre, pas le temps de le finalisé)

-          Dégradations des structures, stocks plus que limite, des moyens qui ne sont pas du tout à la hauteur et quand il s’agit de débloqué les fonds chacun se renvoi la balle, en attendant les problèmes restent !

En aucune façon la direction ne tient compte des revendications des salariés et ce n’est pas faute de l’avoir rappelé fortement lors de cette réunion, elle n’écoute rien, toujours dans cette logique leur OBJECTIF et être COMPETITIF !!    

   Mais à quel PRIX.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

HONTEUX

 

Un patron UNILEVER Monde qui gagne 396 000,00€/mois, il faut entretenir son pouvoir d'achat à ce Monsieur POLMAN Paul.

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AUCHAN Noyon

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Droit d'alerte

new_029-copie-1.gifVous pouvez prendre connaissance du courrier que la direction vient de faire parvenir à Frédéric BRIESMALIEN le secrétaire du CCE par email et par courrier recomandé.

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Les deux courriers du secrétaire du CCE à la direction, avec notamment la demande d'un CCE extraordinaire

Courrier du 8 février 2011

Courrier du 9 mars 2011

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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