Après plusieurs mois de luttes de luttes locales et dans un contexte de mobilisation nationale, la répression policière et administrative frappe une nouvelle fois les grévistes de la centrale de Gardanne, dans les Bouches du Rhône.
Cette répression à l’égard des grévistes intervient à un moment particulier. En effet, alors que ces derniers sont en lutte depuis 2018 contre l’annonce de la fermeture de la centrale à charbon (promesse de campagne d’Emmanuel Macron), le contre-projet présenté par la CGT pour sauver le site a réussi son étude de faisabilité.
Une nouvelle fois, c’est la répression qui se retrouve être la dernière arme du patronat, comme on peut le voir à la RATP et à la SNCF et dans les universités en ce moment dans le combat contre la réforme des retraites.
Mais face a cela, les grévistes ont réagi par la solidarité, appelant plusieurs rassemblements de soutien à leur camarade. Mais aussi par l’action, envahissant les voies de la gare Saint-Charles de Marseille et paralysant une partie du trafic.
Si la répression s’intensifie, la détermination des grévistes ne faiblit pas !
Publié par REVOLUTION PERMANENTE