SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Manifestation devant le ministère de l'Economie le 28 mars 2019 à Paris contre les projets de réforme de la fonction publique (illustration).

Manifestation devant le ministère de l'Economie le 28 mars 2019 à Paris contre les projets de réforme de la fonction publique (illustration).

Depuis 2010, le point d’indice qui sert de base à la rémunération des fonctionnaires a été gelé sauf entre 2017 et 2018. Selon la CGT le nombre de fonctionnaires au SMIC a doublé en 10 ans.

Quatre des syndicats (CGT, FO, FSU, Solidaires) reçus en début de semaine par Olivier Dussopt, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics, ont quitté la réunion avant la fin estimant qu'«aucune véritable revendication salariale» des agents n'avait été prise en compte, à commencer par le dégel du point d'indice qui sert à calculer leur rémunération. Gelé de 2010 à 2016, il l'est à nouveau depuis 2018.

Déjà en fin d’année dernière, Bercy avait justifié son refus de satisfaire cette revendication des syndicats en affirmant que toute mesure serait «d’un coût collectif très important pour un avantage individuel très faible», autrement dit, qu’il était inutile d’augmenter les salaires des fonctionnaires car cette mesure serait de toute façon symbolique mais coûterait quand même cher aux finances publiques.

Bercy s’est contenté d’annoncer, dans un communiqué, la poursuite, en 2020, du dispositif «parcours professionnels, carrières et rémunérations » (PPCR), mis en place par le précédent gouvernement et qui vise à revaloriser les carrières des agents publics en échange de leur allongement. Des groupes de travail sur la «rémunération au mérite» des agents publics devraient par ailleurs être mis en place dès la rentrée.

Bercy a également prévu la réévaluation de l'indemnité compensatrice de la hausse de la CSG, mais pour la seule année 2020, ainsi que celle des frais de repas et du chèque emploi service universel dédié à la garde d'enfants, autant de mesures qui n'ont «rien à voir avec des mesures salariales», a estimé Jean-Marc Canon (CGT).

La CFDT a évoqué, comme en 2018, un rendez-vous «loin d'être à la hauteur des attentes des agents», qui «enchaînent les mauvaises années» et des annonces «une nouvelle fois limitées».

«Pas de... Pas de... Voilà donc la réponse du gouvernement aux légitimes revendications de mesures générales des agents», a déploré de son côté Solidaires, tandis que l'Unsa a estimé que «seules des pistes portant sur des mesures techniques illisibles et inéquitables [avaient] été annoncées».

Outre le gel du point d'indice, les syndicats dénoncent la «non-compensation» de la hausse de la CSG pour les fonctionnaires au-delà de 2020 et la réinstauration du «jour de carence».

Selon des chiffres attribués par la CGT à la Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP), 1,1 million d'agents publics – sur 5,5 millions – sont dans une précarité accrue aujourd'hui, avec une rémunération égale au SMIC ou de seulement 10% plus élevée, soit deux fois plus qu'il y a 20 ans.

Publié par francais.rt.com

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
ESSONE, BALLAINVILLIERS : MOBILISATION au CASTORAMA le 10 juillet !

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Racisme-Exploitation-Répression : Geodis doit payer !

Nous publions ci-dessous le texte de l’événement facebook des salariés de Geodis, filiale privatisée de la SNCF, publié sur la page Plateforme d’Enquêtes Militantes, ainsi qu’une de leur vidéo montrant les conditions d’exploitation et de répression sur le site de Gennevilliers.

Patrons Voyous !

« Geodis est une filiale privatisée de la SNCF qui fait de la sous-traitance logistique pour un tas d’entreprises. Sur son site de Gennevilliers, racisme, exploitation et répression sont des concepts managériaux...

Depuis la grève et les blocages enclenchés au début de l’année, tous ceux qui ont participé à la révolte sont sanctionnés par des convocations, des mises à pieds ou des licenciements. Les anciens sont mutés sur des postes pénibles et on leur retire les transpalettes électriques, pour punir les corps.

