SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le 12 septembre, les ÉTUDIANTS dans la rue contre la politique antisociale et les coupes budgétaires

Frappés par la diminution de l'Aide personnalisée au logement, titulaires du baccalauréat exclus des universités : les politiques d'austérité, de sélection, de restrictions budgétaires inspirées par les marchés financiers et l'Union européenne frappent de plein fouet la jeunesse.

PAR EL DIABLO

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Le 12 août 1946, il y a exactement 70 ans, (en moins de 6 mois dans un pays ruiné) la Sécurité Sociale était mise en place . tout allait changer dans le sens de la dignité pour des millions de francais...

Merci le Conseil National de la Résistance !

Bâtie sous la maitrise d'oeuvre Ambroise Croizat, elle visait « à en finir » comme le soulignait le ministre du travail « avec le rejet, l’exclusion, l’impossibilité d’accéder aux soins et surtout, disait-il en des termes très novateurs, en finir avec la souffrance et les angoisses du lendemain ».Un peu partout, elle s’organisa à l’aide de bénévoles des entreprises essentiellement des militants CGT hors leur temps de travail ou sur leurs congés. Deux tiers des français n’étaient alors couverts par aucune assurance sociale. La plupart, vivaient à l’heure de la charité ou de quelques petites mutuelles dont les caisses étaient épuisées à la moindre épidémie de grippe. La sécurité sociale donna à tous les salariés la possibilité d’accéder à l’hôpital, au médecin ou à la pharmacie sans débourser un centime dans la plupart des cas. «C’était une véritable révolution, raconte un ouvrier. Avant, on ne se soignait pas. On laissait la maladie nous affaiblir ou nous emporter ! ». « Je me souviens, surenchérit un paysan, qu’avant la fameuse « Sécu », l’intervention chirurgicale était une terreur. On n’y pensait même pas. Pour les familles, il fallait parfois vendre deux vaches, la moitié de son cheptel pour se faire opérer. »


Autre grande conquête toujours proclamée sous les auspices d’Ambroise Croizat le 12 août : la retraite. 82 % des français ne bénéficiaient d’aucune allocation vieillesse. « Il fallait alors travailler jusqu’à 70 ans ou plus, glisse un ancien, pour espérer une petite obole donnée par les municipalités. Alors, on se tuait au travail jusqu’au bout! Mon père d’ailleurs y est mort, à l’usine !» Tout change avec l’institution de ce qui fut appelée « celle qui vous doublait la vie ». On comprend le sens de cette appellation quand on se souvient que la vieillesse fut dès lors envisagée non plus comme une « antichambre de la mort » mais au contraire, dira encore Ambroise Croizat, « comme une nouvelle étape de la vie ».


Parmi les grandes conquêtes du CNR fut aussi proclamée par la loi Croizat, la généralisation des comités d’entreprises qui offrirent aux enfants d’ouvriers le droit à la lecture, aux vacances et aux bourses scolaires qui permirent à beaucoup d’envisager des carrières impensables pour des familles des cités. On vit naître également, peu de gens le savent, le CNRS, outil de recherche de premier plan qui, avec les nationalisations des banques, des mines et de l’énergie, ainsi que la mise en place de la fonction publique et de la médecine du travail furent les pierres angulaires de ce renouveau social aujourd’hui menacé.

Michel Etiévent

PAR FSC

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Non, le transfert du financement de la protection sociale de la cotisation sociale à la CSG ce n'est pas seulement le creusement des inégalités mais vise à la modification fondamentale du caractère révolutionnaire de ce financement conquis à la Libération avec des hommes comme Ambroise Croizat adossé à un mouvement de masse puissant et à une CGT forte de 5 millions d'adhérents.

Et c'est donc l'extension de ce système qu'il faut exiger en même temps comme à son origine que la gestion des centaines de milliards en jeu par les travailleurs eux mêmes.

 

Se reporter à cet égard aux interventions de Bernard Friot  et son interview à l'Humanité du 14 août 2013 :

 

http://www.frontsyndical-classe.org/article-retraites-b-friot-renouer-avec-et-prolonger-le-caractere-revolutionnaire-des-conquetes-de-la-lib-119554776.html

 

__________________

SOURCE : LA MARSEILLAISE

Plus de CSG pour la sécu, l’idée qui creuse les inégalités

 

La Sécurité sociale est déficitaire et le gouvernement Macron propose de remplacer le système de cotisation sociale pour son financement par un impôt.

La déconnecter ainsi du monde du travail et exonérer les entreprises de leur responsabilité conduira à un droit à la santé à deux vitesses, avec des soins pour les riches et d’autres les pour pauvres. Le point avec Jean-Marie Angeli, secrétaire CGT CPAM 13.

