SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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SOURCE : RT en français

Le quotidien Libération révèle ce 28 juin que le cabinet d'Emmanuel Macron à Bercy, lorsqu'il était ministre de François Hollande, aurait bel et bien participé à l'organisation d'une soirée à Las Vegas par le groupe de communication Havas. Ces révélations interviennent alors qu'une enquête est en cours pour violation présumée des règles de mise en concurrence. 

Le quotidien soutient également que le ministre du Travail Muriel Penicaud, à l'époque directrice générale de Business France, a «validé» certaines dépenses relatives à l'organisation de cette soirée, un «contournement des règles» de l'agence publique, chargée de faire la promotion de la France auprès des investisseurs étrangers et qu'elle dirigeait.

Des éléments d'un audit, réalisé par le cabinet d'audit EY (ex-Ernst & Young) et que Libération s'est procuré, ne laissent aucun doute sur l’implication du cabinet du ministre de l’Economie de l'époque, estime le quotidien. «Nous comprenons que la définition exacte des besoins a pu être en partie déterminée par des personnes extérieures à Business France, en particulier le cabinet du ministre de l’Economie», pointe notamment le rapport, cité par Libération.

Une affaire embarrassante pour Muriel Pénicaud, ministre du Travail

Lorsque l'affaire a éclaté, Emmanuel Macron a écarté la responsabilité de son entourage, affirmant que son «ministère a[vait] toujours respecté les règles des appels d'offres et des marchés publics». Le successeur de Emmanuel Macron au ministère de l’Économie, Michel Sapin, avait lui-même dédouané son ancien collègue, affirmant que la saisine de l'Inspection générale des finances (IGF) dans cette affaire «ne concern[ait] en aucun cas Emmanuel Macron».

Cette affaire est embarrassante pour le ministre du Travail qui doit présenter ce 28 juin en conseil des ministres le projet de loi d'habilitation à réformer le droit du travail par ordonnances. Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a dit ne pas être inquiet des conséquences de cette affaire pour Muriel Pénicaud.

Le ministre s'est également défendu, expliquant le 25 juin ne pas avoir envisagé de démissionner. «[Cela] n'aurait pas eu de sens, puisque c'est moi qui ait alerté [...] et demandé un audit indépendant, ce que l'Inspection générale des finances a confirmé par la suite», a-t-elle fait valoir.

Lors de cette soirée, qui s'était tenue le 6 janvier 2016 à Las Vegas, Emmanuel Macron avait rencontré des dirigeants de start-up françaises. Selon Le Canard enchaîné, le coût de l'opération aurait été de 381 759 euros, dont 100 000 euros pour les seuls frais d'hôtel. 

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Entre 2010 et 2014, le syndicaliste CGT, Olivier Leberquier a mené la fronde contre Unilever lors du combat des « Fralib ». Il est désormais directeur général délégué de Scop-Ti, la société coopérative née de cette lutte.

Le Normand Olivier Leberquier s’efforce, depuis toujours, de « faire passer le collectif avant l’individuel ».

Le Normand Olivier Leberquier s’efforce, depuis toujours, de « faire passer le collectif avant l’individuel ». / Benjamin Béchet pour La Croix.

Son bureau ne se trouve pas, comme celui de l’ancienne direction, dans un bâtiment distinct de l’usine. Le sien domine l’atelier. On y entend les cliquetis et les ronronnements discrets des cinq lignes de production des thés et tisanes de la Scop-Ti. La Société coopérative ouvrière provençale de thés et infusions a vu le jour fin mai 2014, à Gémenos près de Marseille.

Après 1336 jours de lutte acharnée contre Unilever, l’ancien propriétaire, 76 salariés ont repris leur outil de travail, dans les locaux mêmes de l’usine Fralib, où la marque produisait les thés éléphant. À la tête du combat : Olivier Leberquier.

Ce Normand de 53 ans a les yeux gris clair et l’âme engagée. Sous des néons blancs et un portrait de Che Guevara, il détaille le parcours qui l’a mené à coiffer la casquette de directeur général délégué de la Scop-Ti.