Ce qui se passe dans l’entrepôt GEODIS de Gennevilliers, c’est la continuité de ce qu’on peut voir dans les quartiers, dans les manifestations ou dans les prisons. Derrière les quais de chargement, sous le poids des colis, des ouvriers surexploités se cassent le dos pour des salaires de misère. Et des militants sont réprimés dès qu’ils s’organisent pour se défendre.

Les ouvriers Geodis se battent au quotidien contre ça, mais ils sont aussi très actifs dans les mouvements sociaux. Les Gilets Jaunes d’Ile-de-France savent bien qu’on peut les croiser partout dans les manifestations, dans les AG locales, pour construire des cabanes ou soutenir des opérations. Les étudiant.es de Paris 8, Tolbiac et Nanterre n’ont pas oublié qu’ils ont soutenus les occupations de facs et les blocages de partiel contre la sélection. Les syndicalistes de combat savent qu’on peut toujours compter sur eux. »

Venir nombreux lorsque les salariés organisent des évènements de soutiens, « ce n’est pas seulement soutenir nos camarades contre la répression qu’ils subissent. C’est aussi affirmer notre force collective et notre détermination à renforcer nos alliances, à créer des connexions, pour combattre les oppressions sur tous les terrains, dans les entreprises comme dans les quartiers ou dans les manifestations. »

GEODIS DOIT PAYER...ET TOUS LES AUTRES AVEC !

Vous pouvez aussi contribuer à cette lutte en participant à la caisse de grève



Publié par REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vidéo. Pourquoi les grands médias ont toujours été hostiles aux mouvements sociaux ?

Vidéo. Pourquoi les médias font leurs gros titres sur les vitrines du Fouquet's alors que les Gilets Jaunes se font mutiler à coup de LBD, de grenades de désencerclement, de Tonfa ? C’est ce qu’Élise va nous expliquer dans ce deuxième épisode de La Page Histoire de Révolution Permanente.

La Page Histoire de RP #2

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

ALORS quelles sanctions contre le patronat voyou dont l'impunité laisse libre cours à ses prédations !

____________________________

SOURCE : https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/bordeaux-victoire-symbolique-pour-la-cgt-ford-blanquefort-1562256303

 

Bordeaux : victoire symbolique

pour la CGT Ford Blanquefort

Jeudi 4 juillet 2019 
Par Arnaud Carré, France Bleu Gironde

La cour d'appel de Bordeaux a confirmé ce jeudi que le groupe américain n'avait pas tenu son engagement pris en 2013 de conserver 1.000 emplois sur le site girondin. Ce qui ne change rien quant au fond du dossier.


C'est une victoire symbolique pour les salariés de l'usine de boite de vitesses mais une victoire quand même face au géant américain. 


Ce jeudi, la cour a de nouveau condamné le constructeur à payer à la CGT 3.000 euros de dommages et intérêts, 2.000 euros au titre des frais de justice et 1.000 euros ajoutés en appel.

"On a certes gagné, le tribunal nous approuve quand on dit que Ford a menti", explique Vincent Alauze, délégué syndical CGT, à l'AFP. "Mais ça ne va pas leur coûter très cher cette histoire... 6.000 euros, qu'est ce que c'est pour eux ?"

Une victoire judiciaire qui intervient deux jours après que le tribunal de grande instance de Bordeaux s'est déclaré incompétent pour statuer sur le plan social qui prévoit la fermeture du site qui emploie 872 salariés. Une fermeture prévue au 1er octobre.

Publié par FSC

 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Thé Earl Grey "1336" fabriqué par les ex-salariés de Fralib à Gémenos / © France 3 Provence-Alpes

Thé Earl Grey "1336" fabriqué par les ex-salariés de Fralib à Gémenos / © France 3 Provence-Alpes

En cinq ans, les efforts des ex-salariés de Fralib pour redémarrer leur entreprise de thés et d'infusions ont porté leurs fruits. Face au succès, ils se heurtent aujourd'hui à un problème de trésorerie et recherchent un financement.