Jusqu’à la mobilisation à laquelle la CGT appelle le 12 septembre, « la Marseillaise  » se propose de porter un éclairage sur les multiples conséquences de la réforme du code du travail et plus généralement par les positions plus que libérales du nouveau président de la République sur tous les aspects de l’activité des services publics et privés. Dans le domaine de la santé comme de l’éducation Premier axe de cette série d’articles, les atteintes à la démocratie sociale, notamment dans les entreprises.

Avec la reforme du code du travail, côté Sécurité sociale, les problématiques se cumulent, et pour le pire. Il y a d’une part son financement qui est remis en question dans un monde du travail de plus en plus précarisé. Et d’autre part, parler d’austérité concernant des prestations sociales pose un véritable problème de fond.

La refonte qui ressemble à s’y méprendre à une casse du code du travail amène les travailleurs vers plus de difficultés, où les contrats à durée indéterminée se raréfient. Parmi les 24 millions de salariés en France, 7 millions sont précaires aujourd’hui. « Ce qui a un impact sur les cotisations et menace encore plus qu’il ne l’est déjà le système de protection social. Car avec des Smics, les cotisations sont plombées, explique Jean-Marie Angeli, d’autant plus que le choix du gouvernement va à l’exonération dite de charges des patrons ».

Aujourd’hui au pot commun de ce système de solidarité nationale, abondent pour 58% les cotisations salariales et à hauteur de 23% la cotisation sociale généralisée (CSG), le reste correspondant à diverses taxes. Au fur et à mesure des années, la part de la CSG a augmenté. Et c’est sur cette pente que le gouvernement Macron a mis le cap.

Or « supprimer les cotisations ne peut pas faire gagner du pouvoir d’achat puisqu’on se retrouvera à payer plus d’impôts sans avoir de salaires augmentés », recadre le syndicaliste qui note par ailleurs que le pays « n’a jamais autant redistribué de dividendes et on nous dit vous devez être compétitifs. La protection sociale est maintenant toujours affiliée à la notion de coût dans une gestion administrative et comptable. Mais ça ne peut pas être le fil directeur. Les patrons réclament la gestion des maladies professionnelles. Si tel était le cas, on pourrait encore attendre les indemnisations pour l’amiante. »

Bricoler des bouts de ficelles

On fonctionnait avec le système de solidarité nationale où chacun recevait selon ses besoins. On va vers un système universaliste où on a tous droit à sa part, sans pour autant que le trou de la sécu ne se renfloue. Pour les salariés des organismes sociaux, cette démarche se traduit par « faire plus. Quand on faisait 20 dossiers, on nous en demande aujourd’hui 50. On est sur un mode statistique. Il y a forcément des cas qui nous échappent à ce rythme. Et du coup la qualité se dilue dans la quantité.» Pour l’assuré, « moins il y a de rentrée d’argent, plus cela joue sur sa prise en charge ». Il faudra donc une bonne complémentaire. « On coupe le monde de la santé en deux en creusant les inégalités: ceux qui ont les moyens de se soigner, ceux qui ne les ont pas »

Non pas qu’il ne faut pas réformer le code du travail, mais « dans le sens d’un renforcement, avec plus de moyens pour l’inspection du travail, plus de représentativité dans les conseils d’administration...» propose au contraire la CGT. Encore faudrait-il pouvoir en débattre. Mais le dialogue n’est pas inscrit au menu de ce président-là.

Myriam Guillaume

PAR FSC

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Unilever a annoncé mercredi un accord pour racheter l'essentiel de ses actions préférentielles aux Pays-Bas et le lancement d'une offre publique d'achat sur le solde, un premier pas vers la simplification de la structure capitalistique promise par le géant anglo-néerlandais des produits de grande consommation.

L'opération valorise les titres rachetés à 450 millions d'euros.

Après avoir résisté à une offre d'achat hostile de 143 milliards de dollars (122 milliards d'euros) de l'américain Kraft Heinz, Unilever a annoncé en avril qu'il allait revoir sa structure juridique bicéphale afin de gagner en agilité.

Le groupe s'est entendu avec NN Investment Partners et ASR Nederland pour racheter leurs actions préférentielles d'Unilever NV, l'entité cotée à Amsterdam. Les actions détenues par ces deux parties, dépourvues de droit de vote, représentent 97% des actions préférentielles d'Unilever NV et une offre aux mêmes termes sera lancée dans le courant du troisième trimestre pour racheter le solde, a indiqué Unilever.

