SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Alors que l’inflation s’établit autour de 6 %, la question du maintien du pouvoir d’achat devient cruciale. Les produits de première nécessité, indispensables à la vie quotidienne, ne cessent d’augmenter. Les salaires, eux, ne suivent pas.

L'indexation du SMIC ne suffit pas

L’inflation – l’érosion de la valeur de la monnaie - touche en priorité les salariés et les couches sociales les plus fragiles. En période de forte inflation, la valeur marchande de l’euro diminue : chaque euro permet d’acheter de moins en moins de biens et de services.

Cette année, le SMIC a été augmenté 3 fois, mais ces augmentations sont indépendantes de toute volonté́ gouvernementale et patronale, car le SMIC est légalement indexé sur l’inflation. il n’en va pas de même pour les autres salaires.
Et cette situation a des conséquences surprenantes ; sur
166 branches professionnelles, seules 37 ont un départ de grille au-dessus du SMIC. Pour toutes les autres, le revenu minimum ne s’atteint que grâce aux primes, notamment celles liées aux conditions de travail. 

Mise en place de l'échelle mobile des salaires

Pour maintenir le pouvoir d’achat, il faut mettre en place l’échelle mobile des salaires, c’est-à-dire l’indexation automatique de tous les salaires sur le renchérissement du coût de la vie. 

L’argument de la boucle augmentation des salaires / inflation, chère aux économistes libéraux, doit être oublié. 

En période de forte inflation, la situation financière des entreprises du CAC 40, en 2021 et 2022, et les dividendes versés aux actionnaires confinent à l’indécence, comparés à la lente érosion du pouvoir d’achat des salariés.

Depuis 40 ans (date de la suppression de l’échelle mobile des salaires) : le recul de la part des salaires dans la richesse produite a été estimé à 1 500 milliards d’euros ! 

Le gouvernement ne doit pas s’en remettre à la seule bonne volonté des entreprises !

Pour préserver le pouvoir d’achat de tous les salariés, la CGT se mobilise pour : 

  • la mise en place de l’échelle mobile des salaires, avec la promulgation d’une nouvelle loi et la modification du code du travail. 
  • la revalorisation du SMIC à 2000 euros brut,
  • sans oublier l’augmentation du point d’indice des fonctionnaires, qui doit être revalorisé de manière automatique chaque année, dans les mêmes proportions que le SMIC.

SOURCE

Extrait d'une affiche du PCF (1951)

 

L’histoire de l’échelle mobile des salaires

L’inflation, autrement dit la hausse globale des prix, alimente le débat sur l’augmentation les salaires. Elle signifie en effet l’érosion de la valeur de la monnaie, c’est-à-dire que chaque euro permet d’acheter moins de biens et de services. Pour neutraliser cette diminution mécanique du pouvoir d’achat des salaires, il est nécessaire de la compenser. Tel est l’objectif d’une « échelle mobile des salaires », dont l’objet est l’indexation des salaires, si possible automatique, sur le renchérissement du coût de la vie.

Premier round

Formulée durant le Front populaire, cette revendication se traduit par l’insertion d’une clause dans certaines conventions collectives, comme celle des industries mécaniques de Meurthe-et-Moselle. Sa portée reste limitée, dans la mesure où la hausse des prix, constatée par une commission départementale paritaire, est compensée selon les possibilités des entreprises.

Disparues avec la Seconde Guerre mondiale, ces clauses réapparaissent avec la loi de février 1950, qui rétablit la libre négociation des conventions collectives et donne naissance au salaire minimum interprofessionnel garanti, le SMIG, ancêtre du SMIC. La forte inflation générée par l’engagement militaire français dans la guerre de Corée contraint le gouvernement à lâcher du lest. Un mécanisme prévoit ainsi une compensation intégrale et automatique du SMIG, dès que l’inflation annuelle dépasse 5 %. Mais ce seuil n’a jamais été atteint, en raison notamment des manipulations gouvernementales. En 1959, une ordonnance du ministre des Finances frappe d’illégalité les clauses d’indexation des salaires sur les prix insérées dans les conventions collectives, ce qui n’empêche toutefois pas la lutte de l’imposer, comme chez NCR à Massy-Palaiseau en 1962.

Deuxième round

Les conquêtes obtenues en mai-juin 1968 sont l’occasion pour la CGT de lancer une campagne offensive pour imposer l’échelle mobile. Relayée par la FTM-CGT dès son 26e congrès fédéral de novembre 1968, l’échelle mobile devient une réalité dans certaines entreprises, comme Berliet à Vénissieux.