Après 1.336 jours de conflit avec le groupe Unilever, les ex-salariés de Fralib à Gémenos ont réussi à sauver leur usine et 76 emplois. En 2014, ils ont créé une Société coopérative ouvrière et participative (SCOP), une entreprise où tous les employés participent aux décisions et touchent le même salaire par catégories professionnelles. 

Cinq ans ont passé, l'entreprise s'est développée, passant d'un chiffre d'affaires de 460.000 euros la première année, à près de quatre millions d'euros cette année.

Un succès obtenu notamment avec les thés et infusions bio sous les marques "1336" (en référence au nombre de jours de conflit) et "Scop-Ti" (pour Société coopérative ouvrière et participative Thé et Infusion), mais aussi avec le développement de marques distributeurs.

"15 à 18 mois avant un début de retour sur investissement"

Pour arriver à l'équilibre financier, la société doit se développer et remporter des marchés et pour y répondre, il faut de la trésorerie.

"Il faut entre 15 et 18 mois entre l'appel d'offre et le début du retour sur investissement", explique Olivier Leberquier, le président de Scop-Ti. "Il y a les études à réaliser pour le client, l'achat des matières premières et la fabrication de trois mois de stock. Tout ça, c'est à la charge de l'entreprise".

La coopérative est donc à la recherche de financement et les banques se montrent plutôt frileuse. Dans le cadre de l'esprit humaniste de l'entreprise, Scop-Ti a lancé une grande campagne de sociofinancement sur leur site internet.

Au 2 juillet, 2.399 personnes ont participé, pour un montant total de 290.374, 41 euros. "Nous espérons que rapidement, nous n'aurons plus besoin de ce financement" ajoute Olivier Leberquier. 

D'autres sources de financement sont aussi envisagées, comme la prise de fonds par des mutuelles, c'est déjà le cas de deux d'entre elles. "Nous n'utilisons que 20% des capacités de l'usine, nous souhaitons vendre une partie de nos équipements inutilisés", indique également Olivier Leberquier, "ce qui nous permettrait d'obtenir de la trésorerie".

Sans être donateur, il est également possible de participer à la campagne de sociofinancement en achetant des produits directement en ligne, sur le site internet.

Aujourd'hui, Scop-Ti emploie 41 salariés à plein temps et depuis le départ d'Unilever en 2014, la coopérative a permis à 23 ex-Fralib de partir à la retraite à taux plein.

1.336 jours de conflit social

Les thés de la marque "Elephant" étaient fabriqués à l'usine Fralib à gémenos depuis 1977. Fralib est alors une société du groupe multinational Unilever.

Le 28 septembre 2010, Unilever annonce le projet de fermer l'usine de Gémenos et de transférer la production en Pologne. Les salariés et les organisations syndicales CGT et CFE-CGC se mettent aussitôt en grève et occupent l'usine, avec pour objectif de maintenir l’activité et ses 182 emplois.

Les dirigeants locaux de l'époque sont alors persuadés que la grogne se calmera en quelques semaines, mais c'est sans compter sur la solidarité des salariés et le charisme des leaders syndicaux.

Le 22 août 2011, lors de la campagne présidentielle de 2012, François Hollande vient soutenir les salariés. Devenu président de la République, il reçoit les représentants des salariés à l'Elysée.

Au cours de ce long conflit social, l'idée de la création d'une Société coopérative ouvrière et participative germe. Les salariés réclament la cession de la marque "Elephant" et un accord de sous-traitance avec Unilever.

Finalement, en mai 2014, après trois plans sociaux annulés par la justice et 1.336 jours de conflit, un accord est trouvé. Unilever ne cède pas la marque "Elephant", mais cède les machines pour un euro symbolique et participe au financement de la création d'une SCOP, la SCOP-TI, à hauteur de 2,85 millions d'euros.

