SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
NAO usine Saint Dizier Unilever

Voici ce qui ressort de cette troisième réunion NAO à Saint Dizier, 2 propositions.

1er proposition : 

Augmentation moyenne générale 1% ( AG mini 0,7% - AG Max 2,5%)

Processus d'analyse des performances, compétences individuelle

Abondement 250€

Affection de l'an sur prime saisonnalité  11€

Prime médaille 25 ans

Journée non travaillée payée + bon cadeau (retraite)

Revue des contrats CDI TPA

 

2ème proposition : 

Augmentation générale de 0,9%

Abondement à l'intéressement 300€

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Rassemblement devant l'Hôtel de Police de Compiègne pour soutenir Georges du Rouchet Secrétaire Général de l'Union Locale de Compiègne lors de sa convocation suite à la manifestation d'hier ...

Virus de la révolte

Publié sur CGT facebook Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Fronde, scission… La majorité LREM prend l’eau après le 49.3

Après le départ de trois députés supplémentaires, la majorité LREM ne tient plus qu’à 8 députés. Face au 49.3, le désarroi de l'aile gauche du parti s'intensifie. Nombreux sont les parlementaires l'aile "sociale" de LREM à dénoncer un acte "autoritaire", une "impasse" ou même une trahison des promesses de 2017… au point de faire couler la majorité ?

CRISE EN MACRONIE

Crédits photo : AFP

Une majorité qui se fragilise de jour en jour

Hubert Julien-Laferrière et Delphine Bagarry, députés LREM du Rhône et des Alpes-de-Haute-Provence, respectivement, ont annoncé leur départ du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale, le lundi 2 mars, en réaction au recours au 49.3 pour faire passer en force la réforme des retraites.

Delphine Bagarry était déjà signataire de la tribune dénonçant préventivement le « passage en force » et le « déni de démocratie » que représenterait un tel scénario. La décision du 49.3 a par ailleurs été officiellement regrettée par une vingtaine de députés ; ainsi le député LREM du Vaucluse Jean-François Césarini, souvent présenté comme le leader de l’aile gauche de la majorité, exprimait son désarroi face à une telle décision : « on se retrouve brutalement projeté dans l’ancien monde ».

Si elle déplore « une accumulation de décisions ou d’orientations politiques qui fait que je ne retrouve plus en phase avec le projet politique que l’on mène », sa collègue Albane Gaillot, députée du Val-de-Marne, a été encore plus loin. Elle a été jusqu’à voter la motion de censure du gouvernement proposée par les partis de gauche, avant de quitter le mouvement.

Si seuls trois députés ont motivé leur départ par le 49.3, le groupe LREM enregistre déjà près d’une vingtaine de départs volontaires. Les rangs de la majorité tombent désormais à 297 députés ; encore 8 départs ou exclusions, et le parti perd sa majorité, et La République en Marche ne marche plus. Sans compter le début de fronde qui pourrait s’amplifier au sein du parti.

Crise par en haut de la Macronie

Ces défections sont le signe le plus évident d’une véritable crise au sein de la macronie. La verticalité du mouvement, le fossé toujours plus profond entre la population et le gouvernement questionnent même parmi les alliés traditionnels du président. Ces défections donc, tout comme la volonté affichée par de nombreux députés de créer un groupe indépendant, montrent clairement la « crise par en haut » qui touche le gouvernement de Macron. Tour à tour, il a dû faire face à un avis négatif du Conseil d’Etat, à l’entrée dans la lutte de secteurs traditionnellement alliés comme les avocats ou les enseignants du supérieur et dans le même temps ce sont les défections au sein de la majorité qui se succèdent.

Et ce, alors même qu’il doit faire face à un mouvement social historique depuis le 5 décembre, qu’il s’est affronté aux gilets jaunes, qu’aujourd’hui encore il doit faire face à de nouveaux fronts de contestation, et que tous les sondages sont les révélateurs criants de son impopularité. Ces différentes crises attestent l’existence d’une situation de crise organique pour les gouvernements bourgeois. Les perspectives de recompositions électorales semblent de plus en plus ténues, quand les alliés traditionnels ne sont plus et que la colère sociale ne faiblit pas.

Ces éléments poussent le gouvernement à toujours plus user de ses prérogatives autoritaires, à afficher son caractère bonapartiste. À l’Assemblée, les ordonnances ont été multipliées et l’article 49.3 a fini par être convoqué. Ce dernier est l’illustration la plus prégnante du caractère antidémocratique des institutions bourgeoises de la Ve République, mais aussi la démonstration de la faiblesse d’un gouvernement qui, face aux mouvements sociaux, ne peut compter que sur la police pour maintenir son assise, et qui même à l’Assemblée doit recourir au 49.3 pour conserver son pouvoir et maintenir sa faible base électorale.