En 1981, il entre chez Unilever, au Havre

« Mon rêve de gosse, c’était d’être soudeur, comme mon père », se souvient celui qui a grandi à Harfleur, près du Havre. Aucun lycée pro près de chez lui ne propose la formation. « Il fallait partir ailleurs, on n’en avait pas les moyens. » L’ado décroche finalement un BEP de mécanicien monteur, un CAP de tourneur et fait ses premières armes, à 17 ans, au sein de la raffinerie de Normandie. En 1981, il entre chez Unilever, au Havre.

A lire : Les anciens de Fralib prennent un nouveau départ

« Mon père m’a dit : “Dès que tu bosses, tu te syndiques” », se rappelle ce grand gaillard dans son tee-shirt rouge, estampillé « 1336 », marque désormais de certains produits de la Scop. Comme son père, militant communiste, il choisit la CGT. L’été, les cinq enfants de la fratrie font des colos en Allemagne de l’Est.

Olivier Leberquier rit : « Quand je rentrais, je faisais des exposés sur la RDA, au collège ! Ça ne plaisait pas toujours. Des fois, ça fritait ! » Mais ferrailler ne l’impressionne pas.

Adapter « la belle utopie des codes coopératifs aux codes capitalistes »

Chez Unilever au Havre, devenu représentant syndical, il négocie dès la fin des années 1990, les plans sociaux décidés par le géant de l’agroalimentaire. Dans son bureau qui surplombe l’atelier de production le voilà, vingt-cinq ans plus tard, qui parle équilibre financier, fonds de roulement, négociations du prix du loyer (la métropole Aix-Marseille-Provence est désormais propriétaire du foncier). Comme un patron ?« Ah, non ! »,rétorque le directeur général délégué. « Moi, je n’exploite pas la force de travail d’un autre travailleur pour en tirer profit ! Je ne nourris aucun actionnaire. »

Relire : Les Fralib obtiennent 20 millions d'euros pour leur coopérative

Mais il en convient, il lui faut adapter « la belle utopie des codes coopératifs aux codes capitalistes ». Le cégétiste se fait dirigeant d’entreprise. Pas tout seul, précise-t-il. Ici toutes les décisions, celles du comité de pilotage de trois personnes – dont lui – ou du conseil d’administration sont validées par l’assemblée des 58 coopérateurs actuels (41 sont les salariés du site). Seule entité souveraine.

« Faire passer le collectif avant l’individuel »

Et cela lui plaît, à Olivier Leberquier. Le Normand s’efforce, depuis toujours, de « faire passer le collectif avant l’individuel. » Il voit dans l’âpre lutte contre Unilever, « un moyen, à (s)on échelle, d’œuvrer à un changement de société. » De 6 à 35 ans, il a joué au football, à Harfleur. Milieu de terrain puis défenseur central.

Il est doué, des clubs plus cotés le sollicitent. Il refuse. « Partir aurait été trahir. » À 35 ans, le salarié d’Unilever doit pourtant laisser sa Normandie natale derrière lui. L’usine du Havre diminue ses effectifs. Olivier choisit le reclassement interne : « J’ai suivi mon emploi par obligation. » Direction : Marseille. Il y débarque, en 1998, avec sa femme et ses deux enfants. « On a roulé de nuit ; j’ai dû pleurer jusqu’à Paris. »

Malgré un mal du pays tenace, la greffe finit par prendre. La famille bénéficie d’un agrément « famille d’accueil » et héberge des enfants en difficulté. « Nous avons vécu des heureux événements ici », sourit le quinquagénaire.

L’arrivée de ce petit garçon de 11 mois, élevé et aimé comme un fils quinze ans durant, membre à part entière du foyer aujourd’hui. Ou l’accueil de ces nourrissons, en attente d’adoption. « Quatre, l’un après l’autre, en deux ans et demi. C’était pile pendant la lutte contre Unilever », glisse Olivier. Il évoque le déchirement des séparations et la douceur des retrouvailles, pour un repas, un anniversaire. Avec une émotion manifeste et une légitime fierté.

Un équilibre précaire

La même qui perce dans sa voix pour parler de l’aventure Scop-Ti. « Cette victoire, on ne pourra jamais nous la retirer ! » L’équilibre est encore précaire. Le directeur général, toujours encarté à la CGT, émarge à 2000€ mensuels et déploie son énergie à pérenniser la production.