L'histoire d'un beau retour industriel

Aux 2,85 millions d'euros versés par Unilever pour la création de la SCOP, 58 anciens salariés investissent leurs indemnités de licenciement, soit 177.000 euros. Scop-Ti naît avec un peu plus de trois millions d'euros. 

Pour se démarquer des géants du secteur et pour respecter l'esprit humaniste des débuts, les salariés favorisent la relance de la production à partir d'une matière première locale et biologique. Le thé est vendu sous la marque "1336", en référence au nombre de jours de conflit.

En 2016, la coopérative se lance dans la production sous marque distributeur, notamment pour Auchan et Carrefour. Ce marché assure une commande de 250 tonnes. Mais les salariés souhaitent conserver une production aux arômes naturels et bio sous leur marque "1336" et "Scop-Ti".

Depuis, Scop-Ti a continué à se développer et s'aprête à multiplier par dix son chiffre d'affaires. L'entreprise prévoit un équilibre financier en 2020, si elle obtient suffisamment de trésorerie...

Par Ludovic Moreau france3-regions.francetvinfo.fr

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Licenciements à Conforama. L’État offre 50 millions aux actionnaires

Alors que Conforama a un trou de 6 milliards dans sa comptabilité, le groupe a annoncé 1900 licenciements en France. L’État avait pourtant versé 50 millions dans le cadre du CICE, sensé soutenir l’emploi. Comme annoncé le CICE ne sert qu’à remplir les poches des actionnaires.

LE CICE, UN CADEAU POUR LES ACTIONNAIRES

Crédit photo : JSL

Après les plans sociaux de General Electric et de Ford, c’est maintenant à l’enseigne Conforama, qui compte environ 9000 employés en France, de licencier en masse. En effet, celle ci a annoncé aux syndicats vouloir supprimer 1900 postes courant 2020, soit presque 20% du total de ses employés en France. En tout, ce seront 42 magasins qui fermeront, dont 32 magasins Conforama et 10 magasins maisons dépôts, s’accompagnant de licenciement dans les autres magasins.

Justifier ce plan social par les difficultés financière de l’entreprise, notamment la concurrence très forte de ce marché, c’est oublier les magouilles de la maison mère Steinhoff. Depuis 2017, elle est en démêlé avec la justice. D’après RFI, l’ancien PDG est « sous le coup de plusieures poursuites judiciaires dans le monde ». « Il est accusé avec d’autres dirigeants de l’époque d’avoir falsifié les informations sur les finances du groupe qui possède 40 enseignes de meubles dans une trentaine de pays » . Toujours selon RFI, ça serait « au total, près de 16 milliards d’euros se seraient envolés ». D’après Capital.fr, Steinhoff. « a surestimé ses bénéfices pour un montant total de 6,5 milliards d’euros sur plusieurs années, […]. Ces malversations comptables, via des transactions fictives ou irrégulières, ont été mises en œuvre entre 2009 et 2017 par un petit groupe d’anciens dirigeants de Steinhoff et de quelques personnes extérieures au groupe ».
Ce qui n’a pas empêché l’État français d’offrir 50 millions d’euros à l’entreprise, via le CICE, afin soit disant de la remettre sur pied.

Le CICE, un chèque en blanc donné aux patrons et aux actionnaires !

Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE), vendus par les deux derniers gouvernements comme un moyen de lutter contre le chômage, montre une nouvelle fois sa véritable utilité. Ford et General Electric, ont tous deux annoncé des suppressions de respectivement 800 et 1000 postes. Ford n’a pas remboursé le CICE tandis que General Electric doit rembourser 50 millions.