Le 49.3, les départs au sein de la majorité, tout comme un mouvement social qui perdure sont les indicateurs d’une véritable faiblesse du gouvernement. La Macronie n’est pas aussi stable qu’elle cherche à le faire paraître et semble nous laisser l’espace nécessaire pour qu’un second temps victorieux du mouvement contre la réforme des retraites se constitue.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le nom de la société Uber figure sur une publicité dans les transports en commun parisiens.  En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/71982-cour-cassation-a-tranche-chauffeurs-uber-pas-travailleurs-independants

Le nom de la société Uber figure sur une publicité dans les transports en commun parisiens. En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/71982-cour-cassation-a-tranche-chauffeurs-uber-pas-travailleurs-independants

Intervenant dans le cadre d'un conflit prud'homal opposant la société Uber à un ancien chauffeur de la plateforme, la Cour de cassation a remis en cause le statut d’indépendant des chauffeurs français travaillant avec la société américaine. Dans son arrêt n°374 du 4 mars 2020, la Cour de cassation a décidé de requalifier en contrat de travail la relation contractuelle entre la société Uber et ses chauffeurs qui exerçaient jusqu'alors leur activité sous un statut d’indépendant.


En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/71982-cour-cassation-a-tranche-chauffeurs-uber-pas-travailleurs-independants

Afin de rendre compte de sa décision, la juridiction la plus élevée de l'ordre judiciaire français a publié un communiqué mettant en avant les raisons pour lesquelles les chauffeurs Uber ne sont pas des travailleurs indépendants. «Le chauffeur qui a recours à l’application Uber ne se constitue pas sa propre clientèle, ne fixe pas librement ses tarifs et ne détermine pas les conditions d’exécution de sa prestation de transport», peut-on lire dans le communiqué de la Cour de cassation qui note également que l'itinéraire est imposé aux chauffeurs par la société Uber : «S'il ne le suit pas, des corrections tarifaires sont appliquées. La destination n’est pas connue du chauffeur, révélant ainsi qu’il ne peut choisir librement la course qui lui convient». «A partir de trois refus de courses, la société Uber peut déconnecter temporairement le chauffeur de son application». Dans certains cas, «le chauffeur peut perdre l’accès à son compte. Enfin, le chauffeur participe à un service organisé de transport dont la société Uber définit unilatéralement les conditions d’exercice», explique encore la juridiction française. La Cour de cassation explique avoir pris cette décision après le recours aux prud'hommes d'un chauffeur Uber dont le compte avait été définitivement clôturé par la société, afin de demander une requalification de la relation contractuelle en contrat de travail. Le verdict de la Cour permettra ainsi au conseil de prud’hommes de «statuer sur les demandes du chauffeur au titre de rappel d’indemnités, de rappel de salaires, de dommages-intérêts pour non respect des durées maximales de travail, de travail dissimulé et licenciement sans cause réelle et sérieuse».

Publié par  https://francais.rt.com/

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Entre la droite de François Fillon, ex-premier ministre de Nicolas Sarkozy et ex-candidat à la présidentielle de 2017

Franchement, dites-moi où est la différence?

Et celle d'un ex-gérant-associé d'une banque d'affaires, placé dans le palais de l'Elysée justement par le monde des affaires?

Franchement, dites-moi où est la différence?

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Dans le juste combat de classes contre le palais de l'Elysée entièrement au service du capital, on en oublierait l'autre droite, celle de son candidat à l'élection présidentielle de 2017, François Fillon, ex-premier ministre de Nicolas Sarkozy, actuellement devant un tribunal correctionnel avec son épouse. On en oublierait cette même droite et l'affaire politico-financière Bygmalion. On en oublierait cette pareille droite qui gouverne régions, départements, communautés urbaines et communes toujours contre les intérêts du peuple citoyen.

Aujourd'hui, dans cette droite-là, présidente de la commission des Finances à l'Assemblée nationale et détenant la majorité des fauteuils sénatoriaux, dans la famille Balkany, passez-moi le père, la mère.

Patrick Balkany, maire de Levallois-Perret, vient d'être condamné par la Cour d'appel de Paris pour fraude fiscale à 4 ans de taule dont un avec sursis comme un vulgaire malfrat. Son épouse, Isabelle Balkany, 1ère maire-adjointe à son mari, toujours pour fraude fiscale, est condamnée à 3 ans de taule avec interdiction de gérer une entreprise durant 10 ans.

La Cour d'appel de Paris les condamne immédiatement à 10 ans d'inéligibilité.