"Le renforcement du lien entre les intérêts économiques et les droits de vote permettra d'améliorer la gouvernance d'entreprise", explique le groupe dans un communiqué.

Pour les analystes de Morgan Stanley, le rachat des actions préférentielles constitue un "premier pas" vers la simplification de la structure actionnariale du groupe anglo-néerlandais. "Unilever va poursuivre le réexamen de sa structure juridique bicéphale et s'orienter vers une structure simplifiée qui lui laissera une plus grande mobilité stratégique", écrivent-ils dans une note.

Unilever, qui a par ailleurs annoncé mercredi l'acquisition de Weis, une marque australienne de crèmes glacées, progressait de 0,32% en fin de séance à Londres.

(Martinne Geller, Véronique Tison pour le service français)

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Vous avez dit « DIALOGUE SOCIAL » ?  Le maire LR de Villejuif (Val-de-Marne) veut expulser les syndicats  de la bourse du travail

Villejuif : les syndicats bientôt expulsés

de la bourse du travail ?

La mairie demande l’expulsion immédiate des unions syndicales qui se trouvent au 16, rue Jean-Jaurès. La décision du tribunal administratif de Melun doit être rendue ce mercredi.

Les unions syndicales qui occupent le 16, rue Jean-Jaurès, la Bourse du travail de Villejuif, vont-elles être expulsées sans délai ? C’est le sens du référé déposé par la mairie devant le tribunal administratif de Melun (Seine-et-Marne), qui l’a examiné mardi matin. Sa décision est attendue mercredi.

En février 2015, différents syndicats — CGT, FO, Solidaires, FSU — avaient appelé à la mobilisation pour protester contre la vente de cette bâtisse historique.

A l’origine de la polémique, une annexe au rapport introductif au débat d’orientation budgétaire présenté lors d’un conseil municipal le 6 février 2015. Le 16, rue Jean-Jaurès figurait sur une liste de propriétés municipales qui pourraient être vendues pour renflouer les caisses. Ce soir-là, la salle du conseil municipal s’était remplie de centaines de personnes, pour beaucoup membres des syndicats concernés.

Nouvelle manifestation un mois plus tard. Philippe Martinez, nommé patron de la CGT un mois plus tôt, y était.

La vente de la Bourse du travail avait finalement été reportée à 2016. Mais 2016 est largement passée, et le dossier se retrouve aujourd’hui devant un tribunal. Auquel la mairie a précisé que le 16, rue Jean-Jaurès avait été « mis à disposition des Unions syndicales il y a plusieurs années au titre d’un prêt à usage verbal ».

Elle y fait état de sa propre situation financière « préoccupante », d’un projet de nouvelle école de 17 classes, dite « école des Réservoirs ».

La « cessation du prêt » du bâtiment avait été notifiée aux unions syndicales, « avec effet au 29 juillet 2016 ». Elles sont depuis cette date « occupantes sans droit ni titre » du bâtiment, précise la municipalité, et « mettent en péril » le projet de vente évoqué.

Leur expulsion immédiate est demandée, « sous astreinte de 200 € par jour de retard à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir ». Avec la possibilité de recourir « à un huissier », puis à la « force publique ».

Au cœur de l’été, et alors que la plupart des responsables syndicaux sont en congés, « le maire a dégainé le premier », résume Marc Bonnet, secrétaire général de l’union départementale Force Ouvrière. En 2016, « on lui avait demandé de se revoir pour négocier la proposition initiale de la convention d’occupation proposée par la mairie ». Demande « restée lettre morte », selon lui. Ahmed El Houmass, secrétaire général de l’union locale CGT de Villejuif évoque un « coup de pression » après « un an et demi de silence ». « Nous avons appris vendredi que l’audience avait lieu mardi », explique-t-il. Une demande de « report », déposée lundi, a été refusée.

Sollicité, le cabinet du maire a indiqué ne pas avoir d’information à ce sujet. Contacté, le maire (LR) Franck le Bohellec ne nous a pas répondu.

leparisien.fr

SOURCE:

SOURCE: Facebook

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PAR EL DIABLO

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PAR EL DIABLO

 

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A l'heure d'une remise en cause généralisée de tous les conquis par ceux qui croient l'heure de la revanche sur le monde du travail venue, l'histoire de ces conquis : un carburant pour les luttes !

La première page du document :

 

LE DOCUMENT COMPLET

PAR FSC

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photo d'illustration (source: venezuelainfos.wordpress.com)

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Pourquoi le Venezuela n’est pas une dictature ?


La question se pose puisque dans tous les médias, dés lors que l’on aborde la situation au Venezuela, cette qualification revient immuablement. Soit, le Venezuela est une dictature, soit Maduro est un dictateur, soit, dans le meilleur des cas, le Venezuela est en route vers la dictature. Il n’est jamais question de s’interroger sur la qualification des mots employés puisque c’est considéré comme un fait. Comme si, les journaleux avaient le pouvoir de décider, comme ça, arbitrairement, sans la moindre explication ou le moindre soupçon de démonstration. Qui plus est, ceux qui ont l’audace de déclarer que ces allégations sont partiales ou erronées reçoivent les foudres des mêmes médias, qui prétendent leur donner la parole, et détournent leurs propos ou les commentent partialement. Notre député Insoumis Eric Coquerel vient d’en faire les frais, successivement sur LCI et ce vendredi dans les colonnes de France Soir. Il n’est pas de bon ton de déclarer que le Venezuela n’est pas une dictature et qu’il convient d’être plus prudent et circonspect sur la situation. Il faut rendre hommage à Eric d’avoir tenter d’expliquer les tenants et les aboutissants de la situation en cours mais le journalisme de propagande fait son office par servitude ou par ignorance.
La question qu’il conviendrait de se poser avant de parler de dictature serait d’en revenir à sa définition.
Selon le dictionnaire : « Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l'exercent sans contrôle, de façon autoritaire ; durée pendant laquelle s'exerce le pouvoir d'un dictateur. Pouvoir absolu exercé par une personne ou un groupe dans un domaine particulier ; tyrannie.»
On peut donc en conclure que dans une dictature :
- Il n’existe aucun pouvoir législatif
- Il n’existe aucune opposition
- Il n’existe aucun contre-pouvoir
Ceci implique que :
- Il n’y a pas d’élections
- Il n’y a pas de liberté de la presse
- Il n’y a pas de liberté de manifester
Alors comment qualifier un pays qui a connu plus d’une quinzaine d’élections depuis moins de 20 ans, y compris un referendum révocatoire du chef de l’Etat, ou l’opposition détient 90% des médias et manifeste chaque jour et où elle avait la majorité dans une Assemblée Nationale élue mais qui perd aujourd’hui ce contre-pouvoir au profit d’une Assemblée Constituante, toute aussi constitutionnelle. La presse poursuit impunément sa désinformation. Les manifestations continuent, manipulées par des groupes violents putschistes aux ordres de puissances étrangères.
Alors, si le Venezuela était vraiment une dictature, vous n’entendriez plus ces pseudo-informations visant à discréditer le régime , tout simplement parce que vous n’en entendriez plus parler du tout :
- Prise de contrôle de tous les médias
- Black out total
- Propagande quotidienne du régime
- Liquidation de l’opposition
- Emprisonnements, assassinats, tortures
- Suspension de toutes les libertés individuelles
- Etat de siège
- Couvre-feu
- Pleins pouvoirs à l’armée comme instrument de répression
Ces mesures radicales sont celles de toutes les dictatures depuis la nuit des temps même si les modalités sont fonction des époques.
Tout cela me rappelle douloureusement le Chili, mon pays d’origine, quand on qualifiait Allende de marxiste à la solde de l’URSS alors qu’il était simplement un socialiste patriote au service des plus démunis. Bien sûr, Pinochet, le sauveur, a su rétablir la situation en le mettant hors d’état de nuire avec l’aide de la CIA et en vendant le pays aux Etats-Unis.
L’Histoire se répète, malheureusement. La situation du Venezuela est totalement comparable à celle du Chili en 1973.
Ce qui est inacceptable dans la situation actuelle au Venezuela n’est pas que l’on soit en désaccord avec certains aspects de la politique de Maduro. En revanche, aucune critique peut justifier le recours à un putsch néo-libéral dont l’unique but est la spoliation des ressources naturelles du pays par des puissances étrangères. Nous devons nous opposer à ce projet mortifère envers le peuple contre le néo-libéralisme, en toute occasion, ici ou là-bas. Nous serions alors coupables de passivité. Il en va, également, de notre avenir.
Voilà pourquoi le Venezuela d’aujourd’hui n’est pas une dictature et ne le sera pas sous le régime actuel mais pourrait le devenir si l’opposition putschiste parvenait à renverser le régime et accéder au pouvoir.

LeNew Gillès Albano

SOURCE : Facebook

PAR EL DIABLO

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Plus de 1 200 CDI et 506 intérimaires : autant de salariés auxquels Alain Bruneel, député PCF de la circonscription, continuera de s'adresser.

Plus de 1 200 CDI et 506 intérimaires : autant de salariés auxquels Alain Bruneel, député PCF de la circonscription, continuera de s'adresser.

Salaires à la baisse, fin illégale de mission intérimaire, menaces de licenciement individuel, bâton dans les roues des syndicalistes : à Douai (Nord), les pratiques managériales de la plateforme inaugurent celles dont la loi travail nous menace. 

Le 27 juillet, la CGT s'y est rendue pour, comme chaque jeudi aux quatre coins du département, préparer la mobilisation du 12 septembre et discuter. Y compris avec ceux qui n'ont rien à redire à la politique d'Amazon. Alain Bruneel, député PCF, était de la visite. Reportage

« Cela fait deux ans que je suis ici, on ne m'a jamais rien reproché... » La jeune femme est en pleurs. Elle vient de recevoir ce qu'on appelle ici une « lettre de sensibilisation ». « Nous vous avons sensibilisé sur votre niveau d'activité en deçà des attentes d'Amazon (...). Malgré cela vos productivités restent en deçà des attentes de l'entreprise », prévient le courrier. Puis vient la conclusion, menaçante : « Nous vous demandons de vous ressaisir (...). À défaut et à regret, nous ne pourrions que tirer les conséquences de votre comportement. » Alain Bruneel, le député PCF du Douaisis qui a promis d'« entrer dans les boîtes », est atterré. Bienvenue chez Amazon à Douai (Nord). Gêné, un manager répond que « c'est la procédure » et qu'il n'a « pas de commentaire ».
 
(...)
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Berlin. Une longue file d’attente devant une agence pour l’emploi nous surprend. L‘économie allemande est florissante et le taux de chômage bas, alors pourquoi autant de monde ? La réponse est simple. La plupart de ces gens ont déjà un travail mais ce sont des travailleurs pauvres. Ils postulent donc aux aides sociales en complément de leurs modestes salaires. Leur vie professionnelle est faite d’emplois précaires et mal payés, de temps partiels, même s’ils ont souvent une bonne formation.

Et il n’y a pas que le nombre de travailleurs pauvres qui augmente en Allemagne. Le nombre de retraités pauvres, augmente lui aussi. C’est le cas de Monika. Qualifiée pour être directrice des ventes elle n’a jamais signé de contrat à temps plein. “Ils ne veulent pas payer. Je suis trop chère. Ils préfèrent embaucher du personnel qui n’est pas qualifié à 8.50 euros de l’heure. Pour m’embaucher, ils devraient payer davantage”, explique-t-elle.

(...)

LA SUITE DE L'ARTICLE EN LIEN CI-DESSOUS:

 

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Si vous habitez dans une HLM ,

Si vous avez pour un couple un revenu fiscal supérieur à 35000 €,

vous êtes soumis à un surloyer.

Les informations des bailleurs tombent dans les boites aux lettres :

C’est une augmentation de 100 % !

Les Retraités (es) représentant la masse des victimes de ces décisions !

Un de nos correspondant habitant le 92, vient de nous informer que son surloyer passera en 2018 de 43 € à 88 € mensuel.

Rappels :

- SARKO en 2008 suppression de la demi part fiscale

- Hollande 5 ans de blocage de nos pensions

- MACRON : CSG +1.7 %  - APL moins 5 € pour commencer. Surloyer + 100 %

 

Ils nous plument, et encore et encore…. Et jusqu’où ????

Macron et sa clique pensent qu’ils peuvent y aller…

Les retraités (es) votent pour nous, ne participent pas trop aux manifs, ne se défendent pas fortement…. se disent-ils!

 

LE 12 et après, faîtes les mentir.

TOUTES ET TOUS EN LUTTE

Pas d’autre solution

PAR FSC

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SOURCE : L' Humanité

 

Les salariés de GM & S ont adressé

une lettre ouverte à Bruno Le Maire.

Si le groupe GMD est sur les rails pour la reprise de l'équipementier automobile basé à La Souterraine, pour Yannick Augras, secrétaire CGT du comité d'entreprise, impossible de se satisfaire de conserver seulement 120 salariés et d'en laisser 157 autres sur le carreau.

« Le nombre de postes repris ne correspond en aucune façon à la charge de travail annoncée et laisse présager un recours massif à la précarité de l'intérim. »

Alors que le tribunal de commerce de Poitiers a reporté pour la quatrième fois au 4 septembre la dé- cision concernant l'offre de reprise de l'entreprise, pour le syndicaliste, les actions du ministre de l'économie, notamment au travers de la cellule de crise, sont insuffisantes :

« Ce ne sont pas vos incantations, par voie de presse, intimant aux salariés d'accepter cette solution présentée comme définitive qui seront de nature à mettre un terme à cette crise

 

C. R. ■

PAR FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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