Cette campagne vise aussi l’Indice des Prix à la Consommation (IPC), l’instrument de mesure de l’inflation de l’Insee. Mis en place en 1913 pour étudier l’évolution des prix de treize articles de consommation courante à Paris, il a progressivement élargi son périmètre géographique et le nombre d’articles suivis. L’IPC n’est toutefois pas un indicateur du coût de la vie, car il minimise l’impact de dépenses essentielles comme la santé, le logement, les transports ou encore les emprunts bancaires.

C’est pourquoi la CGT élabore son propre indice alternatif en janvier 1972. Pendant une dizaine d’années, cet indicateur tente de corriger certains biais de l’IPC, pour mieux rendre compte de la diminution du pouvoir d’achat, dans un contexte de forte inflation, autour de 10 % en moyenne annuelle.

Troisième round ?

La progression de l’échelle mobile est stoppée en 1983 par le gouvernement socialiste. Au nom de la lutte contre l’inflation, la désindexation des salaires sur les prix est entérinée. Résultat, depuis quarante ans, le pouvoir d’achat des salaires a été peu à peu grignoté, comme la rouille ronge inlassablement le métal. Mais ce gel des salaires a également contribué au recul de la part des salaires dans la richesse produite en faveur des dividendes. Le montant de ce braquage, perpétré depuis 1983, est estimé à 1 500 milliards d’euros ! Un argument « coup de poing » à utiliser sans modération pour défendre le pouvoir d’achat des salariés.

SOURCE

Affiche du PCF (1968)

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Les chiffres du chômage viennent de paraitre pour le 2ème trimestre 2023. Le gouvernement va certainement se focaliser sur la très relative baisse de la catégorie A (0,4% sur un trimestre, soit 1900 personnes et 2,1 % sur un an). Pourtant d’autres chiffres interrogent : les radiations et les catégories B et C regroupant les emplois courts et à temps partiel.
 

En effet, les créations d’emploi passent essentiellement et une fois de plus par des emplois précaires : augmentation de 7,7% des demandeurs d’emploi en catégorie B sur un an (demandeurs d’emploi ayant travaillé moins de 78h/mois) avec notamment une hausse vertigineuse de 26,5% sur un an de contrats de moins de 20h/mois. De la même manière, l’entrée au chômage due à une fin de mission d’intérim augmente de 2,6% sur l’année.

Le chômage des jeunes repart à la hausse : + 2,1 % sur un an en catégorie A chez les moins de 25 ans rien qu’en France métropolitaine.
Cette baisse du nombre de demandeurs d’emploi s’explique aussi par une nette augmentation des radiations : +6,8% sur un an et +3,6 sur le trimestre, soit 54 700 radiés les trois derniers mois ! La politique de sanctions semble donc être la principale cause de cette « amélioration » : une sortie sur dix est désormais due à une radiation, tout sauf une reprise d’emploi.

 

Est-ce un prélude à la politique de sanction des allocataires du RSA que prévoit d’amplifier le projet de loi « Plein Emploi- France Travail »? Où les privé·es d’emploi viendraient un peu plus grossir les rangs du halo du chômage sans être comptabilisés dans les chiffres des inscrit.e.s à Pôle Emploi ?  

La CGT défend une autre politique que le plein d’emplois précaires et les sanctions : droit au travail pour toutes et tous, investissements dans les services publics et la transition écologique, et protection tout au long de la vie, en particulier contre le chômage.

 

Montreuil, 26 juillet 2023

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
LES DOCKERS CANADIENS EN GREVE
LES DOCKERS CANADIENS EN GREVE REJETTENT UNE AUGMENTATION DE 19,2% : ILS VEULENT PLUS
 
C'EST UN AVERTISSEMENT DE LA DETERMINATION ACTUELLE DES TRAVAILLEURS EN AMERIQUE DU NORD POUR TOUS LES CAPITALISTES
 
Les dockers de 30 plateformes portuaires canadiennes, c'est-à-dire toutes, ont déjà fait grève 13 jours en juillet? bloquant l'économie canadienne. En retour, il leur a été proposé une augmentation de salaires de 19,2% et une prime de 3 000 dollars. Malgré les menaces du gouvernement d'interdire la grève et malgré l'acceptation de leur syndicat qui qualifie l'accord d'historique, les dockers ainsi que les militants syndicaux de base ont voté contre l'accord parce qu'ils veulent plus.
Cette détermination est la même qu'on voit aujourd'hui dans les grèves des travailleurs aux USA à commencer par la plus visible d'entre elles, celles des employés du cinéma, et ce vote des dockers canadiens pourrait être un avertissement et un encouragement pour le vote des 340 000 salariés d'UPS qui doivent voter début août, sur l'accord que leur propose leur syndicat qu'ils qualifient eux aussi d'historique avec par exemple une augmentation de 48% des salaires des contrats partiels.