Gérald Gautier, secrétaire de la section fédérale du commerce & VRP à FO, a expliqué à France Info que la direction de Conforama a touché « 63 millions d’euros de crédit d’impôt compétitivité et l’emploi (CICE)" » pour « conserver l’emploi ». « 63 millions d’euros pour lesquels on n’a vu aucun investissement pour conserver l’emploi ou moderniser l’enseigne ». De là à penser que l’argent a fini dans les poches des actionnaires il n’y a qu’un pas. « On est clairement sur des aides déguisées qui ont permis pendant des années à des gros groupes, qu’ils soient rentables ou pas, de remplir les poches des actionnaires » poursuit le syndicaliste.

Avec ces grandes vagues de licenciements, facilité par les lois travails succesives,le CICE est une grande farce. Il y a eu deux fois moins d’emplois créés en 2018. Le gouvernement responsable de ses plans de licenciements successifs tente de faire croire qu’il est là pour défendre les travailleurs.

Ainsi, la secrétaire d’état à l’économie a annoncé à la radio « être extrêmement attentive à la possibilité de réduction du plan social », et être « aux coté des salariés ». Une vaste blague au vu du bilan du gouvernement Macron, qui a attaqué tout le long de son mandat les droits et les condition de travail des salariés, des cheminots aux personnels hospitaliers, difficile de faire plus hypocrite. Comme pour Ford Blanquefort, General Electric, et maintenant Conforama, le gouvernement est impuissant à conserver les emplois. Et ce du simple faite que c’est un gouvernement au service du patronat. Les travailleurs de Conforama doivent lutter contre cet attentat patronal et réclamer l’ouverture complète des livres de compte de Conforama mais également de sa société mère, afin de montrer la collusion entre le gouvernement, le patronat et les actionnaires, au dépend des milliers de familles ouvrières.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

C'est au JT de France2 à 13H00 ce 4 juillet

Les faux-culs au balcon (bis)

Un élu LR des Alpes Maritimes puis un autre issu d'on ne sait quel groupuscule ultra libéral par ailleurs responsable transport à la région PACA hurlent contre l'étude de la cour des comptes demandant la fermeture de la ligne SNCF desservant la vallée de la Roya au départ de Nice.

Les deux appartiennent à des formations qui législatures après législatures, mandatures après mandatures segmentent le réseau, suppriment les emplois, ont gommé de leur référentiel le concept d'égalité de traitement en tout point du territoire, interdisent de parler de péréquation tarifaire, et là, élections arrivants nos pieds nickelés de la casse des service publics dénoncent ...les choix qu'ils portent depuis des années.

S'il fallait pendre tout ces menteurs il faudrait faire tourner en 3x8 la corderie de Rochefort pour avoir de quoi les accrocher.

Rédigé par Canaille le Rouge

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Jusqu'à quand laisserons-nous les fous furieux qui nous dirigent disposer de nos vies ? par Jean LEVY
Jusqu'à quand laisserons-nous les fous furieux qui nous dirigent disposer de nos vies ? par Jean LEVY

De tous horizons nous parviennent des témoignages du degré de sauvagerie atteint par les soit-disantes élites qui nous gouvernent ,  et qui pourrit la vie de millions et de millions de Français.

Les grands patrons, dans leurs entreprises,  se croient les nouveaux maîtres d'esclaves, libres d'exploiter jusqu'à plus soif leurs salariés pour augmenter toujours plus les dividendes de leurs actionnaires, et les leurs en premier. Jusqu'à provoquer des vagues de suicides. 

La direction de France Télécom s'est illustrée, ces dernières années, par ses méthodes de "management" afin de réduire ainsi son personnel.  Ce n'est plus : "On se tue au boulot" mais la Direction les a tué au boulot. Sans garde à vue, ni comparution immédiate pour les responsables de ces crimes.

La justice de classe sait reconnaître les siens. 

Le scandale aurait dû faire la une des médias, provoquer la riposte des syndicats dès la première victime et créer un choc dans l'opinion publique. Rien de tout cela n'a entammé la renommée d'Orange.

Au contraire, la méthode à fait école à la SNCF comme dans les hôpitaux.

 Le Monde Diplomatique, de juillet 2019,  s'est fait l'écho des suicides au CHU de Toulouse et des méthodes pour y remédier. 

