SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI
Syndicat CGT Unilever HPCI France
C'est pour l'instant le journal réactionnaire l'Opinion qui fait état de cette convocation.
Nouveau signe après les attaques contre Menesplier de la direction confédérale et de nombreux autres militants du caractère récurrent de la répression anti-syndicale pour tenter d'intimder le monde du travail et empêcher le développement des luttes face à une situation qui se dégrade et face à une politique du pouvoir s'en prenant à TOUS les conquis!
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...Et de deux. Myriam Lebkiri, membre du bureau confédéral de la CGT, la plus haute instance du syndicat, est convoquée par la gendarmerie. Quatre mois plus tôt, c'était Sébastien Menesplier, lui aussi membre du bureau et patron de la fédération énergie de la centrale de Montreuil, qui était sommé de se rendre à la gendarmerie.
« Aucun sens ». « Je n’ai mené que des actions décidées collectivement qui sont revendicatives ou qui appellent à la mobilisation. C’est pour cela que cette convocation n’a aucun sens », affirme-t-elle. Myriam Lebkiri a été secrétaire générale de la CGT dans le Val-d’Oise de 2016 à 2020, et a rejoint le bureau du syndicat en juin. Elle y est chargée de l’égalité femmes-hommes et de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.
Publié par FSC
SOURCE :
Deux manifestations contre la fermeture de la Bourse du travail d’Aubervilliers se tiendront devant la mairie de cette commune dans les jours à venir. La première :
Ces deux mobilisations s’opposent à la fermeture de la Bourse du travail de la commune, annoncée en plein conseil municipal le 28 septembre dernier par Karine Franclet, mairie (UDI) d’Aubervilliers annonçait en plein conseil municipal. Motivée par le besoin de relocaliser l’activité de six associations dont les locaux vont être démolis, au sein de la Bourse, cette fermeture est programmée au 31 décembre 2023.
Karine Franclet met également en cause l’utilité même de cette Bourse du travail :
« Cet organisme disposait gratuitement d’un local de 458 mètres carrés, la mise à disposition à temps plein d’un agent de la ville, la prise en charge des fluides, du matériel de fournitures et des frais de téléphonie, soit un coût annuel pour la municipalité de 204 747 euros, plus le coût du salaire de l’agent municipal mis à disposition. Tous ces moyens étaient donnés à la Bourse du travail pour recevoir des salariés qui ne sont pas forcément Albertivillariens », explique-t-elle au média Citoyen.com.
Des arguments qui ne convainquent évidemment pas les syndicats (CGT, Solidaires, UNSA, CFTC, CFDT, CFE-CGC, FSU F0) qui, d’une seule voix, ont publié une pétition contre la fermeture de leur lieu d’activité :
« Chaque année des milliers d’Albertivillarien·nes poussent la porte de la Bourse du travail et y trouvent écoute, conseils et services. Des travailleurs sans papiers qui ont obtenu leur régularisation, des employés ayant gagné au tribunal des prud’hommes, des salarié-e-s a qui ont arraché des augmentations de salaires, des licenciements abusifs requalifiés, un management toxique dénoncé et réformé, un patron malveillant qui revient à des méthodes plus conformes … nombreux sont les exemples d’interventions syndicales utiles au quotidien, qui n’auraient pu se réaliser sans l’intervention des militant-es des syndicats de la Bourse du travail. »
Pour l’heure, ces arguments n’ont pas convaincu la maire d’Aubervilliers. Reçue par celle-ci dans le courant du mois de novembre, une délégation intersyndicale locale s’est vu confirmer que les actuels locaux de la Bourse du travail seraient mis à disposition de la vie associative et que les syndicats garderaient simplement le droit d’y réserver des salles.
Les attaques contres les Bourses du travail sont régulières un peu partout en France. Souvent l’apanage de l’extrême droite, elles ne se cantonnent cependant pas à ce champ politique. D’où les deux manifestations contre la fermeture de la Bourse du travail d’Aubervilliers.
Publié par FSC
Publié par Info'Com-CGT
Publié par Info'Com-CGT
SOURCE :
Le syndicat accuse le distributeur d’externaliser les suppressions d’emplois en cédant ses magasins à des franchisés et locataires gérants. Il espère le soutien des députés LFI.
Publié par FSC
SOURCE : https://www.zoomdici.fr/actualite/hopital-emile-roux-au-puy-le-syndicat-cgt-gagne-une-bataille
La CGT avait déposé un préavis de grève concernant le service de stérilisation du Centre Hospitalier Emile Roux pour la journée du jeudi 23 novembre 2023. Finalement, après des négociations avec la direction, une partie des revendications a été octroyée aux employés et la grève annulée.
Toujours le même refrain qui revient dans la tête comme les notes d'une publicité . "À ce jour les effectifs sont insuffisants et les besoins en termes de recrutements et de formations sont importants". "Les personnels sont confrontés à une augmentation importante de la charge de travail". "Au Puy, aucun service n’est épargné à l’image des agents de stérilisation qui font face à une dégradation considérable de leurs conditions de travail"...
Face à ces problèmes récurrents qui ne semblent trouver de véritables solutions, la CGT hospitalière s'est mobilisée pour faire avancer leurs revendications. Comme arme, la menace d'une grève dans le service de stérilisation de l'hôpital Émile-Roux
"Nous demandons également la titularisation de tous les contractuels"
"Parce que la stérilisation nécessite des compétences particulières, nous demandons que les temps de formation soient respectés et que le temps de doublure des personnels nouvellement formés soit rallongé, le tout dans des conditions favorables à la transmission du savoir", exige le syndicat majoritaire.
Il rajoute : "Comme dans l’ensemble des services, il faut stabiliser le personnel pour fidéliser les agents et ne pas perdre en compétence. Si la question de l’amélioration des conditions de travail est essentielle, nous demandons également la titularisation de tous les contractuels."
Création de poste, équipe renforcée...
Suite au dépôt du préavis de grève, la CGT a été reçue par la direction afin d’entamer des négociations permettant de répondre aux revendications des personnels. Plusieurs rencontres ont également eu lieu avec l’équipe de stérilisation. Lors de ces discussions, la CGT a obtenu la création d’un poste équivalent temps plein, le renfort temporaire sur l’équipe, un temps de doublure des agents nouvellement formés de 2 mois (au lieu de 1 mois) et l’achat de matériel.
"Ces premières avancées ont conduit la CGT à lever le préavis de grève, en concertation avec les agents et nous saluons le retour du dialogue au sein de notre établissement", confirme le syndicat.
"Si toutefois, la situation l’exigeait, un nouveau préavis de grève sera déposé par la CGT".
La hache pas totalement enterrée
Sur la question de l’augmentation des effectifs, les réponses n'apparaissent pas à la hauteur aux yeux des agents et de la CGT du CHER. "L’équipe de stérilisation est en grande souffrance et au bout des efforts qu’elle peut fournir : il y a donc urgence !".
Le syndicat termine ainsi : "Les personnels de ce service sont déterminés. Ils attendent de la Direction que les engagements pris soient mis par écrit. Ils sont également dans l’attente de la poursuite des discussions sur les effectifs afin d’obtenir d’autres créations de poste indispensables à l’amélioration de la situation. Si toutefois, la situation l’exigeait, un nouveau préavis de grève sera déposé par la CGT".
Publié par FSC
La loi « pour le plein emploi » adoptée définitivement par l’Assemblée nationale le 14 novembre marque un changement de société profond. Les bénéficiaires du RSA devront désormais effectuer 15 heures d’activité par semaine pour pouvoir continuer à toucher ce minima social, afin de favoriser la reprise de l’emploi, bien que les travaux réalisés à ce sujet ne prouvent pas l’efficacité de tels dispositifs. Dans quel cadre idéologique cette loi s’inscrit-elle, quelles en seront les conséquences ? Pourquoi peut-elle favoriser l’augmentation de la pauvreté ? Éléments de réponse avec Salomé Saqué.
Journaliste : Salomé Saqué
Montage : Colas Tran, Mélanie Ciais
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Morgane Sabouret
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
Publié par EL DIABLO
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Se syndiquer CGT ?
Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.
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