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Expulsion du local de la CGT Blanchisserie : la pétition atteint plus de 600 signatures !

La pétition lancée il y a une semaine par la CGT Blanchisserie contre la menace d’expulsion de leur local par la direction générale du CHU de Bordeaux rencontre un large écho, tant en interne qu’auprès d’autres secteurs. Des soutiens démocratiques importants qui rendent possible la conservation du local.

Répression syndicale

Crédits photo : Révolution Permanente

Il y a une semaine, la CGT blanchisserie du CHU de Bordeaux lançait une pétition contre l’annonce de l’expulsion de son local syndical par la direction générale de l’hôpital. Début juillet, prétextant une mise aux normes, celle-ci a mis en demeure le syndicat de libérer son local au sein de la blanchisserie avec la menace de les en exclure le 1er septembre.

Une volonté politique

Marie Laure Charchar, secrétaire générale du syndicat l’affirmait sur Révolution Permanente : c’est bien plus une volonté politique d’isoler les syndicalistes des travailleurs et d’affaiblir un syndicat de proximité qui motive la direction. C’est ce qu’affirme le syndicat dans sa pétition, dénonçant « une offensive antisyndicale et antidémocratique », et revendiquant le droit élémentaire pour un syndicat à disposer d’un local sur le lieu de travail où il exerce.

Alors que la pétition Change.org a dépassé les 600 signatures, en amont, une centaine de signatures avaient été récoltées par la CGT Blanchisserie en interne auprès des buandiers. Un soutien large pour une blanchisserie où 110 personnes travaillent, qui montre l’attachement des travailleurs à la proximité du syndicat face aux plans de la direction. Celui-ci est primordial pour les syndicalistes dans la construction du rapport de force. Ainsi, au sein de la blanchisserie, plusieurs travailleurs expriment leur soutien. « On ne comprend pas cette décision, ça fait 40 ans que le local est là, ils vont en faire quoi ? Plus que le syndicat, ça nous pénalise à nous tous, c’est pour ça qu’on y est opposé. Avec le local au sein de la blanchisserie, c’est facile de s’y rendre, de pouvoir faire remonter les situations compliquées au travail ou tout simplement être écouté explique l’un d’entre eux. Il ajoute : « On a un métier pénible, avoir un local syndical à notre porté pour pouvoir défendre nos intérêts, c’est nécessaire. Si le local est transféré dans un autre établissement, ça sera impossible de le faire »

Plus largement que cet attachement, le soutien démocratique au droit de disposer d’un local au sein du lieu de travail pour un syndicat s’étend au-delà des portes de la blanchisserie au travers de la pétition. Ainsi, à la solidarité large qui s’exprime depuis plusieurs régions, les soutiens réaffirment les enjeux de disposer un local de proximités face à une offensive anti-démocratique : « Tenez bon camarade, la proximité auprès des salariés est indispensable », , « Les syndicats doivent être au plus proche des salariés, c’est le seul outil des travailleurs pour se défendre ! », ou encore « Oui la proximité avec les salariés est, et doit rester, une de nos préoccupations premières » peut-on lire chez les signataires.

Nationalement, les libertés syndicales de plus en plus menacées dans un contexte de durcissement du régime

Bien plus, l’écho reçu par la pétition pour une lutte locale reflète un ras-le-bol face à la multiplication des entraves démocratiques dans un contexte général où la répression des syndicalistes s’est renforcée après le mouvement contre la réforme des retraites. À ce titre, les commentaires sous la pétition sont révélateurs : « Marre de la répression syndicale », « Il y en a assez de ces institutions qui veulent se débarrasser des syndicats », « Le CHU ne doit pas laminer l’expression syndicale », « Les libertés syndicales sont de plus en plus menacées, c’est inadmissible et dangereux », « On ne mutualise pas des locaux sauf dans le but de casser la solidarité et les repères des travailleurs ».

L’écho et le soutien que la pétition rencontre parle d’une volonté de répondre à la répression qui touche le milieu syndical. Ceci rend possible la perspective posée par la CGT Blanchisserie de faire de « la défense d’un local syndical de proximité au sein de l’hôpital face à une offensive anti-démocratique un exemple de la solidarité de classe que nous devons construire ». Pour cela, l’unité qui s’exprime au travers de la pétition doit s’incarner aussi dans l’expansion du soutien au syndicat par les autres organisations syndicales présentes sur le CHU de Bordeaux en général, pour augmenter le rapport de force et conserver le local. Plus largement, ceci doit aussi permettre de discuter des offensives autoritaires menées par le gouvernement et de leur renforcement par leur campagne actuelle pour l’impunité policière. Un potentiel nouveau saut autoritaire face auquel le mouvement ouvrier doit préparer une riposte, en indépendance du régime et de l’Etat.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

En totale contradiction avec les déclarations et la communication par conséquent bidon sur la nécessité de réindustrialiser le pays

 

 

Réaction confédérale :

Projet de fermeture de l’usine historique de Renault Flins (78) en mars 2024
1800 emplois en CDI et 2200 en intérim chez Renault, plus près de 10 000 emplois indirects sont en jeu. Cette menace de fermeture est en contradiction avec les annonces de « réindustrialisation » et intervient dans une entreprise dont l’Etat est actionnaire et qui a été parmi les principales bénéficiaires des aides COVID
Contact est pris avec la Fédération de la Métallurgie pour organiser une réunion avec l’UD 78, le syndicat, la coordination Renault et la coordination des luttes. La CGT Intérim sera contactée.

L’objectif est de mettre en place un plan de bataille pour empêcher la fermeture de l’usine. Au vu du nombre d’emploi en jeu, il s’agira d’une priorité confédérale.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Londres (awp/afp) - Le géant de l'agroalimentaire et des produits d'hygiène Unilever a publié mardi un bénéfice net en hausse de 22,1%, à 3,5 milliards d'euros (près de 3,4 milliards de francs suisses), tiré notamment par la cession d'une marque de beauté et soins personnels en Amérique du Nord et des prix en hausse.

"Dans un environnement volatil et de coûts élevés", Unilever prévoit des ventes sous-jacentes (hors éléments exceptionnels tels que des acquisitions, cessions ou effets de change) en progression sur l'année de plus de 5%, a précisé le groupe dans un communiqué.

Unilever affiche pour la période une croissance de ses ventes sous-jacentes de 9,1%, qui traduit une hausse des prix de 9,4% mais un recul des volumes de 0,2%. Son chiffre d'affaires a progressé de 2,7% à 30,4 milliards d'euros.

Unilever, connu pour les savons Dove, les déodorants Axe, les soupes Knorr ou les glaces Magnum, continue ainsi de répercuter l'envolée des coûts face à une inflation qui s'emballe, mais prévoit que les hausses de prix s'atténueront d'ici la fin de l'année.

Unilever, qui affiche un gain de 497 millions d'euros pour la période lié à la vente, conclue le 1er mai, de la marque de beauté et soins personnels Suave en Amérique du Nord, voit aussi ses marges progresser.

"La performance d'Unilever au premier semestre met en évidence les qualités qui m'ont attiré vers l'entreprise : une présence mondiale inégalée, un portefeuille de grandes marques et une équipe talentueuse", a fait valoir le nouveau patron, le Néerlandais Hein Schumacher, qui a pris la tête du groupe le 1er juillet.

Les actionnaires d'Unilever avaient rejeté en mai à près de 60% le plan de rémunération des dirigeants du groupe, à l'issue d'un vote consultatif au cours de son assemblée générale annuelle.

Il s'agissait d'un coup de semonce pour la direction, alors que la stratégie du précédent directeur général Alan Jope, à la tête d'Unilever depuis 2019, était questionnée depuis des mois par des investisseurs influents.

M. Jope s'était notamment retrouvé sous le feu des critiques après l'échec de son projet d'acquisition à grands frais de la division de produits de santé de grande consommation du laboratoire GSK, qui avait suscité les protestations d'actionnaires de premier plan.

Le directeur général avait alors fait machine arrière et renoncé à faire des acquisitions majeures à court terme.

ode/abx

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : le site de la FSM

 

Le Secrétaire général a conclu sa première journée à Cuba. Il donne une brève conférence sur les défis de la FSM dans le contexte actuel avec la participation du secrétariat national de la CTC et des dirigeants syndicaux. Il a participé à un événement à l’occasion du 26 juillet au Siège. Il a également visité le centre de travail du secteur du tabac et le centre scientifique CIGB.
 

Publié par FSC

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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