Après avoir signé de précieux contrats avec les « marques distributeurs » de Système U, Leclerc, Intermarché ou Carrefour, Olivier Leberquier et les coopérateurs ambitionnent d’inscrire durablement la Scop dans une relance de la filière des plantes aromatiques et médicinales du Sud-Est.

Ses yeux gris et rieurs y croient : « Je veux le vivre, ce moment, où on aura des bénéfices. Alors, on se mettra tous autour d’une table et on se demandera : “Bon alors, on en fait quoi ?” » Forcément, il rêve d’une réponse collective.

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Son inspiration. La famille et le sport

« Ce qui m’a construit, ce sont deux choses : ma famille et le sport. Mes parents auraient donné leur chemise pour aider. J’ai été élevé dans cette générosité, cette solidarité. Nous étions sept autour de la table, mes parents, mon frère, mes sœurs et moi. Mais si quatre copains passaient, on faisait en sorte qu’il y en ait pour onze. J’aime vraiment cette image, parce
que je l’ai vécue, gamin.

Le sport aussi m’a permis de devenir qui je suis. à l’époque, à Harfleur, le président du club de foot tenait tout à bout de bras, sans jamais rien lâcher. Cela m’a beaucoup marqué. »

 

Coralie Bonnefoy

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Le géant américain Kraft Heinz, sous la houlette du fonds 3G et du milliardaire Warren Buffett, est à la recherche d’une cible après l’échec de son rachat d’Unilever. - Nam Y. Huh/AP/SIPA
 

Tous les groupes du secteur, de Danone à Mondelez, craignent d’être la cible de la prochaine OPA de Kraft Heinz.

L'arrivée de l'activiste Daniel Loeb au capital de Nestlé est symptomatique des menaces qui planent sur les géants de l'agroalimentaire. Il leur faut faire face à l'appétit de l'ogre Kraft Heinz tout en repoussant les attaques d'investisseurs activistes de plus en plus audacieux. Sous la houlette du fonds 3G et du milliardaire Warren Buffett, le géant américain Kraft Heinz est en effet en quête d'une nouvelle proie. Son modèle de rentabilité, basé sur une réduction féroce de la base de coût d'une entreprise, lui impose de réaliser régulièrement des opérations de croissance externe. Le tout afin de disposer de synergies sur lesquelles travailler.

Après l'échec de son OPA à 143 milliards de dollars sur Unilever, tous les géants du secteur, de Kellogg's à Campbell's en passant par Danone ou Mondelez, sont susceptibles d'être visés. Les marchés sont nerveux. La semaine dernière, Exane BNP Paribas avait fait nettement bondir Danone en Bourse en jugeant plus probable la perspective d'un rachat depuis l'élection d'Emmanuel Macron. La capacité du fonds brésilien 3G à réduire les coûts a aussi eu « un impact révolutionnaire sur tous les autres acteurs du secteur », avait reconnu, dès 2015, l'ancien président de Nestlé, Peter Brabeck-Letmathe. Elle a démontré aux investisseurs que d'autres niveaux de rentabilité étaient possibles. « Alors que les géants de l'agroalimentaire ont perdu de leur capacité à générer de la croissance [...], le "modèle 3G" a inspiré à Unilever et Danone de nouveaux objectifs à l'horizon 2020 », soulignent les analystes de Citi dans une note de recherche.

Nervosité des marchés

Fin mai, le géant français s'est ainsi fixé pour la première fois un objectif de marge opérationnelle courante : 16 % en 2020, contre 13,6 % en 2016. Pour échapper à Kraft Heinz, Unilever a dû annoncer en février un objectif de 20 % en 2020, contre 15,3 % actuellement.

Dans le même temps, les géants des biens de consommation sont de plus en plus devenus des cibles pour les investisseurs activistes. En 2015, le « hedge fund » de Bill Ackman a investi 5,6 milliards de dollars dans Mondelez. En février, le fonds Trian de Nelson Peltz a dévoilé un investissement de 3,3 milliards de dollars dans Procter & Gamble. Sentant l'odeur du sang, les uns et les autres tentent de trouver la bonne cible, avant que Kraft Heinz ne se jette sur sa proie. A défaut, ils jugent ces géants de l'agroalimentaire suffisamment « gras » pour générer beaucoup plus de profits qu'ils ne le font actuellement.

