SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

la provence logoLe préfet a demandé à la direction et aux syndicalistes de se rencontrer de nouveau pour maintenir l'emploi

Les Fralib étaient nombreux, hier devant la Préfecture, où était organisée une table ronde.

Les Fralib étaient nombreux, hier devant la Préfecture, où était organisée une table ronde.

Photo Patrick NOSETTO

Une lueur d'espoir. C'est ce qui semblait se dégager hier à l'issue de la table ronde organisée en Préfecture sous l'égide d'Hugues Parant, réunissant les représentants du personnel de Fralib, Gérard Cazorla, secrétaire du CE CGT, Olivier Leberquier, délégué syndical CGT, Gérard Affagard, délégué syndical CGC, mais aussi le directeur de l'usine, Angel Llovera, le directeur des ressources humaines d'Unilever France, Frédéric Faure, le directeur logistique d'Unilever France, Hervé Laureau, ainsi que le vice-président de la branche européenne d'activités thé et infusion d'Unilever, Hans Synhaeve, le député Bernard Deflesselles, Marie-Arlette Carlotti, représentant le Conseil général, Michèle Trégan, la Région, Roland Giberti, maire de Gémenos et Jean-Pierre Bouilhol, directeur départemental du Travail.

"Je pense que les arguments d'Unilever n'ont convaincu personne autour de la table", indiquait Gérard Cazorla à la sortie de plus de deux heures de discussions. Le préfet Hugues Parant, qui a tenu à communiquer après cette rencontre, estimait, lui, que les explications présentées par la multinationale, demandaient des "approfondissements". Le représentant de l'État a ainsi entendu que le site n'était pas suffisamment productif, "et encore cela reste à voir", soulignait-il, mais aussi la liste des choix pris par le groupe, concernant cette usine "alors que le site belge bénéficiait d'investissements", et enfin le fait que la crise a accéléré le phénomène "mais il y a peut- être eu des emboîtements entre la crise et les choix réalisés." Pour le préfet Parant, il faut donc aujourd'hui savoir "pourquoi ces choix ont été faits, et quelle est leur part dans la situation actuelle de l'entreprise."

Dans cette optique, le préfet a proposé à la direction du groupe, ainsi qu'aux représentants des salariés, d'initier une série de rencontres, sous l'égide de Jean-Pierre Bouilhol, avant que le rapport d'expertise demandé par le Comité d'entreprise ne soit rendu, début décembre, pour explorer une nouvelle fois toutes les pistes. "J'ai posé plusieurs questions; quelle est la solution pour maintenir un maximum d'emplois, et si possible 182 à Gémenos, soit en changeant l'organisation des productions, soit en réinvestissant, soit en permettant qu'un grand groupe comme Unilever puisseapporter des productions de substitution, ou enfin, explorer les manières de maintenir les salariés à Gémenos, sans que l'activité ne porte forcément le nom d'Unilever", résumait hier soir Hugues Parant.

Aux yeux du préfet, il s'agit, pour chaque partie, d'envisager une solution à laquelle elle n'aurait pas forcément pensé jusque-là, et y compris pour les salariés de se demander "quel effort à faire sur eux-mêmes pour que l'activité puisse continuer, pas forcément dans la même entreprise."

Ces derniers, ont quant à eux demandé, au cours de cette table ronde, de nouveaux investissements d'Unilever à Gémenos, sous forme par exemple de machines permettant de nouvelles productions, telles que les sachets pyramides.

Pour Unilever, si les pistes déjà explorées, se sont toutes avérées non crédibles "peut-être ces discussions en feront jaillir de nouvelles."

Une lueur d'espoir, donc, même si les syndicalistes indiquent demeurer "prudents". Lundi, chaque partie devrait annoncer si elle consent à engager ce nouveau cycle de réflexion.

Marie-Cécile BÉRENGER (mcberenger@laprovence-presse.fr)

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Publié dans : #FRALIB
Info FRALIBLe préfet a organisé hier une table ronde pour aborder l'avenir de Fralib

Direction d'Unilever et salariés de Fralib ont répondu à l'invitation du préfet pour trouver une solution à la situation de Fralib. Les 182 salariés de l'usine de Gémenos luttent pour leurs emplois, menacés par une fermeture pour défaut de compétitivité pour le premier semestre 2011.

Les salariés pour leur part, parlent d'une délocalisation déguisée. Hier, direction et salariés sont parvenus à un accord pour lancer des études sur la question.

Par Ghislaine MILLIET

France 3 - Provence Alpes

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Publié dans : #AVENIR RETRAITES

 

 

Les paroles

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Publié dans : #FRALIB

Info FRALIBFermeture de l'usine Fralib (Unilever) : le préfet demande une médiation

Le 26/11/2010 à 20:00

Le préfet des Bouches-du-Rhône, Hugues Parant, a demandé vendredi une médiation dans le cadre du conflit qui oppose le groupe Unilever aux salariés de son usine Fralib à Gémenos (Bouches-du-Rhône), dont la fermeture a été annoncée en septembre, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Les raisons de cette fermeture exigent au minimum des éclaircissements. Je reste encore convaincu que ceux apportés sont insuffisants", a déclaré M. Parant à l'issue d'une table-ronde qui a réuni en préfecture des représentants du groupe et des salariés, ainsi que des élus.
Cette médiation se fera sous la houlette de la Direccte (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi). Deux représentants des salariés et deux du groupe doivent y participer. Un rapport sera remis avant le 13 décembre, date de la remise d'un autre rapport, celui de l'expert mandaté par le CE dans le cadre de la procédure de fermeture de l'usine. Au-delà, la préfecture précise qu'elle ne pourra plus intervenir.
"Dans ce laps de temps, il faut aller le plus loin possible dans l'exploration des moyens qui permettraient de maintenir sur le site ses 182 salariés et l'outil industriel", a ajouté M. Parant, alors que le groupe présente la fermeture de l'usine comme inéluctable, faute de compétitivité.
Au sortir de la table-ronde, le président de Fralib, Angel Llovera, a estimé que le préfet était "extrêmement exigeant". "Je n'ai pas d'autre scénario dans la poche", a-t-il souligné, en rappelant les engagements du groupe à reclasser l'ensemble du personnel et à recréer 182 emplois.

Pour Olivier Leberquier, délégué du personnel CGT, "pouvoirs publics et élus ont pu mesurer que c'est scandaleux de fermer et qu'Unilever doit faire autrement". "Ils ont acheté, cash, une partie du groupe américain Sara Lee pour 1,2 milliard d'euros, et à Gémenos on vient nous dire qu'on a des problèmes de coût et qu'il faut restructurer", a-t-il dénoncé.
L'usine de Gémenos est le seul site en France à fabriquer les thés Lipton et infusions Elephant.

AFP (agence France Presse

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Réunions de CCE

Aujourd'ui avait lieu à Paris la réunion extraordinaire  du CCE sur une procédure de droit d'alerte économique  en présence de Mr CARNET Olivier, Pdg et président du CCE, Mr DEVILLERS Olivier DRH et une responsable marketing au niveau Europe.

Un courrier par LRAR avait été envoyé à la direction avec une liste de questions, auxquelles la direction se devait de répondre très précisément dans un document écrit. Ce document qui à été envoyé aux élus vers le 16 novembre. De nombreux échanges, parfois assez vif mais constructifs ont eu lieu entre la direction et les élus.

Ensuite après une suspension de séance de prés d'une heure, dans laquelle les élus ont longuement débattu sur le document de la direction, ils sont passés au vote comme c'est le cas dans ce genre de procédure.

Les élus devaient se prononcer sur résolution confirmant oui ou non la poursuite du droit d’alerte.

Nous vous en dirons plus dans les prochains jours, car demain il y a un CE sur le site de Le Meux. Des salariés, qui sont autant inquiet que les élus de la Cgt, surtout depuis la fermeture injustifiée du R&D de Le Meux et du licenciement de nos collègues comme un paquet de kleenex, souhaite savoir si cette fois-ci le droite d'alerte avait été validé. Pour la réponse, il suffit de regarder l'image ci-dessous, car le président était vraiment très colère, nous vous en dirons plus la prochaine fois et vous comprendrez pourquoi.

A bientôt

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Réunions de CE et DP

new_029-copie-1.gifPour prendre connaissance de l'ordre du jour de la réunion des membres du Comité d'Etablissement de Le Meux, il vous suffit de cliquer sur l'image ci-dessous.

Pour rappel, jeudi 25 novembre, se tiendra le Comité Central d'Entreprise extraordinaire sur le Droit d'Alerte Economique  (l'ordre du jour est ICI pour le CCE) lancé le 9 octobre 2010, qui sera éventuellement porté au vote et validé.

Nous vous tiendrons informé, la direction ayant fait parvenir aux élus un document qui se doit de répondre aux interrogations légitimes des élus.

A bientôt

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine

"A DIFFUSER LARGEMENT"

Aujourd'hui début et fin de la session parlementaire au SENAT pour passer de projet de Loi NOME. (Nouvelle Organisation des Marchés de l'Electricité)

Dans quelques jours ce ne sera plus un projet mais une véritable Loi déloyale avec une application au 1er  janvier 2011.  

Quand nos factures augmenteront, on ne pourra plus dire que l'on ne savait pas.

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APRÈS FRANCE TÉLÉECOM, LA POSTE, LA SNCF, ETC... EDF

   Pour les fameux compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés au prix très très fort (vers les 300 € ) , et qui, de surcroit, ne seraient pas fiables :il ne faudra rien signer. 
On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux compteurs, et de les changer :en revanche, comme nous n’avons rien demandé, nous n’avons aucune obligation de signer quelque document que ce soit, et, du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra
pas nous obliger à payer ces compteurs…. 
Attention aux signatures : aucune, même pour la réception de travaux etc. …   

LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE !
À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S’EST DEJA PRODUIT POUR LE GAZ. 
NE LAISSONS PAS FAIRE !

C'est la loi Nome, soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité, concoctée par le gouvernement. 
Le principe en est simple : constatant que la concurrence ne fonctionne pas plus de 96 % des Français restent fidèles à l’opérateur historique (EDF) e gouvernement a décidé de la créer… artificiellement. 
La loi étant passée dans une relative indifférence, à partir du 1er janvier 2011 , EDF aura obligation de revendre à ses concurrents jusqu’à 25 % de sa production d’électricité. 
Un véritable hold-up !

Les fournisseurs d‘électricité vont se voir offrir un quart de la production, que les Français ont déjà payé avec leur facture, pour qu’ils puissent réaliser des profits, au seul bénéfice de leurs actionnaires.

C’est une première que d’obliger une entreprise, dans le monde de la "concurrence libre et non faussée", à céder une partie de ses atouts à des concurrents qui produisent peu ou pas du tout d’électricité.

Si vous êtes scandalisé, diffusez au moins ce message ! 
Une fois livré à la concurrence et surtout au " privé " ce sera trop tard. Le prix de l'électricité sera fixé par des groupes privés qui en fait seront des filiales d'un seul et unique groupe !

Vous n'y croyez pas ? 
Alors remettez vous dans le contexte de nos chères autoroutes Françaises que nos parents et grands parents ont payées avec leur impôts et qui ont été vendues et bradées à de grands groupes privés ….. 
Cela profite à qui d'aprés-vous ? 
Et le prix à payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ? 
Mais c'est trop tard, car ce réseau routier n'appartient plus en totalité à l'état ! Et pour le reste ce sera pareil ! 
Aujourd'hui le service public coûte cher, mais ce n'est rien face à ce qui nous attend si nous le bradons à des groupes privés ! 
Si vous pouvez faire circuler sans modération autour de vous ce message et cette adresse du site, alors n'hésitez pas !...

Un clic sur les images du dessous aprés en avoir pris connaissance, pour vous rendre sur le site qu'à créer la CGT afin informer les usagers de ce scandale.

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Publié dans : #Appel Cgt et Communiqué usine
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Doug Baillie, Unilever

Unilever a reçu le feu vert de la Commission européenne pour son projet d’acquisition de la division produits de toilette et cosmétiques de Sara Lee Corporation, ainsi que de ses activités européennes dans le secteur des détergents. Unilever devrait clore la transaction en 2010.

Toutefois, en raison d’inquiétudes en matière de concurrence sur les déodorants dans un certain nombre de marchés, notamment la Belgique, les Pays-Bas, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande, l’Espagne et le Portugal, où la fusion supprimerait une puissante force concurrentielle, Unilever s’est engagé à se séparer de la marque Sanex et de ses activités connexes sur le marché Européen.

« Nous devions nous assurer que l’opération de concentration n’entraînerait pas de hausse des prix pour les consommateurs. Nous avons finalement pu l’autoriser parce qu’Unilever a proposé une mesure claire et convaincante pour remédier aux problèmes de concurrence que nous prévoyions sur certains marchés des déodorants, » a déclaré M. Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence.

La transaction finale comprendra donc les marques de produits de toilette Radox, Duschdas, Badedas, Neutral et Monsavon, ainsi que pour les soins pour bébés Zwitsal et Fissan, les soin bucaux-dentaires Prodent et Zendium, et les détergents Biotex.

« Nous sommes heureux d’avoir reçu le feu vert de la Commission européenne pour cette transaction et nous sommes impatients d’ajouter ces marques importantes à notre portefeuille. Les produits d’entretien ménagers et de soins de la personne sont des catégories clés pour la croissance et nous acquérons là un certain nombre de grandes marques qui comblent les lacunes de notre portefeuille, et améliorent son positionnement global en Europe, tout en nous offrant un important potentiel de développement dans d’autres régions, » a déclaré Doug Baillie, président Europe occidentale chez Unilever.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #AVENIR RETRAITES

"Cela va vous prendre 2mn pour lire et ensuite signer la pétition"

Depuis une semaine, l’appel initié par Politis connaît un incroyable engouement. Un événement qui ne peut rester sans lendemain.

Cela avait démarré tout doucement. Lorsque vers la mi-septembre nous avons pris l’initiative de lancer une pétition pour un référendum sur la question des retraites, nous étions tous tournés vers la rue. La liste des premiers signataires s’enrichissait bien de quelques noms de responsables politiques (Clémentine Autain, Patrick Braouezec, Cécile Duflot, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon, Arnaud Montebourg, Patrick Le Hyaric) et associatifs, mais la chose ne paraissait pas évidente.

Notre raisonnement, pourtant, visait à prolonger le mouvement social en posant non pas seulement le problème du contenu de la réforme de la retraite, mais la question de la démocratie. Nous rappelions notamment l’engagement du candidat Sarkozy à ne pas toucher à la retraite à 60 ans. Nous dénoncions l’absence de consultation véritable des organisations syndicales, et les entraves au débat parlementaire, qui n’allaient que s’aggraver par la suite. Il s’agissait, écrivions-nous dans l’appel, de « contraindre le président de la République à ouvrir un débat qu’il n’a cessé d’entraver ». Et de permettre une « réappropriation citoyenne » d’un débat qui, plus que tout autre, engage des choix de vie personnels. Le préalable étant ­évidemment d’interrompre le processus d’adoption de ce texte rejeté par l’immense majorité de nos ­concitoyens.

Aujourd’hui, la loi est votée. Mais la question démocratique demeure. Rouvrir le débat est-il impossible ? Même le pouvoir promet de le rouvrir, mais, comme par hasard, en 2013, c’est-à-dire après la présidentielle. Mais alors, pourquoi pas aujourd’hui ? C’est cette question à laquelle répondent les quelque 120 000 signataires recensés à présent. Nul ne peut plus ignorer l’appel initié par Politis. Depuis plusieurs jours, le compteur s’affole. Au point que le logiciel a implosé, ce qui nous a empêchés pendant 48 heures de recueillir les signatures… À présent, tout va bien. Mais ce succès nous fait obligation de donner une résonance supplémentaire à ce mouvement. Politis est prêt à prendre une nouvelle initiative. Nous consultons les responsables politiques, syndicaux et associatifs sur ce point. La suite, la semaine prochaine dans Politis et, bien avant cela, sur notre site.

Un clic sur l'image pour signer la pétition. Déjà prlus de 170 000 signataires.

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Publié dans : #Projet R&D

"La blagounette de la semaine, et franchement elle vaut son peson d'or"

Car tenez vous bien, nous allons peut-être pouvoir retirer l'avis de recherche que nous avons lancé avec les salariés de la R&D concernant la directrice du centre de recherche !!!!

En effet, un élu Cgt vient de nous avertir que cette dame était de nouveau apparu "d'entre les murs" de la R&D, et qui plus est, elle y était très tôt ce matin, c'est à dire vers 7h !

Sauf que, eh oui !!! Sauf que, la directrice n'était pas venue pour répondre aux nombreuses questions des salariés qui sont sous sa responsabilité, bien loin de là.

Oh non non non, c'est la vraie boulette ! Ou peut-être est-ce tout simplement volontaire de sa part ! 

Elle était présente ce matin, car elle pensait que les salariés de la R&D qui n'avaient pas été reclassé partaient tous aujourd'hui !! Qu'ils étaient jetés dehors aujourd'hui …

Vraiment excellent n'est-ce pas ?

Eh bien non ceci n'est pas risible du tout, bien au contraire.

C'est vraiment une posture et une attitude méprisante pour des salariés qui sont encore sous sa responsabilité, et qui ne date pas d'aujourd'hui. D'ailleurs les salariés lui on fait part de leur mécontentement ce matin.

D'ailleurs le secrétaire du CE, dans un mail qui lui était adressé, avait dénoncé l'attitude de Mme TERPSTRA.

Nous pourrons déjà dire, quelle aura marquée de son empreinte la mauvaise gestion du projet jusqu'à la fermeture, mais surtout d'aucun sens des responsabilités et du relationnel, avec les collègues de la R&D qui pour certains et certaines, vont rester sur le carreau.

A bon entendeur.

 

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Faut-il organiser une quête pour payer les frais de TAXI de Mme TERPSTRA Inge, directrice "fantôme" du centre R&D de Le Meux , afin de venir à la rencontre des salariés qui sont toujours sous sa responsabilité  ? 

Commencons par un avis de recherche

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323465-copie-1.gifUn représentant de la CGT d'UNILEVER France sera présent, c'est un sujet d'actualité.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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