Nous citons l'article : 

"Il fallait réagir. C'est chose faite grâce à une initiative de la DRH : des séances de rigologie, cette "approche globale permettant une harmonie entre le corps, l'esprit et les émotions comme on peut le lire dans le "Plan d'action 2018 pour la prévention des risques psychosociaux et la qualité de vie au travail" du pôle Hôpital des enfants duCHU de Toulouse. 

Yoga du rire, méditation de pleine conscience, techniques variées de relaxation et de respiration, sophrologie ludique...la rigologie vise à "cultiver  les sentiments pôsitifs  et sa joie de vivre". Et de faire appel à l'Ecole internationale du rire, (qui forme) des rigologues estampillés Ecole du rire, le leader du marché."

Telle est la ressource inhumaine au désespoir du personnel hospitallier. Le grotesque complète l'ignoble.

Et tout ça pour ne pas embaucher !

Le récit du quotidien subi par les salariés tant dans le public que dans le privé, le mépris affiché par Macron et son équipe vis-à-vis du monde du travail ainsi traité, la violence des attaques du pouvoir contre ce qui reste de droits des privés d'emploi, des retraités, des opposants à sa politique, stigmatisés comme ennemis, tout cela devrait entrainer un vaste mouvement de ré volte, que les gilets jaunes ont initié en novembre dernier.

Nous ne sommes plus contre un gouvernement dont nous désapprouvons la politique, mais face à une caste - celle des plus riches - qui veut s'enrichir davantage, et par tous les moyens, à une camarilla qui occupe tous les rouages de l'Etat, l'ensemble de l'économie, plus l'information avec tous ses moyens d'expression. 

Fort d'une majorité parlementaire, recrutée sur CV, ce pouvoir tente de domestiquer la France et les Français, dans un espace qui ne serait plus national mais européen, voué au libre marché où le plus faible est sacrifié aux intérêts d'une minorité.

Notre peuple va-t-il encore longtemps supporter l'insupportable ?

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les versaillais toujours fidèles à leur tradition historique de répression !

______________________

SOURCE : https://lagazette-yvelines.fr/2019/07/03/psa-trois-mois-avec-sursis-pour-les-militants-cgt/

PSA : trois mois avec sursis pour les militants CGT

Neuf syndicalistes comparaissaient devant la cour d’appel de Versailles pour des faits de séquestration et de violences en réunion.

3 juillet 2019
 
Vendredi 28 juin, neuf syndicalistes de la CGT de l’usine PSA de Poissy ont été condamnés par la cour d’appel de Versailles à trois mois de prison avec sursis rapporte Le Parisien. Ils comparaissaient pour des faits de séquestration et de violence en réunion à l’encontre d’un chef d’unité en février 2017.

Le cadre de l’entreprise les accusait de l’avoir retenu dans son bureau, lors d’un désaccord sur le respect des procédures de sécurité. Lors de l’audience du 17 mai, six mois de prison avec sursis avaient été requis par l’avocat général.

« La cour d’appel abandonne la séquestration mais retient la violence psychologique, inférieure à huit jours d’ITT », a déclaré Jean-Pierre Mercier, délégué CGT de l’usine sur son compte Twitter tout en dénonçant une « justice de classe ». Le quotidien francilien rappelle qu’en première instance, en décembre 2017, les syndicalistes avaient été condamnés à cinq mois de prison avec sursis par le ­tribunal ­correctionnel de Versailles.

 

Publié par FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
1336 SCOP-TI éveille les papilles et réveille les consciences

Bonjour à tous,

 

Le Projet de SCOP TI est aussi le vôtre

 

Vous comptez peut-être parmi ceux qui nous ont apporté soutien et solidarité, en participant notamment à notre précédente campagne de Socio Financement.
Depuis, nous avons réalisé des progrès significatifs en développant notre activité et nos perspectives sont prometteuses.