Emmanuel Grasland, Les Echos

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http://img.aws.la-croix.com/2015/11/04/1376492/dessin-reforme-travail_1_730_400.jpg

Le gouvernement a engagé des rencontres avec les organisations syndicales et patronales sur la réforme du droit du travail. Chaque organisation est reçue individuellement, en tout et pour tout six fois une heure, pour 120 ans d’histoire sociale ! La CGT a décidé de participer à ces réunions avec un double objectif :
-  avoir une législation du travail renforçant les droits de l’ensemble du monde du travail (salariés et non-salariés) ;
-  dénoncer l’idée selon laquelle les droits collectifs seraient responsables du chômage.
Sur la base d’un document de 15 pages, la CGT a mis sur la table des propositions allant dans ce sens. Personne ne peut donc évoquer la désertion et le refus de discuter de la CGT dans ce processus.
Où en est-on à ce jour ?
D’un côté, les syndicats sont reçus sans que le ministère ne dévoile précisément ses intentions. De l’autre, il faut lire la presse pour découvrir les principales mesures du futur projet de loi.
On y apprend, par exemple, qu’un CDI de « projet », dans la droite ligne du CPE (Contrat Première Embauche) rejeté par la rue en 2006, serait créé pour allonger dans le temps la précarité et pour supprimer toutes contraintes financières pour les employeurs. Ce n’est ni plus ni moins qu’une vieille revendication du Medef.
On y apprend également qu’il serait laissé la possibilité de licencier des salariés qui refuseraient d’adapter leur contrat de travail à un accord d’entreprise, même minoritaire. Dès lors, un salarié refusant une baisse de son salaire prévu dans un accord serait licencié sans possibilité de recours.
Et la liste est longue…
Alors que 70% de l’opinion publique et une majorité de syndicats ont rejeté la loi dite El Khomri, ce gouvernement veut écrire une loi pire que la précédente !
La CGT refuse de servir d’alibi ou de faire-valoir dans le cadre d’un dialogue social pipé d’avance.
Nous refusons d’ores et déjà d’entendre dire fin septembre que les ordonnances, présentées par le gouvernement, auraient été co-élaborées avec les syndicats. C’est pourquoi notre organisation a lancé une campagne d’information, de débat mais aussi de mobilisation dans les services, les entreprises et les territoires, dans le public comme dans le privé. Ces initiatives se prolongeront tout l’été car il n’est pas question d’accepter ce marché de dupes.
La CGT considère que la mobilisation doit s’amplifier, s’ancrer sur tous les lieux de travail, dans un cadre unitaire le plus large possible. La rentrée de septembre doit être la traduction des résistances, du mécontentement et d’une volonté de changement en matière économique et sociale.
C’est pourquoi elle propose de faire du 12 septembre, une journée d’action et de grève dans toutes les entreprises et services.

Montreuil

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http://www.binaryoptionsreporter.com/wp-content/uploads/2015/06/questions-before-trading-binary-options.jpg

Voici les questions de la CGT :

Questions CE :

Effectif, point sur les embauches

Résultats usine, OEE, volume, coûts

Part de marché oral/shampoing

Montant du CICE

Répartition des volumes produits (ORAL/SHAMPOING) par pays et en pourcentage

Point sur les jours fériés (maintien des primes d’équipes et des majorations), quelle est la position de la direction sur l’intervention de la CGT lors du dernier CE ? Nous demandons une prime exceptionnelle de 2500€/salarié pour le non-respect de la convention collective et suite aux nombreuses années qui n’ont pas été appliquées ? Quand se fera la régularisation ?

Nous demandons la réduction des cadences des lignes dentaire haute-cadence. Les salarié-e-s se plaignent de douleurs atroces (énormément de tendinites !!!!) La situation devient intolérable, il est vital de revoir l’organisation de ces lignes ?

Nous proposons que le « CE » Unilever France HPC I le meux adhère à l’Association FRALIBERTHE et par la même occasion faire découvrir aux salariés les différents produits de la SCOP-TI ?

Point sur la ligne 16 concernant le problème technique de la krones et impact sur les volumes ?

 

Questions DP :

1 -  Le sol des lignes de conditionnement vont être nettoyé une fois tous les 15 jours, comment la direction peut-elle faire abstraction de l’hygiène des sols et imposer aux salariés une tenue irréprochable. Nous ne comprenons pas ce choix. Une fois de plus la profitabilité prime sur l’hygiène de l’usine. Ce choix n’est pas du tout en phase avec les directives du groupe. Nous voulons une explication.

2 -  Nous voulons voir la Déclaration/Rapport de la CNIL concernant les logiciels sur les chariots élévateurs et quelle est la règle selon la CNIL ?                                                                                             

3 -  Le deuxième samedi obligatoire qui a été travaillé en début d’année 2017 n’est toujours pas créditer sur les compteurs. Les salariés se posent la question, entre la rapidité du décompte lors des jours de grève et au minimum 6 mois d’attente pour se voir créditer un samedi qui a été travaillé !

4 -  Y a-t-il un projet de supprimer le vigile de nuit ?

5 -  Les week-ends du 12-13 et 19-20 août sont-ils fermés ?

Si oui :
- quand les personnes concernées seront mis au courant de l’équipe dans laquelle ils travailleront ?
- quels sont les jours travaillés ?
- comment seront rémunérés les salaries contrat Vsd et non Vsd ? (pont société, jour férié)

6 - Suite à un accident de travail, trouvez-vous normal que le salarié intérimaire concerné soit en fin de mission ?

7 - Est-il possible de remettre les tablettes papier des chariots magasin habillage sur le devant du chariot et non sous le bras de commande ? (ergonomie , rapidité de remplissage )

8 - Etat des lieux sur les vêtements de travail , pas adapté à la saison d’été , propreté...)
  quand les commandes de vêtements seront elles validées ?

9 - Combien va couter le remplacement de la photo de Mr Gourio sur le piquet dehors (période d’économie)

10 - Quel est le coût du chapiteau à côté du frac shampoing qui est en place et vide depuis 2 mois ?

11 - Point sur les entretiens individuel, y a-t-il encore du sens à les faire en juillet ?

12 - Est-il prévu de remplacer numériquement le poste en moins à la qualité ?

13 - Va t il y avoir des référents au process dentaire ?

14 - Quand aura lieu la mise en place des référents week-end ?

15 – Le système de climatisation dans les ateliers est à revoir, surtout dans la zone de laverie, c’est intenable lors des fortes chaleurs

Ci-dessous l'ordre du jour CE/DP

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http://chimulus.blogs.nouvelobs.com/media/02/02/269394744.jpg

Le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (personnes sans emploi tenues d’accomplir des actes positifs de recherche d’emploi) passe de 3 471 800 à 3 494 100 inscrits à Pôle Emploi (soit +0.6% sur 1 mois, + 0.9% sur 3 mois) alors que le nombre des demandeurs en catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite) augmente de 3 500 personnes pour atteindre les 2 066 700 (soit + 0.2 % sur 1 mois, + 0.8 % sur 3 mois et surtout + 8 % sur 1 an). Non seulement le chômage ne baisse pas mais les catégories de travailleurs précaires ne cessent d’augmenter.

Les demandeurs d’emploi inscrits en catégorie D sont en baisse de 12.6 % depuis le mois de janvier en raison de la fin progressive de l’effet du plan « 500 000 formations ». Les doutes concernant l’utilité de ce plan se confirment de plus en plus, sachant que seuls 56 % des demandeurs d’emploi qui ont suivi une formation accèdent à un emploi et que, parmi ceux-ci, 29 % uniquement trouvent un emploi de plus de 6 mois.
La qualité de ces formations est largement contestée par les privés d’emploi CGT qui déposent un recours auprès de Pôle Emploi ce mardi 27 en appelant au rassemblement devant la Direction Générale de Pôle Emploi, avant de rejoindre un rassemblement aux Invalides.

L’emploi intérimaire augmente de 16,1% sur 1 an. Il s’agit là aussi d’une forme de précarité qui se développe sans limites dans les secteurs de l’Industrie en particulier où se concentrent 42,5% des emplois.

L’échec des politiques d’austérité sous la Droite puis pendant le quinquennat de Hollande, l’insupportable montée des contrats courts devraient faire réfléchir Macron et son gouvernement : les mêmes recettes sévères donneront les mêmes résultats !

La CGT réclame une véritable politique de relance et le renforcement du code du travail, plutôt que sa destruction, pour lutter contre l’accroissement de la précarité.

Montreuil, le 26 juin 2017

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photo d'illustration (source: Le Figaro)

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DOUCHE FROIDE POUR LES SALARIÉS DE VEOLIA EAU FRANCE

Le groupe de services à l'environnement compte supprimer près de 600 emplois d’ici 2020.

Sombres perspectives pour les salariés de Veolia Eau France : 572 emplois seront supprimés d’ici à 2020, via un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE). Ce n’est pas tout, puisqu’un millier de postes seront soumis à des mobilités géographiques. Ces mesures ont été présentées à l’occasion du comité social d’entreprise du 20 juin, alors que la direction présentait le volet organisationnel et social du plan de relance de l’activité eau en France.

“Tout le monde a été surpris par cette annonce. La direction avait annoncé une réorganisation fin mai, mais on ne s’attendait pas à ce que ça saigne à ce point-là”, s’indigne Jean-Luc Touly, représentant FO de Veolia Eau Ile de France, qui rappelle que Veolia Eau France a déjà supprimé dans les 1.500 postes ces 3 dernières années via des plans de départ volontaires. Mesure la plus spectaculaire, le nombre de centres de Service client, actuellement au nombre de dix, sera ramené à trois, situés à Liévin, Vaulx-en-Velin et Montpellier. Les centres de Rennes, Toulouse, Cergy, Saint-Denis et Metz seront fermés en octobre 2018. Ceux de Nantes, Rouen et Nice, un an plus tard.

La direction de Veolia Eau avance toujours les mêmes arguments pour justifier ses coupes dans les effectifs : son activité est pénalisée par la récupération de la distribution d’eau par des régies municipales, les renégociations à la baisse des tarifs de l’eau par les collectivités locales et la loi Brottes, votée en 2013, qui interdit les coupures d’eau et augmenterait les taux d’impayés. “Cela ne tient pas, reprend Jean-Luc Touly, Veolia tient quand même plus de 50% de la distribution privée d’eau en France et le chiffre d’affaires est stable aux environs de 2,9 milliards d’euros. Quant à la loi Brottes, ils en rajoutent, elle ne met pas du tout en péril une entreprise comme Veolia."

En tous cas la réaction du personnel pourrait être houleuse, car l’ampleur des coupes annoncées vers 17h30 mardi 20 a fait l’effet d’une bombe, y compris dans le management. Antoine Frérot, le P-DG de Veolia, avait-il prévenu l’Elysée de ce projet ? Il avait en tout cas été l’un des grands patrons les plus virulents dans l’entre deux tours de la présidentielle, appelant à voter Macron pour stopper la menace Le Pen. Et voilà qu’il offre à son champion l’une de ses premières vagues de licenciements. L’occasion aussi de voir ce que le nouveau gouvernement a dans le ventre côté social.

SOURCE :

Veolia va supprimer près de 600 postes en trois ans

La direction du groupe de gestion de l’eau et des déchets présentait mardi le volet organisationnel et social de son plan de relance de l’activité eau en France.

La direction de Veolia a annoncé mardi 20 juin que 572 postes seront supprimés d’ici à 2020 dans sa branche eau en France, une activité pénalisée depuis plusieurs années par la baisse de ses marges du fait d’une forte concurrence et de la faible inflation, selon la direction.

Selon le directeur général de Veolia eau, Frédéric Van Heems, ces postes, « identifiés comme étant en sureffectif », vont être soumis à un plan de sauvegarde de l’emploi. Les suppressions de poste passeront par des mesures d’âge et un plan de départs volontaires, avec un accompagnement des salariés concernés, a-t-il précisé à l’issue d’un comité central d’entreprise, sans exclure des départs contraints si les objectifs n’étaient pas atteints.

La direction présentait mardi le volet organisationnel et social de son plan de relance de l’activité eau en France, qui vise à doubler sa rentabilité opérationnelle et à atteindre un chiffre d’affaires d’au moins 3 milliards d’euros en 2020, contre 2,9 milliards d’euros en 2016.

Ce plan comporte une réorganisation des équipes de Veolia dans les fonctions hors exploitation. 281 postes seront supprimés à ce niveau.

La CGT opposée aux suppressions de poste

Par ailleurs 987 postes devront évoluer au travers de mobilités géographiques et fonctionnelles, selon une source syndicale, notant qu’il s’agit du « quatrième plan social en trois ans » dans cette branche du groupe.

« Nous n’acceptons pas ces suppressions d’emploi, surtout par licenciement sec », a affirmé Franck Le Roux, représentant de la CGT, en évoquant « des départs volontaires pour commencer et des départs contraints » ensuite faute de volontaires en nombre suffisant.

La CGT, première force syndicale, souligne aussi avoir demandé « depuis longtemps la mise en place de la gestion prévisionnelle des emplois », compte tenu de « l’arrivée des nouvelles technologies dans nos métiers ».

Ces nouvelles suppressions de poste interviennent alors que le précédent plan de départs, annoncé fin juin 2016, n’est pas encore totalement bouclé puisque les candidats à une mobilité interne ou un départ de l’entreprise peuvent encore déposer leur dossier jusqu’au 30 juin.

SOURCE :

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Vous avez dit souveraineté nationale ?

Vous avez dit intérêt général ?

Vous avez dit démocratie ?

SOURCE : Le Parisien

 

Nous dévoilons dans l'édition du Parisien/Aujourd'hui en France de ce lundi 5 juin l’avant-projet de loi devant permettre au gouvernement de prendre par ordonnances des mesures pour l’emploi. Ce document confidentiel, préparé à l’abri des regards, comporte huit réformes d’envergure qui s’insèrent dans «un mouvement  d’ensemble de fléxi-sécurité».

Voir le document : 

http://www.leparisien.fr/politique/exclusif-le-plan-de-macron-pour-reformer-le-travail-04-06-2017-7017384.php

C’est un test. Le premier du quinquennat qui intronisera Emmanuel Macron comme réformateur européen... ou pas. Bruxelles regarde de très près ce pays - la France - «impossible à réformer». Dans ses «recommandations pays par pays», publiées le 22 mai, la Commission européenne a confirmé qu’elle attendait avec impatience la future réforme du Code du travail.

PAR FSC

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Amazon s’attaque à la CGT !

Une fois de plus, informe la CGT Commerce et services, la société Amazon s’attaque à la CGT en licenciant une de nos camarades, représentante syndicale élue au CHSCT du site Amazon Sevrey (71), sous couvert d’accusations fausses et mensongères. Ce licenciement, continue la Fédération, a été orchestrée avec la complicité d’un cadre. "Une fois de plus, Amazon nous montre son aversion pour les syndicats, et particulièrement la CGT", ajoute la fédération Commerce. Cette discrimination et cette répression syndicales sont inadmissibles !

Un rassemblement en soutien à Sandrine aura lieu le 28 juin, premier jour des soldes, à partir de 10 heures, devant le site Amazon de Sevrey (Zac du parc d’activité du Val de Bourgogne - distripôle Chalon - 71100 Sevrey).
 

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La maison de retraite, les Pensées Argenteuil (95)
Après 30 jours d’une grève acharnée, la direction entend enfin la voix de la raison et accepte de répondre favorablement aux revendications du personnel !
Ils ont gagné entre autre :
- La remise à plat de leurs conditions de travail,
- L’embauche d’un poste de lingère d’une ASH JOUR et d’une ASH nuit,
- Une prime de 200 euros net par salarié,
- Un accord d’intéressement avec une enveloppe de 30 000 €,
- Formation d’aide-soignante,
- Pour les personnels de l’accueil de jour qui ont fait du commercial une prime de 400 € et remboursement de frais kilométriques,
- Pour les infirmières : prise en compte de la surcharge de travail et la pénibilité,
- Salle de pause réaménagée,
- Un réel respect de la dignité du personnel,
- Résolution de tous les problèmes individuels, etc…

C’est une grande victoire pour les salariés, qui viennent de créer le syndicat CGT « les pensées » !

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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