Fisc et accusation reprochaient aux époux Balkany de n'avoir pas payé d'impôt sur la fortune entre 2010 et 2015, malgré des actifs estimés à 16 millions d'euros annuels et d'avoir payé un impôt sur le revenu amplement sous-évalué entre 2009 et 2014.  Ce qui n'est pas rien

S'ils sont inéligibles immédiatement et durant 10 ans, aucun mandat de dépôt vers la case prison, n'a été prononcé contre ces deux cols blancs.

Bien, comme disent les gens de la haute au service du capitalisme, on ne commente pas une décision de justice.

Pour autant, à l'époque de monsieur Jean de la Fontaine, selon que vous étiez puissant ou misérable, les jugements de la cour vous rendaient noir ou col blanc. Pardon, blanc.

Et pour ceux qui auraient décidément la mémoire courte:

Les époux Balkany inéligibles pour fraude fiscale "d'une dimension exceptionnelle" en agissant "sciemment de façon orgtanisée"

Dame Christine Lagarde, ancienne ministre de droite de Nicolas Sarkozy, fut jugée coupable mais dispensée de peine par la Haute Cour de Justice composée de magistrats et de parlementaires, dans l'affaire plotico-financière Bernard Tapie. Adoubée patronne du FMI par Nicolas Sarkozy, puis par Hollande président, elle est aujourd'hui dirlo en chef de la Banque centrale européenne de l'UE du capital.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

À l’appel de l’intersyndicale CGT-FO-FSU, des manifestants ont défilé ce jeudi 5 mars, dans les rues de Compiègne, contre la réforme des retraites. Comme un pied de nez aux consignes sanitaires et aux menaces de sanction pénales.

À Compiègne, ils bravent l’interdiction de manifester

Ils étaient 70 irréductibles, ce jeudi 5 mars, dans les rues de Compiègne à défier l’arrêt préfectoral interdisant les rassemblements dans le département jusqu’au 14 mars.

 

par Marielle Martinez premium.courrier-picard.fr

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Cliquez sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance de la vidéo, à partir de 13min10s.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
NAO à Saint Dizier usine MIKO Unilever

Aujourd'hui se déroulait la deuxième réunion NAO à Saint Dizier, les glaces MIKO Unilever.

Les salariés ont décidé de débrayer suite à la proposition de la direction sur l'augmentation générale à 0,5%.

La direction de Saint Dizier n'a honte de rien, ce n'est même pas la moitié de l'inflation, c'est simplement de la provocation !

Ensuite, la direction est passée à 0,7%. Les organisations ont quitté la réunion et ont décidé de mettre en place la grève perlée.

A suivre...

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Cliquez sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance de la vidéo, à partir de 8min30s.

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
POSTÉ LE 19 FÉVRIER 2020PARRÉDACTEUR1DANS LUTTESAVEC 1995 VUES

POSTÉ LE 19 FÉVRIER 2020PARRÉDACTEUR1DANS LUTTESAVEC 1995 VUES

Un scandale “ordinaire” du capitalisme : le groupe Michelin a annoncé un résultat net de 1,73 milliards d’euros en 2019 et la revalorisation des dividendes versés aux actionnaires, et ce alors que le groupe est gavé de subventions publiques depuis des années et que Michelin n’hésite pas à fermer ses sites en France, à l’image des licenciements programmés des 619 ouvriers de l’usine de La Roche-sur-Yon.

Michelin, le géant français de pneumatiques a annoncé le lundi 10 février un chiffre d’affaires de 24,1 milliards d’euros, en hausse de 9,6 %. Le résultat net du monopole français atteint même 1,73 milliard d’euros en 2019, soit une progression de 4,2 % et ce, alors que les ventes de Michelin diminuent de 1,2% mondialement.

Le groupe, qui a décidé de fermer l’an dernier deux usines en Europe, dont celle de pneus poids lourds à La Roche-sur-Yon en Vendée (619 salariés) et le site de Bamberg en Allemagne (858 salariés), a également annoncé le versement à ses actionnaires d’un dividende de 3,85 euros par action, soit 15 centimes de plus que l’année dernière. En dix ans, le dividende Michelin aura plus que doublé.

Sur le site de la Roche-sur-Yon, l’annonce des résultats a fait réagir Anthony Guilloteau, responsable de la CGT de l’usine : « La direction n’a pas hésité pas à sacrifier ses salariés pour augmenter ses marges. Quand on voit que le PSE (plan d’accompagnement social) de La Roche, c’est 120 millions d’euros. Une goutte d’eau ramenée au chiffre d’affaires de Michelin. ».

Pour Michelin, il n’y a pas de petits profits

Alors que le groupe Michelin avait annoncé en octobre 2019 la fermeture de son usine vendéenne, le groupe avait également demandé, début février, aux 619 salariés de rembourser les pneus d’essais qui équipe leurs voitures dont 1 pneu sur 4 leur est facturé. Devant le tollé, la direction de l’entreprise avait finalement reculé.

Un avantage en nature permet en effet aux salariés de Michelin de bénéficier du montage de ces pneus dès qu’ils sont usés, Par contre, si les salariés vendent leur voiture ou s’ils quittent la société, ces pneus doivent être rachetés par les salariés à l’entreprise, à un tarif tenant compte de l’usure.

Ce coup d’épée dans l’eau a toutefois eu le « mérite » de rappeler à quel point il n’y a pas de petits profits pour les grands groupes capitalistes. Et ce, alors que les vies de familles ouvrières se retrouvent brutalement bouleversées, et que des milliers d’emplois directs et indirects sont concernés en France par la fermeture de l’usine de la Roche-sur-Yon.

Un groupe gavé de subventions publiques

Ces tentatives mesquines de gratter jusqu’au moindre centime sont d’autant plus choquantes que, selon la direction de Michelin, le groupe a bénéficié, depuis la création du le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), de 65 millions d’euros au titre de ce dispositif, dont 4,3 millions ont été consacrés au site de La Roche-sur-Yon.

Avec ce pactole, l’entreprise a investi en 2017 dans une rénovation des ateliers de cuisson à La Roche-sur-Yon, et procédé à l’achat de huit nouvelles machines d’assemblage. Avant de décréter brusquement, en février 2018, une « pause des investissements » à La Roche-sur-Yon.

Le groupe a alors opéré une vaste opération de passe-passe. Sur les 8 machines, 2 machines de finition sont parties sur le site d’Aranda en Espagne, 3 machines de confection sur le site de Zalau en Roumanie, et une machine de confection sur le site d’Olsztyn en Pologne.

Cet argent public aura donc en réalité servi à acheter des machines destinées à des usines Michelin situées à l’étranger. Evidemment, il n’est pas question pour le géant du pneumatique de rembourser le CICE de La Roche-sur-Yon. Ces millions d’euros se seront donc évaporés dans des investissements à l’étranger, et n’auront en rien contraint ou encouragé le groupe à investir en France ou à garantir la pérennité de l’emploi en Vendée.

Pour rappel, le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), créé en 2013 par le gouvernement PS, était un dispositif d’aide aux entreprises représentant 4 % de la masse salariale la première année (dans la limite de 2,5 fois le smic) et 6 % les années suivantes. Il a été transformé, en 2019, en une baisse de cotisations patronales.

Michelin : les profits avant l’emploi

Pour rappel, dès le 11 octobre, la Fédération nationale des Industries Chimiques CGT (FNIC CGT) avait réagi à l’annonce de la fermeture de la dernière usine de production de pneu poids lourds en France.

« La CGT rappelle que le groupe n’est pas en difficulté financière avec 1,7 milliards de bénéfices nets en 2018, un cash-flow à +1,27 milliard et que les résultats annoncés en juillet pour le 1er semestre sont très bons », pouvait-t-on ainsi lire.

« Michelin accuse et dénonce une concurrence agressive et déloyale venant des pays asiatiques, d’Amérique du Sud, de l’Est, alors qu’il est lui-même propriétaire de ces usines à bas coût », précisait également le communiqué, avant de poursuive : « Les doublons de productions qui ont provoqué cette surcapacité ne sont pas le fruit du hasard mais bien construite dans la logique capitaliste d’augmentation des marges avec des arrêts programmés des usines françaises. »

Et la CGT d’enfoncer le clou : « Michelin se refuse à baisser ses marges. Il suffirait que l’entreprise accepte pour répondre aux exigences sociétales qui s’imposent à Michelin comme aux autres patrons qui ont perçu des milliards d’euros d’aides publiques, de baisser ses profits pour que tous les sites puissent continuer à produire en France. »

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Grève et manifestation jeudi 5 mars à Compiègne

Camarade,

Ce samedi 29 février, Macron et son gouvernement ont fait le choix d’utiliser à des fins politiciennes la crise sanitaire hyper médiatisée qui sévit en France, comme dans le monde.

Le 1er ministre a profité du Conseil des ministres sur le coronavirus pour faire valider l’utilisation du fameux article 49-3 pour imposer, sans débat parlementaire, son projet de réforme des retraites en discussion à l’Assemblée nationale.

Face à l’autoritarisme politique, la lutte des  travailleurs, retraités, chômeurs et jeunes s’impose. c’est la seule voie pour notre dignité et gagner contre une réforme de régression sociale. amplifions les luttes engagées, engageons-nous toutes et tous dans la riposte sociale !

TOUTES ET TOUS EN GRÈVE

Jeudi 5 mars à Compiègne

Cours Guynemer 10H00

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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