Nous devons cependant surmonter une période difficile sur le plan financier, surtout pendant les trois prochains mois.

C’est la raison pour laquelle nous nous permettons de vous solliciter une nouvelle fois.

Nous avons en effet besoin d’un financement supplémentaire; les banques ne nous apportant aucun soutien...

Avec une participation de votre part même modeste, nous pourrons poursuivre cette belle aventure, qui est également la vôtre; et ainsi pérenniser l’avenir de notre site et nos emplois.

Pour ceux qui souhaitent soutenir cette campagne et la poursuite de notre projet, une seule adresse:

http://www.scop-ti.com/campagne-de-sociofinancement.html

 

Retrouvez nos thés et infusions dans tous vos magasins.
(Sinon, sollicitez le chef de rayon pour les référencer...)

SCOPTI éveille les papilles et réveille les consciences

 

Et souvenez-vous :

« Qui n’y a pas goûté, n’a pas saisi la beauté du combat ! » 

Merci à tous !

Bonne journée, à très bientôt !

Amicalement, les Coopérateurs de SCOP-TI.

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
De Rugy sur la répression : « On n’est plus au temps des manifestations »

Vendredi 28 juin le groupe écologiste Extinction Rebellion menait une action de blocage à Paris. Pourtant assis, la police à réprimé fort pour les faire déguerpir, usant de gaz lacrymogène à moins de 10 cm de leur visage. De Rugy s’est alors empressé d’excuser la violence policière en affirmant que « on n'est plus au temps des manifestations ».

Violences policières

Les images de ce vendredi 28 juin sur le pont de Sully sont choquantes. L’action de blocage réalisée par le groupe Extinction Rebellion était pourtant pacifiste et visait à le rester autant que possible, une aubaine pour les policiers qui s’en sont donné à cœur joie pour dégager la chaussée, à coup de spray lacrymogène pointé sur les visages.

Sur la vidéo qui a été beaucoup relayée sur les réseaux sociaux et dans les médias, on voit ainsi des militants écologistes faisant un sit-in se faire maltraiter par des policiers décontractés, marchant autour d’eux et usant de leurs gazeuses comme si de rien n’était. La violence des images est frappante tant l’insolence de la police y est palpable.

Face au tollé provoqué par la scène, François De Rugy, ministre de la transition écologiste a réagi en justifiant la violence de la police envers ces militants écologistes, affirmant que « le temps n’en est plus aux manifestations », et fustigeant des manifestants qui ne revendiqueraient « rien ».

Alors que l’acte II du quinquennat de Macron était annoncé sous le signe de l’écologie et que l’assemblée nationale a voté ce jeudi « l’urgence écologique et climatique », le gouvernement montre son vrai visage dans la rue, la volonté de défendre une écologie par en haut, en harmonie avec les intérêts du patronat, et la répression de toute forme de contestation.

Une répression qui trouve le soutien de De Rugy, transfuge d’EELV dans le gouvernement, quitte pour ce dernier à renier ses anciennes prises de position ? Ainsi, en 2014 alors qu’il était encore député, François De Rugy s’était opposé à Bernard Cazeneuve concernant l’expulsion violente de la ZAD de Sivens qui avait causé la mort de Rémi Fraisse. Une prise de position plus symbolique qu’autre chose pour l’écolo qui a toujours été très « macron-compatible ».

Alors que des milliers de jeunes ont bloqué leurs lycées et manifesté pour le climat ces dernières semaines, et que le gouvernement se prétend l’allié de l’écologie, la répression qu’il déploie contre les actions autant que le mépris affiché par le Ministre de la Transition écologique en disent long sur la réalité de la position du gouvernement, alternant entre promesse d’un capitalisme vert, écologie anti-pauvres, avec comme ligne de conduite la défense des intérêts du patronat dont la soif de profit nous conduit pourtant à la catastrophe.

Crédit photo : Charles Platiau / Reuters

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 > >>

Visiteurs

520655

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog