SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Pour nous annoncer des jours sombres, une nouvelle fois E. Macron joue les provocateurs avec la morgue et le mépris qui deviennent sa marque de fabrique. De quelle abondance parle-t-il ? Des masques et des tenues de protection qui nous manquaient lors de la première vague de l’épidémie de COVID.

Des lits de réanimation qui nous ont fait défaut et qui continuent à être en nombre insuffisant dans les hôpitaux. Des salaires des personnels de santé qui restent toujours indigents malgré le fameux Ségur de la santé. S’agit-il des budgets des hôpitaux passés au rabot depuis des années avec le fameux « trou de la Sécu », sciemment créé pour enchainer les plans d’économies successifs. Ou alors il s’agit des EHPAD avec leur abondance d’agents, notamment chez ORPEA ! Il est aussi possible d’évoquer l’abondance de services d’urgences ouverts 24 h sur 24, 365 jours sur 365 par an.

Il ne faut pas oublier la pléthore de médecins traitants en ville et la profusion des rendez-vous proposés sur Doctolib. Sans compter la multitude de dermatologues ou d’ophtalmologues, notamment dans les Hauts-de-France ou en Seine-Saint-Denis. Et plus globalement le très grand nombre de spécialistes sans dépassement d’honoraires, notamment de chirurgiens dans les cliniques privées. En ce qui concerne l’insouciance, il faut sûrement évoquer celle des soignants travaillant avec des masques en tissu et habillés avec des sacs poubelles pour assurer la protection contre les maladies contagieuses.

Il y a aussi celle de ceux qui viennent aux urgences par plaisir car il y fait chaud, il y a de la lumière la nuit et parfois des informations intéressantes sur les écrans de télé en salle d’attente. Puis, il y a cette désinvolture des directeurs généraux d’ARS qui ferment ici un service, là un hôpital, tout en octroyant des autorisations d’ouverture de cliniques ou d’EHPAD dans le secteur marchand. Nous avons pu constater également ce flegme et cette bonhomie de notre nouveau ministre de la Santé qui est très satisfait de lui en considérant avec le plus grand aplomb que « régulation de l’accès » et « fermeture » sont synonymes.

N’en jetons plus, la cour est pleine. De fait, E. Macron nous fait le même cinéma qu’avec son « il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi ». Alors nous lui répondons qu’il veut sûrement évoquer l’abondance et l’insouciance de ses amis. Abondance de dividendes pour les actionnaires d’ORPEA, KORIAN, RAMSAY, ELSAN, etc. qui pillent la Sécurité sociale et échappent à l’impôt en profitant des paradis fiscaux. Insouciance des mêmes vis-à-vis des conditions de travail et des rémunérations des personnels, ainsi que de la qualité du service rendu aux résidents et aux patients.

Une première réponse des personnels de la santé et l’action sociale sera donnée lors de la journée d’action du 22 septembre car ils sont très soucieux de la dégradation de leurs conditions de travail et ils appelleront la population à se joindre à eux pour contrer l’abondance des mesures de casse de notre système de santé et de protection sociale.

Docteur Christophe Prudhomme

Praticien hospitalier -SAMU 93

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Face à la pénurie d'enseignants: la position de la CGT

Le 1er septembre, 12 millions d’élèves feront leur rentrée, et de l’aveu même du ministère de l’Éducation nationale, plus de 4 000 enseignants manquent à l’appel.

 

Certains, à gauche, avaient pourtant tressé des louanges à l'encontre du nouveau ministre de l'éducation nationale adoubé par l'Elysée -de droite- dans sa saison 2. Comme si la droite au pouvoir, et aussi la social-démocratie, faut-il s'en souvenir sous Hollande président, avaient amélioré l'Education nationale.

Pour cette rentrée 2022, malgré les listes complémentaires ouvertes aux derniers concours enseignants. « Il y a aura un professeur devant chaque classe, dans toutes les écoles de France », a pourtant promis le 26 août Pap Ndiaye, le nouveau ministre de tutelle.

"Mais c’est-à-dire des profs non titularisés qui ont suivi trois jours de formation (au lieu d’un stage d’un an pour ceux reçus aux concours enseignants), « avec un statut précaire, des contrats de moins d’un an, des salaires payés en retard parce que les logiciels de paie sont inadaptés à la situation", s'insurge Charlotte Vanbesien, secrétaire générale adjointe de la Ferc, la Fédération de l'éducation, de la recherche et de la culture CGT.

Pour attirer ces contractuels, certaines académies comme Versailles ou Toulouse ont organisé des « job dating », des rencontres professionnelles express « comme si c’était un métier lambda. Dans l’académie de Créteil, où 10% des enseignants sont des contractuels, cela a été un flop : sur les 100 candidats potentiels attendus, seulement 20 se sont présentés », ajoute la FERC-CGT

Des effets d’annonces

Comme pris dans un vent de panique, Emmanuel Macron et son ministre de l’Éducation nationale ont fait des annonces à quelques jours de cette rentrée à haut risque : le 25 août, le président de la République a promis qu’ « aucun enseignant ne débutera sa carrière sous les 2 000 euros net mensuels en 2023 ».
Contre 1 500 euros aujourd’hui, sans les primes, et 1 400 euros pour un enseignant stagiaire. "Il faudrait alors revoir les points d’indice et toute la grille de salaires qui s’est tassée", prévient la porte-parole de la Ferc-CGT.

Depuis 2000, les salaires des enseignants ont baissé de 21% par rapport à l’indice des prix à la consommation. Pas de quoi susciter des vocations!

Le 26 août, pour sa première rentrée scolaire, c’était au tour de Pap Ndiaye d’annoncer qu’un concours exceptionnel de titularisation « d’un certain nombre de contractuels » serait ouvert au printemps 2023.

Cela fait des années que la CGT alerte sur la situation de l’Éducation nationale qui connait aujourd’hui une pénurie structurelle d’enseignants.
La CGT demande de vraies revalorisations salariales pour les enseignants, mais aussi les infirmières scolaires, les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) qui sont à temps partiel imposé, le personnel administratif. 

 

Il faut abolir les réformes Blanquer dont l’application a dégradé les conditions de travail des enseignants. Réduire les effectifs en classe, recruter des enseignants et des AESH. Et améliorer le statut des contractuels. Avant, ils voyaient leur contrat interrompu pendant l’été. Cette année, il a été prolongé jusqu’au 31 août et renouvelé à la rentrée. « Et pourquoi pas leur proposer des CDI ? », interroge la Ferc-CGT. 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

SOURCE : Info'Com CGT

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
BILAN des ordonnances Macron : Très fort recul en matière de santé et de sécurité au travail !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
PLAN SOCIAL EN VUE CHEZ UN SOUS-TRAITANT FERROVIAIRE NORMAND, SELON LA CGT
PS avec AFP
Compin est un fabriquant de sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways

Compin est un fabriquant de sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways - Jean Ayissi-AFP

Le fabricant de sièges ferroviaires Compin, basé à Evreux, va supprimer la moitié de ses effectifs via 55 licenciements sur 113 salariés.
 

Le fabricant de sièges ferroviaires Compin, basé à Evreux, va supprimer la moitié de ses effectifs via 55 licenciements, a affirmé vendredi la CGT dans un communiqué à l'AFP.

"La direction annonce la mise en place d'un PSE et la moitié de l'effectif sera licenciée. 55 salariés sur 113 seront sur le carreau!", écrit le syndicat pour qui Compin est "un maillon essentiel de l'industrie ferroviaire" en fabriquant "les sièges de trains, bus, métros, TGV, tramways qui transportent les voyageurs en France et dans le monde entier".

L'entreprise, "qui annonce pourtant une augmentation constante de son activité globale dans ses usines européennes, a décidé de fermer la production en France", affirme encore la CGT.

 

Le CSE de l'entreprise, détenue majoritairement par le fonds d'investissement Trainvest, avait été "informé" mardi de ce PSE et de la tenue d'une autre réunion jeudi 1er septembre afin que le CSE soit "consulté", a expliqué le syndicat à l'AFP. Contactée par mail l'entreprise n'a pas donné suite et n'était pas joignable par téléphone.

Délocalisations de la production

L'entreprise, dont le second actionnaire est la Banque publique d'investissement, a déjà subi des suppressions de postes, précise le syndicat: "en 2010, 280 salariés et 120 intérimaires travaillaient pour Compin à Evreux". Le syndicat dénonce l'attitude des donneurs d'ordre.

"Les délocalisations de la production, responsables du déclin de notre site, vers les usines du groupe Compin-Fainsa en Pologne, Espagne, Turquie ont été décidées par la direction et encouragées par les clients ALSTOM et SNCF", pense la CGT.
"Les clients finaux, uniquement des entités publiques (villes, conseils régionaux, Île-de-France-Mobilités, SNCF...) ont-ils conscience que les sièges de leurs moyens de transport ne seront plus réalisés par Compin Evreux ?", interpelle-t-il encore.

Selon un syndicaliste de la CGT qui a préféré rester anonyme "depuis 2017 et le contrat d'équipement des trains Omnéo de la Région Normandie, il n'y a pas eu de nouveaux contrats". "Nous souffrons aussi d'un manque d'activité localement. Même si on vivait avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, nous sommes choqués", a-t-il ajouté.*

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Unilever Hongrie va mettre fin à la production de son usine du sud de la Hongrie

L’unité locale du géant des produits de grande consommation Unilever va arrêter la production dans son usine de Röszke (Hongrie du Sud), licenciant 80% des 190 travailleurs, a annoncé Unilever vendredi. Le nouveau propriétaire de l’usine, Mezőker, reprendra 20% des travailleurs. La société hongroise Mezőker est le fournisseur d’Unilever depuis près de 30 ans.

Unilever externalisera la production de près d’un tiers des produits actuellement fabriqués dans l’usine à Mezőker et transférera les deux tiers restants vers ses propres usines en Roumanie et en Allemagne et vers un partenaire européen de fabrication sous contrat. Unilever a déclaré qu’il devait s’adapter à l’évolution des besoins des consommateurs et des conditions du marché et concentrer la production dans ses plus grandes usines. Il a ajouté que les possibilités d’expansion de l’usine de Röszke seraient limitées.

Unilever possède également une usine de crème glacée à Veszprém (ouest de la Hongrie) et une usine de produits chimiques ménagers à Nyírbátor (nord-est de la Hongrie). Elle a investi 65 millions d’euros dans ces deux usines au cours des dernières années et prévoit de nouveaux investissements de 35 millions d’euros dans un avenir proche. Unilever Hongrie a réalisé un chiffre d’affaires de 99,5 milliards de forints (24,9 millions d’euros) en 2021.

 

Publié par lesoleildedebrecen

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Après les scandaleuux propos d'un ex-gérant d'une banque d'affaires réélu à l'Elysée

Le même jour où le président de notre mauvaise république, qui n'est ni sociale ni démocratique, parlait de fin d'abondance et d'insouciance, le journal patronal Les Echos titrait : "Exclusif. La distribution de dividendes atteint un record en France et dans le monde."

 

Oui, dans le pays où l'impôt sur les grandes fortunes n'existe plus, ou des milliards d'argent public sont offerts au patronat sans aucune contrepartie, quand l'inflation galope, que la précarité et le chômage ne comptent pas pour rien et que les mots salaire et conditions de travail n'ont pas été prononcés par Emmanuel Macron!

Dès lors, mieux qu'une longue tribune pour exprimer ma colère:

Après les scandaleuux propos d'un ex-gérant d'une banque d'affaires réélu à l'Elysée

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
CHERS TOUS, VOUS L’AVEZ ÉCOUTÉ, LE GRAND FADA ? « FIN DE L’ABONDANCE, BASCULE DANS LES SACRIFICES … » L’A PRIS UN COUP DE SOLEIL SUR LE CABOCHON AU FORT DE BRÉGAN-ÇON, LE MACRON ? C’EST POURTANT SES MOTS AU CONSEIL DES MINISTRES, LE 24 AOÛT. EN DIRECT SUR BFM  !

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
CONTRE LA PRIVATISATION DES FORÊTS

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : Le site du parti communiste du Québec

 

De manière à maintenir la pression sur le gouvernement britannique qui continue à dire qu'il ne pliera pas devant l'action collective des travailleurs et des travailleuses là-bas, pour contrer la hausse des prix et autoriser de plus fortes hausses de salaires, les principales organisations syndicales au Royaume-Uni ont mis a exécution leurs menaces et ont donc décidé d'intensifier encore plus leurs actions. Après les grèves dans le métro de Londres, jeudi, et la paralysie du trafic ferroviaire, hier, pendant un autre 24 heures, c'est maintenant au tour du principal port du pays d'être touché, soit à Felixstowe et cette fois la paralysie sera de 8 jours. Plus de détails ci-joint.

***

 

Les installations portuaires de Felixstowe sont parmi les plus importantes au monde. Felixstowe est situé au nord-est de Londres. Près de 2,000 débardeurs y travaillent à tous les jours normalement. On s'attend à ce que cette grève, illégale au sens de la loi, mais devenue nécessaire selon les syndicats, pourrait très sérieusement pertuber la chaîne d'approvisionnement de nombreux produits vendus en Grande-Bretagne, mais aussi à l'étranger, puisqu'une bonne partie des importations et des exportations britanniques passent par là.

En Grande-Bretagne, l'inflation continue de fracasser, mois après mois, des records et le gouvernement britannique, loin de vouloir trouver une manière d'atténuer les effets de cette inflation sur les travailleurs et travailleuses, non plus que de prendre certaines mesures pour justement mettre un frein à ces hausses, a surtout demandé aux différentes associations patronales, à travers le pays, de ne pas accorder aux travailleurs des hausses supérieures à 2%, soi-disant parce que si les travailleurs et les travailleuses devaient réussir à obtenir de plus fortes augmentations de salaires, cela ne ferait que faire augmenter encore plus l'inflation, comme si c'étaient eux, en définitive, qui seraient les responsable de ce fléau.

L'inflation atteignait, en juillet, en Grande-Bretagne, 10,1% et la plupart des commentateurs s'accordent à dire que ce taux pourrait encore monter jusqu'à possiblement 13% (au niveau des prix à l'alimentation, on est déjà presque rendu à ce niveau). Qui plus est, on prédit également le début d'une récession majeure dans ce pays, avant la fin de l'année -- même la Banque d'Angleterre affirme le prévoir aussi --, tout cela, avec en toile de fonds un gouvernement qui, de son côté, continue aussi de prétendre que la priorité No 1 doit aller à la poursuite de la guerre en Ukraine, de manière à ne pas céder devant la Russie.

Sous toutes réserves, l'hiver prochain risque d'être particulièrement dur en Grande-Bretagne.

À Felixstowe, c'est la première fois qu'une grève totale, dans le genre, a lieu, en 30 ans. L'actuelle vague de grèves en Grande-Bretagne est la plus forte depuis plusieurs décennies. Juste avant de sortir en grève, les débardeurs du port de Felixstowe avait refusé une offre patronale qui incluait une hausse de 7% des salaires, mais qui fut en même temps jugée comme étant encore insuffisante.

Les syndicats britanniques ciblent intentionnellement tout le secteur du transport et il y a une bonne raison pour cela; c'est en effet une des meilleures manières de toucher plus directement à ce qui peut le plus facilement et aussi le plus rapidement affecter ce qui peut faire le plus mal au monde des affaires, soit leurs marges de profits. Les capitalistes britanniques, là-bas comme partout ailleurs dans le reste du monde, sont les premiers responsables de ce qui peut présentement nous arriver au niveau de toutes ces hausses de prix qui n'ont pas d'allure.

***

Ce qu'ils sont présentement en train de faire n'est pas sans rappeler ce que les syndicats québécois avaient eux-mêmes fait plus en 2003, alors qu'il s'agissait à ce moment-là de combattre les plans de " réingénierie sociale " du gouvernement libéral de l'époque, soit celui de Jean Charest.

Bien malheureusement, cette pratique fut ensuite plus abandonnée au profit d'un retour vers des stratégies de type plus " collaborationniste ", avec les résultats qu'on connaît aussi plus aujourd'hui.

En 2003, les syndicats avaient bloqué pendant plusieurs jours à la fois les transports en commun, mais aussi les installations portuaires, à Montréal, Trois-Rivières, mais aussi Québec, ainsi que plusieurs des autoroutes reliant différentes régions du Québec, et Jean Charest avait alors été obligé par la suite de reculer au moins en partie sur ses plans de départ. Les plus vieux, parmi les militants et les militantes syndicales d'ici, s'en souviendront.

Pour la petite histoire, un des syndicats qui avaient le plus poussé pour de telles actions, en 2003, était le syndicat des cols bleus de Montréal, soit la section locale 301 du SCFP (FTQ), sous l'égide de son président, le très combatif et courageux leader syndical de l'époque, soit Jean Lapierre.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Et c'est par ailleurs la soumission de l'union européenne et de la France macronienne aux diktats états-uniens contre la Russie qui sont en partie à l'origine de la crise actuelle que le spouvoirs en place ont l'intention de faire payer aux populations.

Rien de plus urgent donc que de se dégager de cette vassalité atlantique mortelle !

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SOURCE : Ouest-France avec REUTERS.Publié le 20/08/202

Encore, un coup de massue pour certain client de fournisseur privé, vive l'ouverture des marchés, à qui cela profite et qui va payer la facture et à quel prix ????, combien le rachat des contrats d'énergies va t'il encore coûter à EDF et au contribuable???.
 
La hausse des prix de l’énergie a poussé la société espagnole Iberdrola, concurrente d’EDF, à mettre un terme à des milliers de contrats passés avec des clients français.
 
La société espagnole d’électricité Iberdrola a résilié des contrats de fourniture d’électricité avec des milliers de clients français en raison de la hausse sans précédent des prix de l’énergie, fait savoir le groupe dans un courrier.
Iberdrola, le plus important concurrent d’EDF en France, conseille à ses clients de changer de fournisseur.
 
« Nous vous invitons à changer de fournisseur […] Si vous ne le faites pas, vous risquez une interruption de votre alimentation en électricité dès la fin de votre contrat avec Iberdrola »,
écrit la compagnie à ses clients.
 
Un porte-parole d’Iberdrola à Madrid a confirmé la résiliation de contrats, tout en précisant que le groupe espagnol ne quittait pas pour autant le marché français.
 
Une promesse de bas prix rendue impossible
 
Il a précisé que cette décision concernait « quelques milliers » de contrats.
 
« Nous ne voulons pas renouveler automatiquement les contrats avec les clients existants, car beaucoup d’entre eux seraient gravement affectés. Il est préférable pour eux d’opter pour le tarif réglementé en France »,
a déclaré le porte-parole d’Iberdrola. L’opérateur s’était en effet engagé à garantir à ses clients des prix bas, et préfère se dégager face à son incapacité à respecter cette promesse, précise France 2 .
Il a toutefois refusé de préciser combien Iberdrola avait de clients particuliers en France mais selon les estimations, il en compterait entre 400 000 et 500 000.
Voilà où mène la concurrence sur l'électricité ; Le fournisseur espagnol Iberdrola résilie les contrats de milliers de clients français
Voilà où mène la concurrence sur l'électricité ; Le fournisseur espagnol Iberdrola résilie les contrats de milliers de clients français
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Ce sont les conséquences de la directives Européenne du "marché libre et non faussée. " Ce ne sera pas "Iperdrôle " pour les quelques 500 000 milles français qui ont choisi ce fournisseur d'électricité et de gaz parce qu'ils croyait que serait moins cher que le fournisseur historique EDF. A écouter les promesses du gouvernement et de l'UE ils ce mettent dans la merde et vont payer leur kilowattheure et leur gaz encore plus cher.

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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