SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever France
Knorr (Unilever) supprime 46 postes
Knorr (groupe Unilever) a annoncé vendredi la suppression de 46 postes sur 390 à Duppigheim (Bas-Rhin), en raison d'une chute des ventes de soupes et sauces déshydratées, a-t-on appris auprès de la direction et des syndicats.
Cette suppression de postes est motivée par le regroupement en Allemagne de l'activité de mélange des soupes déshydratées Knorr, a précisé la direction. Cette mesure a été décidée selon elle afin d'éviter la fermeture d'un site en Europe, en dépit d'une chute de 13%, depuis 2010, des ventes de soupes et sauces déshydratées, qui équivaudrait à l'activité d'un site.
En échange, la direction a promis une relocalisation en France de 12.000 tonnes de production de Maïzena actuellement sous-traitée en Allemagne, une mesure qualifiée de "poudre aux yeux" par la CGT et une grande partie du personnel, qui s'est mise en grève vendredi.
"Duppigheim deviendrait le deuxième site européen de conditionnement de produits déshydratés du groupe", grâce à la relocalisation de la production de Maïzena, ce qui augmenterait de 50% la production actuelle, souligne la direction.
Selon le directeur du site, Jean-Marie Hummel, ce projet de hausse de la production redonne "un avenir à l'usine". Il permettrait de créer cinq postes sur le site, tandis que 28 redéploiements de postes seraient proposés dans le groupe aux salariés concernés par les suppressions.
Pour Léa Vacher, déléguée CGT, "la direction cherche à diviser le personnel en laissant entrevoir des hausses de production pour calmer le jeu, tout en envoyant 46 personnes à la rue".
La production du site a été bloquée par une grève vendredi et le personnel réfléchit à de nouvelles mesures pour les jours à venir, a-t-elle précisé.
Deux autres sites de produits déshydratés du groupe, situés à Crumlin et Norwich (Grande-Bretagne), ont déjà entamé la mise en oeuvre du transfert de l'activité de mélange en Allemagne dans le cadre de la réorganisation des activités du groupe.

polmanccvcgff

  •  
    •  

       

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

Unilever continue à faire le ménage dans ses marques

hthttrurtyuyjjuyjghjghjgh

 Unilever a annoncé, jeudi 16 janvier, la cession de sa marque Royal Pasta, aux Philippines à RFM Corporation, pour 47millions de dollars (35 millions d’euros). L’opération est modeste, mais elle illustre bien le grand ménage qu’a entrepris le géant anglo-néerlandais dans ses rayonnages. Unilever, qui possède des marques emblématiques comme Knorr, Dove, Lipton, Hellman’s, Rama ou Magnum s’est fixé comme objectif de réduire encore de 10% à 20% le nombre de ses références en 2014, après les avoir déjà élaguées de près de 20% en 2013. Des mesures annoncées alors qu’Unilever est confronté au ralentissement de sa croissance. Selon les chiffres publiés mardi 21 janvier, le géant anglo-néerlandais a vu son chiffre d’affaires pour 2013 décroître de 3%, à 49,8 milliards d’Euros. Il est repassé sous la barre des 50milliards, franchie en 2012 pour la première fois de son histoire. Paul Polman, son PDG a pourtant fixé un objectif de 80milliards d’euros de chiffre d’affaires en2020…

Le ralentissement des ventes est dû à un moindre dynamisme des pays émergents. Dans ces zones, où Unilever réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaires, les taux de croissance, qui restent toutefois vigoureux, sont passés de 11,4% à 8,7% entre2012 et 2013. Dans les pays développés, l’heure est à la décroissance, avec un repli de l’activité de 1,7%.

Tailler dans son portefeuille de marques est un moyen de se concentrer sur celles qui marchent. Cette stratégie n’est pas nouvelle pour le numéro trois mondial des produits de grande consommation. Depuis 2000, le nombre de marques du néerlandais est passé de 2000 à 400 ! En2013, le groupe a vendu sa marque de pâte d’arachide Skippy, très présente aux Etats-Unis mais aussi en Chine, à l’américain Hormel Foods pour 700millions de dollars. Puis il a cédé ses sauces américaines Wish-Bone et Western à Pinnacle Foods, pour 580 millions de dollars. Il s’est aussi dessaisi de sa marque d’huile Unipro en Turquie. Enfin, il s’est délesté de ses marques de produits de soin de la personne Soft&Beautiful, TCB et Pro-Line Comb-Thru au profit de la société Strengh of Nature… Les activités agroalimentaires sont les plus concernées par l’élagage. Et pour cause. M.Polman, le PDG d’Unilever, défend le positionnement unique du numéro trois mondial des produits de grande consommation, derrière les numéros 1 et 2 que sont Nestlé et Procter&Gamble (P&G). Unilever est tout à la fois présent dans l’agroalimentaire, mais aussi sur le marché des produits d’entretien de la maison et sur celui des produits d’hygiène-beauté. Dans ce portefeuille très diversifié, les taux de croissance respectifs des différentes activités ne sont pas comparables. En 2013, les ventes dans l’agroalimentaire sont quasi stables quand celles des produits d’entretien progressent de 8% et cellesdesproduitsd’hygiène-beautéde7,3%.

Pour Unilever, faire le tri dans ses activités a un double objectif. En cédant ses marques les moins dynamiques, il peut concentrer ses efforts d’investissement commercial et marketing sur un nombre réduit de marque, et il améliore ses marges. Ainsi en 2013, le géant anglo néerlandais a encore amélioré sa marge opérationnelle qui est  passée de13,8% à14,1%.Quant au bénéfice net, il progresse aussi de 11%, à 4,84 milliards d’euros. Unilever souhaite tout particulièrement concentré ses efforts sur ses «marques milliardaires », c’est-à-dire celles qui génèrent un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros. En 2012, Magnum et Sunsilk sont rentrés dans ce club très fermé, qui compte désormais 14 membres. Unilever n’est pas le seul groupe à mener à bien ce type de grand ménage. Son concurrent Nestlé, voyant son objectif de croissance pour 2013, compris entre 5% et 6% lui échapper, a décidé lui aussi de passer au peigne fin ses activités. En octobre, Paul Bulcke, son directeur général concédait que la vente de marques dont les performances n’étaient pas conformes aux attentes n’était pas à exclure. Immédiatement, les analystes citaient les produits de régime Jenny Craiget PowerBar, comme étant dans la liste. En novembre 2013, le couperet tombait sur Jenny Craig, une entreprise d’origine australienne. Le montant de la cession n’a pas été divulgué. Un mois plus tard, Nestlé a annoncé sa sortie du capital de son partenaire suisse Givaudan, un spécialiste des arômes et des parfums. La vente des 10% des parts qu’il détenait devrait rapporter 934millions d’euros au groupe de Vevey (Suisse). Nestlé restructure aussi ses activités en France. Il a décidé d’arrêter, en juin 2014, la production de plats cuisinés surgelés dans son usine de Beauvais, recentrée sur la fabrication de glaces. Le géant suisse s’est aussi délesté de ses eaux minérales régionales françaises comme Plancoët ou Carola. P.

 Depuis2000, le nombre de marques du numéro trois mondial des produits de grande consommation est passé de 2000 à 400 !

                                                                                                                          

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Monde

Unilever: bénéfice 2013 en hausse de 11%

Le géant néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever a publié un bénéfice net en hausse de 11% pour 2013, malgré des ventes en baisse ayant souffert du ralentissement économique sur les marchés émergents. Le bénéfice net part du groupe a atteint 4,84 milliards d'euros en 2013, sauvé par un résultat opérationnel en hausse de 8% sur un an. Les ventes ont quant à elles baissé de 3%, plombées principalement par le ralentissement économique dans les pays émergents, des taux de changes peu avantageux et un manque à gagner dû aux cessions. A périmètre comparable, les ventes se sont affichées en hausse de 4,3%.
"La croissance continue de ralentir dans les marchés émergents en raison de l'impact de l'incertitude économique et la dépréciation des devises", a indiqué Unilever dans un communiqué, précisant toutefois que ce sont toujours bien les marchés émergents qui tirent les ventes du groupe. Unilever a énormément investi dans les marchés émergents pour compenser la crise économique en Europe et aux Etats-Unis notamment, et il y réalise maintenant plus de la moitié de son chiffre d'affaires.
En Europe, les ventes se sont inscrites en baisse de 1,1% à périmètre constant lors de l'année 2013. "Les marchés développés sont restés faibles avec à peine quelques signes d'amélioration générale, et ce malgré des indicateurs macro-économiques plus positifs ces derniers mois".

hjktrtrbbdf

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

 


 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Depuis plusieurs années, les salariés avec leurs élus CGT se battent pour sauvegarder leurs emplois, pour refuser d'être les victimes d'un système capitaliste qui privilégie le capital au détriment du travail.

La CGT combat ces choix financiers de grands groupes qui au nom de la rentabilité financière jettent chaque jours des milliers de salariés à la rue en les privant de leurs emplois. Que ce soit dans le département de la Somme, ou comme nous l'avons vécu dans l'Oise des entreprises qui dégagent des bénéfices, n'hésitent plus à fermer, laissant derrière eux des friches industrielles, des bassins d'emplois sinistrés.

L'Union Départementale des Syndicats CGT de l'Oise, tient à apporter toute sa solidarité aux camarades qui luttent. 

Rassemblement organisé par le syndicat CGT GOODYEAR.

DIVERS 0010DIVERS 0011lfdlfgjgjklsdjljfjhghhhtDIVERS 0012DIVERS 0013DIVERS 0015DIVERS 0023vhjkhtuogkldkvbbjfdghhgDIVERS 0017DIVERS 0009

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

COMMUNIQUE DES SYNDICATS CGT CFE/CGC,

ELUS ET REPRESENTANTS AU COMITE D’ENTREPRISE

FRALIB GEMENOS, FNAF CGT ET UL CGT AUBAGNE .

 

SANS RESPECTER LES DECISIONS DE JUSTICE UNILEVER

RELANCE UNE 4ème PROCEDURE

Hier mercredi 15 janvier 2014 a été marqué par le début d’une nouvelle procédure initiée par le groupe UNILEVER (Fralib saison 4). En effet après plusieurs tergiversation et recul successif de la direction sur le démarrage d’une nouvelle procédure , laissant imaginer que le Groupe UNILEVER était enfin venu à la raison compte tenu des décisions de justice, la direction a donc décidé de redémarrer une nouvelle procédure pour tenter d’échapper à la décision du juge de l’exécution. Le Groupe UNILEVER a donc pris la lourde responsabilité de continuer à ne pas respecter les décisions de justice de notre Pays. En effet le Groupe UNILEVER et la Société FRALIB présente un PSE pour 14 salariés, à savoir les salariés protégés qui sont toujours à l’effectif, en raison du refus de l’Administration d’autoriser leur licenciement. Or il ressort très clairement aussi bien de l’Arrêt rendu par la Cour d’Appel d’Aix en Provence le 28 février 2013 que du jugement rendu par le Juge de l’exécution du TGI de Nanterre en date du 22 octobre 2013, qu’il a été ordonné à la Société FRALIB SOURCING UNIT de présenter un nouveau PSE pour les 182 salariés de l’entreprise. C’est un véritable scandale, ils tentent de privés les salariés de FRALIB en lutte de leur droit. Nous avons d’ores et déjà pris toutes les dispositions nécessaires pour engager toutes les procédures Judiciaires devant l’ensemble des juridictions et administrations compétentes afin de faire respecter le droit Français.

Nous aurons dans les prochains jours l’occasion de revenir sur ce nouvel épisode de notre conflit qui une nouvelle fois ne grandit pas l’image et la réputation du Groupe UNILEVER.

       Gémenos,  Le 16 janvier 2014

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Calendrier NAO :

                                                              

salaire 2014

 Jeudi 06 février 2014  -  Vendredi 14 février 2014

fgdfgdfgdertetrzegfjghj

 

                          

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

En parallèle sur un autre dossier, nous avons remarqués un point intéressant pour les salariés qui ont été embauchés récemment et depuis 2/3 ans.

Voici ce que dit la Convention collective de la Chimie :

Les salariés titulaires de diplômes professionnels ont les garanties suivantes :

Garanties à l’embauche

·        Tout salarié titulaire de l’un des diplômes suivants et embauché pour occuper une fonction ou un emploi correspondant à ce diplôme aura la garantie des coefficients suivants :

-         B.T.n. : à l’embauche 175 et un an après 190. (Baccalauréat technologique)

-         B.T.S.- D.U.T. : à l’embauche 225 et 2 ans après 250.

Nous avons interpellé la direction sur ce sujet et elle fera le point pour la prochaine réunion des délégués du Personnel, fin janvier 2014.

Entre temps, si vous vous trouvez dans cette situation et que dans les mois à venir rien ne change, nous vous invitons à prendre contact avec la CGT.

En plus de la convention collective de la chimie, nous avons en notre possession une jurisprudence que la direction ne pourra ignorer, nous la mettrons à dispositions des salariés qui en feront la demande.

Nous sommes là pour répondre à toutes vos questions et n’hésitez pas à prendre contact avec vos élus CGT.

iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.jpg

"La jurisprudence" est l'ensemble des décisions habituellement rendues par les différents tribunaux relativement à un problème juridique donné et qui permettent d'en déduire des principes de droit.

tzerrtretertret

Voir les commentaires

Visiteurs

520655

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog